PC SP25 Flashcards

1
Q

déclaration d’Helsinki (1989)

A

principes éthiques pour la recherche médicale sur les personnes
- participation volontaire
- relation risque bénéfice positive
- intégrité des sujets expérimentaux

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

good clinical practice (GCP)

A
  • consentement éclairé
  • droit à l’anonymat
  • responsabilité des chercheurs et des commissions d’éthiques
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

loi sur la recherche sur l’humain

A

régit les principes pour la recherche sur l’humain en Suisse

vérifie les demandes et autorise/non les recherches

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

National Research Act (1974)

A

réaction à l’étude de la syphilis du Tuskegee-Study
- voir l’évolution de la syphilis dans une population afro-américaine sans utiliser de traitement

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

observation naturaliste

A

observer des cas mais pas de manière systématique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

problèmes éthiques de la Tuskegee-Study

A
  • pas de consentement éclairé
  • pas de participation volontaire : les gens n’ont pas choisi de participer à une étude et pensaient recevoir un traitement
  • intégrité des patients pas respectée
  • pas de responsabilité des chercheurs
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

études qualitatives

A

ce qui permet d’aller plus loin que les questionnaires, permet de voir comment la personne s’est sentie au fil du test (et pas qu’au début/fin)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

protocoles expérimentaux à cas unique

A

observation intensive d’un seul cas avec un protocole expérimental

  • répétition des mesures
  • retrait d’une variable
  • bases de références multiples
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

épidémiologie

A

science qui étudie l’occurrence, la répartition et les déterminants des états de santé et des maladies dans la population et les groupes humains.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

incidence

A

nb de cas pathologiques observls pendant une période donnée et pour une population déterminée

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

prévalence

A

nb global de cas pathologiques à un instant donné, son taux comprend à la fois les nouveaux et les anciens cas

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

prévalence ponctuelle

A

nb de cas pathologiques observés dans une population cible à un moment précis ou sur une période donnée

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

prévalence de vie

A

survenue d’une maladie, d’un événement à un moment de la vie des personnes interrogées

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

épidémiologie descriptive

A

estimer avec la meilleure précision possible et le moins de moyens possibles des paramètres concernant une population bien définie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

épidémiologie analytique

A

établir la relation entre une exposition à des facteurs de risque et un état de santé pour tirer des lois générales, applicables à toute la population

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

études longitudinales

A

type d’étude corrélationnelle qui permet de suivre dans le temps un même groupe d’individus et de mesurer régulièrement, pendant une période donnée, un événement les concernant

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

études longitudinales “fictives”

A

portent sur des gens qui se différencient selon la durée des VI. On regarde plusieurs échantillons au même moment, qui sont concernés par le même problème dans des contextes différents

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

études longitudinales rétrospectives :

A

les gens relatent les temps passés, d’où sont ensuite tirées des conclusions sur l’évolution

études longitudinales accélérées : une partie de l’échantillon a suivi l’étude pendant des années, et on y rajoute des gens qui viennent de la commencer à chaque fois

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

études corrélationnelles

A

recours à des méthodes statistiques qui permettent d’examiner les relations existantes entre différents facteurs qui varient

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

études de parenté

A

elles tentent de démêler le rôle de l’hérédité et de l’environnement dans la détermination des comportements

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

génotype

A

information génétique d’un individu

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

phénotype

A

traits observables (anatomiques/ morphologiques/ moléculaires) ou exprimés qui caractérisent l’individu

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

jumeaux monozygotes

A

même patrimoine génétique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

jumeaux dizygotes

A

partagent environ 50% du patrimoine génétique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

psychopathologie expérimentale

A

utilisation de méthodes de la psycho expérimentale pour comprendre les mécanismes des troubles psychopathologiques

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

problèmes de la méthode expérimentale dans les interventions cliniques

A

rémission spontanée

effet placebo

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

études en simple aveugle

A

> Répartition aléatoire des participants en 2 groupes (expérimental VS contrôle) = randomisation

> Les sujets ignorent s’ils sont assignés au groupe expérimental qui recevra le produit actif ou au groupe contrôle qui ne recevra qu’un placebo

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

exemples de groupes placebo DRL

A

> Discussions de groupe
Relaxation non systématique
Lectures de libres thérapeutiques grand public

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

étude randomisée

A

groupe de sujets dont les performances/comportements sont comparés au groupe expérimental

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

avantages de la méthode expérimentale DGCCRR

A

> Données objectives
Généraliser les résultats
Contrôler davantage les variables non-étudiées
Comparer les résultats
Relations causales
Répéter l’expérience

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

désavantages de la méthode expérimentale ACE

A

> Artificialité potentielle de la situation (= “étude de laboratoire” : on contrôle un maximum de variables qui jouent un rôle ex. on prend que la moyenne et pas les troubles plus aigus)

> Certaines recherches ne peuvent pas être réalisées (raisons éthiques)

> Exclut les phénomènes inétudiables en méthode expérimentale

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
32
Q

méta-analyses

A

résultats de recherches parfois contradictoires (car bcp de choses peuvent changer, alors on ne sait pas parfaitement si les résultats sont réels/efficaces

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
33
Q

avantages des méta-analyses IIC

A

> Intégration exhaustive avec des données de la littérature

> Intégration des études avec des effets négatifs

> Calcul d’un indice moyen de l’effet sur toutes les études (= taille d’effet moyenne : on regarde les indicateurs statistiques de chaque étude et on calcule)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
34
Q

intervention psychologique

A

se fait dans un cadre systématique en référence à un cadre théorique empiriquement et scientifiquement fondé concernant l’origine et le traitement des troubles psychiques

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
35
Q

buts de l’intervention psychologique PTR

A

> Promotion de la santé et prévention
Traitement/thérapie
Réhabilitation

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
36
Q

caractéristiques des méthodes d’interventions de la psycho clinique CCDEF

A

> Choix des moyen : moyens psycho concernant le vécu/comportement et qui se déroulent dans le cadre de l’interaction entre “aidant”/”demandant”
Conduite professionnelle
Définition de buts à atteindre
Evaluation empirique de la méthode
Fondement théorique dans le cadre des théories de la psycho

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
37
Q

fonctions des méthodes d’intervention de psycho clinique TPR

A

> Traitement/thérapie
Promotion de la santé et prévention
Réhabilitation

Et en langage de santé publique :
1. Prévention primaire : en amont du traitement
2. Prévention secondaire : pendant le traitement
3. Prévention tertiaire : après le traitement

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
38
Q

évaluation empirique nécessaire pour : JRP

A

> Justification politique dans le système de la santé
Raisons éthiques et déontologiques
Prise en compte en santé publique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
39
Q

débriefing

A

on oblige les gens à parler de ce qui s’est passé

pb : en forçant les gens à parler alors qu’ils ne sont pas prêts, on leur complique la vie (ET faut prendre compte résilience, sinon c’est déontologiquement mauvais)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
40
Q

modèles de recherche pour l’évaluation empirique ERM

A

> Etudes contrôlées randomisés (RCT)
Recherche différentielle en thérapie
Méta-analyses

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

critères d’évaluation empiriques EESPA

A

> Efficacité
Efficience
Satisfaction des patients
Probation de la pratique
Adéquation éthique (au niveau déontologique)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
42
Q

efficacité

A

mesure du changement par rapport à un état visé qui peut être dû à l’intervention (important au niveau clinique)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
43
Q

critères de l’efficacité PACTD

A

> Pourcentage de patients améliorés spécifiques du groupe qui réussit)
Ampleur du changement
Changement significatif statistiquement ET cliniquement
Taux d’effets négatifs
Durée du changement

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
44
Q

efficience

A

critère de mise à l’épreuve de la pratique

réflexion sur les coûts/bénéfices (analyse coûts-efficacité, analyse coûts-bénéfices)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
45
Q

différences efficacité-efficience

A

Efficacité s’attache à la distance du but (= différence entre 2 mesures -> quantitatif)

Efficience se réfère à l’investissement nécessaire pour atteindre le but

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
46
Q

traitements mis en place pour l’efficience

A

Traitement stationnaire VS traitement ambulatoire

Thérapie “face to face” VS thérapie par internet

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
47
Q

fonctions de la satisfaction des patients OPI

A

> Objectif de traitement
Point de départ pour un traitement réussi
Indicateur de qualité du traitement

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
48
Q

pourquoi on manque de traitement pour les personnes touchées ? MAS

A

> manque de professionnels formés
pas d’assurances qui paient pour les traitements
stigmatisation des pbs psychologiques

49
Q

types d’interventions cliniques : IIPR

A

> Interventions de promotion de la santé (en amont, avant qu’il y ait des pbs)
Interventions de prévention (diminuer les risques de pbs)
Psychothérapie
Réhabilitation

50
Q

but de la prévention

A

diminuer l’incidence des troubles psychiques

51
Q

but de la promotion de la santé

A

diminuer/empêcher le développement de troubles spécifiques, diminuer le risque général des pbs de santé

52
Q

prévention universelle

A

l’intervention touche un groupe entier ou une de ses parties qui n’est pas défini par un facteur de risque spécifique

53
Q

prévention sélective

A

l’intervention vise un groupe d’individus spécifiques qui a été exposé à des facteurs de risque connus

54
Q

prévention spécifique

A

diminution de l’incidence de troubles spécifiques, diminution du risque de produire un pb de santé

55
Q

prévention non-spécifique

A

plus générale, on veut avoir des ressources de base qui permettent de lutter contre des pbs SANS créer de pbs de santé

maintenir/promouvoir les ressources internes/externes de la personne

56
Q

moyens de prévention : TCPGIP

A

> Transmission d’informations
Conseil
Programmes d’entraînement
Groupes d’entraide
Intervention de crise
Prévention en ligne

57
Q

psychothérapie

A

forme d’interaction systématique entre un patient et le thérapeute qui la conduit selon des principes psychologiques

58
Q

caractéristiques de la psychothérapie : FUP

A

> Facilite des changements chez le patient aux niveaux du comportement pensées/sentiments
Peut être orientée vers les domaines cognitif/comportemental/émotionnel pour aider le patient
Utilisée pour surmonter un pb psychopathologique/quotidien/se développer

59
Q

formes de psychothérapies PTSCFE

A

> Psychanalyse
TCC
Thérapie Centrée sur le client
Thérapie Systémique
Thérapie Familiale
Thérapie Eclectique et intégratives

60
Q

critères d’évaluation des essais thérapeutiques contrôlés SMMETRPFD

A

> Symptômes clairement définis
Mesures validées
Mesures et entretiens d’évaluation multi-modaux
Evaluateur indépendant et aveugle, entraîné et fiable
Traitement présenté dans un manuel
Randomisation
Pas d’autre traitement concomitant
Fidélité au traitement
Durée du traitement optimale

61
Q

alliance thérapeutique

A

attachement que le client développe envers le thérapeute et le processus thérapeutique

62
Q

alliance de travail

A

développement d’une relation de travail effective où le thérapeute/client travaillent ensemble pour identifier/confronter les problèmes

63
Q

variables influençant l’efficacité de la psychothérapie PPTO

A

> Liées aux patients
Liées au processus/cadre
Liées aux thérapeute
Liées aux observateurs

64
Q

mécanismes d’action commus aux formes de psychothérapie EF

A

> Encouragement é espérer/attente d’amélioration

> Facteurs reliés à la relation thérapeute-client (alliance thérapeutique et alliance de travail)

65
Q

variables liées aux patients dans la psychothérapie

A

stéréotypes liés à l’apparence

> patients YAVIS : Young, Attractive, Verbal, Intelligent, and Successful)
patients HOUND : Homely Old Unattractive Nonverbal and Dumb

66
Q

autres variables liées aux patients : MCN

A

> Motivation pour la thérapie
Contact avec soi-même
Nature et gravité du trouble

67
Q

variables liées au processus

A

> processus de changement thérapeutique
processus de changement du patient
mécanismes de changement
résultats de la psychothérapie

68
Q

comment savoir quelle thérapie utiliser pour quel trouble ? DMMC

A

> Déterminer l’efficacité de thérapies dans le traitement de pbs spécifiques
Mise en place de traitements validés empiriquement
Mise en évidence de traitements efficaces/inefficaces
Critères utilisés pour mesurer l’efficacité = sujet de controverse

69
Q

buts de la réhabilitation SADA

A

> Soutien de gens souffrant de maladies chroniques à gérer leur maladie

> Aide pour que ces gens puissent prendre part à la vie sociale/familiale/professionnelle de manière la plus indépendante possible

> Diminution des limitations dans un domaine précis

> Adaptation de la personne à son environnement et organisation des conditions environnementales pour faciliter sa vie

70
Q

formes de réhabilitation MPPPS

A

> Médicale
Pédagogique
Professionnelle
Psychologique
Sociale

71
Q

méthodes de réhabilitation PPRRS

A

> Programmes d’entraînement
Suivi psychologique
Réhabilitation neuropsychologique
Prévention des rechutes
Réhabilitation à l’aide de nouveaux médias (internet, réalité virtuelle)

72
Q

théorie des humeurs d’Hippocrate

A

Corps contient 4 humeurs (sang, lymphe, bile jaune, bile noire), bile noire provoque une tristesse exclusive aux génies

73
Q

définition de la mélancolie au 19ème siècle (2)

A

> Mal-être dû à un manque profond qu’on ne peut identifier (spleen)

> Sens clinique de maladie mentale associée à un profond abattement (= dépression)

74
Q

théorie de Freud sur la mélancolie

A

> La perte à laquelle réagit le mélancolique est inconsciente et n’est pas direct en relation avec une perte réelle comme dans le deuil

> Dépression résulte d’un conflit psychique : le conflit refoulé doit être résolu en en analysant les résistances

75
Q

conditions à l’origine de la mélancolie PAR

A

> Perte de l’objet

> Ambivalence envers l’objet

> Régression de la libido dans le moi

76
Q

classification des troubles bipolaires dans la CIM-11 : BBC

A

> Troubles bipolaire I
Troubles bipolaire II
Troubles cyclothymique

77
Q

classification des troubles dépressifs dans la CIM-11 : ETDT

A

> Episode dépressif unique
Trouble dépressif récurrent¨
Dysthymie
Trouble anxieux-dépressif mixte

78
Q

critères du trouble dépressif caractérisé HDPIAFSDP

A
  1. Humeur dépressive présente toute la journée
  2. Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour presques toutes les activités
  3. Perte/gain de poids significatif sans régime
  4. Insomnie/hypersomnie
  5. Agitation/ralentissement psychomoteur
  6. Fatigue/perte d’énergie
  7. Sentiment de dévalorisation/culpabilité excessive
  8. Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer en indécision
  9. Pensées de morts récurrentes, idées suicidaires, tentatives de suicides/plans
79
Q

critères d’un épisode maniaque ARPFDAE

A
  1. Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur
  2. Réduction du besoin de sommeil
  3. Plus grande communicabilité que d’habitude/désir de parler constamment
  4. Fuite des idées/sensations objectives que les pensées défilent
  5. Distractibilité
  6. Augmentation de l’activité orientée vers un but
  7. Engagement excessif dans des activités agréables
80
Q

épisode maniaque

A

période durant laquelle l’humeur est élevée de façon anormale et persistante pendant min 1 semaine

81
Q

échelle d’auto-évaluation dans le diagnostic

A

Beck depression inventory (BDI)

> plus de 23 : dépression sévère

82
Q

échelle d’hétéro-évaluation dans le diagnostic

A

Hamilton depression rating scale (HAM-D)

> 26-52 : dépression sévère

83
Q

méta-analyses récentes sur la dépression

A

Âge le plus grand prédicteur des différences de genre

Plus grandes différences de genre observées pendant l’adolescence, diminuent durant l’âge adulte

84
Q

facteurs de risque socio-démographiques GAFA

A

genre féminin

âge

facteurs sociaux

antécédents familiaux

85
Q

genre féminin comme un facteur de dépression PSFD

A

> Prévalence de dépression presque 2x plus grande chez femmes
Susceptibilité biologique, rôle de la puberté
Fréquence/sévérité d’événements de vie stressants
Dépendance interpersonelle, plus d’intérêt pour le bien-être des proches

86
Q

facteurs sociaux comme facteurs de dépression CSMN

A

Classe de revenue bas/chômage/pauvreté

Séparation/divorce

Manque d’une relation personnelle de confiance, solitude

Niveau de formation bas

87
Q

théories de l’apprentissage par rapport à la dépression

A

Dépression = déséquilibre entre comportement et renforcement (donc pbs quand il y a un manque ou perte de renforcement social)

Perte de renforcements peut être liée à peu de renforcements sociaux/excès d’expériences négatives
> Individu ne sait pas comment se comporter pour obtenir renforcements

88
Q

modèle reformulé d’impuissance apprise

A

quand une personne vit des expériences importantes pas contrôlables, elle développe un sentiment d’impuissance dans d’autres situations qui pourraient être contrôlables

89
Q

style explicatif pessimiste

A

attributions causales pour des expériences d’échec non-contrôlables sont internes/stables/globales

90
Q

théorie de Beck sur la dépression SEPF

A

schémas cognitifs

événements cognitifs

processus cognitifs

formes de distorsion

91
Q

schémas cognitifs de dépression selon Beck JIR

A

> “Je dois tout le temps être aimé de tout le monde”
Inconscients, situés dans la mémoire à long-terme
Contiennent un ensemble de règles inflexibles

92
Q

formes de distorsion cognitive dans la dépression selon Beck (ISMP)

A

> Inférence arbitraire
Surgénéralisation
Magnification et minimisation
Personnalisation

93
Q

modèle diathèse-stress pour la dépression SV

A

facteurs liés au stress

facteurs de vulnérabilité biologique ITD

94
Q

facteurs de vulnérabilité biologique dans le modèle diathèse-stress ITD

A

> Indication de facteurs héréditaires : parents de 1er degré avec des troubles de dépression caractérisée se retrouvent souvent chez les patients dépressifs

> Taux de concordance 2x plus haut chez les jumeaux monozygotes

> Diminution de la fonction du système de sérotonine/dopamine

95
Q

ISRS (antidépresseurs)

A

inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ex. Prozac)

96
Q

nouveaux traitements d’antidépresseurs KP

A

Kétamine : antagoniste des récepteurs de glutamate

Psychédéliques

97
Q

psychothérapie interpersonnelle

A

thérapie éclectique basée sur des concepts psychodynamiques/résultats sur l’influence des événements de vie ET du stress biopsychosocial sur le développement de la dépression

98
Q

autres psychothérapies utilisées dans la dépression TTM

A

Thérapie psychanalytique brève

Thérapie centrée sur le client/émotions

Mindfulness-based cognitive therapy : efficace pour prévenir rechutes

99
Q

peur normale

A

réaction primaire à une situation de menace, de danger = capacité de reconnaître le danger et de le fuir/combattre (“combat-fuite”)

exprimée par manifestations physiologiques typiques : tremblements, hausse de la fréquence cardiaque, perturbation de la respiration, sécrétion d’adrénaline, cri…

100
Q

troubles anxieux

A

peur irrationelle/incontrôlable/disproportionnée se manifestant par des symptômes physiques/physiologiques/comportementaux/cognitifs
> Toutes les manifestations de la peur sur tous les niveaux

> Symptômes comportementaux : évitement, agitation
Symptômes cognitifs : inquiétude, appréhension du futur, préoccupations, conscience excessive des sensations corporelles

101
Q

caractéristiques des phobies spécifiques selon le DSM-5

A
  1. Peur ou anxiété intenses sur un objet/situation spécifique
  2. L’objet/situation phobogène provoque presque toujours une anxiété
  3. L’objet/situation phobogène est activement évité/vécu avec une peur
  4. La peur/anxiété est disproportionnée par rapport au danger réel
  5. Peur/anxiété/évitement persistants, en général pendant 6 mois ou plus
  6. Peur/anxiété/évitement cause une souffrance cliniquement significative
102
Q

phobie

A

crainte angoissante d’un objet donné (irraisonnée/disproportionnée)

> Conduites d’évitement : il évite dans la mesure du possible la rencontre avec l’objet
Mesures contra-phobiques : moins rationnelles, d’allure magiques qui aident le sujet à affronter l’objet (ex. amulette)

103
Q

objet phobogène

A

objet qui génère l’angoisse phobique, varie d’une personne à l’autre

peut être un objet précis (ex. couteau), un animal (ex. requin), une situation

104
Q

exemples de phobies communes : AACAHEKO

A

> acrophobie : peur des hauteurs
apiphobie : peur des abeilles
arachnophobie : peur des araignées
claustrophobie : peur des espaces confinés
èreutophobie : peur de rougir en public
hèmatophobie : peur du sang
kènophobie : peur du noir et de l’obscurité
ophiophobie : peur des serpents

105
Q

prévalence des phobies spécifiques PFS

A

> Prévalence vie entière : 7 à 11% (les plus fréquentes)

> Femmes développent des phobies spécifiques 2x plus souvent que les hommes

> Syptômes apparaissent en général dans l’enfance/début de l’adolescence, selon les contenus de la phobie

106
Q

phobie sociale/anxiété sociale

A

peur intense/persistante de situations sociales/situations de performances dans lesquelles la personne est en contact avec des personnes non familières

développement de conduites d’évitement

107
Q

prévalence de la phobie sociale/anxiété sociale : PD

A

Plus présente chez les femmes en général, plus présente chez les hommes dans les populations cliniques

Début entre 10/20 ans, faisant parfois suite à une inhibition sociale/timidité

108
Q

agoraphobie

A

anxiété de se retrouver dans des endroits où il serait difficile de s’échapper ou dans lesquels on ne trouverait pas d’aide en cas d’attaque de panique

109
Q

prévalence de l’agoraphobie : EPDF

A

> Entre 1 et 7% (plus rare que les autres phobies)

> Plus chez les femmes que chez les hommes

> Début à la fin de l’adolescence/début âge adulte

> Forte association entre trouble panique et agoraphobie

110
Q

expérience du petit Albert de Watson/Rainer

A

conditionnement de la peur d’un rat en l’association à un bruit violent de marteau

  1. Détermination des réactions de peur à différents stimuli
  2. Conditionnement de la peur
  3. Présentation du rat : réaction conditionnée de peur
  4. Généralisation : a peur du rat, mais aussi des lapins/manteaux de fourrure…
  5. Influence du temps : même avec le passage du temps, la peur reste
111
Q

théorie des deux facteurs de Mowrer

A

les phobies sont acquises au départ par un conditionnement classique puis seraient maintenus par un conditionnement opérant

Sujet apprend à se soulager vite de l’angoisse par l’évitement de la situation anxiogène -> boucle de feedback négatif où l’angoisse/évitement se perpétuent mutuellement = apprentissage de la conduite d’évitement

112
Q

limites de la théorie des 2 facteurs de Mowrer PE

A

> Pas tous les stimuli peuvent devenir phobogènes

> Expérience de conditionnement aversif faite par bcp de gens, mais pas tout le monde développe une phobie

113
Q

conditionnement vicariant

A

apprentissage par modèle/observation (Bandura) observé chez l’homme ET l’animal

acquisition par information verbale (ex. médias) : ex. la maman de Lisa a peur des abeilles et Lisa apprend à avoir peur des abeilles

114
Q

modèle de l’apprentissage préparé de Seligman

A

stimuli phobogènes ont en commun qu’ils peuvent représenter une vraie menace biologique pour l’homme à un moment donné de l’évolution

115
Q

facteurs liés au système nerveux dans le modèle de l’apprentissage préparé de Seligman PC

A

Possible hyperactivation de l’amygdale en réponse aux stimuli phobogènes qui disparaît après traitement cognitivo-comportemental

Changements fonctionnels/structurels dans des régions du cerveau impliquées dans la détection des stimuli environnementaux

116
Q

modèle cognitif pour les phobies

A

importance de facteurs cognitifs qui semblent impliqués dans le développement et le maintien des phobies et concernent des croyances et des cognitions erronées

117
Q

que concernent les cognitions erronées dans le modèle cognitif pour les phobies ? HSP

A

> Hypersensibilité aux signaux menaçants

> Surestimation de la dangerosité

> Pensées auto-critiques et croyances irrationnelles

118
Q

désensibilisation systématique

A

patients graduellement mis en présence des objets/situations craintes pour permettre extinction progressive de leur crainte

inhiber l’anxiété par le conditionnement d’une réponse concurrente aux stimuli anxiogènes (ex. relaxation)