Partie 2 Flashcards

1
Q

POSTE DE VEILLE OPÉRATIONNELLE (PVO)

missions

A

de l’exploitation locale du SIOC ;
 du suivi de l’état de mise à jour des moyens en dotation au sein de sa base opérationnelle
 de l’engagement de ses moyens :
 réception et transmission des ODE au(x) engins concernés
 gestion des moyens affectés temporairement ;
 clôture de l’opération afin de permettre la rédaction des rapports de sortie de secours par les chefs d’agrès, le chef de détachement ou le COS ;
 de la veille opérationnelle courante et particulière afin d’alimenter rigoureusement les mains courantes opérationnelles sur ADAGIO ;
 de la préparation de la réponse opérationnelle à des évènements particuliers :
 suivi et organisation d’un délestage à son niveau ;
 suivi des exercices ;
 du contrôle des actions entreprises par les PVO de ses CS (pour un PVO de Cie).

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2
Q

POSTE DE VEILLE OPÉRATIONNELLE (PVO)
Sous les ordres …. , il est armé quotidiennement par un stationnaire titulaire de la qualification SIC 2. Le stationnaire est responsable du bon fonctionnement du PVO pendant toute la durée de sa garde notamment pour tout ce qui concerne …..

A

du sergent ou du gradé de jour

l’ordre et la discipline.

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3
Q

POSTE DE VEILLE OPÉRATIONNELLE (PVO)

En prenant son service, il doit :

A

prendre en compte, vérifier et mettre à jour l’ensemble de la documentation réglementaire du PVO
 s’assurer du bon fonctionnement des installations qui le composent et de la garantie de leur mode de fonctionnement dégradé ;
 assurer le suivi de ses moyens ;
 vérifier l’état de mise à jour de ses moyens et de ses ressources ;
 prendre connaissance des consignes laissées par son prédécesseur.

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4
Q

POSTE DE VEILLE OPÉRATIONNELLE (PVO)

Pendant son service, il doit :

A

en permanence, assurer l’écoute radio sur la communication attribuée à son territoire de compétence. Il rend compte au sergent ou gradé de jour de toute intervention particulière sur son secteur ;
 s’attacher à connaître les principales caractéristiques de son secteur administratif
 sur ordre du CO, annuler la bascule de la ligne de feu ;
 faire toujours preuve de la plus grande correction. En particulier, lors de communications téléphoniques, il se présente systématiquement, en respectant la contexture des exemples suivants

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5
Q

faire toujours preuve de la plus grande correction.
En particulier, lors de communications
téléphoniques, il se présente systématiquement, en respectant la contexture des exemples suivants :

A

appel sur le réseau interne (RETENIS) : « caporal X, stationnaire du CS Y, j’écoute » ;
 appel sur la ligne de ville : « les pompiers, j’écoute » ;
 appel sur la ligne de feu, le cas échéant : « urgences pompiers, j’écoute » ;
 s’il s’agit d’une demande de secours, il se conforme au présent règlement Partie 2 / Titre 5.

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6
Q

À partir de minuit et jusqu’au réveil, pour les PVO du PC de CIS, des veillées doivent être organisées, afin de maintenir un potentiel de
vigilance. Elles consistent au remplacement du stationnaire en
titre par un personnel ….

A

a minima SIC 1, mais de préférence SIC 2.

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7
Q

La prise de veillée est inscrite sur le cahier « main courante opérationnelle », en précisant l’horaire de prise de fonction.
En centre de secours, elle s’accompagne obligatoirement

A

d’un compte rendu téléphonique au PVO de compagnie.

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8
Q

Le mode vigilance permet au stationnaire d’un PVO, équipé de temporisations et hors PC de compagnie, de se reposer sans être
remplacé de minuit jusqu’au réveil. Ce mode peut être supprimé sans préavis sur décision :

A

de commandement
sur ordre du CO
du CSO
à la suite d’une défaillance technique du PVO

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9
Q

Avant d’aller se coucher, le stationnaire doit demander …. puis, en cas d’accord en rendre aussitôt compte au CSO. À son réveil, le stationnaire rend compte au PC de compagnie de sa reprise de veille et récupère la pleine fonctionnalité des installations de son PVO

A

au sergent de jour

du PC de compagnie l’autorisation de passer en mode vigilance

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10
Q

Veille du stationnaire du PVO de la compagnie

couleur orange :

A

si l’ODE n’est pas validé par une partie des PVO destinataires de l’ODE en cas
d’envoi multiple

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11
Q

Veille du stationnaire du PVO de la compagnie

couleur rouge

A

si l’ODE n’est pas reçu ou validé par le ou tous les PVO destinataires de l’ODE. Il peut
s’agir d’un problème d’ordre technique. Dans ce cas, les procédures de mode de fonctionnement
dégradé doivent être appliquées (MD 1).
Dans ces 2 cas, le stationnaire ou l’auxiliaire en PVO de PC de CIS doit :
obligatoirement contacter dans la minute par téléphone fixe le PVO concerné de sa compagnie ;
 en cas d’échec :
 contacter son CSO pour qu’il joigne par radio le PVO concerné ;
 rendre compte à son sergent de jour et à l’officier de garde compagnie

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12
Q

Veille du stationnaire du PVO de la compagnie
En l’absence de réponse, le CSO TC ou le CO (en solution de repli)
doit :

A

modifier l’engagement des moyens de secours sur l’opération non reçue et valider
 rendre compte au sous-officier statique ;
 tenter d’entrer de nouveau en contact avec le PVO « sourd » (téléphonie fixe ou mobile, radio…) ;
 si nécessaire réaliser un ordre de départ pour que l’OGC se rende sur le PVO « sourd », afin de disposer rapidement d’un point de la situation.

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13
Q

Après avoir fait partir les secours et s’être assuré de la fermeture des portes
de remises, le stationnaire n’est
autorisé à quitter à nouveau sa veillée que s’il ne s’agit pas d’une intervention

A

pour feu ou justifiant le

déclenchement d’un plan spécial

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14
Q

si le chef d’agrès est le COS de l’opération sur son secteur de compétence, il rédige …

A

un message de rentrée
saisit un CRI x
clôture l’opération
Il réalise un rapport principal

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15
Q

si le chef d’agrès n’est pas le COS de l’opération

sur son secteur de compétence,

A

il ne saisit aucun CRI.
Il rédige son message de rentrée (sec)
réalise un rapport secondaire

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16
Q

si le chef d’agrès est le COS d’une opération

située en dehors de son secteur de compétence

A

il contacte le PVO Territorialement Compétent (TC) et fait saisir le CRI de son opération par le
stationnaire TC (en cas de mode vigilance sur un PVO de CS, il en rend compte au PVO Cie TC). Il réalise un rapport
principal ;

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17
Q

si le chef d’agrès n’est pas le COS et

n’est pas sur son secteur de compétence

A

il ne saisit aucun CRI. Il

rédige son message de rentrée et réalise un rapport secondaire.

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18
Q

CTAR : Seule exception sur le secteur Brigade à la règle de centralisation de la
réception des appels 18/112 au
centre opérationnel, il a pour missions

A

d’assurer la réception des appels 18-112 provenant de la plateforme aéroportuaire Paris-Charles
de Gaulle et la distribution des ordres de départs entre les différents services concernés
de coordonner l’action des acteurs du secours sur la plateforme aéroportuaire : en particulier, envoyer les secours et demander des renforcements, en liaison avec le CSO de
rattachement

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19
Q

Le CTAR

Il est armé chaque jour par

A

1 sous-officier chef de salle (SIC 5) et 2 opérateurs (SIC 4).

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20
Q

Un …. définit les particularités opérationnelles applicables
sur la plateforme aéroportuaire Paris–Charles de Gaulle.

A

règlement opérationnel spécifique

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21
Q

Les RED permettent de définir les règles de mise en oeuvre des moyens
de secours de la Brigade. Elles ont pour but de répondre à la mission de la Brigade avec un triple objectif :

A

obligation de moyens, afin d’honorer la demande de secours d’urgence ;
 économie de moyens, afin de garantir l’équilibre de la couverture opérationnelle ;
 liberté d’action du Général, afin de remplir le contrat d’objectif opérationnel fixé par l’autorité de
tutelle.

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22
Q

La ………… conceptualise les RED en liaison avec le ….. Toute modification de RED est soumise à la validation du chef BOPO.
Un catalogue actualisé des spécifications fonctionnelles des RED est tenu à jour par la SIOP. Il est signé ………… par ………..

A

La Section d’Information Opérationnelle et Prévisionnelle (SIOP)
BOPO
annuellement par le sous-chef emploi.

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23
Q

La RED se paramètre selon 7 critères :

A
une date de validité 
 un motif d’alerte 
 une compétence territoriale 
 un type d’infrastructure 
 un niveau d’alerte opérationnel 
 un contexte environnemental 
 un détachement .
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24
Q

une adaptation immédiate des RED peut être entreprise,

notamment pour ce qui concerne :

A

les mesures opérationnelles temporaires à tous les échelons ;
 la dégradation de la réponse opérationnelle sur tout ou partie du secteur de la BSPP ;
 l’adaptation de la réponse opérationnelle à un évènement particulier ;
 le délestage de la réponse opérationnelle sur tout ou partie du secteur de la Brigade.

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25
Q

Un Détachement à Pied (DAP) est

A

un ensemble sélectionnable par le MRSA, non motorisé et capable de
remplir des missions opérationnelles. Il est constitué par au moins un binôme et des matériels.

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26
Q

Un Moyen Mobile Autonome (MMA) est

A

le plus petit ensemble motorisé sélectionnable par le MRSA

capable de remplir des missions opérationnelles. Il est constitué par un engin, un équipage et des matériels.

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27
Q

L’équipage et les matériels dans un engin sont appelés

A

« ressources embarquées ».

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28
Q

Les ressources qui ne sont pas en dotation,

mais associables à plusieurs engins sont appelées

A

« ressources partagées ».

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29
Q

L’équipage peut être caractérisé par :

A

 une qualification

 une compétence permettant la mise en oeuvre d’une ressource

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30
Q

Il existe 2 types de détachements ADAGIO :

A

les détachements basiques : directement associés à la création d’une famille de matériels ;
le détachement composite : formé par une hiérarchie d’autres détachements basiques et/ou composites regroupant une ou plusieurs familles ou classes de familles de matériels

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31
Q

Un MMA peut être OMNIBUS avec un autre MMA.

A

L’engagement de l’un impose l’indisponibilité ou le

déclassement de l’autre

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32
Q

Le préavis est une procédure manuelle qui a pour but

A

d’immobiliser dans leur LSO des MMA susceptibles

d’être engagés sur une intervention en cours

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33
Q

L’ordre de mise en préavis, donné par le CO, est suivi :

A

soit d’un ordre de départ ;

 soit d’un ordre de fin de préavis, dès que possible.

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34
Q

Un MMA peut être déclassé temporairement. Un déclassement est

A

un changement de classe de famille

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35
Q

Des MMA peuvent être associés temporairement, . L’association n’est possible qu’entre MMA

A

afin de répondre à la mission dévolue à un MMA
indisponible

présents au sein d’un même lieu de stationnement.

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36
Q

détachement précurseur
Cette
sélection doit être soumise à la validation du …. Elle impose un ……. auquel le détachement précurseur est rattaché.
Un détachement précurseur ….. la grille de départ des
secours.

A

chef de salle
contact direct de l’opérateur
avec le stationnaire du PVO

ne se substitue en aucun cas au détachement retenu par

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37
Q

DÉPART NORMAL
Il est commandé par ….
Il est constitué de :

A

un chef de garde indifféremment à bord d’un EP ou d’un VLR. En l’absence, un
officier de garde compagnie est sélectionné et le commande.

 2 engins pompes (EP) ;
 1 moyen élévateur aérien et VO

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38
Q

le groupe « habitation » répondant à …….

 le groupe « incendie » ……..

A

une problématique habitation, ERP, etc
répondant à un risque « feu majeur » de type industriel, entrepôt, garage,
installations précaires..

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39
Q

le groupe « habitation » et le groupe « incendie
Ces groupes peuvent également être demandés par le COS, …. et …..
Ils ont pour objectif d’assurer une montée en puissance de l’intervention dans un souci de préservation des
moyens.
Seul …. de même nature demandée ultérieurement. Les moyens
spéciaux sont …. (….) manuellement des groupes
ou renforts demandés ultérieurement.

Le CSO territorialement compétent ……..

A

indistinctement et sans limitation de nombre.
le premier groupe est défalqué du renfort
systématiquement défalqués (CRAC, CD, équipe médicale BSPP)

demande l’intervention d’ErDF – GrDF.

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40
Q

Le groupe habitation est composé de :

En cas de , il permet d’apporter rapidement des capacités supplémentaires pour remplir les premières étapes de la MGO.
Quel que soit le nombre de groupes habitation demandés, il ne sera ….

A
2 EP
1 MEA VO
1 VSAV 
1 Equipe médicale BSPP
1 CRAC
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41
Q

Le groupe incendie est composé de :

il permet de …

A
1 FMOGP + 1 BEM + VL cdg FMOGP
1 BEA
1 FACA
1 CD
1 Equipe médicale BSPP
1 VSAV
1 CRAC

Il permet de disposer d’emblée de moyens hydrauliques puissants.

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42
Q

Le groupe ETARE est composé de :

A

1 DN
 1 EP
 1 VSAV
 1 OGC

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43
Q

groupe HYDROCARBURE

A
est composé de :
 Off ZDI : 1 OGC
 Off EMULSEUR LOG : 1 OGC
 Off RENS-POI : 1 OGC
 Coordination ALIMENTATION et ZAL : officier de garde PREVENTION et 2 VL CdG
 Zone ATTAQUE : 1 OGC
 Zone EMULSEUR : 1 OGC
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44
Q

groupe SAP

A

4 VSAV

 1 VL CdG (SINUS)

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45
Q

groupe médical :

La demande d’un groupe médical doit systématiquement être
accompagnée ou précédée …..

A

Le groupe médical est composé de :
 2 équipes médicales (AR/UMH)
 2 VSAV

d’un contact avec la coordination médicale

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46
Q

groupe ramassage

A

1 OGC

 2 EP

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47
Q

groupe PMA

A
3 VSAV BSPP
 3 équipes médicales BSPP + 3 UMH
 1 EP
 1 VL CdG (en charge de SINUS)
 1 OGC
 1 groupe de commandement médical (DSM, CMO SAN, complété par un VAS)
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48
Q

groupe évacuation

A

1 OGC
 1 EP
 1 VL CdG
 15 MTNM dont au moins 5 VSAV

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49
Q

Le groupe Centre d’Accueil des Impliqués

A

1 lot CAI
 1 SMG
 1 lot éclairage
 3 VPSP (équipe SAP AASC)

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50
Q

renfort habitation :
Composition :
l’OGC du renfort ….
Il est destiné pour ….

A
5 EP dont 2 avec échelles 3 plans
2 MEA VO
2 VSAV 
2 Equipe médicale
1 Groupe CDT médical
1 CRAC
1 CD
1 VL cdg
1 OGC
1 off PREV
1 off sécu

L’OGC du renfort veint en renfort de celui du CSTC
reconnaissances, sauvetages, secours aux victimes, attaque et extinction dans des feux de bâtiments
généralement élevés et dont les communications verticales peuvent être impraticables

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51
Q

renfort incendie

A
1 ensemble grande puissance :
2 BEAA 
2 FACA + 1 VID 
1 FMOGP
1 VL cdg FMOGP 
1 BEM 

1 ensemble attaque / alim / reco :
FACA
EP

1 ensemble soutien :
CRAC 
CD 
EQ MED 
VSAV 
Off Prév 
Off sécu 
OGC 
VL CG
PEV
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52
Q

renfort secours

A
1 groupe ETARE (vient en relève du DN engagé) 
 1 officier prévention
 1 équipe médicale BSPP
 1 groupe de commandement médical
 1 groupe ELD
 1 section RSMU
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53
Q

élément unique de cdt

A

CDG
 OGC
 OSG
 colonel de garde

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54
Q

GROUPE CDT :

Il est composé de :

A

COS de l’intervention

 1 PCTAC : binôme officier PC et VPC

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55
Q

GROUPE DE COMMANDEMENT MEDICAL :

Il est composé de :

A

le DSM
 1 CMO SAN
l’officier CMO SAN (OCS)
le VAS

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56
Q

RENFORT COMMANDEMENT :

Il est composé de :

A
1 OSG
 1 groupe CDT
 2 OGC (renforcement des cellules)
 1 CMO APP
 1 groupe commandement médical
 les officiers COMOPS / SECU /PREV / LOG (MCO) : ZDI / CTLZ
- VAC
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57
Q

Les détachements spécialisés sont organisés en équipes, groupes et sections. Ils répondent à des demandes spécifiques et peuvent
être engagés soit à l’appel, soit à la demande du COS. L’appréciation du sinistre
permet alors à ce dernier d’ajuster sa demande :

A

l’équipe reconnait et lève le doute
 le groupe intervient
 la section répond à une intervention conséquente

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58
Q

Le renfort commandement est

A

modulable à la demande

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59
Q

groupe cynotechnique

A

1 véhicule équipe cynotechnique

 1 vétérinaire

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60
Q

groupe cynotechnique

Il est prévu pour ….

A

les recherches de personnes ensevelies ou égarées
appui des équipes SIS pour la recherche de personnes tombées en plan d’eau ou cours d’eau.
recherches de victimes sur feu ou sur accident de circulation de nuit.

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61
Q

groupe risque animalier

A

Il est composé de :
 1 véhicule risque animalier
 1 vétérinaire

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62
Q

groupe risque animalier
Il est engagé ou demandé par le
COS pour ….

A

Il est engagé ou demandé par

le COS pour toute intervention mettant en cause un animal.

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63
Q

groupe intervention en milieu périlleux.
Compo :
lorsque les moyens traditionnels
s’avèrent difficiles d’emploi par rapport à …

A

1 Véhicule Intervention en Milieu Périlleux
la hauteur, à la profondeur ou aux risques divers liés aux
cheminements.

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64
Q

Les équipes (VRCH) se composent de :

A

une équipe radiologique
 une équipe chimique
 une équipe biologique
 une équipe NRBC

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65
Q

l’équipe NRBC …

A

est composé du VRCH le plus proche

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66
Q

S’il y a un doute sur la présence d’un risque

chimique ou radiologique, le COS doit

A

effectuer une levée de

doute avec les moyens de détection en dotation (EP et VLR OGC).

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67
Q

Une équipe seule … intervenir directement sur la source d’un danger avéré. À partir du moment où le chef d’équipe (chef d’agrès d’un VRCH seul présent) rend compte au COS de la nécessité d’intervenir sur
une source, le COS ………
afin de disposer d’une équipe de sécurité et de contrôle (…).
Le seul cas où l’équipe NRBC (VRCH seul) effectue d’emblée la levée de doute est le cas d’un …. ( ….. )

A

ne peut
a l’obligation de demander le complément du groupe d’intervention technologique
SAS

 module CMA 1116 
(attaque terroriste avec explosion ou agent NRBC).
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68
Q

groupe d’intervention

A

Groupe d’Intervention Chimique (GIC) : 1 chef de groupe principal et un chef de groupe adjoint NRBC, 2 VRCH
Groupe d’Intervention Radiologique (GIR) : 1 chef de groupe principal et un chef de groupe adjoint NRBC, 1 VRCH, 1 VIRB

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Q

L’équipe éventuellement engagée

initialement en tant qu’élément de levée de doute est …….

A

incluse dans le

groupe, défalquée manuellement

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70
Q

GROUPE CHAINE DE DECONTAMINATION (GCD)

A

1 VL CdG
 2 EP
 1 berce unité mobile de décontamination

71
Q

GROUPE ENCEINTE DE CONFINEMENT (GEC) :

Il est composé de :

A

1 chef de groupe NRBC
 1 EP
 1 Berce Enceinte Confinement (BEC)

72
Q

GEC.

Il est engagé …. en cas d’intervention sur La BEC seule peut être ….

A

uniquement sur réquisition
un objet suspect susceptible de contenir
des agents NRBC.
engagée hors secteur Brigade.

73
Q

La fonction antipollution comprend … de réponse et traite des pollutions terrestres ou
aquatiques

A

deux niveaux

74
Q

L’équipe antipollution terrestre

75
Q

Le groupe antipollution terrestre

A

Il est composé de :
 1 GIC
 1 BAP

76
Q

groupe antipol terrestre :
Il a pour mission principale de … un polluant de type hydrocarbure ou autre produit chimique.
L’équipe engagée initialement en tant qu’élément de levée de doute est ….

A

figer, canaliser ou récupérer
incluse dans le groupe, défalquée
manuellement

77
Q

Equipe antipollution aquatique

Elle est composée de :

A

1 VRCH

 1 équipe SIS ou SIA

78
Q

Groupe antipollution aquatique

Il est composé de :

A
1 GIC 
 1 SPTT et 1 EMF dépoll
1 BAP 
1 off nautique
1 équipes SIS ou SIA
79
Q

Groupe antipoll aquatique :
. Il a pour mission principale de …..
Le chef de groupe NRBC conseille le COS sur les moyens complémentaires éventuellement nécessaires.
L’équipe éventuellement engagée initialement en
tant qu’….. est ….

A
récupérer un polluant
de surface.
élément de levée de doute
incluse dans le
groupe, défalquée manuellement.
80
Q

EQUIPE RSMU
Elle est composée de :

Elle permet …

A

 un Véhicule Recherche Sauvetage Déblaiement (VRSD)

d’évaluer un risque et de prendre les premières mesures d’urgence

81
Q

groupe RSMU
compo :

Il est en mesure de …..

A

une équipe RSMU
 un CESD

traiter une intervention de faible ampleur

82
Q

section RSMU
Elle est composée de :

Elle est la réponse à apporter à …. L’engagement d’un groupe ou d’une section RSMU impose de ……. qui adaptera le soutien santé de l’intervention
en fonction des informations transmises.

A

 1 groupe IMP
 1 groupe RSMU
 1 chef de section RSMU
 1 groupe cynotechnique

une intervention de grande ampleur.
prévenir la coordination médicale

83
Q

Équipe nautique SIA :
Elle est composée de :

Elle est destinée aux ….

A

1 binôme SIA
 1 chef d’agrès SIA

interventions de surface de faible ampleur

84
Q

Équipe nautique SIS :
Elle est composée de :

Elle est destinée …

A

1 binôme SIS
 1 chef d’agrès SIS

aux interventions subaquatiques de faible ampleur

85
Q

groupe nautique

Il est destiné aux interventions

A

Il est composé de :
 2 équipes nautiques (dont au moins une SIS)
 1 officier nautique
 1 CSP

aquatiques importantes nécessitant plusieurs équipes

86
Q

GROUPE EXPLORATION LONGUE DUREE :
Il est composé de :

Il constitue la réponse opérationnelle de niveau …. en cas d’intervention pour feu ou en atmosphère
viciée dans des installations naturelles ou artificielles, en superstructure ou en infrastructure, aux
cheminements longs et/ou complexes et/ou exiguës.

A

1 EP ELD
 1 chef de groupe ELD (Véhicule ELD)

tactique

87
Q

section d’exploration longue durée
compo.

Elle constitue une réponse opérationnelle plus particulièrement adaptée aux interventions ….. Le déclenchement d’un groupe ou d’une section ELD impose
de ….. qui adaptera le soutien santé de l’intervention en fonction des
informations transmises. L’engagement en exploration ELD justifie ….

A

2 GELD
 1 chef de section ELD

en chantiers souterrains ou infrastructures particulières
prévenir la coordination médicale

l’engagement d’une équipe médicale
BSPP.

88
Q

Le renforcement ELD est destiné à ……
Le chef de groupe ou de section ELD conseille le COS sur les moyens complémentaires éventuellement
nécessaires ( …. ou …)

A

compléter et renforcer l’action d’un groupe ou d’une section ELD.

(moyens des CS ELD BSPP ou CIAM)

89
Q

GEPE
compo.

Le GEPE est un groupe d’engins destiné à réaliser un établissement par l’extérieur afin de . Il est
engagé ….

A

l’officier « prévention »
 1 fourgon
 1 GRIMP
 1 groupe RSMU

pallier les défaillances ou les dégradations susceptibles d’être rencontrées sur une colonne sèche ou humide

uniquement sur demande du COS

90
Q

groupe mousse ventilation
Il est composé de :

Le chef de garde du fourgon est ….

Le groupe mousse ventilation est conçu pour la réalisation d’une manoeuvre …..

A
 l’officier « prévention »
 1 fourgon
 1 PRM + VGD
 1 PEV
 1 GELD

le chef de secteur ventilation ou mousse

ventilation et/ou mousse et ou
ELD

91
Q

groupe remise en condition du personnel
Il est composé de :

Il se co-localise

A

1 VRCP
 1 VSAV

avec la CRAC le cas échéant.

92
Q

La réponse aux interventions concernant un ÉTARE s’appuie sur l’envoi …. Le second niveau de réponse s’appuie sur l’ensemble des ….

A

d’un ou de deux groupes ETARE

équipes, groupes, sections et renforts ou toute
autre demande.

93
Q

feu dans un tunnel de plus de 300m

A

groupe ETARE

OGC au CES du tunnel

94
Q

feu de tunnel de + de 300m :

Son engagement s’effectue selon les modalités suivantes :

A
Accès principal AMONT
1 OGC 
1 VSAV
1 EP CGI (amont) 
 1 MEA
Accès SOUTIEN
1 EP (soutien)
Accès AVAL
1 EP (aval)

CES tunnel
1 OGC

95
Q

Départ « feu de broussailles,

hautes herbes, hors forêts » :

96
Q

Départ « feu développé » :

A

1 groupe ETARE dont 1 CCR puis sur demande du COS
1 groupe d’intervention feu de forêt civil (1 VLTT + 4 CCF + 1 camion-citerne grande capacité)
ou détachement de circonstance BSPP

97
Q

La réponse initiale à un feu/explosion en milieu souterrain s’appuie sur l’envoi ….
La réponse initiale à un effondrement en milieu souterrain s’appuie sur l’envoi …..

A

d’un groupe ETARE et
d’une section ELD.

d’un groupe ETARE et
d’une section RSMU.

98
Q

La réponse initiale à un feu/explosion /accident sur le réseau ferré
s’appuie sur ….

A

l’envoi de deux groupes

ETARE

99
Q

Un départ INTERFER est envoyé en cas de :

A

 feu ou explosion de métro, train, VAL, RER ou tramway en espace clos
 accident en gare, en station, en inter-gares ou en inter-stations

100
Q
module INTERFER 
Il est composé des moyens suivants :
A

 1 groupe ETARE et 1 groupe commandement à l’adresse
 1 groupe ETARE en puits d’accès ou gare AVAL ou encadrant
 1 OGC à la PGRATP ou à l’adresse principale si l’intervention concerne le réseau SNCF

101
Q

La réponse initiale à un feu en IGH ou …. s’appuie sur ..

A

ITGH s’appuie sur l’envoi d’un groupe ETARE

102
Q

CHUTE D’AERONEF

plusieurs cas sont à considérer

A
  1. CHUTE D’AERONEF EN « ZONE AEROPORTUAIRE » DE LA RESPONSABILITE BSPP (CMA 260) ;
  2. CHUTED’AERONEFEN «ZONE VOISINE AEROPORTUAIRE »DE LA RESPONSABILITEDE LA BSPP (CMA 260) ;
  3. CHUTE D’AERONEF EN « ZONE VOISINE AEROPORTUAIRE » DE LA RESPONSABILITE D’UN SDIS (CMA 261) ;
  4. CHUTE D’AERONEF HORS ZA/ZVA (CMA 263) ;
  5. INCIDENT EN PHASE D’APPROCHE (CMA 925).
103
Q

plan chute aéronef

Les demandes de renforcement sont effectuées sur la base de ….

A

des détachements préconstitués BSPP ou civils

104
Q

CHUTE D’AERONEF
ZA BSPP
1er départ au point zoulou ou à l’adresse :

A

 1 groupe ETARE
 2 équipes médicales BSPP
 1 renfort commandement

105
Q

CHUTE D’AERONEF
ZA BSPP
Complément obligatoire en ZDI (définie préalablement ou par le 1er COS) :

A

Plan rouge + 2 SMG
 renfort habitation (sans équipe médicale BSPP) ;
 1 équipe NRBC

106
Q

CHUTE D’AERONEF
ZA BSPP
4 OGC sont envoyés dans différentes salles de crise :

A

COD
 CIC DOPC
 CCZ
 le colonel de garde est dépêché au PC crise aéroport

107
Q

CHUTE D’AERONEF
ZvA BSPP
1er départ au point zoulou ou à l’adresse :

A

1 groupe ETARE
 2 équipes médicales BSPP
 1 renfort commandement

108
Q

CHUTE D’AERONEF
ZvA BSPP
Complément obligatoire en ZDI (définie préalablement ou par le 1er COS) :

A

Plan rouge + 2 SMG
 Renfort habitation sans équipe médicale
 1 équipe NRBC
 1 groupe incendie

109
Q

CHUTE D’AERONEF
ZVA BSPP
4 officiers de liaison sont envoyés dans différentes salles de crise :

A

COD
 CIC DOPC
 CCZ
 le colonel de garde est dépêché au PC crise aéroport

110
Q

CHUTE AERONEF : Les compléments de départs conformément

aux dispositions spécifiques ORSEC sont

A

fournis par les SDIS

111
Q

ZVA SDIS : En ZDI :

A

En ZDI :
 1 groupe SAP
 1 groupe incendie
 1 OGC officier de liaison auprès du COS SDIS

112
Q

chute aeroef hors ZA / ZVA

A

1er départ à l’adresse :
 1 groupe ETARE
 1 groupe médicale
 Renfort commandement

Complément en ZDI (définie préalablement ou par le 1er COS :
 Plan rouge + 2 SMG  Renfort incendie sans équipe medical
 Renfort habitation sans équipe médicale
1 équipe NRBC

4 officiers de liaison sont envoyés dans différentes salles de crise :
 COD
 CIC DOPC
 CCZ
 le colonel de garde est dépêché au PC crise aéroport

113
Q

Incident en phase d’approche

A

1 Groupe étaré

1 groupe PMA

114
Q

GROUPE VIOLENCES URBAINES :

Il se compose de 2 éléments :

A

Un élément « action » engagé par le CSO en ZDI composé de :
 1 OGC
 2 EP dont un EP CGI
 1 groupe commandement
Un élément « sécurisation » engagé par le CO au CS concerné composé de :
 1 EP
 1 équipe médicale BSPP

115
Q

GROUPE VIOLENCES URBAINES :

groupe extraction

A
Il est constitué des éléments suivants :
Un élément «extraction-petite noria - action » engagé par le CSO en ZDI composé de :
 1 OGC
 1 groupe SAP
Un élément « PMA » engagé par le CO au PMA sécurisé, composé de :
 1 EP
 Le DSM
 1 équipe médicale BSPP
116
Q

GROUPE VIOLENCES URBAINES :
groupe extraction
Il est demandé sous la forme :
…..

A

Il est demandé sous la forme :

« Je demande un groupe extraction, ZDI et PMA à telle adresse ».

117
Q

DGSNV
Lorsqu’un …… ou …., entraînant ou susceptible d’entraîner de nombreuses victimes, se produit, le ….. ou ….. peuvent être demandés. La demande de plan rouge, déclinaison en ….. , induit l’engagement des moyens BSPP et AASC suivants :

A

Accident Catastrophique à Effets Limités (ACEL)
majeurs (ACEM)

plan rouge ou dans une moindre mesure le
groupe PMA peuvent être demandés

plan métier sapeurspompiers
de la DGSNV

1 Groupe « Ramassage »
 1 Groupe « Poste Médical Avancé » ou « PMA »
 1 Groupe « Évacuation »
 1 Groupe Centre d’Accueil des Impliqués (CAI) des AASC

118
Q

Le plan rouge alpha

Compostition

A

Module « Ramassage PRA » :
 2 EP

Module « Triage PRA » :
 1 EP CGI
 2 équipes médicales BSPP
 4 UMH
 1 VRB

Module « Évacuation PRA » :

 1 VL CdG qui assure la fonction d’« officier évacuation »
 1 EP
 1 VL CdG en charge de SINUS
 5 VSAV BSPP ET 10 MTNM AASC

119
Q
Le module commandement 
du PRA est adapté aux circonstances par ….
Il est composé …
A

l’EMO, il est composé à minima d’un

OGC.

120
Q

PLAN JAUN.

Compostition

A

Module « Extraction »et « Tri visuel » (à l’adresse en zone d’exclusion) :
 2 groupes ramassage

Module « Commandement » (en zone de soutien, sans passer par la ZDI) :
 1 groupe CDT
 1 groupe CDT médical
 1 CMO appui
 1 chef de groupe NRBC GAS
 1 VL CdG en charge de SINUS
Module « PRV » (à l’adresse du sas du PRV donnée par le 1er OGC, sans passer par la ZDI) :
 1 groupe ramassage
 1 chef de groupe NRBC
 1 équipe NRBC
 1 médecin-chef plan jaune qualifié DSM
 1 groupe médical
 1 groupe SAP
 1 VRB

Module «point de regroupement des impliqués» (à l’adresse du sas donnée par le 1er OGC, sans passer par la ZDI) :
 1 groupe ramassage

Module « Sas Intervenants » (à l’adresse du sas pour intervenants donnée par le 1er OGC, sans passer par la ZDI) :
 1 GIB ou GIC ou GIR

Module « décontamination » (en ZDI et envoyé à l’adresse du sas du PRV) :
 2 GCD

Module « Soutien » (en ZDI) :
 1 équipe NRBC
 2 BAN
 1 CRAC

Module d’alerte confinement évacuation (en ZDI)
 2 OGC avec EMDA

121
Q

La réponse apportée à un feu de dépôt hydrocarbure dépend

du régime d’exploitation de l’industrie :

A

dépôt autonome en termes de lutte contre l’incendie

 dépôt non autonome

122
Q

En cas de dépôt autonome, un détachement …..
Il se compose de :

En cas d’échec de la stratégie de l’exploitant, ….. en relation avec …..
En cas de dépôt non autonome, un détachement dimensionné pour lutter contre le sinistre est envoyé sur
les lieux.
Il se compose de :

A

détachement est envoyé au titre de l’anticipation.

 un groupe ETARE (dont 1 Fourgon) et un CA ou BA

l’OGC demandera les moyens complémentaires en relation
avec le DOI de l’établissement sous la forme :
« Je prends le COS, je demande un groupe hydrocarbure
et xxx FA/CAouBA, telle adresse ».

un groupe ETARE
 un groupe hydrocarbure et le nombre de FA/CA/BA dimensionné pour répondre au POI de l’établissement

123
Q

Le délestage est

A

une décentralisation de la mise en oeuvre de détachements pour faire face à un afflux
massif des demandes de secours en rapport avec un événement particulier

124
Q

La dégradation est

A

une minoration adaptée de certains détachements pour des motifs d’alerte ciblés.

125
Q

Les laryngectomisés et handicapés de la voix
peuvent transmettre leurs demandes de secours au moyen de
l’enregistrement suivant :

Si cet enregistrement ne précise pas le motif de la demande, l’opérateur fait partir …

A

« C’est un appel au secours, c’est un appel au secours d’un handicapé de la voix. J’ai besoin des
sapeurs-pompiers. Je suis Monsieur X, telle adresse ».

Un DN

126
Q

CNR

permet … via le numéro ….

A

permet de centraliser, sur le site du CHU de Grenoble, toutes les demandes de secours qui émanent de
personnes ayant une déficience auditive (sourdes ou malentendantes) via le numéro d’urgence national
« 114 ».

127
Q

Lorsque le CO reçoit un appel du CNR 114 :
une fois l’ODE validé, l’opérateur 18/112 énonce :
 le suivi de l’opération est assuré par …

A

« Le STA de la BSPP prend en compte
l’intervention, N° d’ordre… - commune de… »

le CO via le CSO

128
Q

Appels n’entrainant pas

systematiquement le départ des secours …

A

Personne bloquée en cabine d’ascenseur
Appel pour ouverture de porte
Intervention pour nids de guêpes et essaims d’abeilles (hyménoptères)
Prestation du ressort d’une société spécialisée (plombier, électricien, apiculteur, etc.)

129
Q

Personne bloquée en cabine d’ascenseur

L’opérateur 18/112 fait partir les secours

A

L’opérateur 18/112 fait partir les secours dès lors qu’il a connaissance de la présence d’une personne âgée, d’un enfant ou d’une personne prise de malaise, ou si un risque particulier est susceptible de menacer la
personne bloquée dans la cabine d’ascenseur

130
Q

Appel pour ouverture de porte

L’opérateur 18/112 fait partir les secours

A

que s’il y a notion de victime ou de danger avéré à l’intérieur
du local.

131
Q

Intervention pour nids de guêpes et essaims d’abeilles
(hyménoptères
L’opérateur 18/112 ….

A

indique au requérant que cette mission n’est pas du ressort de la brigade de sapeurspompiers
de Paris. En revanche, en cas de danger immédiat, il fait partir les secours si l’intervention est localisée :
sur la voie ou dans les lieux publics
dans certains établissements publics

132
Q

Les plans spéciaux sont associés à des RED spécifiques. Les établissements répertoriés sont considérés
comme étant des ….. De ce fait, une ….. peut également être paramétrée pour ce type d’établissement.
Les opérateurs du CO, du CTAR et des CSO peuvent engager les secours à hauteur du volume prédéfini
ÉTARÉ. Un compte-rendu systématique doit être réalisé …..

A

ETCS : Établissements à Concept Tactique Spécifique
Règle d’Engagement des Détachements (RED) spécifique

auprès du chef de salle ou auprès du sous-officier
« statique » par l’opérateur.

133
Q

Concernant les établissements répertoriés,
le stationnaire du PVO doit :

L’opérateur du CSO doit …..

A

faire partir les secours prévus selon le processus général
 compléter le départ normal éventuellement initiallement sonné à concurence d’un volume ETARE
 en cas d’indisponibilité ADAGIO, se reporter au mode dégradé 1 ADAGIO
 consulter le listing ÉTARÉ pour s’assurer de l’adéquation des moyens (partage BPO/ gestion des
ÉTARÉ).

vérifier l’action du stationnaire du PVO et alerter le sous-officier chef de salle

134
Q

autoroutes et voies rapides
Lorsque la demande de secours aboutit directement au CO, l’opérateur fait partir les secours après
confirmation auprès du …. concerné .
Lorsqu’elle émane …. , l’appel aboutit au CSO TC qui fait partir les secours en fonction des
renseignements communiqués.
Le …. avec la CRS territorialement compétente afin de solliciter son
concours, préciser une adresse ou confirmer une intervention.
Aux règles d’engagement des moyens de secours de type « multi-adressage », il peut être ….

A
centre d’exploitation et de surveillance
des CRS
 CSO TC est chargé de la liaison
associé un
concept tactique spécifique (tunnel de plus de 300 m, etc.).
135
Q

Dans le cadre d’un protocole d’accord ou d’une convention
le demandeur doit directement saisir le CO. En période normale, les demandes sont honorées
systématiquement par …. Il rend compte ensuite du départ des secours. Un
OGC est désigné ….

A

le chef de salle du STA 18/112

comme chef de détachement dès lors que 2 moyens Brigade sont engagés.

136
Q

intervention hors secteur BSPP
Dans tous les autres cas, des détachements peuvent être constitués et envoyés hors du secteur de
compétence de la Brigade :

A

soit sur ordre du préfet de police
 soit après validation d’une demande au CO Brigade par le commandement Brigade. Cette demande n’est prise en compte que si elle est exprimée par le COZ

137
Q

intervention hors secteur BSPP

A

Demande de secours concernant une intervention hors secteur Brigade
Demande de secours formulée par un CODIS pour une intervention située hors du secteur Brigade
Imprécision dans l’adresse ou intervention située en limite départementale

138
Q

Demande de secours formulée par un CODIS pour une intervention située hors du secteur Brigade
L’appel est reçu au CO. L’opérateur 18/112 qui a reçu l’appel fait partir selon le processus général :

A

conformément à la grille de départ de secours, s’il s’agit d’un 1er départ pour lequel les secours de la Brigade interviennent seuls ;
jusqu’à concurrence des moyens demandés, s’il s’agit d’une demande de renforcement (l’opération est clôturée par un code CRI 99X et le rapport est réalisé de manière nominale

139
Q

intervention hors secteur BSPP

Les chefs d’agrès envoyés en renforcement sur le secteur de la grande couronne ….

A

se mettent à la disposition

du COS sur place, sans transmettre de message.

140
Q

intervention hors secteur BSPP

S’ils interviennent seuls, ils se conforment à la marche générale des opérations et

A

transmettent un message
de renseignement sur le canal radio ANTARES-Com-SIS-IDF-TKG 286 qui est immédiatement répercuté
par le CO vers le CODIS concerné.

141
Q

Si le moyen SDIS intervient sans la BSPP, l’opération doit

être clôturée par ….

A

le CRI 013.

142
Q

Le sergent de jour ou …. doit réaliser le rapport

principal en mettant en personnel ….

A

le chef de garde « SDIS XX ».

143
Q

mode « exercice réel »
Une fois l’ODE reçu, le stationnaire du PVO doit mettre ces moyens dans un état de mise à jour ….. , … ou …..
En fonction de la couverture opérationnelle et des évènements en cours (fortuits ou prévisibles), le ….., …. , …… ou ……peut demander une remise en service rapide de ces moyens.

A

« indisponible MANOEUVRE », « indisponible SPORT » ou « indisponible INSPECTION/EPO ».
Statique l’officier de garde CO, le colonel de garde ou le commandant opérationnel Brigade

144
Q

DPS
les chefs d’agrès ou de détachement affectés
se conforment aux prescriptions des …..
La composition de ces détachements est décidée par ….. , en fonction de ….. Et …..

A

règlements et notes en vigueur ou aux éventuelles consignes
particulières.

le bureau en charge de l’opération

la
nature de la prestation à fournir et des directives de la préfecture de police

145
Q

demande d’un seul EP :

Le CSO …..

A

sélectionne un engin-pompe du CS le plus proche et demande automatiquement l’intervention
d’ErDF et de GrDF

146
Q

demande d’engin de prompt secours

A

Le CSO sélectionne alors prioritairement un moyen associatif ou un VSAV, ou un EPM déclassé dès lors qu’il est disponible dans le CSTC, le CS1 ou le CS2.
A défaut, il sélectionne un détachement de type MTNM (moyen de transport non médicalisé).

147
Q

Si l’engagement du SDIS est en complément de moyens Brigade :
appartenant au PVO TC : le chef d’agrès désigné réalise

A

le rapport principal en mettant en personnel

« SDIS XX »

148
Q

lorsque les évènements l’exigent et qu’un CSO n’a pas pris les mesures
correctives adéquates, …. peut à tout moment ordonner à un CSO de remettre en service
tout ou partie des MMA indisponibles.

A

l’officier de garde CO

149
Q

En règle générale, dès lors que le pourcentage de la couverture opérationnelle par catégorie d’engins
majeurs (EP, MEA, VLR, VSAV) du groupement passe sous le seuil
de …. , le CSO doit prendre les
mesures pour remettre en service au plus vite tout ou partie des engins de la catégorie concernée, puis
demander si nécessaire ….

A

50%

l’appui du CO

150
Q

indispo liées à la manœuvre de la garde

A

Les VSAV : indisponibilité journalier obligatoire de 30 minutes.
 Les EP : créneau d’indisponibilité journalier obligatoire de 60 minutes.
 En règle générale, les autres engins ne bénéficient pas de créneaux d’indisponibilité. Toutefois, lorsque les conditions de préparation opérationnelle l’exigent, le BOPO peut autoriser l’attribution de créneaux d’indisponibilités supplémentaires.
 Chaque groupement doit repartir judicieusement l’ensemble des créneaux d’indisponibilités pour chaque centre de secours en portant une attention particulière aux secteurs limitrophes avec un autre GIS afin de maintenir une couverture opérationnelle équilibrée sur l’ensemble de la brigade.

151
Q

indispo liées aux exercices

A

Les exercices de niveau brigade et groupement sont planifiés et suivis par BOPO/PREPAOPS.
 Pour tous les exercices, le CSO (exercice de niveau compagnie et groupement) ou le BOPO (exercice
de niveau brigade) crée un ordre de départ.

152
Q

indispo sport

A

seu l la piscine peut justifier d’une indispo 1er départ

153
Q

Les délais de départ des secours sur interventions doivent tendre à

A

lorsque l’engin est « disponible », qu’il soit dans son LSO ou en écoute radio, l’équipage doit être
en mesure de décaler en moins de 3 minutes le jour et 4 minutes la nuit
 lorsque l’engin est « indisponible premier départ », qu’il soit dans son LSO ou en écoute radio
(piscine, instruction, etc.) l’équipage doit être en mesure de décaler en moins de 6 minutes

154
Q

En règle générale, l’indisponibilité liée à l’armement ou au réarmement d’un engin ne doit pas dépasser …

A

l’heure.

155
Q

ENGAGEMENT DES SECOURS DE LA BRIGADE HMB

Cette sollicitation peut se faire soit par le biais d’……

A

une « demande de concours »

par le biais d’une réquisition

156
Q

Ces sollicitations doivent être adressées à …. qui , sous couvert du
…. peux y répondre de différente manières

A

l’officier de garde CO

colonel de garde,

157
Q

Demandes de concours :

A

Envoi du détachement jugé nécessaire : CMA 91718 (OGC) et les moyens adaptés ;
 Envoi d’un détachement d’évaluation : CMA 91718 ;
 Refus ;

158
Q

Réquisitions :

A

Conformément à la grille de départ des secours ( CMA réquisitions).

159
Q

Demandes de concours :
Cela concerne en particulier les ….
Un arrêté du ….. précise la mise en oeuvre de
ces dispositions.

A

directions de la préfecture de Police de Paris

préfet de police de Paris

160
Q

Ces réquisitions sont de deux ordres :

A

judicaires :(magistrat/OPJ) : op relevant de la compétence SP (recherche de corps) centralisé au CO

administratives : (prefet/maire)

161
Q

Requisition administrative

Trois conditions cumulatives doivent impérativement être réunies pour que la réquisition soit légale :

A

urgence avérée de la situation au moment où la décision de réquisition est prise
 atteinte constatée ou risque sérieux d’atteinte à l’ordre public, pris dans toute son acception, c’est-à-dire
l’ordre, la salubrité, la tranquillité et la sécurité publics
 échec de la mesure de police traditionnelle et des moyens conventionnels : lorsque « les moyens dont
dispose le préfet ne permettent plus de poursuivre les objectifs pour lesquels il détient des pouvoirs de
police ». Le caractère subsidiaire de la réquisition oblige, dès lors, l’autorité compétente à motiver sa
décision par l’absence ou l’échec de toute mesure alternative.

162
Q

Requisition administrative

Objet de la réquisition :

A

Lorsque ces trois conditions sont réunies, l’autorité compétente peut, par arrêté motivé, prendre les
mesures suivantes :
 réquisitionner tout bien et service
 requérir toute personne nécessaire au fonctionnement de ce service ou à l’usage de ce bien
 prescrire toute mesure utile jusqu’à ce que l’atteinte à l’ordre public prenne fin ou que les conditions de
son maintien soient assurées

163
Q

Concernant la Brigade, ce mode de réquisition de ces moyens demeure …. car l’intégralité des
sollicitations de nos autorités sont aujourd’hui ….

A

exceptionnel

formulées par le biais de demande de concours.

164
Q

Toute réquisition par le COS est mentionnée
dans le message de renseignements sous la forme :

Cette situation très exceptionnelle ne doit en aucun cas être envisagée à un échelon inférieur à celui de
…….

A

Les opérartions de …. seront effectués par ….. réquisitionnée par
le représentant de la préfecture »

……. nécessitent la présence d’une
….. réquisitionnée par le représentant de la préfecture »

l’officier de garde compagnie

165
Q

documents du service incendie (8)

A
liste de service 
caheir départ des secours 
listing des voies et étaré du secteur 
fiche de départ des secours 
cahier MCO
carnet de message 
plan tryptique 
autres documents devant se trouver à bord des engins
166
Q

LISTE DE SERVICES
Elle est arrêtée et affichée au moins
Toute modification ne peut y être portée que par

A

48 heures à l’avance.

le rédacteur ou par le sergent de jour.

167
Q

CAHIER DE MAIN COURANTE
paraphés et numérotés ….

Elle doit faire mention, chronologiquement et de manière exhaustive, des actes et événements
opérationnels qui ponctuent la journée. Doivent y figurer :

A

annuellement
dans une série unique.

la date complète, inscrite à chaque changement de journée
 les messages à caractère opérationnel, émis et reçus
 les indisponibilités et remises en service d’engins, de matériels ou de réseaux opérationnels
 les prises de service successives de l’OGC, de chef de garde, de sergent de jour et de stationnaire, qu’ils soient à leur compte ou en remplacement
 les changements de garde non programmées
 les modes de fonctionnements dégradés et les défaillances des systèmes
 les contacts avec les stations directrices associées

168
Q

CARNET DE MESSAGES ET DE RENSEIGNEMENTS
En principe, en dehors de l’activation d’un poste de commandement, les messages sont transmis directement
par le commandant des opérations de secours.
Toutefois, leur retranscription est parfois nécessaire, en particulier lorsque :

A

il s’agit d’un feu ou d’une explosion
 l’opération nécessite des messages de renseignements successifs
 la configuration des lieux impose la retransmission par une tierce personne
 une relève entre commandants des opérations de secours est prévisible

169
Q

CARNET DE MESSAGES ET DE RENSEIGNEMENTS

Enfin, au verso, ce document permet de recueillir tous les éléments nécessaires à

A

la rédaction du rapport,

selon les indications du chef d’agrès

170
Q

PLAN TRYPTIQUE
La répartition est de un exemplaire dans :

La désignation des CS 1,2 et 3 est réalisé par le …..

A
EP 1 du CSTC
 EP 2 ou VL cdg du CSTC
 PVO du CSTC
 EP 1 des CS 1,2 et 3
 EP 2 ou VL CdG des CS 1,2 et 3

MRSA d’ADAGIO

171
Q

AUTRES DOCUMENTS DEVANT SE TROUVER À BORD DES ENGINS

dans tous les engins

A

guide des plans de Paris et de sa banlieue, datant de moins de trois ans
 bons ST 30 bis de mouvements de matériels
 bons ST25 de prise en compte provisoire de matériels

172
Q

AUTRES DOCUMENTS DEVANT SE TROUVER À BORD DES ENGINS

engins de 1ère intervention

A

fiches bilans
 décharges de responsabilité ou refus de transport (imprimés BOPE 7)
 imprimés BOPE 12 de fin d’intervention sur le réseau ferré
 imprimés BOPE 13 informant de l’intervention des sapeurs-pompiers
 imprimés BOPE 23 information patients

173
Q

AUTRES DOCUMENTS DEVANT SE TROUVER À BORD DES ENGINS

engins pompes

A

plans parcellaires des secteurs limitrophes, comportant notamment les hydrants et les points d’aspiration
les débits simultanés des réseaux d’eau privés, les établissements répertoriés, etc
 répertoire des indisponibilités d’hydrants et de barrages des rues