Paméla Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que le principe alphabétique?

A

Le principe alphabétique est le concept selon lequel les lettres écrites dans une langue représentent les sons de cette langue. En d’autres termes, chaque lettre (ou combinaison de lettres) correspond généralement à un ou plusieurs sons spécifiques. Ce principe sous-tend l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, car il permet aux lecteurs de comprendre que les mots sont formés de sons qui peuvent être représentés par des lettres, et vice versa.

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1
Q

Quelle est la différence entre la phonologie et la phonétique?

A

Phonologie: L’organisation des sons dans une langue donnée

Phonétique: Sciences qui s’intéresse aux sons indépendamment de la langue. Production transmission et la réception des sons.

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2
Q

Qu’est-ce qu’une consonne constrictive?

A

Le passage de l’air est réduit.

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3
Q

Qu’est-ce qu’une consonne occlusive?

A

Le passage de l’air est bloqué.

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4
Q

Quelle est la différence entre la conscience phonologique et la conscience phonémique?

A

La conscience phonologique et la conscience phonémique sont toutes deux des compétences liées à la manipulation et à la compréhension des sons dans la langue, mais elles se concentrent sur des aspects différents :

Conscience phonologique : La conscience phonologique fait référence à la capacité d’identifier, de manipuler et de segmenter les unités sonores plus larges de la parole, telles que les syllabes, les rimes et les phonèmes. Elle inclut des activités telles que la segmentation syllabique (distinguer les syllabes dans un mot), la reconnaissance de rimes (identifier des mots qui se terminent par les mêmes sons), et l’identification des phonèmes initiaux ou finaux dans les mots.
Conscience phonémique : La conscience phonémique est une compétence plus spécifique qui se concentre sur la capacité à identifier, à manipuler et à segmenter les phonèmes individuels, qui sont les plus petites unités distinctives de son dans la langue. Cela implique des tâches telles que la segmentation phonémique (distinguer les sons individuels dans un mot), la manipulation des phonèmes pour former de nouveaux mots (par exemple, changer le son initial dans “chat” pour obtenir “mat”), et la suppression ou l’ajout de phonèmes pour former de nouveaux mots.
En résumé, la conscience phonologique concerne les unités sonores plus larges telles que les syllabes et les rimes, tandis que la conscience phonémique se concentre spécifiquement sur les phonèmes individuels, qui sont les plus petites unités distinctives de son dans la langue.

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5
Q

Quels sont les principes de base de l’enseignement des CPG?

A
  • On enseigne la partie du code qui est la plus constante et la plus
    fréquente.
  • Il faut se préoccuper de la structure syllabique
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6
Q

Pourquoi dit-on que l’adulte agit comme un médiateur entre l’enfant et le texte?

A

Il guidera l’enfant vers une compréhension plus complète et élaborée de l’œuvre.

Ce sont les échanges entre l’adulte et les enfants qui feront en sorte que l’enfant
s’engagera dans la réalisation d’inférence lors de la lecture d’une histoire.

Encore mieux si l’adulte mène l’échange avec une intention ciblée sur les inférences.

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7
Q

Vrai ou faux? Il est préférable de présenter les « mots étiquettes » dans des phrases à plusieurs reprises au lieu qu’ils les apprennent par cœur.

A

Vrai.

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8
Q

Vrai ou faux? La première question à se poser lorsqu’un élève a des difficultés en lecture : Est-ce que l’élève a acquis la compréhension des inférences?

A

Faux. Nous devons nous demander s’il a acquis la correspondance graphème-phonème (décodage)?

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9
Q

Vrai ou faux? La profondeur lexicale qui est le plus prédictif sur la compréhension en lecture, puisque l’enfant accède plus rapidement à son lexicale phonologique et orthographique.

A

Vrai.

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10
Q

Comment travailler la profondeur lexicale avec les élèves?

A
  • Hypothèses
  • Reformulation
  • Expliquer la définition des mots (lexique) et lui demander de faire un lien (favorise la sémantique des mots, puisqu’elle donne accès à sa pensée en tant que lectrice experte
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11
Q

Qu’est-ce que le langage scolaire?

A
  • Notions à apprendre
  • Cadre plus formel (sujets déterminés à l’avance et choisis par l’enseignant
  • Vocabulaire riche et précis
  • Phrases plus longues et complètes
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12
Q

Qu’est-ce que le langage informel?

A

Langage informel : Buts sociaux
* Se raconter
* Mots familiers, fréquents
* Interjections, néologisme
* Slang

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13
Q

Qu’est-ce que la représentation sémentantique?

A
  • Construire une multitude de liens sémantiques entre les mots
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14
Q

Qu’est-ce que l’étendue lexicale?

A
  • Nombre de mots;
  • On a entendu ce mot mais ne serait pas nécessairement capable de
    l’expliquer.
  • (exemple de « prolétaire »)
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15
Q

Qu’est-ce que la profondeur lexicale?

A
  • Avoir plusieurs connaissances
    détaillées d’un mot (spécificité);
  • Être capable de donner la définition;
  • Anticiper les différents contextes où le mot sera utilisé; * Liens multiples entre un mot et différents concepts;
  • Représentation étoffée d’un concept: accès à ce mot sera plus facile et plus
    rapide.
16
Q

Explique le concept des trois tiers.

A

Tiers 1 : Mots familiers, fréquemment utilisés à l’oral

Tiers 2 : Mots littéraires qui ont un synonyme familier, rencontrés dans une diversité de textes

Tiers 3 : Mots spécifiques à un domaine (jargon)

Se concentrer davantage sur le tiers 2, parce que ce sont ceux auxquels seront davantage confrontés les élèves.

17
Q

Vrai ou faux. La compréhension des inférences chez les enfants en début de primaire ne prédit pas la compréhension en lecture à la fin du primaire.

A

Faux. Elle le prédit.

18
Q

Qu’est-ce qu’un anaphore?

A

Lien entre une personnage (objet du texte (nom commun)), par exemple, et son référent (pronom).

19
Q

Vrai ou faux? Dès l’âge de 3 ou 4 ans, les enfants peuvent analyser un texte de façon active et engagé, en allant au-delà des informations qui sont explicitement fournies dans le texte.

A

Vrai.

20
Q

Le raisonnement logique. On infère à partir du texte ou de nos connaissances personnelles?

Ex. Pierre est plus grand que Jean. (Inférence = donc nécessairement, Jean est plus petit que Pierre).

A

À partir du texte.

21
Q

Présupposée. On infère à partir du texte ou de nos connaissances personnelles?

Ex: Pierre a cessé de fumer. (Inférence = nécessairement, Pierre fumait).

A

À partir du texte.

22
Q

Raisonnement pragmatique. On infère à partir du texte ou de nos connaissances personnelles?

Ex. Sophie pédale pour rentrer chez elle. (Inférence = À vélo mais pourrait aussi être à pédalo)

A

À partir de nos connaissances personnelles.

23
Q

Sous-entendue. On infère à partir du texte ou de nos connaissances personnelles?

Ex. Il fait froid. (Inférence = ferme la fenêtre, rentrons à l’intérieur, as-tu des pantoufles?)

A

À partir de nos connaissances personnelles.

24
Q

Qu’est-ce que les inférences rétrogrades?

A

Infos antérieures du texte (ex. dans pages précédentes)

Notion de distance: plus la distance entre les éléments est grande, moins elle est accessible. L’enfant doit chercher dans la mémoire à long terme et réactiver les connaissances. La distance implique parfois que plusieurs éléments doivent être reliés pour
produire l’inférence appropriée.

25
Q

Qu’est-ce que les inférences antérogrades?

A

(prédictions, anticiper une
conséquence)

26
Q

Qu’est-ce que les inférences orthogonales?

A

Ajoute infos à un point focal de l’histoire (inférence locale)

27
Q

Vrai ou faux? Les inférences causales sont nécessaires à la compréhension, c’est-à-dire où une relation de cause à effet
uni deux événements (ou deux sentiments ou un sentiment et un événement)

A

Vrai.

28
Q

Vrai ou faux? Les inférences basées sur le texte assurent la cohérence interne d’un texte. Elles sont dites « nécessaires » ou « obligatoires » à la compréhension.

A

Vrai.

29
Q

Vrai ou faux? Les inférences anaphoriques sont nécessaires à la compréhension, c’est-à-dire de comprendre le lien entre
un mot et son réfèrent, par exemple un pronom et le nom commun qu’il remplace.

A

Vrai.

30
Q

Vrai ou faux? Les inférences facultatives doivent être comprises pour comprendre la chaîne causale dans la structure
narrative d’un texte.

A

Faux. Ce sont celles obligatoires.

31
Q

Vrai ou faux? Les inférences d’enrichissement, comme les prédictions, enrichissent la compréhension
mais ne sont pas cependant pas nécessairement essentielles

A

Vrai.

32
Q
A