Opinions publiques sur le crime et la justice pénale Flashcards

1
Q

Pourquoi les média sont un institution «créatrice de sens» ?

A

Parce qu’ils renforce les idéologies dominantes:

  • Créent des divisions
  • Créent des préjudices
  • Créent des malentendus sur le crime
  • Créent des demandes de durcissement de la peine
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2
Q

Quels sont les trois points de la dimension de la construction d’opinions publiques ?

A
  1. Extra-localité des faits divers
  2. Construction ou renforcement de stéréotypes
  3. Surreprésentation des crimes violents
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3
Q

Explique les trois points de la dimension de la construction d’opinions publiques:

  1. Extra-localité des faits divers
A

Plupart des nouvelles rapportent crimes qui se sont produits à l’extérieur de la localité

Effet : Image générale que le public développe est celle d’une criminalité qui ne correspond pas aux réalités du crime dans l’environnement particulier ou vivent les lecteurs ou téléspectateurs

*** C’est le fait, par lequel, les nouvelles de crimes qui nous somme présenter, par exemple dans la ville de QC, pour la majorité (3/4) relate des crimes qui sont commis dans d’autres localités. L’image public est donc fausser par rapport à la criminalité de la ville observer.

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4
Q

trois points de la dimension de la construction d’opinions publiques :

  1. Construction ou renforcement de stéréotypes
A
  1. Dans média télévisuels, la classe sociale ou l’origine ethnoculturelle des « criminels » renforcent certains stéréotypes
  2. Popularité des émissions de télévision en lien avec crime laisse entendre que crime est déchainé.

En d’autres mots:
Construire des stéréotypes ou perpétuer des stéréotype (entretenir) des stéréotypes déjà existent.
De dire que les classes pauvres sont plus criminelles, cela n’est pas démontrer, donc stéréotype qui est entretenu depuis longtemps.

On est bombarder d’émission de télévision en lien avec crime, cela créer la construction de la peur face au crime, car on pense qu’il y en plus que le nombre réel.

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5
Q

trois points de la dimension de la construction d’opinions publiques :

  1. Surreprésentation des crimes violents
A

Ce que l’on croit: (ce n’est pas les statistiques officiel)

Crimes non violents 46 %
Crimes violents 54 %

On se crée une fausse représentation de la criminalité, et à l’intérieur de cette fausse représentation on sur représente le crime violent. On croit que les crimes avec violence sont majoritaires, ce qui n’est pas le cas.

Crimes connus de la police canadienne 2012:

Crimes sans violence 80 %
Crimes violents 20 %

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6
Q

À quoi sa sert le FBI crime clock ?

A

À quoi sa sert:

Effet: provoque la peur et l’attribution des ressources. On démontre qu’il y a autant de criminalité, cela approuve que nous devons investir davantage pour la criminalité

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7
Q

1 + 2 + 3 = Construction d’opinions publiques

Les média structurent et encouragent certaines opinions publiques à l’égard du crime et de la justice pénale …

Explique ?

A
  • … de manière à les arrimer aux conceptions officielle du crime et de la peine «appropriés ».
  • Études démontrent que les opinions publiques reflètent davantage les idées erronées que média entretiennent sur crime … que les réalités du crime

Les opinions publiques qui seront engendrer à la suite (à la lumière) des nouvelles de crime auront tendance à se coller à ses conceptions officielles là.

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8
Q

L’opinion publique entour 2 sphères, lesquelles ?

A

• Entourant le crime

• Entourant les opérations de la justice pénale
 Police
 Tribunaux
 Services correctionnels

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9
Q

Opinions publiques entourant le crime

A

Enquête sociale générale (2009) – victimisation autodéclarée

-Taux de victimisation stable sur période 10 ans (1999-2009)

-Taux de criminalité
Diminue en volume & en gravité depuis 20 ans

Si la population général vieille, il y a moins de jeunes, et c’est les jeunes qui commet le plus de crime, c’est l’option la plus plausible pour la diminution de la criminalité

Canadiens surestiment la proportion de crimes violents de manière substantielle

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10
Q

Opinions publiques sur la police

A
  1. Majorité (61 %) entretient perceptions positives des services de police
    (Négatives chez les personnes ayant eu contact avec police)

• Plus négatives parmi les jeunes (48%)

  1. Objectif principal de police = combattre le crime

 20 % - 25 % incidents sont de nature criminelle

 Taux de résolution des crimes = 25 % - 30 %

Cela veut dire que 75 % du quart policier n’est pas de nature criminelle (combattre le crime) !
• Maintient de l’ordre public
• Travail social
Le policier ne résout pas en majorité tout les crimes (soit les enquêteurs, des complices qui appel dans une ligne anonyme, etc.)

  1. Travail de policier = Profession dangereuse

Mortalité + élevée en foresterie, construction dans mines 3 % décès dans exercice de leurs fonctions (stat. Canada 2010)
Taux d’homicide le double chez chauffeurs de taxi

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11
Q

Opinion publiques sur les tribunaux

A
  1. Sous-estimation de la longueur moyenne des peines
  2. Octroi de peines indulgentes
    (La télévision, dans nos émissions policières, ceux-ci sont américaine, donc plus sévère, c’est pour cela qu’on trouve que la peine n’est pas en fonction du crime commis. )
  3. Privilège des richissimes
    (Les personnes qui sont économique plus alaise, vont s’en sortir avec une peine moins sévère qu’une personne économique moins aisé. )
  4. Tribunaux sont le lieu ou l’on juge les «criminels »

(90 % accusations en lien avec lois municipales ou provinciales
90 % sont des affaires qui sont traité, sont mineur et non majeur. )

  1. Plupart des procès se font avec jury
    (Les jurys sont extrêmement rares.)
  2. Peines sévères contribueraient à prévenir le crime (70 %)

(Opinion public : Peine sévère dissuade le crime FAUX !! )

  1. Rétablissement de peine mort (62 % + 69 % Québécois)
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12
Q

Pourquoi c’est important les peines minimal ?

A

Peine minimal est important car cela assure que la justice soit équitable

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13
Q

À quoi sa sert une peine maximal ?

A

La peine maximale permet d’éviter les abus

On veut QUE LA JUSTICE SOIT JUSTE ET ÉQUITABLE, et c’est cela que les citoyens ne comprennent pas forcément.

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14
Q

Pourquoi augmenter la sévérité des sentences quand la gravité et le volume de la criminologie diminue depuis les 20 dernière année ?

A

Les peines sont de plus en plus lourde ! Il y a 20 ans 10 % des sentences était a perpétuité et maintenant c’est 20 %.

  • Méconnaissance des pratiques
  • Sous-estimation de la sévérité du Code criminel
  • Durcissement des peines depuis 25 ans
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15
Q

Opinions publiques sur services correctionnels

A
  1. Prison fait bon travail de contrôler prisonniers (26 %)

Donc environ 75 % de la population croit que la prison ne fait pas un bon travail. Cela est basé sur les invasion, ( CELA EST TRÈS MÉDIATISER) Il s’enfuit en majorité dans des peines minimales ou la sécurité est moindre, donc s’il est dans une peine minimal, cela veut dire qu’il n’est pas un danger pour la société. !

  1. Prisonniers devraient muter graduellement vers des prisons à sécurité moindre

LES SERVICES CORECTIONELLES ONT TOUJOURS FAIT ÇA ! le public ne le sait juste pas.

  1. Longues incarcérations dissuadent contrevenants (62%)

C’est les intervenants qui fait une différence sur la dissuasion !

  1. Privilégier la prison plutôt que la réhabilitation (58%)

La plus piètre opinion: Processus des libérations conditionnelles
Majorité croit que récidive = entre 30 % - 100%

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16
Q

Quel est le taux d’achèvement ?

A

Sur période de 10 ans (2002 -2012)
• 94 % des libérations conditionnelles se sont achevées sans récidive

Sur période de 10 à 15 ans après remise en liberté (2012-2013)

• 91 % des personnes remises en liberté n’ont pas récidivé

17
Q

Quels sont les facteurs influençant les opinions publiques ?

A
  1. SEXE :
  2. ÂGE
  3. SCOLARISATION
  4. VICTIMISATION
  5. SÉCURITÉ PERSONNELLE
18
Q

Explique quels sont les facteurs influençant les opinions publiques :
SEXE ?

A

Femme: privilégient prison pour agression

Davantage susceptible de se sentir moins en sécurité que les hommes. C’est pour cela qu’elle on plus tendance a modifier leurs habitudes de vie, afin de se protéger. Elles vont avoir tendance à s’acheter des outils afin de se sécurisé face à la criminalité. Les femmes vont donc privilégier la prison pour toute forme d’agression (mineur ou première infraction), car c’est relier avec leur sentiment s’insécurité.

Homme: Privilégient prison pour vols par effraction répétés

Femme et Homme: privilégient prison pour 1e agression par jeune
Chez les adolescents, car ils pensent que les peines plus longue ne permet pas la récidive et que l’incarcération permet cela et non la réhabilitation / prévention

19
Q

Quels sont les facteurs influençant les opinions publiques :

ÂGE ?

A

Jeunes (15-24 ans) :
• Plus satisfaits de leur sécurité personnelle
• Les jeunes sont plus durs dans leurs préférences sentencielles.

C’est les jeunes qui sont le plus a risque d’être victime et c’est eux qu’ils ont le moins peur !
Plus on est jeune, plus on va les juger plus sévèrement !
94 % des jeunes de 15 – 24 ans qui se sente en sécurité !
90 % des personnes âgées vont se sentir également en sécurité

20
Q

Quels sont les facteurs influençant les opinions publiques :

SCOLARISATION ?

A

Universitaires moins enclins à soutenir prison
Autres scolarisations = plus punitifs
Moins une personne est scolarisée, plus elle consomme la télévision et plus elle va vouloir un système plus punitifs.

21
Q

Quels sont les facteurs influençant les opinions publiques :

VICTIMISATION ?

A

Victimes privilégient + prison pour crimes répétés
Les personnes qui n’ont jamais été victimes par le crime se sente à 94 % en sécurité
Les personnes qui ont été victimes se sente à 92 % en sécurité
Les personnes qui ont été victime 2 fois, se sente a 87 % en sécurité

22
Q

Quels sont les facteurs influençant les opinions publiques :

SÉCURITÉ PERSONNELLE

A

93 % satisfaits de leur sécurité personnelle

• Loi C-10 (2012) sur la sécurité des rues et des communautés