Introduction à l’étude du« Système » de justice pénale Flashcards
Comment était la JP et les agences avant le tournant de 1960 ?
Avant le tournant des années 1960, la JP était perçut comme processus légaliste, formalisé. (Pas de respect des lois pas de JP )
La police, les tribunaux, les services correctionnels (donc les agences) étaient toutes indépendants. Il n’avait aucun lien ensemble, pas de but similaire.
Comment était la JP et les agences pendant le tournant de 1960 ?
Les chercheurs commencent à percevoir la JP comme un « système » pour la 1ère fois
La police, tribunaux, correctionnel, médias et ressource communautaire vont être en interdépendance Ils vont avoir le même but (l’une ne peut pas fonctionner sans l’autre)
Définir la notion de Imput and Output
Représentationd‘un entonnoir:
Imput: tout ceux qui sont arrêter
Entre l’imput et le Out put: rentre dans le processus pénal (tribunaux, police, service correctionnel (agence social))
Out put: Quand ceux-ci sont coupable, ils ont une peine c’est la qui sont dans le Out put. (Transformer par le système)
Quel est l’une des composantes de l’idéologie qui oriente la JP ?
Une des composante de l’idéologie qui oriente la JP est la notion persistante et obstinée que la justice pénale fonctionne comme un « système » –> Justice et équitable
• Pour parvenir à une justice JUSTE ET ÉQUITABLE, les agences doivent travailler en interdépendance
- Promouvoir ensemble les base idéologique
Quel est la notion de système ?
Définition :
• Unité complexe formée de plusieurs parties assujetties à un plan ou un objectif commun
- Ensemble de parties avec des fonction distinctes et qui travail dans un but commun
- Les parties opèrent à l’unisson ou s’arriment à un plan cohérent dans le but d’assurer le fonctionnement homogène de l’unité
- Totalité fonctionnelle et homogène
EX : Le corps humain est un système. C’est un ensemble de parties qui ont chacune une fonction distincte, mais pour travailler dans le même but.
Quel est L’utilité de la notion de « système » ?»
• Permets de concevoir la justice pénale comme une interdépendance d’agences et de ressources au sein desquelles chaque décision et décideur est influencé par un objectif commun.
• Maintenir la confiance du public dans l’administration de la justice
• Sert à appuyer encore davantage notre modèle de justice
• Permet de continuer les croyances d’objectif commun de la JP donc il est logique que touts les agence en JP travail dans le même sens.
• Hiérarchie :
Le gouvernement domine tous les agences, mais il est important d’avoir une bonne cohésion ( tout le monde doit bien s’entendre)
Quel est la notion du sens commun conventionnel ?
Toutes composante de la JP interagissent de manière coordonnée
MAIS
Coordination insuffisante pour travail à l’unisson (4 composantes perturbatrices de la JP )
*** Ces composantes qui viennent perdurer le sens commun de la JP vienne affaiblir la croyance que la JP fonctionne comme un système
Quel sont les 4 composantes perturbatrices de la JP ?
Les 4 composantes perturbatrices de la JP :
- Indépendance formelle des agences :
- Caractère profondément humain de la JP
- Absence de directives opérationnelle uniformes
- Influence extérieur du public
Explication en détail de chaque composante perturbatrice:
1. Indépendance formelle des agences:
Chaque agence à :
- Possèdent leur propres mandat et objectif informel
- Subissent pressions internes (ex : sur tribunaux pour rester hors des médias - 8clos )
- Peuvent être rongées par objectifs personnels ou professionnels (ex : promotions, retraite, etc.)
- Subissent compétition inter agence (ex : hélicoptère de police)
- Possèdent pouvoir discrétionnaires étendus ( + ou – utilisés)
- Son assujettie à relations de pouvoir
Explication en détail de chaque composante perturbatrice:
- Caractère profondément humain de la JP :
• Activités et décisions des employés sont diverses et variables, caractérisées par disparité et non par constance.
• La justice pénale est composé d’humain qui prenne toujours des décisions sur la vie des humains en général. (Chaque humain a ses propres valeurs, sa propre culture, sa propre moralité, ses propres convictions politiques)
tous nos décisions seront toujours variables et diversifiées !
• On ne peut pas prétendre que toutes les décisions des humains pourront être constantes et invariables (même conclusion, même élément = impossible)
Explication en détail de chaque composante perturbatrice:
3. Absence de directives opérationnelles uniformes:
• Qui font la promotion d’un fonctionnement systémique, pas de manuel d’instruction, permet d’expliquer aux employés de la JP la manière de fonctionner selon objectif juste et équitable.
Explication en détail de chaque composante perturbatrice:
4. Influence extérieur du public :
• Vague de crime :
Les médias construisent une vague de crime, pas documenter assez suffisamment et ainsi la JP risque d’être affecté par cette vague des médias.
Rend la tâche du cheminement commun par les agence plus difficile.
• Influence et construction médiatique :
Maison de transition : tout le monde est d’accord avec ce principe d’intervention mais n’est pas d’accord lorsque c’est en construction dans sa propre rue. (Syndrome : pas dans ma cours)
• Manifestation
Bref la justice pénale ne fonctionne pas tel un « système ». Elle fonctionne davantage comme un appareil ?
Explique
- Assemblage vaguement intégré et coordonné d’institutions ayant des objectifs et tâches liés mais séparés.
- Agences réunies pour exécuter un travail, observer un phénomène, prendre des mesures
Justice pénale :
Appareil : La plupart du temps dans le reste de l’agence il y a des objectifs très séparés et non communs. Maintenant nous pouvons dire Appareil de justice pénale
La mise en scène de la JP
La mise en scène de la JP
Pour analyser usages de la justice, analogie empruntée à la dramaturgie, permet de voir la vie comme un théâtre
• Théâtre: représentation consommé par le public = message dans la pièce.
Manipulation de l’informations ( ex: langue de bois, détournement de l’information en disant n’importe quoi)
Contrôle de l’information ( ex: campagne électoral)
Dissémination de demi-vérités ( ex: loi C-10 et pénitenciers, 2700 nouvelles cellules =
5 nouveaux pénitenciers, mais disent qu’ils ne construisent pas de nouvelles prisons), façade et coulisses = pas même chose.
Représentations conventionnelles de la JP, s’accomplissent par la mise en scène
- Façade: Manipulation des apparences ( uniformes, toges, podium, architecture carcéral) envoie un message de pouvoir au public
- Scène: Jeu des acteurs ( au tribunal, aux audiences de libération conditionnelles), acteurs clairement identifiés.
- Coulisse Gestion des apparences ( le jeu caché des acteurs, on en attend pas parler)
