Nouvelle pénologie et gestion du risque perspective canadienne Flashcards
1970 et 1980 : face à la hause de criminalité et des commission d’enquête du CAN et des USA, qu’elle est l’éléments qui ressort comme le problème ? et ces deux sous pratiques?
remise en question L’individualisation de la peine qui ne prend pas en compte les bon éléments
USA : remise en question totale de la notion et des es sous pratiques
CAN : remise en questions des critères de jugement qui guide l’individualisation, remettre en question les évlaluations
rapport pré sentences (front door sentencing : les rapports ont pour but de contextualiser le crime et guider les juges.
Rapport de libération (back door sentencing) : même rapport mais pour la libération. contextualiser la sentence.
Qu’est ce que le rapport Martinson et ses conclusion ?
c’est quoi : un rapport qui fait le point sur les études évaluatives concernant l’impact des programmes, traitement et interventions dans les pénitencer/prison ayant pour objectifs de réduire de réintégrer.
conclusion
–> ces programmes n’ont pas d’impact sur les récidives criminelles. (passer les Facteurs criminogènes
–> un gaspillages économique car pas d’effet
–> remise en question de la réhabilitation comme principes (Martinson dit qu’il faut investir pour plus de prisons à la place)
Qu’est ce que l’étude Wolfgang et ses conclusions ?
Pourquoi est ce une études unique et révolutionnaire?
C’est une étude de cohortes qui à pour but d’identifier toutes les arrestations pour une cohortes (cohorte aléatoirement sélectionné et représentative) de garçons de Philadelphie
–> elle identifie que 5% des jeunes délinquants ont fait L’objet de plus de 5 arrestations, donne le nom de délinquants chronique
–> c’est délinquant son responsables de plus de 50% de tout les arrestations
–> ce 5% est responsable de 70% à 80% des crimes violents
Pourquoi est ce une étude unique
1- première étude longitudinale qui se concentre vers l’avant, étude cohorte
2- étude populationnel qui prend des citoyens et non des personnes déja en prison.
pour les filles, c’est 1% pour 50% des arrestations et les mêmes constats sont fait un peu partout à travers le monde
Impact de la découverte des délinquants chronique ?
–> peut on identifier ce 5% rapidement avant que leur criminalité deviennent chronique
–> qu’elles sont les interventions permettant de réduire la délinquance chronique
–> Who the fuck sont les délinquants chroniques.
Face au problèmes de criminalité et de la découverte des délinquants chronique de Wolfgang, comment les USA adapte t’il leurs politiques?
Tough of crime : approche répressive et sévère car on ne croit plus en la réhabilitation.
—> prison = solution
–> neutralisation/dissuasion = solution
–> abandon des LC et mise en liberté dans certains États
–> réduction au maximum du pouvoir discrétionnaire des juges (exemple 3 strikes laws)
–> pas de lien entre les politiques gouvernementale et le milieu de recherche académique.
Three strike law (fuck les juges) : après trois récidve, c’est la prison à vie.
–> pourquoi 3 chances : le chiffre magique dans les statistiques, après le 3e récidive, il est observé que la délinquance se cristallisant donc on neutralise
–> plus de pouvoir discrétionnaire, on force les juges de prendre en compte
ÉLIMINER LE JUGEMENT CLINIQUE
on cherche seulement les prédicateur de risques et on ne s’attarde pas au facteurs de changement
Qu’elles sont les impacts de l’augmentation fulgurante du taux d’incarcération au USA en lien avec les nouvelle mesures de sévérité comme les Three strikes laws?
–> impact très négligeable sur la criminalité
–> taux d’homicide augmente, la 3e strike est vu comme, j’ai rien à perdre, donc plus de crimes violents.
–> problème de surpopulation carcérale, ce qui mène à beaucoup de demandes pour des LC
Donc, besoin d’expertise d’évaluation lors des sortie et assurer la protection de la société
solution : besoin de prédire le risque !!!
Qu’elles sont les constat de feeley et Simmons concernant la nouvelle pénologie américaines ?
nouvelle pénologie c’est quoi : les gestion du risques et la sécurité sont les nouveaux enjeux, cependant, il y a trop de monde en prison et qui vont sortir, donc :
– > besoin TRÈS PRESSANT de pouvoir prédire le risque et le gérer. (avoir des facteurs de risques fiable, antécédents,
–> les professionnel sont débordés et doivent accélérer avec des outils actuariels
–> pas le droit à L’erreur, sinon haussement direct de la sévérité, mais si un erreur est fait c’est le service qui prend le blâme et pas juste le cliniciens.
caractéristique de la nouvelle pénologie
–> base données, fuck le papier, les ordi c’est plus rapide.
–> plus d’analyse psychosociale, et cela devient l’analyse actuariel et probabiliste
Face au problèmes de criminalité des découvertes de marinions et Wolfgang, comment le CAN s’adapte t’il?
–> la prison est partie responsable de la criminalité, les juges utilisent trop la prison et il faut penser autrement
effets néfaste
–> coupure avec la société causant désensibilisation, appauvrant le soutien social
–> École du crime + réseaux criminel
–> étiquetage
solution : réhabilitation par la gestion du risque et non seulement la prédiction
objectif : développer une expertise en matière d’intervention pour diminuer la récidives
ENCADRER LE JUGEMENT CLINIQUE
–> Le CAN prend en compte les facteurs de prédictions et de changement.
possible avec un fort lien entre l’académique et le milieu pratique*
Comment est ce que les options actuariels se développent ?
technologie plus avancé qui regroupe les données dans des bases de données
–> permet d’analyser plus de choses.
–> plus facile d’identifier les récidives et les prédicateurs en lien
–> plus d’évaluation psychosocial, cela devient des évaluation actuariel et probabiliste
nouveaux langage : niveaux de risques, évaluation du risque
précision des groupes viser et des crimes viser par les outils
Qu’elles sont les 3 observations des psychocriminologues canadiens, avant Andrews et Bonta, pour appuyer leur modèle en matière de pénologie.
a) L’incarcération n’a pas d’impact différentiel (c’est-à-dire d’impact significatif par rapport au même temps en probation (peine en collectivité)) sur la récidive criminelle (pas d’impact dissuasif)
–> prison = pas efficace pour faire diminuer les taux de récidive
–> Donc, la prison n’est pas un mécanisme de prévention mais c’est plutôt une chance pour offrir des services, c’est que les criminels font à l’intérieur qui vas influencer le risque
b) L’approche «one size fits all» (mettre tous les délinquants dans le même panier) n’est pas adéquate pour l’intervention en milieu correctionnels
–> les programmes sont standardisé, tous pareil
–> besoins de reconnaitre qu’il existent différent problème criminogènes
–> les programmes doivent ce centrer sur la personnes et les besoins spécifique de chacun
C) Des facteurs cliniques informent sur les probabilités de récidive criminelle d’une personne contrevenante
–> des facteurs cliniques informe sur le risque, mais n’importe lesquelles
–> identification de facteur cliniques qui influencent le niveaux de risque
–> besoin que c’et facteurs pour intervenir dessus et les changer.
Qu’elles sont les observations de Andrews et Bonta sur l’évaluation du risque au Canada?
1) Évaluation de l’évaluation : la pratiques varient d’une personnes à l’autre (pas de lien entre l recherche et la pratiques)
–> pas de formation universitaire (et collégial)(n’importe quel branche pouvaient faire de l’évaluation du risque (TS, orienteur, psyhoed, anthropologue,)
–> pas de standardisation des FR et certains FR ne sont pas associer à la récidive
–> évaluation subjectif : genre le caractère de quelqu’un (vieux terme du 19e qui n’est plus à jour)
2) évaluation de l’intervention
–> manque de standardisation
–> loin des connaissance scientifiques
accord avec Martinson : tout les programmes ne sont pas efficaces
Les programmes
désaccord avec Martinson : les programmes qui ciblent des FR en lien avec la récidive sont efficace
problème : Les programmes font du “one size fit all” et les besoins en matière de FR criminogènes ne sont pas pareil.
3) Évaluation du suivi communautaire
–> manque de standardisation : les intervenants s’en remettent à leur jugement/expériences et c’est pas bon
–” GROS MANQUE de continuité entre l’évaluation, l’intervention et
Décrivez le principe du risques d’Andrews et Bonta et se
C’est quoi : principe que l’on peut prédire la récidive car elle n’est pas complètement aléatoire et dépend de plusieurs facteur
comment évaluer : par des outils qui vont structurer le jugement professionnel
comment utilise t’on le niveaux de risque : il sert de guide pour l’intervention correctionnel (et pas juste de la prédiction)
OBJ : distinguer les individus par leur niveaux de risque et guide L’intervention correctionnel. (BON PAIRAGE)
–> s’il y a faible risque, alors l’intervention est faible pour diminuer le plus possible les impacts néfaste du contrôle pénales alors que les plus haut niveaux de risques doivent avoir une intervention plus intense.
Décrivez le principes des besoins de Andrews et Bonta et son applications?
C’est quoi : La croyance que les gens peuvent changer, baser sur des données empirique directement en lien avec le changement
problèmes :
a -> les facteurs de changements de sont pas “unique” aux individus. et tout n’est pas pertinent, il faut cibler les bonnes choses
b -> ce qui est négatif n’est pas forcément un facteur de risque.
solutions
–> cibler les besoins criminogènes associer à la récidive et le mettre dans le PIC, puis les intervenants doivent suivre le PIC.
–> cibler des besoins dynamique changeant et nécessitant d’être réévaluer au courant de la sentence.
Décrivez le principe de réceptivité d’andrews et Bonta et son applications
c’est quoi : Reconnaitre que L’efficacité d’une intervention dépend de la réceptivité de la personne et il faut identifier les meilleur méthode
–> le TCCE est reconnu comme l’une des meilleur approche avec une clientèle involontaire, donc il L’appliquer (schèmes de penser pour changer le comportement)
–> méthode adapté aux interventions
Qu’elles sont les contats actuel par rapport au modèle RBR?
–> le modèles est surtout face pour les sentences de longues durées (peines 2 ans et plus) car c’est un long processus qui N’aboutît pas pour des courtes sentence (difficile pour les 2 ans et moins) car besoin de temps pour évaluer, intervenir, réévaluer et ré intervenir.
–> Très adapté aux mineurs sen centre jeunesse.
–> modèles qui est constamment en évaluation et qui répond au critique. fort lien entre l’académique et le pratique.