Notes examen final Flashcards

1
Q

Quel est le pourcentage des jeunes de 16 ans qui veulent prendre du poids?

A

30 %

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2
Q

Masculinité et satisfaction par rapport à l’image corporelle chez les garçons sont souvent associées à quoi?

A

Pouvoir et force.

Ainsi, les idéaux physiques masculins reposent sur la stature et la musculature.

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3
Q

Qu’est-ce qui modifie le développement et l’expression des préoccupations corporelles des garçons (ex. : troubles anorexiques et boulimiques pour le tonus et définition musculaire)?

A

L’orientation sexuelle.

Plus significatif chez les homosexuels et bisexuels, les hétérosexuels préfèrent le gain de poids de masse musculaire.

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4
Q

Masculinité vs virilité.

A

« La virilité, ce n’est pas la masculinité. C’est le modèle exacerbé d’une vision traditionnelle de la masculinité »

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5
Q

L’identité de genre – Rappel

Sexe

A

Réfère à la dimension biologique, assigné à la naissance par l’examen visuel des organes génitaux par le médecin accouchant (ou son substitut).

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6
Q

L’identité de genre – Rappel

Identité de genre

A

Réfère au fait de se percevoir comme un « homme » ou comme une « femme », expérience interne d’être homme, femme, garçon ou fille, ou …

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7
Q

L’identité de genre – Rappel

Rôle sociosexuel

A

Construction sociale de la masculinité et de la féminité et ensemble des comportements attendus chez l’homme ou chez la femme.

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8
Q

L’identité de genre – Rappel

Conformité de genre

A

Adhésion (plutôt que de dérogation) aux rôles sociosexuels et aux normes culturelles établies pour son sexe.

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9
Q

L’identité de genre – Rappel

Expression de genre

A

La manière dont une personne exprime son identité de genre.

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10
Q

À quoi est associé l’androgynie chez les garçons et les filles?

A

Estime de soi plus élevée et bien-être individuel.

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11
Q

Masculinité ≠ virilité

A
  • Virilité : doit être reconnu par les autres, ça se performe, gagne et perd. Attributs physiques, capacité sexuelles.
  • Masculinité : par défaut, tout homme serait masculin mais pas nécessairement virile. Traits de caractères masculins (indépendants, courageux).
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12
Q

Quels sont les 2 modèles hommes de masculinité?

A
  1. Homme traditionnel correspond aux stéréotypes, travailleur.
  2. Homme nouveau (métrosexuel) tâche ménagère, s’occupe des enfants, modèle d’égalité avec la femme.
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13
Q

Quels sont les 3 critères de masculinité?

A
  1. Ne pas avoir l’air féminin.
  2. Pas être un enfant.
  3. Pas être homosexuel.
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14
Q

Qu’est-ce que la féminité hégémonique?

A

− Une grande conformité aux stéréotypes sociosexuels de la féminité est associée à une vision hégémonique (supérieure) de la féminité, surtout auprès des jeunes.

− Les représentations les plus documentées de la féminité hégémonique sont la beauté, le comportement (hyper)féminin, le mariage et la famille (i.e. la maternité), la sexualité et l’origine ethnique.

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15
Q

Nommer quelques exemples de la féminité alternative (non-hégémonique)?

A

− La féminité afro-américaine.
− La féminité asiatique.
− Les « Tom-boys ».
− Les femmes du mouvement Punk ou Gothique.
− Les lesbiennes dont l’apparence est plutôt masculine.

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16
Q

Nommer quelques symboles de la féminité selon les jeunes femmes.

A

• Être maternelle (et conciliante).
• Mettre des talons hauts.
• Magasiner et suivre la mode.
• Se maquiller.
• Flirter avec les garçons, séduire, mais tout en résistant aux avances sexuelles, se laisser désirer (“playing hard to get”).
− Objectivation sexuelle et auto-objectivation.

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17
Q

Qu’est-ce que l’agentivité sexuelle?

A
  • L’agentivité sexuelle se définit comme la capacité d’agir de façon compétente, raisonnée, consciencieuse et réfléchie en matière de sexualité.
  • Cette notion fait référence au fait d’être un agent plutôt qu’un objet sexuel et au fait de «régir » sa propre sexualité et de s’en sentir « responsable ».
  • Les notions de contrôle et le sentiment d’avoir le droit au désir et au plaisir sont également centrales. La prise en charge de son corps donne l’impression de pouvoir ou d’autonomisation sans honte ni culpabilité.
  • Le véritable pouvoir de l’agentivité sexuelle des filles et des femmes est construit sur la base leurs propres choix, basés sur les désirs qui sont les leurs.
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18
Q

Qu’est-ce que la subjectivité sexuelle?

A
  • Le développement et la consolidation du concept de soi sexué fait partie des tâches développementales à l’adolescence.
  • La subjectivité sexuelle réflète la terminologie utilisée dans les perspectives des théories existantes et dans les recherches qualitatives sur l’auto-perception sexuelle des femmes et de leurs sentiments à propos de la sexualité.
  • La subjectivité sexuelle est une manière de conceptualiser et de mesurer certaines dimensions des cognitions, des attitudes et des émotions qui définissent la sexualité.
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19
Q

Nommer les 5 composantes de la subjectivité sexuelle.

A

1) Estime de soi corporelle (J’ai confiance que les autres vont me trouver désirable sexuellement).
2) Perception d’avoir droit au plaisir procuré par soi (C’est acceptable pour moi de répondre à mes besoins sexuels par la masturbation).
3) Perception d’avoir droit au plaisir procuré par un partenaire (Je crois que c’est important pour un partenaire sexuel de considérer mon plaisir sexuel).
4) Sentiment d’efficacité personnelle sexuelle (Je n’hésiterais pas à demander ce que je désire sexuellement à un partenaire amoureux).
5) Autoréflexion sexuelle (Je passe du temps à réfléchir sur mes expériences sexuelles).

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20
Q

Perception d’avoir droit au plaisir procuré par soi est proportionnellement liée à quoi?

A

L’âge de la première relation sexuelle, plus la sexualité est précoce, plus il y a perception élevée d’avoir droit au plaisir procuré par soi.

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21
Q

Changements corporels et altération de l’apparence physique: Un continuum.

Nommer des changements afin de correspondre à un standard de beauté que les femmes font à leur apparence.

A
  • Faux cils, épilation/rasage, teintures
  • Parfums, crèmes, manucures, pédicures
  • Maquillage
  • Marquages corporels: Piercings (i.e. percer les oreilles d’un bébé pour marquer sa féminité), tatouages
  • Régimes, diètes
  • Exercices pour façonner son corps
  • Chirurgies esthétiques: coquetterie ou mutilation?
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22
Q

Deux éléments centraux à l’image corporelle :

A

− L’attitude envers l’image corporelle : Comprend l’évaluation corporelle (positive ou négative, qui mène à une satisfaction ou à une insatisfaction corporelle) et le degré d’investissement dans l’image corporelle (lié à l’importance accordée à l’apparence physique).
− Les cognitions entourant l’image corporelle : le dialogue intérieur, la comparaison avec les autres, les interprétations, les jugements, les croyances.

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23
Q

Apparence physique et image corporelle

Au Québec, ___% des jeunes de 13 à 16 ans sont insatisfaits de leur corps.

A

60%

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24
Q

Qui sont, à tout âge, incluant au début de l’âge adulte, plus satisfaits de leur image corporelle?

A

Les hommes.

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25
Q

Données qui inquiètent en lien avec l’image corporelle et le fait de vouloir perdre du poids.

A
  • Même si la majorité des filles ont un poids normal ou insuffisant, près de 70% des adolescentes font des efforts pour contrôler leur poids ou en perdre.
  • Environ 50% des adolescentes ont déjà sauté un ou des repas dans le but de maigrir.
  • 1/3 des filles de 9 ans ont déjà tenté de maigrir.
  • Des jeunes filles s’empêchent de faire de l’activité physique pour ne pas se décoiffer, se démaquiller ou transpirer en public.
  • 8 à 10% des jeunes Québécois (surtout des filles) commencent à fumer dans l’espoir de contrôler leur poids ou de maigrir.
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26
Q

Les _______ exercent un rôle important dans le développement de l’image corporelle en établissant des normes et des attitudes corporelles.

A

Pairs

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27
Q

Quelle période a la plus grande tendance à se comparer et à intérioriser les normes de beauté?

A

À l’adolescence.

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28
Q

Vrai ou Faux?

Filles plus vulnérables aux pressions exercées par les médias de masse que les garçons et critères de beauté féminins plus irréalistes.

A

Vrai

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29
Q

L’image corporelle des adolescentes peut amener quel type de problème de santé (troubles alimentaires) pour cadrer dans la ‘‘norme’’ sociale?

A

Anorexie et boulimie.

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30
Q

L’image corporelle des jeunes femmes

Plus grande satisfaction corporelle à quelle période de la vie?

A

Plus grande satisfaction corporelle à l’âge adulte émergent qu’à l’adolescence.

• Cependant, à partir de la période jeune adulte, l’âge ne prédit plus la satisfaction corporelle.

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31
Q

L’engagement dans de nouveaux rôles sociaux favorise _____________________.

A

Une meilleure image corporelle.

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32
Q

Nommer des signes d’une image corporelle négative.

A
  • Préoccupation excessive par rapport à au poids, aux calories des aliments et/ou intérêt disproportionné pour les régimes et aliments amaigrissants.
  • Perception fausse de la forme et de la taille de son corps.
  • Croyance que seuls les autres sont séduisants.
  • Honte ou gêne par rapport à l’apparence.
  • Malaise dans son corps.
  • Obsession pour l’apparence physique.
  • Réticence par rapport à aux activités physiques.
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33
Q

Nommer des facteurs de RISQUE au développement d’un trouble de l’image corporelle.

A
  • Être une fille.
  • Être très féminine et adopter des valeurs stéréotypées.
  • Pratiquer un sport misant sur la minceur, comme la dans ou la gymnastique, ou être mannequin.
  • Avoir des idéaux de minceur irréalistes.
  • Avoir été victime de violence physique ou d’abus sexuel.
  • Avoir un parent qui se préoccupe de son poids et suit des régimes d’amaigrissement (ex : se critique devant le miroir).
  • Avoir été taquinée, victimisée ou harcelée en raison de sa taille, de son sexe, de la couleur de sa peau ou des capacités physiques, dans la famille et/ou à l’école.
  • Vivre une transformation du corps comme la puberté ou une grossesse.
  • Perfectionnisme.
  • Besoin d’approbation sociale.
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34
Q

Nommer des facteurs de PROTECTION au développement d’un trouble de l’image corporelle.

A
  • Estime de soi positive.
  • Investissement des compétences autres que physiques.
  • Diversification des champs d’intérêt.
  • Valorisation d’une image corporelle positive dans la famille.
  • Activités sportives.
  • Évaluation de soi reposant sur des facteurs autres qu’en terme d’attirance ou de « sexyness ».
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35
Q

Qu’est-il ressorti de l’apparence des organes génitaux (3)?

A
  • La diversité dans l’apparence des organes génitaux féminins n’est PAS représentée dans la nudité féminine publique…
  • L’émergence d’un nouveau complexe féminin POSTpornographie.
  • L’influence de la poupée Barbie.
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36
Q

L’image corporelle influence le fonctionnement sexuel (satisfaction, plaisir et réponse sexuelle) :

A
  • L’évaluation de son niveau d’attirance physique.
  • Le niveau de distraction lors des rapports sexuels.
  • Les comportements d’évitement sexuel.
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37
Q

Quel est le chiffre qui détermine la maigreur de l’IMC?

A

18,5 et moins.

*16 pour la maigreur extrême.

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38
Q

Quel est le chiffre qui détermine le poids normal de l’IMC?

A

18,5 à 24,9.

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39
Q

Quel est le chiffre qui détermine l’embonpoint de l’IMC?

A

25 à 25,9.

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40
Q

Quel est le chiffre qui détermine l’obésité de l’IMC?

*3 types d’obésité (1, 2 et 3).

A

30 et plus.

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41
Q

Nommer des liens entre l’obésité et la sexualité.

A
  • Problèmes physiologiques pouvant rendre les relations sexuelles plus difficiles (rythme cardiaque élevé, haute pression, etc.).
  • Répertoires sexuels moins diversifiés (ex: certaines positions peuvent devenir inaccessibles), honte, gêne.
  • Rapport au corps souvent complexe.
  • Difficultés possibles au niveau de l’intimité et du rapport à l’autre.
  • Quelle est la fonction de l’obésité? (analyse des besoins pour voir à quel besoin répond l’excès de nourriture)
  • Les adolescents obèses sont davantage victimes d’exclusion et de moins d’opportunités sociales, amoureuses etrejet par les pairs sexuelles.
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42
Q

IMC

Effet encore plus prononcé chez les filles : au delà d’un certain seuil, pour chaque point de plus à l’IMC, la probabilité d’être dans une relation amoureuse diminue de _____ %!

A

6 à 7 %.

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43
Q

Nommer un exemple de la surabondance des messages biaisés sur l’image corporelle.

A

Chez les adolescents, la télévision, les médias sociaux et les jeux électroniques occupent une grande place. Le temps passé devant un écran est associé à la sédentarité, de même qu’à une exposition plus grande aux influences des publicités alimentaires et érotisant une image corporelle irréelle.

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44
Q

L’IMC doit être utilisé seulement entre quels âges?

A

Entre 20 et 65 ans.

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45
Q

Quel est l’âge moyen du premier verre consommé pour les deux sexes?

A

Filles et gars : 12 ans.

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46
Q

Quelle est une des principales raisons que les jeunes boivent?

A

Faire comme leurs pairs et être considérés cool.

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47
Q

Combien de pourcentage de personnes actives sexuellement ont déjà eu des hook-up?

A

Plus de 70 %

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48
Q

Quel est de pourcentage chez les hommes et les femmes pour les hook-up?

A

Femmes : 35 %

Hommes : 50 %

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49
Q

Vrai ou Faux

Plus l’individu boit de l’alcool, plus il s’adonne à des comportements sexuels dits ‘‘avancés’’.

A

Vrai

50
Q

Que surestime les jeunes avec la pression sociale liée au hook-up?

A

Le niveau d’activités sexuelles des pairs.

51
Q

Qui suis-je?

Je réfère au désir sexuel et aux comportements sexuels, en fait, tout ce qui peut apporter une excitation à une personne.

A

Répertoire sexuel.

52
Q

Quel type de comportement sexuel est considéré ‘‘heavy’’?

A

Anormal, pathologique, tabous.

53
Q

Quelle est la plus grande préoccupation par rapport au sexe anal?

A

L’utilisation du condom reste faible, peu importe l’âge.

54
Q

Comment aborder la sexualité avec les ados?

A

Tenter d’aborder la sexualité dans toutes ses facettes, pas seulement pour les dangers qui y sont associés.

55
Q

Qui suis-je?

Un agent de socialisation important et un outil éducationnel tangible, qui échappe aux institutions éducatives traditionnelles de même qu’aux professionnels de la sexologie.

Influence, positivement et négativement et ce de manière ou non, le développement psychosexuel des adolescents, tant dans les dimensions personnelles que relationnelles et sociales.

A

Pornographie.

56
Q

Vrai ou Faux

La pornographie aurait pour fonctions d’établir les idéaux normatifs de beauté corporelle.

A

Vrai

57
Q

Qu’est-ce que la pornographie envoie comme message aux femmes?

A

Pas sujettes de leur propre sexualité, mais plutôt des objets sexuels.

58
Q

Qu’est-ce que ça peut causer aux hommes la pornographie?

A

Anxiété de performance.

59
Q

Qu’est-ce qui est alarmant dans la pornographie par rapport à la santé publique.

A

Sous-représentation du port du condom.

60
Q

Les consommateurs fréquents de porno ont plus tendance à accepter quoi?

A

Les mythes du viol et les comportements de violence envers les femmes.

61
Q

Pourquoi la pornographie peut être utile pour les LGBTQI+?

A

Valider leur orientation, leurs préférences et limites, répondre à certains questionnements par rapport à leur identité, etc.

62
Q

Nommer les 4 types d’attachement.

A
  1. Sécure (bonne opinion de soi et autres, relations amoureuses)
  2. Anxieux/préoccupé (mauvaise opinion de soi, bonne des autres, inconfort intimité)
  3. Évitant distant (bonne opinion de soi, mauvaise des autres, tombe en amour souvent et rapidement)
  4. Évitant craintif (mauvaise opinion de soi et autres)
63
Q

Intervention sexologique pour le développement de l’attachement.

A

Habiletés de communication et de gestion émotionnelle.

64
Q

La prévalence de certaines maladies comme _____________ est nettement plus importante dans les pays d’où proviennent bon nombre des familles migrantes.

A

Hépatites B et C, sida, rougeole, tuberculeuse.

65
Q

Piste d’intervention pour les immigrants.

A

Les interventions d’éducation sexuelle et de prévention de la violence abordant ces valeurs.

Valeurs : le respect, le familisme, le mariage et la virginité.

Réaliser des interventions qui ciblent tant les parents que les jeunes pour les sensibiliser à l’importance de la communication parents-ados en matière de sexualité et pour ouvrir le dialogue dans un climat de respect.

66
Q

Conseils à donner aux parents pour promouvoir un rapport sain à la nourriture et au corps chez leur adolescent.

A

1) Les stimulations sensorielles telles que bercer, masser, caresser, donner le sein permettent à l’enfant d’apprendre tôt que son corps peut être source de plaisir et de confort.
2) Créer un espace favorable à la discussion et prendre le temps de répondre aux questions de votre adolescent sur les changements corporels.
3) Saisir les opportunités d’ouvrir un dialogue sur des thèmes reliés à l’image corporelle (ex: téléréalité, magazines, etc.) et aider vos adolescents à développer un regard critique sur les standards de beauté véhiculés dans les médias.
4) Discuter de l’impact négatif du fait de penser constamment à son poids et à son apparence avec votre enfant.
5) Organiser davantage d’activités sportives en famille.
6) Éviter que la nourriture serve de récompense ou de punition.
7) Apprenez à votre adolescent à écouter son corps et à faire confiance aux messages que celui-ci lui transmet (ex: faim, satiété, fatigue) et à réagir adéquatement à ces signaux.
8) S’il/ elle a faim, il est acceptable de le(a) laisser manger, même si ce n’est pas l’heure du repas.
9) Au lieu de se limiter à étiqueter les aliments selon qu’ils sont bons ou mauvais pour la santé, aidez votre adolescent à comprendre les principes d’une saine alimentation et la valeur nutritive de chaque aliment.
10) Donnez à votre adolescent l’occasion de faire ses propres choix en matière d’alimentation, (ex. : veux-tu des fraises ou des bleuets…donner le choix, mais choix santé).
11) Réritualiser les repas (ex: ambiance agréable, réduction des distractions, fermeture de la télé et des téléphones, disponibilité d’une variété d’aliments, etc).
12) Offrir des modèles positifs et non-centrés sur l’apparence auxquels les jeunes peuvent s’identifier.
13) Encourager les enfants à développer leur force et leurs habiletés physiques.
14) Ne pas tolérer les moqueries par rapport à l’apparence physique dans la famille.

67
Q

Implications sexologiques pour promouvoir un rapport sain à la nourriture et au corps chez leur adolescent.

A

• Volet éducatif :
− Informer les jeunes adolescents des différences individuelles dans les changements physiques pubertaires (ex: certains grandissent d’abord, d’autres commencent par s’arrondir, etc.).
− Rassurer que cette période de changements est temporaire, passagère.
− Rappeler que le corps idéal n’existe pas et que les photos présentées dans les magazines sont retouchées ◦ Promouvoir un style de vie sain : Faire de l’exercice, dormir suffisamment, manger sainement et écouter ses signaux corporels de faim et de satiété.
• Pour inciter les jeunes à s’aimer, il faut les aider à bouger et à faire des choix alimentaires sains.
• Développement d’une estime de soi qui n’est pas centrée uniquement sur l’apparence physique mais sur la personne dans sa globalité.
− Identifier ses forces et compétences personnelles (autres que physiques).

68
Q

Impacts de l’image corporelle sur le fonctionnement sexuel.

A

• L’image corporelle influence le fonctionnement sexuel (satisfaction, plaisir et réponse sexuelle) :
− L’évaluation de son niveau d’attirance physique.
− Le niveau de distraction lors des rapports sexuels.
− Les comportements d’évitement sexuel.

Exemple : la fille qui n’aime pas ses fesses, essaye de ne pas faire de position pour que son partenaire voit cette partie du corps.

69
Q

Que remarque-t-on dans la relation parent-adolescent ?

A

• Tendance typique :
− Début Ado : ↑ tensions, conflits, distanciation, négociation de l’autonomie.
− Fin ado : relations plus égalitaires.
• Pour les ¾ des ados, adolescence ne provoque pas de crise majeure dans la famille.
• Parents doivent soutenir la distanciation de l’adolescent plutôt que de la freiner.

70
Q

Styles parentaux.

Contrôle élevé/Sensibilité faible.

A

Autocrate

71
Q

Styles parentaux.

Contrôle élevé/Sensibilité élevée.

A

Démocratique <3

72
Q

Styles parentaux.

Contrôle faible/Sensibilité élevée.

A

Permissif

73
Q

Styles parentaux.

Contrôle faible/Sensibilité faible.

A

Désengagé

74
Q

Quelles sont les limites de la typologie des styles parentaux?

A

1) Pas de style « pur ».
2) Style parental peut varier selon les circonstances.
3) Chaque parent a son style! Différences entre père et mère.
4) Le jeune exerce aussi une influence sur le style de ses parents.

75
Q

Vrai ou Faux

Pratiques parentales style parental = Pratiques parentales.

A

Faux

76
Q

Qu’est-ce qui est primordial dans les pratiques parentales?

A

Comportements parentaux visant à prescrire (encourager) vs proscrire (décourager) certains comportements.

77
Q

Que nous dit l’autorévélation des adolescents à leurs parents?

A
  • Facteur familial important pour prédire le timing de la première relation sexuelle.
  • Associée à un meilleur ajustement psychosocial, moins de sx dépressifs et anxieux.
  • Une étude qualitative a montré que la raison principale pour laquelle les jeunes ne divulguent pas certaines informations à leurs parents est qu’ils anticipent une réaction négative de leur part.
78
Q

Une étude qualitative et quantitative menée auprès de jeunes costaricains, thaïlandais et africains du sud a permis d’identifier les 8 raisons que les jeunes évoquent pour se révéler à leurs parents. Nommer les.

A

1-J’ai appris que mes parents désiraient avoir ces informations;
2-Je sais que mes parents vont me poser des questions de toutes façons;
3-Je dis des informations à mes parents pour ne pas qu’ils s’inquiètent à propos de moi;
4-Je dis des informations à mes parents car ils seront en mesure de me protéger en cas de danger ou de problèmes;
5-Je me sens mieux avec moi-même si je leur dis ces informations;
6-Si je leur dis quelques informations alors je n’aurai pas besoin de leur en dire plus;
7-Quand je dis des informations à mes parents, ils me laissent faire plus de choses;
8-Je leur dis seulement les informations que je veux qu’ils sachent.

79
Q

Quelles sont les barrières à l’autorévélation?

A
  1. Les filles divulguent et parlent plus de leurs problèmes à leurs parents, comme de leurs conflits avec leurs amis, leur amoureux, etc.
  2. Les garçons divulguent plus leurs mauvaises notes et leurs mauvais comportements à leurs parents.
  3. Les jeunes se révèlent moins lorsqu’ils perçoivent leurs parents comme intrusifs, frustrés, fatigués, toujours occupés, contrôlants psychologiquement, dans une mauvaise disposition d’esprit, ayant déjà mal réagi suite à une confidence ou trahi leurs secrets, ou qui interrompent constamment.
80
Q

Nommer 3 incitatifs à l’autorévélation.

A
  1. Le parent est détendu et disponible.
  2. L’adolescent se retrouve dans un contexte dyadique de qualité avec son parent et ils échangent des confidences Le parent pose des questions ouvertes et s’intéresse au jeune.
  3. Le parent offre un soutien émotionnel, de l’empathie et garde les secrets pour lui.
81
Q

L’éducation à la sexualité par les parents. Nommer des aspects.

A
  • La famille demeure le premier lieu d’éducation à la sexualité.
  • Important d’aborder la sexualité dans ses multiples facettes (holistique) et non seulement les risques et dangers associés.
  • Écarts de perception entre les parents et leur adolescent sur la quantité d’éducation sexuelle reçue à la maison - Davantage les mères que les pères, et davantage aux filles qu’aux garçons.
  • Ressources pour les parents**.
82
Q

Les parents peuvent agir à titre de consultants en matière de sexualité. 3 aspects.

A
  1. Une étude a montré que les adolescents de 13 à 15 ans préfèrent parler de leurs problèmes sexuels avec leurs parents qu’avec leurs amis.
  2. D’autres chercheurs ont observé que le fait de parler de sujets sexuels avec ses parents peut mener à avoir le même type de discussion avec ses futurs partenaires amoureux.
  3. Les adolescents, tant filles que garçons, préfèrent discuter de sexualité avec leur mère qu’avec leur père.
83
Q

Les discussions mère-adolescent-e sur la sexualité.

Les mères sont plus susceptibles de parler à leur adolescent-e de sexualité si elles : ______________

6 aspects.

A

a) croient qu’elles ont les connaissances et les habiletés pour répondre clairement à leurs questions.
b) savent que leur ado n’en sera pas embarrassé(e).
c) croient que cette discussion aidera leur ado à adopter des réflexions plus matures en matière de sexualité.
d) se sentent relaxes et confortables à parler de sexualité.
e) croient que ces discussions feront d’elles des parents responsables.
f) ont une bonne estime d’elles-mêmes.

84
Q

Implications sexologiques sur la sexualités des ados et aux parents.

A

• Jeunes : Promouvoir des choix responsables en matière de sexualité.
− Les outiller à résister à la pression qu’exercent les pairs.
• Parents : Programmes d’amélioration des pratiques parentales
− Contrôle, limites et supervision
− Coaching parental – les parents peuvent plus facilement apprendre de nouvelles pratiques parentales qu’un nouveau style parental.
• Amis : Dès 6ème année ou 1ère secondaire au moment où les groupes d’amis deviennent mixtes.

• Comment aider les parents à susciter la confidence chez leur enfant?
− Attention à ses réactions!
− Disponibilité, empathie, création d’une zone de confort.
− Réciprocité, confidentialité.
• Les qualités parentales qui incitent les jeunes à s’autorévéler sont peut-être les mêmes que celles qui invitent à la confidence chez le sexologue…

85
Q

Stades de l’amitié selon selman (1980)

  1. 0-3 ans
  2. 4-9 ans
  3. 6-12 ans
  4. 9-15 ans
  5. 12 et +
A
  1. Amitié momentanée.
  2. Soutien unidirectionnel.
  3. Coopération réciproque.
  4. Relation mutuelle et intime.
  5. Interdépendance et autonomie.
86
Q

Stades de l’amitié selon selman (1980)

Qu’est-ce qui caractérise le stade 3 (9-15 ans)?

A

Investissement, implique de faire des choses l’un pour l’autre. Amis deviennent possessifs et exclusifs.

87
Q

Stades de l’amitié selon selman (1980)

Qu’est-ce qui caractérise le stade 4 (12 ans +)?

A

Respect des besoins mutuels d’interdépendance et d’autonomie.

(ex. : réel engagement,confiance, soutient, distance au besoin)

88
Q

Différence de genre dans les amitiés.

Pour les filles.

A

Relationnelle.

− Plus d’intimité, de proximité, de soutien, d’affection, de prosocialité, d’acceptation et de sécurité.
− Co-rumination : discuter de façon répétée (in extenso) des problèmes, des spéculations à propos de leurs causes et conséquences et centration sur les émotions négatives associées.
− Le fait de discuter d’un problème en long et en large → peut augmenter les émotions négatives et les Sx intériorisés.
− Préoccupées et inquiètes p/r relations sociales, besoin d’approbation.

89
Q

Différence de genre dans les amitiés.

Pour les gars.

A

Agressivité physique.

− Groupes d’amis plus denses.
− Plus souvent en groupes au cours d’activités sportives.

90
Q

Pourquoi les amis sont-ils des agents de socialisation importants dans le développement?

10 aspects.

A

1) Comme partenaires de jeu et d’activités.
2) Comme image miroir.
3) Comme soutien émotif.
4) Pour développer l’intimité.
5) Permettent de vivre des relations mutuellement désirées (non-imposées).
6) Favorables au développement de l’estime de soi.
7) Permettent de vivre des « fins » de relation et des réconciliations.
8) Font découvrir les différences individuelles.
9) Enrichissent le répertoire d’expériences émotionnelles.
10) Alliances possibles.

91
Q

Recommandations pour la promotion de la santé sexuelle, la prévention des risques et l’éducation à la sexualité et aux relations amoureuses saines et égalitaires.

Ce qu’on sait inefficace!

A

Programmes courts, basés sur les connaissances (i.e. savoir) plutôt que sur les habiletés (i.e. savoirfaire), inappropriés à l’âge, au niveau d’expérience sexuelle et à l’environnement culturel.

92
Q

Éducation à la sexualité : Les bonnes pratiques à privilégier. Quelles sont-elles?

8 aspects.

A

1) Promouvoir des choix responsables en matière de sexualité importance de se sentir «prêt(e)» avant d’avoir des relations sexuelles et de connaître les antécédents sexuels de ses partenaires passer régulièrement des tests de dépistage des ITSS une fois actif sexuellement connaissance des ITSS, de leurs conséquences et des moyens de s’en protéger.
2) Aborder l’aspect de la pression sociale avec les adolescents qui semblent surestimer le niveau d’activités sexuelles de leurs pairs (« Tes amis et les autres jeunes de ton âge ne sont pas tous actifs sexuellement. »).
3) Insister sur l’importance du respect de soi et de ses limites (« Tu as le droit de dire non, de refuser de faire quelque chose qui te rend mal à l’aise ou que tu ne désires pas »).
4) Soutenir l’investissement d’autres domaines que la sexualité, les relations amoureuses et l’image corporelle. 5) Développer la littéracie et le jugement critique face aux contenus sexualisés auxquels ils sont exposés, qui mettent le plus souvent en scène des scripts sexuels sexistes. (« Ce que montre la pornographie n’est pas conforme à la réalité sexuelle de la majorité; tu n’as pas à tenter de reproduire ce que tu vois. »).
6) Parler d’empathie, de relations égalitaires, remettre en question le double standard sexuel qui persiste (ex: Atteinte à la réputation des filles actives sexuellement).
7) Aider les jeunes à envisager les conséquences possibles de la publicisation de leur sexualité ou du partage de photos « sexy » (« Ce que tu mets sur Internet devient public et tu n’as plus aucun contrôle sur qui va voir cette photo, ce vidéo. ») Sextorsion, menaces, chantage, diffusion de matériel et enjeux liés au partage (légaux, moraux, etc.) dans le cas de jeunes mineurs.
8) Parler de consentement sexuel explicite (« Sans oui, c’est non ») Comment vérifier auprès du partenaire son consentement responsabilité mutuelle et continue erreurs d’interprétation des signaux d’intérêt état d’intoxication = aucun consentement, même s’il y avait consentement plus tôt dans la soirée ou lors d’une rencontre antérieure désistement du consentement.

93
Q

Vrai ou Faux

La prévalence du sexting augmente avec l’âge.

A

Vrai

94
Q

Vrai ou Faux

En intervention demandée à la personne à quoi elle s’identifie comme orientation sexuelle.

A

Vrai

95
Q

Vrai ou Faux

Les hommes homosexuels peuvent s’identifier bisexuels dans le but de passer pour un homme plus ‘‘mâle’’ auprès des autres hommes gais.

A

Vrai

96
Q

Vrai ou Faux

La fluidité sexuelle est plus présente chez les hommes.

A

Faux, chez les femmes.

97
Q

Que signifie les muscles chez les hommes homosexuels?

A

La perception d’être fort, la domination et le pouvoir.

98
Q

Quelles sont les 2 théories en lien avec les muscles et l’apparence des hommes?

A
  1. Culture : Confrontation à des modèles inatteignables.
  2. Comparaison sociale : Comparaison à des modèles supérieurs à soi, image de soi plus insatisfaisante, humeur négative, anxiété.
99
Q

Vrai ou Faux

Depuis certaines années, on priorise les hommes minces plutôt que musclés dans les médias.

A

Faux

100
Q

Vrai ou Faux

Le dopage sportif est un enjeu très préoccupant pour les jeunes.

A

Faux, pratique banalisée.

101
Q

À quoi sera confronté notre corps réel toute notre vie?

A

À notre corps perçu.

102
Q

Quel est le pourcentage d’insatisfaction corporelle chez les ados et jeunes hommes?

A

60-85 %.

103
Q

Que peut-on dire en général sur l’orientation sexuelle au cours d’une vie?

A

Elle est flexible et évolue continuellement.

104
Q

Qu’est-ce qui est considérée par certains comme étant une troisième orientation sexuelle?

A

Bisexualité

105
Q

Qu’est-ce que la fluidité sexuelle?

A

La fluidité est le niveau de variabilité par rapport à l’orientation sexuelle de base.

106
Q

Quelle catégorie de personnes ont des attitudes et stéréotypes plus négatifs face aux hommes bisexuels?

A

Les hommes hétérosexuels.

107
Q

Vrai ou Faux

Les bisexuels sont pour la majorité incapable d’entretenir une relation stable et monogame.

A

Faux

108
Q

Comment peuvent être marginalisés et perçus les bisexuels dans les communautés gay/lesbiennes?

A

Comme des ‘‘traîtres’’ ou des ‘‘indécis’’.

109
Q

Vrai ou Faux

Il est important de sortir de la dichotomie de l’orientation sexuelle, c-à-d, de ne pas présumer d’une hétéronormativité.

A

Vrai

110
Q

Les impacts négatifs du sexting concernent surtout qui?

A

Les filles.

111
Q

Nommer un facteur de risque et un de protection en lien avec le sexting.

A

Risque : pression par les pairs.

Protection : Haute estime personnelle.

112
Q

Nommer des interventions possibles en cas de sexting.

A
  1. Éduquer les conséquences légales du sexting.
  2. Responsabiliser les jeunes afin qu’ils soient des agents de leur sécurité (connaissances des risques, sexter de façon sécuritaire).
  3. Campagne contre l’intimidation et la cyber-intimidation.
113
Q

Qu’est-ce qu’un comportement à risque?

A

Engagement délibéré et répétitif dans des situations dangereuses.

114
Q

Quelle est la tendance du port du condom chez les ados au cours du secondaire?

A

La tendance du port du condom diminue avec l’âge.
Ados, sec. 1 : 83 %
Ados, sec. 5 : 62 %

115
Q

À quel moment le comportement à risque peut devenir problématique?

A

Si le comportement provoque une dépendance, comportements autodestructeurs ou exacerbe des comportements antisociaux.

116
Q

Vers quelle âge l’impulsivité est en hausse?

A

Augmente de 13 à 17 ans, diminue vers fin ado et adulte émergeant.

117
Q

Que représentent les conduites dangereuses liées entre elles?

A

Comorbidité.

118
Q

Quelle est la première cause de mortalité chez les 16-25 ans?

A

Accident de la route avec facultés affaiblies.

119
Q

Nommer un aspect positif aux conduites à risque.

A

Les ados vont pousser leurs limites, augmentant l’élévation de la tolérance à la souffrance.

120
Q

Qu’est-ce que le culte du héros?

A

Prise de risque et danger valorisés.

121
Q

Qu’est-ce qui peut être autant un facteur de risque que de protection dans les conduites à risque?

A

La famille/parents.

Moins de risque : bonne supervision, bon contrôle parental avec affection et proximité.

Plus de risque : consommation des parents, détresse psychologique, non-supervision peut amener des amis déviants, la perte d’un parent.

122
Q

Nommer trois pistes d’intervention pour les comportements à risque.

A
  1. Améliorer les connaissances des jeunes en rencontres scolaires.
  2. Avoir un ‘‘coffre à clefs’’ ou ‘‘maître des clefs’’, afin que personne conduit sous l’influence de l’alcool.
  3. Avoir des condoms sur soi en tout temps + habiletés et habitude de le mettre.