Normalité et trouble d'adaptation Flashcards
Définition de santé mentale selon Freud
Aimer, travailler, jouer
Définition de la santé selon l’OMS
État de complet bien-être physique, mental et social
Vrai ou faux : selon l’OMS, la santé mentale consiste en l’absence de maladie
Faux, plus complexe que l’absence de maladie ou d’infimité
Meilleurs indicateurs de trouble de santé mentale au niveau personnel (3)
Mauvaise santé physique
Mode de vie malsain
Faible niveau scolaire
Meilleurs indicateurs de trouble de santé mentale au niveau social (7)
Changement social rapide
Conditions de travail
Pauvreté
Exclusion sociale
Discrimination à l’égard des femmes
Risque de violence
Violation des droits de la personne
Vrai ou faux : si la normalité est l’adaptation à son milieu il risque d’y avoir une psychiatrisation excessive
Vrai, puisque tout comportement qui dérive de la norme deviendrait pathologique
Vrai ou faux : Freud rêvait de créer un modèle libéré des modèles biologiques
Faux, sa théorie provient d’un processus intellectuel lié aux modèles biologiques
Instinct de survie
Éros
Instinct de mort/destructivité
Thanatos
Vrai ou faux : les instincts de survie et de mort/destructivité sont en continuelle interaction
Vrai
Niveaux de conscience de la Première topique (3)
Inconscient
Préconscient
Conscient
Vrai ou faux : on ne peut accéder au préconscient
Faux, l’inconscient n’est pas accessible, mais le préconscient l’est
Instances de la deuxième topique (3)
Ça
Moi
Surmoi
Instance inconsciente qui est régie par les pulsions et par satisfaire ses désirs
Ça
Instance qui mature et gère les pulsions à l’aide des contraintes
Moi
Instance dans laquelle sont inclus les mécanismes de défense
Moi
Instance responsable de déterminer les règles de conduite
Surmoi
Vrai ou faux : le moi est présent dans le conscient et dans l’inconscient
Vrai, la prise de décision vient du champ de la conscience tandis que les mécanismes proviennent de l’inconscient
Âge du stade oral de Freud
0-14 mois
Stade de dépendance selon la 3e topique de Freud
Stade oral
Stade de la 3e topique de Freud dans laquelle il ne cherche qu’à satisfaire ses pulsions immédiatement
Stade oral
Troubles pouvant résulter du stade oral de Freud
Troubles psychotiques ou narcissiques
Âge du stade anal de Freud
14 mois à 3 ans
Stade de l’autonomie selon la 3e topique de Freud
Stade anal
Stade de la 3e topique de Freud dans lequel il apprend à contrôler ses sphincters
Stade anal
Troubles pouvant résulter du stade anal de Freud (3)
Avarice
Tendance au désordre
Tendance obsessionnelle
Âge du stade phallique/oedipien de Freud
3 à 6 ans
Stade de Freud où il y a organisation du surmoi
Stade phallique/oedipien
Traits de caractéristiques pouvant découler du stade phallique/oedipien selon Freud (3)
Séduction
Vouloir plaire
Attirer attention
Stade de la 3e topique de Freud où l’on se soumet à l’autorité du père et idéalise la mère chez les garçons
Stade phallique/oedipien
Stade de la 3e topique de Freud où l’on idéalise le père et où les trois issus possibles pour la fille sont la peur du pénis, l’hypermasculinité et le désir d’avoir un pénis
Phase phallique
Âge du stade de latence de la 3e topique de Freud
6 à 12 ans
Stade de la 3e topique de Freud où il y a ralentissement des pulsions sexuelles
Stade de latence
Stade de la 3e topique de Freud où le moi se renforce
Stade de latence
Période du stade génital selon la 3e topique de Freud
Puberté à fin de l’adolescence
Stade de la 3e topique de Freud où il y a une poussée d’hormones sexuelles et où il y a croissance de la libido
Stade génital
Réactions/sentiments du patient envers le médecin
Transfert
Vrai ou faux : un transfert et contre-transfert peut être positif ou négatif
Vrai
Vrai ou faux : comme le pensait Freud, un transfert et contre-transfert peut être un élément clé dans la relation thérapeutique
Faux, Freud le voyait comme un obstacle, mais ils sont maintenant bel et bien vus comme des éléments clés
Réactions/sentiments du médecin envers son patient
Contre-transfert
Contre-transfert dont le motif est induit par le patient
Contre-transfert direct
Contre-transfert dont le motif est un élément qui se reconnait au travers du patient sans lui être attribuable à lui
Contre-transfert indirect
Contre-transfert où le médecin s’identifie directement à un trait du patient
Contre-transfert direct concordant
Vrai ou faux : un contre-transfert direct concordant empêche souvent l’empathie envers le patient
Faux, favorise l’empathie
Contre-transfert où le médecin reconnait un élément qu’il associe à une autre personne/chose qu’à lui même
Contre-transfert direct complémentaire
Vrai ou faux : tout comme Freud, Hartmann pense que le moio émerge du ça
Faux, selon Hartmann le Moi est distint du ça dès la naissance
Dimensions au fondement de l’approche thérapeutique d’Erikson (3)
Interpersonnelles
Sociales
Culturelles
Âge du stade de confiance ou méfiance d’Erikson
0 à 18 mois
Âge du stade d’autonomie ou de honte/doute d’Erikson
18 mois à 3 ans
Âge du stade d’initiative ou culpabilité d’Erikson
3 à 6 ans
Âge du stade de travail ou d’infériorité d’Erikson
6 à 12 ans
Âge du stade d’identité ou de confusion/diffusion des rôles d’Erikson
12 à 20 ans
Âge du stade d’intimité ou d’isolement d’Erikson
20 à 35 ans
Âge du stade de générativité ou stagnation d’Erikson
35 à 65 ans
Âge d’intégrité ou de désespoir d’Erikson
À partir de 65 ans
Stade de la 3e topique de Freud (5)
Oral
Anal
Phallique/oedipien
Latence
Génital
Stade de développement d’Erikson (8)
Confiance ou méfiance
Autonomie ou honte/doute
Initiative ou culpabilité
Travail ou infériorité
Identité ou confusion/diffusion des rôles
Intimité ou isolement
Générativité ou stagnation
Intégrité ou désespoir
Conséquences positive et négative du stade confiance ou méfiance d’Erikson
Positive : optimiste et confiance
Négative : méfiance et crainte
Conséquences positive et négative du stade autonomie ou honte/doute d’Erikson
Positive : reconnaissance de ses besoins
Négative : échec et opposition
Conséquence négative du stade initiative ou culpabilité d’Erikson
Culpabilité envers ses désirs d’exploration
Conséquences positive et négative du stade travail ou infériorité d’Erikson
Positive : compétence
Négative : incompétence
Conséquences positive et négative du stade identité ou confusion d’Erikson
Positive : développement en confiance
Négative : désintéressement et difficulté avec les relations interpersonnelles
Conséquence négative du stade intimité ou isolement d’Erikson
Sentiment d’isolement
Conséquences positive et négative du stade générativité ou stagnation d’Erikson
Positive : intéret à partager son savoir aux jeunes
Négative : découragement
Conséquences positive et négative du stade intégrité ou désespoir d’Erikson
Positive : mort ne l’effraie pas, plénitude
Négative : échec, regret, finir vie isolé
Processus psychologiques automatiques et généralement inconscients qui protègent l’individu de l’anxiété et des conflits émotionnels
Mécanismes de défense
Mécanisme de défense : satisfaire ses propres besoins en répondant à ceux des autres
Altruisme
Mécanisme de défense : anticiper les conséquences émetionnelles afin d’avoir une réponse plus adaptée
Anticipation
Mécanisme de défense : adopter une discipline du corps et de l’esprit en recherchant une perfection
Ascétisme
Mécanisme de défense : mettre de l’avant des aspects amusants/ironique pour relâcher la tension
Humour
Mécanisme de défense : canaliser ses pulsions/sentiments vers un comportement socialement acceptable
Sublimation
Mécanisme de défense : éviter temporairement des problèmes afin de recentrer son focus sur quelque chose qui est plus pressant
Supression/répression
Mécanisme de défense : rediriger un sentiment/réponse sur un autre objet/personne n’ayant pas provoqué ce sentiment/réaction
Déplacement
Mécanisme de défense : altération de l’intégrité de la conscience dans laquelle la personne soustrait son psyché de la réalité
Dissociation
Mécanisme de défense associé aux états de transes, d’amnésie et de dépersonnalisation
Dissociation
Mécanisme de défense : susbtituer à un comportement/pensée inacceptable d’autres qui leur est opposé
Formation réactionelle
Mécanisme de défense : usage excessif de généralisations ou de pensées abstraites afin de minimiser des sentiments
Intellectualisation
Mécanisme de défense : séparer les sentiments des situations ou des idées
Isolation
Mécanisme de défense : expulser de sa conscience les désirs/pensées/expériences pénibles
Refoulement
Mécanisme de défense : utilisation de mots ou comportements afin d’en corriger/annuler un autre jugé innacceptable
Annulation rétroactive
Mécanisme de défense : non-considération d’une partie de la réalité
Déni
Mécanisme de défense : se réfugier dans l’immaginaire afin d’oublier la réalité
Fantaisie schizoïde/rêverie autistique
Mécanisme de défense : se tourner, parfois impulsivement, vers l’action
Acting out
Mécanisme de défense : saboter de façon indirecte autrui
Passivité-agressivité
Chez qui le mécanisme de défense de passivité-agressivité est très présent
Adolescents
Mécanisme de défense : attribuer à autrui ses propres sentiments/pulsions
Projection
Mécanisme de défense : chercher des explications cohérentes/acceptables à une situation pour dissimuler ce qui n’est pas acceptable
Rationnalisation
Chez qui la rationnalisation est très présente
Anti-sociaux
Mécanisme de défense : passage d’un état psychique avancé à un autre plus archaïque
Régression
Mécanisme de défense : rediriger un sentiment/réponse sur une autre partie de soi-même
Somatisation
Mécanisme de défense : compartimenter en deux extrêmes opposés
Clivage
Mécanisme de défense : projection dont la personne qui la subit ne désavoue pas totalement ce qui lui arrive
Identification projective
Classes de facteurs à tenir compte afin de tenter d’expliquer un comportement (4)
Prédisposant
Précipitant
Perpétuant
Protecteur
Vrai ou faux : la culture peut faire varier l’expression de la maladie
Vrai
Facteur référant à son enfance et d’avant sa naissance
Prédisposant
Facteur référant aux habitudes de vie sur le long terme
Perpétuant
Facteur référant à ce qui favorise la santé
Protecteur
Facteur qui peut avoir déclanché un épisode
Précipitant
Phases du syndrome général d’adaptation de Hans Selye (3)
Réaction d’alarme
Phase de résistance
Phase d’épuisement
Phase du syndrome d’adaptation dans lequel il y a mobilisation des ressources de défense
Réaction d’alarme
Phase du syndrome d’adaptation dans lequel il y a utilisation des ressources de défense
Phase de résistance
Phase du syndrome d’adaptation dans lequel il y a apparition des symptômes par perte des capacité d’adaptation
Phase d’épuisement
Vrai ou faux : les hommes célibataires ont plus de chances de souffrir de troubles d’adaptation
Faux, les femmes sont plus touchées
Caractéristiques du stresseur dans un trouble d’adaptation (5)
Pas exceptionnel (vie quotidienne)
Pas de niveau traumatisant
Peut être positif ou négatif
Peut toucher plusieurs domaines (psychosocial, personnel, environnemental)
Subjectivité importante
Acronyme CINE pour le stresseur dans un trouble d’adaptation (4)
manque de Contrôle
Imprévisible
Nouveau
menace l’Égo
Relation dont la réponse au stress cause aussi une rétroactivation du stresseur
Relation de type circulaire
Relation dont la réponse au stress entraîne l’apparition de nouveaux stresseur qui empirent la situation de base
Relation de type hélicoïdale
Relation dont les stress s’accumulent sans qu’il n’y ait de lien entre eux
Relation de type agrégation
Vrai ou faux : la sévérité du stresseur ne déféni pas la sévérité du trouble d’adaptation
Vrai (subjectivité importante)
Facteurs permettant de comprendre la raison de l’installation d’un trouble d’adaptation (3)
Signification subjective
Capacité à considérer des événements qui nous affectent
Capacité à affronter certains stresseurs
Concept référant à la capacité à considérer des événements qui nous affectent
Locus
Attribution à soi-même des événements qui nous arrivent, penser que les efforts fournis influencent ce qui nous arrive dans la vie
Locus interne
Attribuer au hasard ou à la fatalité des événements qui nous arrivent, permettant d’être plus confiant vis-à-vis des problèmes graves
Locus externe
Concept référant à notre capacité à affronter un stresseur
Coping/résilience
Tentatives de réduire/modifier/éliminer le stresseur
Coping centré sur le problème
Façons utilisées pour s’adapter au stresseur, apaiser ses émotions et modifier sa propre réaction face à celui-ci
Coping centré sur l’émotion
Faire preuve d’un cheminement mental du problème afin de prendre des décisions
Coping centré sur l’évaluation cognitive
Coping plus fréquent chez les femmes
Coping centré sur l’émotion
Coping plus fréquent chez les hommes
Coping centré sur le problème
Caractéristiques de la personnalité pouvant jouer un rôle protecteur face à un trouble d’adaptation (6)
Mécanismes de défense matures
Optimisme
Auto-efficacité
Résistance psychologique
Soutien familial
Bonne hygiène de vie
Réaction inadaptée/excessive par rapport à ce qui est considéré comme une réaction normale prévisible
Trouble d’adaptation
Natures des symptômes dans le trouble d’adaptation (4)
Neurovégétative
Émotionelle
Cognitive
Comportementale
Symptômes neurovégétatifs/somatiques dans le trouble d’adaptation (5)
Insomnie
Fatigue
Perte d’appétit
Céphalée
Douleurs diffuses
Symptômes émotionnels dans le trouble d’adaptation (6)
Anxiété
Humeur dépressive
Retrait affectif
Irritabilité
Colère
Agressivité
Symptômes cognitifs dans le trouble d’adaptation (5)
Difficulté d’attention/concentration
Troubles mémoires (court terme)
Intrusions de la pensée
Rumination mentale
Baisse de l’efficacité scolaire/professionnelle
Symptômes comportementaux dans le trouble d’adaptation
Opposition
Fugue
Trouble avec médicaments
Retrait social/école/travail
Utilités de la pharmacothérapie dans le traitement du trouble d’adaptation (2)
Échec de la psychothérapie
Diminuer certains symptômes spécifiques
Utilités psychothérapie dans le traitement du trouble de l’adaptation (6)
Réduire/éliminer le stresseur
Améliorer stratégies adaptation
Favoriser comportements adaptés
Établir système soutien social
Apprendre à verbaliser émotions destructrices
Comprendre la vraie signification du stresseur
Classes de médicaments dans le traitement du trouble de l’adaptation (4)
Benzodiazépines
Antidépresseurs
Antipsychotiques
B-bloqueurs
Utilité B-bloqueurs dans le traitement du trouble de l’adaptation
Manifestations physiques aiguës (tremblements)
Indications benzodiazépines dans le traitement du trouble de l’adaptation (2)
Échec psychothérapie
Composante anxieuse significative/stress important/insomnie
Indications antidépresseurs (4)
Échec psychothérapie
Dysphorie intense
ATCD perso./fam. dépression ou suicide/tentative
ATCD d’abus d’alcool
Vrai ou faux : le pronostic est bon et est le même chez toutes les tranches d’âge en trouble d’adaptation
Faux, il est généralement bon, mais les adolescents sont plus à risque d’une chronicisation des symptômes
Réactions qui peuvent survenir lors d’un deuil (6)
Émotions
Changement somatiques (sommeil/appétit)
Symptômes physiques (dyspepsie, fatigue, dyspnée)
Comportements (pleurs, hyperactivité)
Illusions
Mécanismes de défense (dépersonnalisation, dissociation)
Vrai ou faux : il n’existe pas de durée pour quelifier un deuil de pathologique
Vrai
Vrai ou faux : même lorsqu’il est attendu, le décès peut provoquer un deuil compliqué
Vrai, mais les personnes ont souvent le temps de passer au travers des phases classiques de la mort et donc un effet de prévention des deuils compliqués
Types de deuil compliqué (3)
Deuil chronique
Deuil retardé
Deuil masqué
Type de deuil où les personnes semblent bloquées dans le processus du deuil
Deuil chronique
Type de deuil se présentant longtemps après le décès et réaparaissent à des moments symboliques
Deuil retardé
Type de deuil se manifestant indirectement par des plaintes somatiques ou des comportements subits inattendus
Deuil masqué
À quoi peuvent parfois ressembler les plaintes somatiques d’un deuil masqué
Aux symptômes s’apparentant à ceux de la maladie du défunt
Caractéristiques du deuil par rapport à la dépression (5)
Diminue avec le temps
Peut être accompagné d’humeur positive
Estime de soi préservée
Pensées habituellement reliées à la personne décédée
Idées de mort souvent reliées à l’idée d’aller rejoindre le défunt
Caractéristiques de la dépression par rapport au deuil (4)
Humeur dépressive persistante
Non lié à des pensées/préoccup. précises
Autocritique importante, mépri de soi important
Idées de mort reliées à l’idée de mettre fin à ses jours
Vrai ou faux : il faut aborder le deuil chez l’enfant selon son niveau de développement
Faux, le sujet de la mort doit être clair, honnête et ouvert
Vrai ou faux : c’est la réaction de l’enfant par rapport à la mort qui changera en fonction de son niveau de développement
Vrai
Phases de réaction face à la mort selon Kûbler-Ross (5)
Choc/déni
Colère
Marchandage
Tristesse
Acceptation
Phase de réaction face à la mort selon Kübler-Ross dans laquelle le patient déplace ses sentiments sur son entourage et sur le personnel soignant
Colère
Phase de réaction face à la mort selon Kübler-Ross dans laquelle le patient change son attitude dans le but de plaire et adopte de meilleures habitudes de vie
Marchandage
Phase de réaction face à la mort selon Kübler-Ross dans laquelle le patient prend conscience des conséquences réelles de sa maladie, peut s’isoler et être nostalgique
Tristesse
Phase de réaction face à la mort selon Kübler-Ross dans laquelle le patient à moins d’intérêt pour l’extérieur et parle clairement de la mort
Acceptation
Vrai ou faux : la phase d’acceptation selon Kübler-Ross n’est ni négative ni positive et est l’évolution favorable du processus douloureux
Vrai