Noms auteurs perception Flashcards

1
Q

Coppola et al. (1998)

A

Ont mesuré la relation entre l’orientation des lignes (stimuli) et l’activité cérébrale (physiologie) chez des furêts.

Les lignes verticales et horizontales élicitent la plus grande activité.

Les lignes verticales et horizontales élicitent la plus grande activité que les obliques.

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2
Q

Furmanski et Engel (2000)

A
  1. Expérience :

ont mesuré les réponses comportementales et physiologiques des participants à des barres de différentes orientations

  1. Résultats

La sensibilité est maximale pour des orientations de 0° ou 90°

L’amplitude est plus grande pour des orientations de 0° et 90

  1. Conclusion :

Ces différences suggèrent que les neurones du cortex visuel sont sélectifs envers les orientations spécifiques et qu’ils réagissent de manière sélective aux barres présentées à différentes orientations.

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3
Q

Gustav Fechner (1801-1887)

A

Ont établi la mesure des seuils

  1. Les méthodes classiques de psychophysiques :
  • La méthode des limites
  • La méthode des ajustements
  • La méthode des stimuli constants
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4
Q

Fechner (1801-1887)

A
  1. Estimation de la magnitude
  2. Technique: Estimation de la magnitude :
  • Les stimuli sont au dessus du seuil
  • On donne à un observateur un stimulus standard ainsi qu’une valeur pour son intensité (ex valeur de 10).
  • L’observateur compare le stimulus standard avec des stimuli tests en leur attribuant une intensité relative à l’intensité standard (si le stimulus test semble deux fois plus lumineux que le stimulus standard, l’observateur va lui attribuer la
    valeur de 20)
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5
Q

Hartline, 1938, 1940

A
  1. les champs récepteurs d’une fibre nerveuse

Il a découvert que chaque cellule ganglionnaire avait un champ récepteur, qui était la zone de la rétine où la stimulation lumineuse pouvait influencer l’activité de cette cellule.

il a observé que la stimulation lumineuse du centre du champ récepteur provoquait une réponse excitatrice, tandis que la stimulation des régions périphériques provoquait une réponse inhibitrice

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6
Q

l’illusion de Chevreul

A

Expliqué par l’inhibition latérale

Par exemple, si une bande de couleur gris foncé est entourée de bandes blanches, les cellules sensibles au gris foncé enverront des signaux excitatoires aux cellules voisines sensibles à la luminosité.

Cependant, elles enverront également des signaux inhibiteurs aux cellules sensibles à la luminosité des bandes blanches adjacentes.

Cela aura pour effet de réduire la perception de la luminosité dans la bande grise foncée, la faisant paraître plus claire qu’elle ne l’est réellement.

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7
Q

L’approche de Hubel et Wiesel (1965)

A

L’approche de Hubel et Wiesel (1965) pour étudier les champs récepteurs

expérience :

Ils ont utilisé des techniques de microélectrodes pour insérer des électrodes fines et sensibles dans le cortex visuel des animaux, leur permettant d’enregistrer l’activité électrique des neurones spécifiques.

Ils ont observé que les neurones dans le cortex visuel avaient des champs récepteurs spécifiques, c’est-à-dire des régions spécifiques de l’espace visuel qui les influençaient

Types de neurones :

  1. Cellules corticales simples
  2. Cellules corticales complexes
  3. Cellules corticales “End-Stopped”
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8
Q

Kapadia (2000)

A

Dans l’étude menée par Kapadia en 2000, il a été démontré que la réponse d’un neurone à une stimulation dans son champ récepteur peut être modulée par les stimuli présents à l’extérieur de ce champ récepteur.

Expérience :

Kapadia et ses collègues ont examiné les réponses des neurones dans le cortex visuel primaire d’animaux à des stimuli visuels présentés dans leur champ récepteur, ainsi qu’à des stimuli présentés à l’extérieur de ce champ récepteur.

Ils ont constaté que les réponses neuronales aux stimuli dans le champ récepteur étaient influencées par les caractéristiques des stimuli présents à l’extérieur de ce champ récepteur.

  1. Résultats :

Cela suggère que les informations provenant des régions voisines du champ récepteur peuvent moduler la réponse neuronale, ce qui indique l’existence de mécanismes d’inhibition latérale ou d’excitation latérale

  1. Conclusion :

Ces mécanismes permettent de tenir compte du contexte visuel plus large et d’optimiser le traitement de l’information visuelle en tenant compte des interactions entre les différentes régions du cortex visuel.

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9
Q

Womelsdorf et al. (2006)

A
  1. Expérience :

Le singe était placé devant un écran et fixait un point blanc central. Des stimuli visuels, tels qu’un diamant et un point, étaient présentés à différentes localisations sur l’écran, indiquées par des flèches.

Le but de l’étude était d’observer comment les régions du champ récepteur de la rétine, qui génèrent les plus grandes réponses, étaient modulées lorsque le singe prêtait son attention soit au diamant, soit au poin

  1. Resultats :

Les résultats ont montré que la cartographie du champ récepteur se déplaçait vers la droite lorsque le singe déplaçait son attention du diamant au point.

Conclusion :

Cela suggère que l’attention sélective modifie l’activation des régions spécifiques du champ récepteur de la rétine, correspondant aux stimuli auxquels le singe prêtait attention.

Cette étude met en évidence l’importance de l’attention dans la modulation des réponses visuelles et montre comment les régions du champ récepteur de la rétine peuvent être influencées par les changements d’attention

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10
Q

Dougherty et al. (2003)

A

Présentation d’une lumière au niveau: de la fovéa (en rouge); de la
périphérie (en bleu)
* Les régions cérébrales activées par ces deux stimuli sont indiquées dans la figure b)

  1. Résultats :
  • Une petite stimulation de la fovéa active une plus grande région au niveau du cortex visuel (rouge) qu’une grande stimulation au niveau de la périphérie(bleu)
  1. Conclusion :

Ces résultats mettent en évidence l’importance de la fovéa dans la perception visuelle, montrant que même une petite stimulation de la fovéa peut entraîner une activation plus étendue dans le cortex visuel par rapport à une stimulation plus grande dans la périphérie de la rétine

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11
Q

Azzopardi et Cowey (1993)

A

L’effet de magnification corticale

L’étude menée par Azzopardi et Cowey (1993) a examiné l’effet de magnification dans le traitement visuel en utilisant une démonstration visuelle

  1. Expérience :

Dans cette expérience, une personne regardait un point rouge placé sur un texte à gauche de l’écran.

La figure de droite de l’étude montre les aires cérébrales activées par chaque lettre du texte de gauche.

L’idée principale est de démontrer comment l’attention visuelle et la focalisation sur un point spécifique peuvent influencer l’activation des aires cérébrales correspondant aux différentes lettres du texte.

  1. Résultats :

Les résultats de l’étude ont montré que les lettres du texte qui étaient proches du point rouge, et donc plus directement en relation avec l’attention visuelle, étaient associées à une plus grande activation des aires cérébrales correspondantes.

  1. Conclusion :

Cet effet de magnification suggère que l’attention visuelle peut amplifier les signaux neuronaux associés aux stimuli visuels pertinents, facilitant ainsi leur traitement dans le cerveau

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12
Q

Azzopardi et Cowey (1993)

A

L’effet de magnification corticale

L’étude menée par Azzopardi et Cowey (1993) a examiné l’effet de magnification dans le traitement visuel en utilisant une démonstration visuelle

  1. Expérience :

Dans cette expérience, une personne regardait un point rouge placé sur un texte à gauche de l’écran.

La figure de droite de l’étude montre les aires cérébrales activées par chaque lettre du texte de gauche.

L’idée principale est de démontrer comment l’attention visuelle et la focalisation sur un point spécifique peuvent influencer l’activation des aires cérébrales correspondant aux différentes lettres du texte.

  1. Résultats :

Les résultats de l’étude ont montré que les lettres du texte qui étaient proches du point rouge, et donc plus directement en relation avec l’attention visuelle, étaient associées à une plus grande activation des aires cérébrales correspondantes.

  1. Conclusion :

Cet effet de magnification suggère que l’attention visuelle peut amplifier les signaux neuronaux associés aux stimuli visuels pertinents, facilitant ainsi leur traitement dans le cerveau

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13
Q

Hubel et Wiesel (1965)

A

Ont découvert l’existence de colonnes d’orientation et de localisation :

  1. Colonne d’orientation

Chaque colonne d’orientation contenait des neurones sensibles à des orientations similaires, mais les neurones dans les colonnes adjacentes étaient sensibles à des orientations légèrement différentes.

Par exemple, dans une colonne, les neurones pouvaient être sensibles aux lignes verticales (90 degrés), tandis que dans la colonne voisine, les neurones pouvaient être sensibles aux lignes légèrement inclinées vers la gauche. (85 degrés) etc

  1. Colonne de localisation :

Ont observé des neurones qui ont des champ récepteurs situés au même endroit dans la rétine

Cela signifie que les neurones sensibles à des stimuli visuels provenant de régions voisines du champ visuel étaient également regroupés de manière adjacente dans le cortex visuel.

Ainsi, la disposition spatiale des neurones dans le cortex visuel reflétait la disposition spatiale des stimuli visuels dans le champ visuel.

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14
Q

Zeki (1992, 1993)

A

Théorie de la spécialisation fonctionnelle

Zeki a identifié plusieurs aires visuelles spécialisées dans le cortex cérébral.

Voici quelques-unes des principales aires identifiées par Zeki :

Aire V1 (cortex strié) : C’est la première aire visuelle du cortex et est responsable du traitement primaire des informations visuelles provenant de la rétine. Elle est impliquée dans le traitement des caractéristiques basiques telles que l’orientation et la localisation spatiale.

Aire V2 : Située juste à côté de l’aire V1, l’aire V2 est impliquée dans le traitement des caractéristiques visuelles avancées, telles que la perception de la profondeur et la détection des contours.

Aire V3 : L’aire V3 est une extension de l’aire V2 et est impliquée dans le traitement des informations visuelles liées au mouvement.

Aire V4 : Cette aire est spécialisée dans le traitement de la couleur. Elle joue un rôle important dans la perception et la discrimination des couleurs.

Aire MT (ou V5) : Également connue sous le nom d’aire du mouvement médio-temporal, elle est spécialisée dans le traitement du mouvement visuel. Elle joue un rôle crucial dans la perception du mouvement et dans le suivi des objets en mouvement.

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15
Q

Bouvier et Engel (2006)

A

Achromatopsie (détection par étude de patients )

  • Associée à des dommages causés en V4
  • Souvent, seule une perte partielle de la vision des couleurs
  • Accompagnée fréquemment de
    problèmes spatiaux

Conclusion :

V4 est importante dans le traitement de la couleur, mais joue aussi un rôle dans le traitement spatial

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16
Q

Conway, Moeller, et Tsao (2007)

A

Etude par imagerie fonctionelle

Les groupes de cellules en V4 répondent « fortement » à la couleur

Beaucoup montrent également une
certaine réactivité à la forme

Conclusion :

V4 est impliquée dans le traitement de la couleur, mais ce n’est peut-être pas sa seule fonction

17
Q

Orban et al. (2003)

A

Ont utilisé l’IRMf sur des humains et des singes

  • Ont trouvé que plus d’aires corticales sont impliquées dans le traitement du mouvement chez l’humain que chez le singe
18
Q

Orban et al. (2003)

A

Ont utilisé l’IRMf sur des humains et des singes

  • Ont trouvé que plus d’aires corticales sont impliquées dans le traitement du mouvement chez l’humain que chez le singe
19
Q

Ungerleider et Mishkin (1982)

A
  1. Experience

Dans l’expérience menée par Ungerleider et Mishkin en 1982, les chercheurs ont utilisé des singes pour étudier l’effet de l’ablation de certaines parties du cerveau sur les capacités de reconnaissance d’objets et d’action avec des objets.

  1. Resultats

Les chercheurs ont identifié deux principales régions corticales impliquées dans le traitement visuel et spatial : la voie dorsale (voie “où”) et la voie ventrale (voie “quoi”).

La voie dorsale est responsable du traitement des informations spatiales et du mouvement des objets, tandis que la voie ventrale est impliquée dans la reconnaissance des objets.

En retirant sélectivement certaines parties du cortex cérébral des singes, les chercheurs ont constaté que les lésions de la voie dorsale entraînaient des déficits dans les tâches spatiales, telles que la localisation des objets.

En revanche, les lésions de la voie ventrale provoquaient des déficits dans les tâches de reconnaissance des objets.

20
Q

Milner & Goodale, 1995 (singes expérience)

A
  1. Expérience :

Dans leur étude en 1995, Milner et Goodale se sont intéressés à la voie visuelle “où” (where) et à son rôle dans le traitement de l’action (how) chez les singes.

Ils ont observé les réponses des neurones du cortex pariétal chez les singes lorsque ceux-ci étaient exposés à la vision d’un objet, ainsi que lorsque les singes s’approchaient physiquement de cet objet.

  1. Resultats :

Les chercheurs ont constaté que certains neurones du cortex pariétal des singes présentaient une activité accrue non seulement lorsque les singes percevaient visuellement un objet, mais également lorsque les singes effectuaient des mouvements ou des actions en direction de cet objet.

Ces neurones étaient donc impliqués à la fois dans le traitement visuel de la localisation de l’objet (voie “où”) et dans la planification et l’exécution des actions motrices liées à cet objet (voie “how”)

  1. Conclusion :

Cette découverte a permis de mettre en évidence la dissociation entre la voie visuelle “où”, qui traite les informations spatiales et de localisation des objets, et la voie de l’action “how”, qui est responsable de la planification et de l’exécution des mouvements en réponse à ces objets.

Cette dissociation suggère que le traitement de l’action motrice est indépendant du traitement perceptuel de l’objet lui-même.

21
Q

Milner & Goodale, 1995, cas du patient DF

A

DF était une patiente atteinte d’une lésion au niveau du lobe temporal, notamment de la voie ventrale du système visuel.

  1. Expérience

Une des principales découvertes de cette étude était la dissociation entre la perception visuelle et la capacité de discrimination des objets chez DF.

Malgré sa capacité à reconnaître les objets, DF avait des difficultés à discriminer les détails précis des objets, tels que leur orientation ou leur taille.

Cependant, une particularité intéressante était que DF était encore capable d’effectuer des actions motrices appropriées avec les objets. Par exemple, elle pouvait saisir correctement un objet, ajuster sa prise en fonction de sa taille et le placer dans une position cible

  1. Résultats :

Cela suggérait que la voie “how” (voie de l’action) était relativement préservée chez DF, tandis que la voie “what” (voie de la perception) était affectée.

Il y a donc une dissociation entre la perception et l’action

22
Q

Ganel et al., 2008

A

L’étude menée par Ganel et ses collègues en 2008 examinait la séparation entre la perception visuelle et l’action motrice chez des sujets sains, en se concentrant spécifiquement sur l’effet d’une illusion sur la voie ventrale du système visuel

Expérience :

L’illusion étudiée dans cette expérience était l’illusion de la taille constante, qui se produit lorsque deux objets identiques sont présentés avec des contextes visuels différents, ce qui donne l’impression que l’un des objets est plus grand que l’autre.

Cette illusion affecte principalement la perception de la taille des objets, tandis que la capacité à réaliser des actions motrices appropriées avec les objets reste généralement inchangée.

  1. Résultats :

Les résultats de l’étude ont montré que les sujets sains étaient également sensibles à l’illusion de la taille constante, ce qui indique que leur perception visuelle était affectée par cette illusion.

Cependant, lorsqu’il s’agissait de réaliser des actions motrices avec les objets, les sujets étaient capables d’ajuster leur prise et leur manipulation en fonction de la véritable taille des objets, plutôt que de l’illusion induite par le contexte visuel.

  1. Conclusion :

Cela suggère une séparation entre la perception visuelle et l’action motrice, où la voie ventrale impliquée dans la perception est plus fortement affectée par l’illusion que la voie dorsale impliquée dans l’action.

23
Q

Rolls et Tovee (1995)

A

Ils ont mesuré la réponse des neurones du cortex inférotemporal
(IT) de singes :

  • Répondent de manière maximale aux visages, faiblement à des stimuli qui ne sont pas des visages
  • Des lésions au lobe temporal chez les êtres humains conduisent à la prosopagnosie
24
Q

Tsao et al. (2006).

A

Présentation de 96 images de différents stimuli (visages, corps, fruits, gadgets, mains, patterns brouillés) à deux singes.

  • Enregistrement de l’activité de neurones situés au niveau du cortex
    inférotemporal.
  • 97% des neurones répondent de manière sélective aux visages
25
Q

Huth et al. (2012)

A
  1. Expérience :

Présentent à des participants des films qui ont plus de 1500 objets que les chercheurs regroupent en catégories

Ont mesuré chaque voxel par rapport à la sensibilité aux catégories

  1. Résultats :

Chaque Voxel va être sensible aux différentes catégories

L’info lié n’est pas uniquement localisée a une seule région spécifique mais distribué dans l’ensemble du cerveau, mais certaines régions sont effectivement plus sensibles

26
Q

Afraz, Kiani et Esteky (Nature, 2006)

A
27
Q

Gauthier et al. (1999)

A

Greebles (statues classées en différentes familles)

  1. Expérience :

Chercheurs entrainent étudiants à devenir experts en reconnaissance de Grebbles

  1. Resultats :

Avant entrainement = FFA plus sensibles aux visages que greebles

Après entrainement = FFA sensible casi de la même manière aux visages que Greebles