Noms auteurs mémoire Flashcards

1
Q

Atkinson et Shiffrin, 1968

A

Le modèle modal de la mémoire

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2
Q

Peterson & Peterson,
1959

A

Mesure de la durée de la mémoire à court-terme

Ont prouvé que les durée d’info restent 15-20 secondes dans la mémoire à court terme et qu’il y a une diminution rapide de la mémoire a court terme au fil du temps

  1. Expérience :

Lire trois lettres, puis un nombre
* Commencer à compter à reculons de trois en trois
* Après un court délai, se souvenir des trois lettres.

    • Résultats:
      * Lorsque les participants devaient compter pendant 3 secondes = performances de 80%
  • Lorsque les participants devaient compter pendant 18 secondes = performances à 10%.
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3
Q

Keppel et Underwood (1962)

A

Les résultats de l’expérience de Peterson et Peterson ont montré une diminution rapide de la mémoire à court terme au fil du temps. Cependant, Keppel et Underwood ont remis en question ces résultats et ont mené une nouvelle analyse approfondie pour mieux comprendre l’influence de la présentation d’un premier essai sur les performances ultérieures.

Ils ont découvert que si un premier essai était présenté aux participants, même avec une période de rétention courte, les performances ultérieures montraient une diminution beaucoup moins prononcée par rapport à l’absence d’un premier essai.

Cela suggère que l’effet de la diminution de la mémoire à court terme observé dans l’étude de Peterson et Peterson peut être influencé par des facteurs tels que la familiarisation initiale avec les stimuli. Lorsqu’un premier essai est présenté, les participants ont déjà une certaine expérience avec les trigrammes, ce qui peut faciliter le rappel ultérieur.

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4
Q

Luck et Vogel (1997)

A

L’étude menée par Luck et Vogel en 1997 a introduit le paradigme de la détection du changement pour évaluer l’empan mnésique des participants. Plutôt que de mesurer directement la quantité d’informations mémorisées, cette approche se concentre sur la capacité des individus à détecter les changements entre deux stimuli visuels.

Experience :

  1. Chaque paire d’images était présentée brièvement à l’écran, suivie d’un intervalle de rétention court ou long. Par la suite, une des images de la paire était présentée à nouveau, soit inchangée (répétition), soit avec une modification (changement)
  2. Les résultats ont révélé que les participants étaient généralement bons pour détecter les changements lorsque l’intervalle de rétention était court. Cependant, lorsque l’intervalle de rétention était plus long, la capacité à détecter les changements diminuait considérablement.

Conclusion :

Ces résultats suggèrent que la mémoire visuelle à court terme est limitée en termes de la quantité d’informations qu’elle peut retenir sur une courte période. Lorsque l’intervalle de rétention est plus long, les informations stockées dans la mémoire visuelle sont progressivement oubliées ou confondues avec de nouvelles informations.

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5
Q

Temps de rétention

A

fait référence à la durée pendant laquelle une information est maintenue et disponible dans la mémoire.

Il s’agit de la période pendant laquelle une personne peut se souvenir activement d’une information sans avoir besoin de la répéter ou de la récupérer à partir d’une source externe.

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6
Q

Alvarez and Cavanagh (2004)

A

Ont remarqué que la capacité de la MCT est déterminée également par le poids de
l’information à mémoriser

Plus l’information est complexe, plus la capacité de la MCT est petite

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7
Q

Conrad (1964)

A

Encodage auditif :

Les participants voyaient rapidement des lettres cibles qu’il
devaient écrire

  • Les erreurs se produisaient le plus souvent avec des lettres
    qui se ressemblaient auditivement (F & S)
  • La MCT est auditive
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8
Q

Della Sala (1999)

A

Encodage visuel :

Présentation d’une information visuelle difficile à verbaliser

  • Les participants étaient capables de recréer des patterns

comprenant jusqu’à 9 items
* La MCT est aussi visuelle

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9
Q

Wickens et al. (1976)

A

Encodage sémantique :

  1. Dans l’expérience de Wickens, les participants étaient présentés avec une liste de mots appartenant à différentes catégories sémantiques, tels que des fruits, des animaux, des objets, etc. Ils devaient se souvenir de ces mots dans l’ordre de leur présentation
  2. Les résultats de l’étude ont montré que lorsque les participants étaient exposés à des listes de mots appartenant à des catégories sémantiques différentes (par exemple, fruits, animaux, objets), leur performance de rappel était significativement meilleure que lorsque les mots appartenaient tous à la même catégorie (par exemple, fruits, fruits, fruits).

Cela suggère que l’encodage sémantique facilite la rétention et le rappel des informations en mémoire à court terme.

En effet, lorsque les mots étaient tous de la même catégorie, l’interférence proactive était plus susceptible de se produire, ce qui pouvait entraîner une baisse des performances de rappel.

Disparition de l’interférence proactive: augmentation de la mémoire lorsque les participants changeait de catégories (de professions a fruits)

La MCT est aussi sémantique

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10
Q

Baddeley et Hitch (1974)

A

ont introduit le concept de mémoire de travail

Mémoire de travail :

système ayant une capacité limitée pour un stockage temporaire ainsi que pour la manipulation d’informations lors de tâches cognitives complexes telles la compréhension, l’apprentissage et le raisonnement.

Mct : retient info

Mdt : utilise info

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11
Q

Baddeley et Hitch (1974) (modèle de MDT)

A

Diagramme des trois composantes principales du modèle de la mémoire de travail de Baddeley et Hitch (1974; Baddeley 2000):

  1. la boucle phonologique,
  2. le calepin visuospatial
  3. l’administrateur central.
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12
Q

Shepard et Metzler (1971)

A

Expérience (pour calepin visuo-spatial, existence d’un processus de rotation mentale) :

Dans l’étude, les participants étaient présentés avec des paires d’images tridimensionnelles d’objets simples, tels que des cubes ou des formes géométriques, qui étaient positionnés à des angles différents.

Les participants devaient décider si les deux images représentaient la même forme, mais vue sous des angles différents, ou si elles représentaient des formes différentes.

  1. Les résultats de l’étude ont montré que plus l’angle de rotation était important, plus les participants mettaient de temps à décider si les images étaient identiques ou différentes.

Ces résultats suggèrent l’existence d’un processus de rotation mentale par lequel les individus effectuent une manipulation mentale des objets dans l’espace pour les aligner et les comparer.

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13
Q

Baddeley et al. (2009)

A

Modèle révisé de la MDT de Baddeley et al. (2009), qui contient les trois composantes originales plus
le buffer épisodique

Buffer épisodique :

Système de stockage qui communique avec la mémoire à long terme
(MLT).

  • Permet d’augmenter les capacités de stockage de la MDT
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14
Q

Goldman – Rakíc (1992)

A

Le cortex préfrontal est impliqué dans le traitement de la MDT

Les recherches de Goldman-Rakic et de son équipe ont montré que des lésions ou des altérations du cortex préfrontal chez les singes ont un impact significatif sur leur capacité à maintenir l’information en mémoire de travail pendant de courtes périodes de temps.

Les singes ayant subi de telles lésions présentaient des déficits dans les tâches de mémoire de travail qui exigeaient le maintien actif d’informations dans leur esprit pour effectuer des tâches cognitives complexes.

  1. Resultats :

Ces résultats ont confirmé le rôle crucial du cortex préfrontal dans la mémoire de travail et ont souligné que les altérations de cette région du cerveau peuvent entraîner des déficits importants dans la capacité à maintenir et à manipuler l’information temporairement.

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15
Q

Funahashi et al. (1989)

A

Cette étude visait à mieux comprendre le rôle du cortex préfrontal dans le maintien de l’information en mémoire de travail.

experience :

Dans la tâche délai-réponse, les singes étaient entraînés à maintenir une information dans leur mémoire de travail pendant un court laps de temps, puis à donner une réponse appropriée en fonction de cette information.

  1. Results

Les enregistrements unitaires ont révélé des résultats intéressants

Les chercheurs ont observé que certaines cellules du cortex préfrontal présentaient une activité persistante pendant la période de délai de la tâche, c’est à dire lorsque les singes devaient maintenir l’info en MDT.

Plus précisément, les cellules montraient une activité qui représentait spécifiquement l’information à maintenir, comme la localisation spatiale d’un objet ou la catégorie d’un stimulus.

  1. Conclusions :

Ces résultats suggèrent que le cortex préfrontal joue un rôle clé dans le maintien de l’information en mémoire de travail.

Les cellules du cortex préfrontal semblent être capables de maintenir activement des représentations de l’information pertinente pendant des délais de temps courts, ce qui permet aux individus de réaliser des tâches cognitives nécessitant la mémoire de travail.

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16
Q

Harrison et Tong (2009)

A
  1. Expérience :
  2. Les chercheurs ont utilisé des techniques d’imagerie cérébrale, notamment l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), pour mesurer l’activité cérébrale pendant une tâche de mémoire de travail visuelle. Les participants devaient maintenir en mémoire une orientation spécifique d’une image visuelle pendant une période donnée.
  3. Résultats :

Les résultats de l’étude ont montré que les chercheurs étaient capables de prédire avec une précision de 83% quelle orientation les participants gardaient en mémoire en se basant uniquement sur les modèles d’activité cérébrale enregistrés à l’aide de l’IRMf.

  1. Conclusion :

En résumé, l’étude de Harrison et Tong (2009) a démontré la possibilité de prédire avec précision l’orientation que les participants gardaient en mémoire en analysant les schémas d’activité cérébrale

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17
Q

Beilock et Carr (2005)

A

Expérience :

Les chercheurs ont ensuite mesuré les performances des participants qu’ils ont stressés lors de tâches impliquant des mouvements précis, tels que le suivi d’un tracé avec un stylet.

Résultats :

Diminution des performances dans des conditions de stress, en particulier dans les tâches qui exigent une attention et une coordination précises.

Car les préoccupations utilisent une partie de la MDT

18
Q

Beilock (2008):

A

la pression entraîne des préoccupations qui utilisent une partie des capacités de la MDT qui seraient nécessaires à la résolution du problème

19
Q

Ramirez et Beilock (2011)

A

Expérience :

Les chercheurs ont réalisé une expérience dans laquelle les participants devaient effectuer une tâche de calcul mentale tout en étant soumis à des distractions verbales stressantes. Dans certaines conditions, les participants étaient invités à écrire leurs préoccupations sur une feuille de papier avant de commencer la tâche, ce qui visait à les aider à “se décharger” de leurs inquiétudes.

Resultats : Les résultats de l’étude ont montré que les participants qui avaient écrit leurs préoccupations avant de commencer la tâche présentaient une amélioration significative de leurs performances par rapport aux autres participants.

Conclusion : l’élimination des préoccupations peut atténuer cette diminution des
performances

20
Q

Murdoch (1962)

A

Expérience :

Les participant.e.s doivent lire la liste de stimuli et écrire tous les mots dont ils/elles se souviennent :

  • La position sérielle : la position des mots dans la liste (barricade = position 1, hockey = position 20)

Resultats :

Les résultats ont montré que:

  1. La mémoire est meilleure pour les stimuli présentés au début de la liste

=>Effet de primauté :

  • Lorsque la répétition est plus longue => plus de chance d’entrer dans la MLT.
  1. La mémoire est meilleure pour les stimuli présentés à la fin de la liste.

=> Effet de récence :

  • Les stimuli sont toujours encore dans la MCT/ MDT
21
Q

Glanzer et Cunitz, 1966

A

L’étude menée par Glanzer et Cunitz en 1966 visait à examiner l’effet de la récence dans la mémoire à court terme

Expérience :

Pour éliminer l’effet de récence, les chercheurs ont utilisé une technique spécifique. À la fin de chaque liste d’items à mémoriser, ils ont introduit un délai de 30 secondes avant de demander aux participants de se rappeler les éléments de la liste.

Pendant ce délai, les participants devaient compter à reculons à partir d’un nombre donné, par exemple, à partir de 1000 en soustrayant 7 à chaque fois.

Resultats :

Les résultats de l’étude ont montré que l’effet de récence était effectivement éliminé lorsque le délai et la tâche de comptage étaient utilisés. Les participants avaient des performances de rappel similaires pour les éléments présentés au début et à la fin de la liste

22
Q

Sachs (1967)

A

L’encodage sémantique

Expérience :

Dans cette étude, les participants étaient soumis à une tâche de reconnaissance de texte. Ils lisaient d’abord un premier texte, puis un deuxième texte leur était présenté. La tâche des participants était de déterminer si le deuxième texte était identique au premier texte qu’ils avaient précédemment lu.

L’objectif de cette tâche était d’évaluer si les participants se souvenaient de l’exactitude du texte (c’est-à-dire s’ils se souvenaient des mots spécifiques et de leur ordre) ou s’ils se souvenaient plutôt de la signification générale du texte

Resultats :

Les résultats de l’étude ont montré que les participants avaient tendance à se souvenir davantage de la signification générale du texte plutôt que des détails spécifiques

Conclusion :

Ces résultats suggèrent que l’encodage sémantique, c’est-à-dire le traitement et la compréhension de la signification des informations, joue un rôle important dans la mémoire de reconnaissance des textes.

Les participants ont été plus influencés par la similarité sémantique entre les textes que par la similarité exacte des mots et des phrases.

23
Q

Patient H.M

A

Henry molaison a eu une ablation du lobe temporal médian

  1. MCT perseverée
  2. Incapable de stocket et encoder de nouvelles infos dans MLT

Développe une Amnésie antérograde (incapacité de stocker de nouveaux souvenirs) souvenirs

Son cas a permis de démontrer:

  • Une dissociation simple entre la mémoire à court terme (MDT) et mémoire à long terme
  • Que la capacité de former des souvenirs à long terme est localisée dans une région située dans le lobe temporal médian au niveau de l’hippocampe et des régions
    avoisinantes
  • Une dissociation simple entre mémoire à long terme déclarative et mémoire à long
    terme implicite
24
Q

Patiente K.F.

A

Accident de moto. Empan mnésique de 2 au lieu de 7. Il arrive par contre à se souvenir des événements stockés dans sa MLT.

MCT/MDT KO

MLT OK

25
Q

Patiente K.C

A

Lésions à l’hippocampe

Pas de mémoire épisodique, il ne peut pas se souvenir d’événements de son passé

  • Mémoire sémantique intacte, il peut se souvenir d’informations générales à propos de son passé

Mémoire épisodique : hippocampe et lobe temporal médian

Mémoire sémantique: Différentes régions du cortex préfrontal latéral gauche et du cortex temporal antérieur

26
Q

Femme italienne

A
  1. Détérioration de la mémoire sémantique
  2. La mémoire épisodique est préservée
  3. Double dissociation entre mémoire sémantique et mémoire épisodique :

Elles sont affectées différemment par des lésions cérébrales

Mémoire épisodique: Hippocampe et lobe temporal médian

Mémoire sémantique: Différentes régions du cortex préfrontal latéral gauche et du cortex temporal antérieur

27
Q

Nyberg et al. (2012):

A

A fait une étude longitudinale

  1. La mémoire épisodique est stable entre 35-60 ans, mais détériore ensuite rapidement
  2. La mémoire sémantique augmente entre 35-60 ans avant de décliner, mais beaucoup plus lentement
28
Q

Levine et collaborateurs (2004)

A
  1. On demande à des participants d’enregistrer soit des souvenirs personnels (mémoire épisodique) soit des faits établis et connaissances générales (mémoire
    sémantique).
  2. On regardé le cerveau par IRMf
  3. Les résultats de l’étude ont révélé des activations spécifiques du cerveau associées à la mémoire sémantique. Plus précisément, les régions du cortex cérébral impliquées dans le traitement du langage, telles que le cortex frontal inférieur et le cortex temporal, ont montré une activation significative lors de l’enregistrement des connaissances générales et des faits établis. (sémantique)
29
Q

Perfect et Askew (1994)

A

Sur l’amorçage, mémoire implicite

Expérience :

Les participants regardaient un magazine dans lequel des publicités étaient montrées sur certaines pages. On demandait aux participants de ne pas prêter
attention aux publicités.

  • Evaluation d’un nombre de publicités (attractivité, originalité, distinction)

Résultats :

  • Les publicités vues dans le magazine recevaient des évaluations meilleures que les publicités qui n’ont pas été présentées dans le magazine.

Conclusion :

  • Mémoire implicite: car lorsque les participants ont été invités à indiquer quelles publicités avaient été présentées au début de l’expérience, ils n’ont reconnu en moyenne que 2.8 des 25 publicités originales.
30
Q

Pavlov (1889)

A

Amorcage, mémoire implicite

Association d’un stimulus neutre (sonnerie) à unstimulus inconditionnel (alimentation).

La simple présentation du
stimulus neutre peut ensuite entraîner une réponse (salivation).

31
Q

Craik & Tulving (1975)

A

L’étude menée par Craik et Tulving en 1975 visait à examiner les effets du traitement en profondeur sur la mémoire. Les chercheurs ont présenté des mots aux participants et leur ont posé trois types différents de questions

  1. Traitement de surface : impliquait de demander aux participants de juger si les mots étaient écrits en lettres majuscules ou minuscules.
  2. Traitement de profondeur : impliquait de demander aux participants de juger si les mots étaient des synonymes d’un autre mot donné
  3. Traitement de profondeur maximale : impliquait de demander aux participants de juger si les mots étaient pertinents pour une phrase donnée (fill in the blanks)

Les chercheurs ont ensuite testé la mémoire des participants en leur demandant de rappeler les mots qui leur avaient été présentés précédemment.

Résultats :

Les résultats de l’étude ont montré que le traitement de profondeur maximale conduisait à de meilleurs résultats de rappel que le traitement de surface.

Les participants qui avaient traité les mots en profondeur, en réfléchissant à leur signification et à leur relation avec le contexte, se souvenaient de manière plus précise des mots que ceux qui avaient effectué un traitement superficiel.

32
Q

Bower & Winzenz (1970)

A

L’apprentissage par association de
paires

Expérience :

Deux groupes apprennent 15 paires de mots

  1. Premier groupe les apprend par imagerie mental (formation d’une image mentale dans laquelle les deux mots étaient en interaction)
  2. Deuxième groupe répètent silencieusement les mots lorsqu’ils sont présentés

Résultats: les participants du groupe « Imagerie » se rappellent
deux fois plus de mots que les participants du groupe
« Répétition ».

33
Q

Rogers et al. (1977).

A

On se rappelle plus facilement des mots que l’on associe à soi même.

« Vous décrit ? » (lien personnel). Mot : timide

Les chercheurs posaient différentes questions telles que les rimes, imprimés en minuscules etc, mais la question qui s’associait a nous mêmes était plus souvenue

exemple questions :

« Imprimé en minuscules ? » (caractéristiques physiques du mot). Mot : joyeux

« Rime avec joyeux ? » (Rime). Mot : triste

« Est un synonyme de joyeux ? » (Signification). Mot : jovial

« Vous décrit ? » (lien personnel). Mot : timide

34
Q

Slameka et Graf (1978).

A
  1. Expérience :

Groupe 1: On donne aux participants des paires de mots à apprendre.

Groupe 2: On donne aux
participants un seul mot et ils doivent eux-mêmes créer la paire.

  1. Résultats :
  • Les participants qui ont généré le deuxième mot ont 28% de
    meilleures performances lors du rappel.

Conclusion :

C’est L’effet de la génération d’informations :

  • Générer du matériel soi-même plutôt que de l’apprendre passivement
    augmente la mémoire
35
Q

Bower et collaborateurs (1969)

A
  1. Expérience

Le matériel à mémoriser est présenté à l’aide de 4 différents arbres organisationnel (exemple de l’arbre des minéraux ci-dessous)

  • Groupe 1: les arbres sont organisés selon des catégories spécifiques à rappel d’environ 73 mots
  • Groupe 2: les arbres sont organisés aléatoirement à seulement 21 mots sont correctes lors du
    rappel
  1. Conclusion :

On se rappelle mieux lorsque nos arbres sont organisés de manière spécifique

36
Q

Roediger et Karpicke (2006)

A
  1. L’effet de testing
  2. Experience

Groupe 1 relit l’info

Groupe 2 est questionné sur l’info par un quizz

  1. Resultats

Après 5 minutes, la relecture est plus efficace pour redonner les infos et se rappeler mais apres 2 jours et une semaine c’est le quizz qui est plus efficace ce qui nous fait dire que en faisant un quizz les infos entrent plus facilement sur la MLT

37
Q

Dunlosky, Rawson, Marsh, Nathan et Willingham (2013)

A

Revue de la littérature

le testing listé comme était l’une des meilleures méthodes pour augmenter la mémoire des étudiants

38
Q

Hebb (1948)

A
  1. Consolidation synaptique

Il a suggéré que les changements qui se produisent dans les synapses activées par un événement particulier fournissent un enregistrement neuronal de cet événement.

Ces changements synaptiques renforcent les connexions neuronales associées à l’événement, facilitant ainsi le rappel et la récupération de l’information ultérieurement

Il a pu démontrer ca par observation grâce à l’enregistrement unitaire

39
Q

Gais et al. (2006)

A
  1. Expérience

Apprentissage de 24 paires de mots Allemand-Anglais

1 groupe reveillé le reste

2 groupe peut dormir pendant une phase spécifié

Résultats :

Les résultats de l’étude ont montré que le groupe “sommeil” avait un meilleur rappel des paires de mots que le groupe “réveil”

Conclusion :

Ces résultats suggèrent que le sommeil joue un rôle bénéfique dans la consolidation de la mémoire.

Pendant le sommeil, le cerveau consolide les informations apprises pendant la période d’éveil, ce qui peut améliorer le rappel et la rétention de ces informations.

40
Q

Willhelm et al. (2011)

A

L’étude menée par Willhelm et ses collaborateurs en 2011 avait pour objectif d’examiner si les attentes modulent la consolidation de la mémoire.

Les chercheurs ont cherché à déterminer si certains souvenirs ont plus de chances d’être consolidés que d’autres en fonction des attentes des participants.

  1. Expérience :

Les participants ont été répartis en deux groupes :
- le groupe “même tâche”
- le groupe “tâche différente”.

Dans le groupe “même tâche”, les participants ont effectué une tâche de mémoire dans laquelle ils devaient apprendre et rappeler une série de mots ou d’images spécifiques.

Dans le groupe “tâche différente”, les participants ont effectué une tâche de mémoire différente, qui ne nécessitait pas de mémoriser les mêmes informations.

Resultats :

Les résultats de l’étude ont montré que les attentes des participants avaient un impact sur la consolidation de la mémoire :

Dans le groupe “même tâche”, où les participants s’attendaient à ce que les souvenirs spécifiques soient consolidés, un meilleur rappel de ces souvenirs a été observé par rapport au groupe “tâche différente”, où les attentes de consolidation étaient moins spécifiques.