Mottivation Flashcards

1
Q

Quel est l’objet d’étude de la motivation ?

A

L’étude de la motivation s’intéresse aux causes du comportement

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2
Q

Quelles sont les principales questions concernant la motivation ?

A
  1. L’étude de la motivation tourne autour de trois questions :
    a) Qu’est-ce qui cause le comportement ?
    b) Pourquoi le comportement varie en intensité ?
    c) Pourquoi le comportement persiste ?
  2. Questions plus spécifiques :

Comment la motivation influence-t-elle le : déclenchement, persistance, changement, direction, l’intensité et la fin d’un comportement ?

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3
Q

Pourquoi s’intéresse-t-on à la motivation ?

A

Comprendre les comportements permet de mieux :
(1) les prédire et

(2) agir sur les facteurs qui sont responsables de ces comportements

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4
Q

À quoi nous fait spontanément penser le terme de motivation ?

A

2 idées :
» - notions d’énergie, de dynamisme
- capacité de se donner, de s’engager
- racine latine du concept (movere : «se mouvoir, se déplacer»)

» La motivation serait quelque chose qui «mettrait en mouvement l’organisme

  • notion d’intention, de direction
  • on est motivé car on sait quoi faire, on dirige ses choix
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5
Q

Quelles définitions de la motivation retrouve-t-on dans la littérature scientifique ?

A

» On retrouve une pluralité de définition qui insistent sur le fait que la motivation serait responsable de (1) la direction, (2) l’intensité du comportement et (3) de la durée

» Selon Houssaye (1993) : « La motivation est habituellement définie comme l’action des forces, conscientes et inconscientes, qui déterminent le comportement »

» Selon Lévy-Leboyer (1999) : «La motivation est le processus qui fait naître l’effort pour atteindre un objectif et qui relance l’effort jusqu’à ce que l’objectif soit atteint».

» Selon Not (1987) : « Le concept de motivation englobe les motifs conscients et les mobiles inconscients, les besoins et les pulsions d’origine biologique, les réactions affectives aux stimulations issues du milieu ou du sujet lui-même. (…) Toute activité a besoin d’une dynamique - qui procède des motivations - et celle-ci se définit par une énergie et une direction. »

» » » Définition retenue :

» Selon Viau, (1999) : «un phénomène qui tire sa source dans les perceptions que [l’apprenant] a de lui-même et de son environnement, et qui a pour conséquence qu’il choisit de s’engager à accomplir l’activité […] qu’on lui propose de persévérer dans son accomplissement».

» Selon Vallerand et Thill (1993) : La motivation représente le construit hypothétique utilisé afin de décrire les forces internes et/ou externes produisant le déclenchement, la direction, l’intensité et la persistance du comportement.

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6
Q

La motivation est-elle une réalité matérielle ?

A

On dit que la motivation est un concept théorique, une abstraction, et non une réalité matérielle en tant que telle (on ne peut que l’inférer derrière certains comportements)

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7
Q

Quelle est l’origine de la motivation ?

A

On admet aujourd’hui que l’origine de la motivation se situe à la fois dans l’individu et dans son environnement. Perspective interactionniste

Le rôle de l’intervenant serait d’arriver à exploiter ces deux ensembles de facteurs ( [personnalité] X situation) pour optimiser la motivation (et les apprentissages) de ses pratiquants

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8
Q

Quelle sont quatres manifestations de la motivation ?

A

Déclenchement

Direction

Intensité

Persistance

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9
Q

Concernant les manifestations de la motivation, parlez du déclenchement :

A

Un individu est dit motivé si son état comportemental est en changement, c’est-à-dire qu’il passe d’un état inactif à un état actif (ou le contraire).

Le déclenchement du comportement est un indice de la présence ou non de la motivation

Le comportement change en fonction de certaines interventions (ex. thérapie, renforçateurs)

Le déclenchement du comportement

La motivation déclenche ou dynamise le comportement

Le passage d’un état passif à un état actif suppose une motivation

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10
Q

Concernant les manifestations de la motivation, parlez de la direction :

A

La motivation canalise notre énergie vers des buts ; elle dirige le comportement

Les buts sont très importants pour la direction et le déclenchement du comportement

Un but crée une différence entre ce que vous êtes ou avez et ce que vous souhaitez être ou avoir

Les buts sont d’origine multiple : biologique, apprise, cognitive :

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11
Q

Concernant les manifestations de la motivation, parlez de l’intensité :

A

Il s’agit d’une manifestation importante de la motivation qui réfère à la force du comportement

Une analyse motivationnelle nécessite une compréhension des motifs sous-jacents à la forme d’un comportement motivé

On parle alors des composantes biologiques, acquises, cognitives et sociales

l’intensité du comportement, soit l’effort = la quantité de ressources énergétiques consacrée à une action

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12
Q

Concernant la manifestation de la motivation, vous pouvez parler de la persistance du comportement :

A

Il s’agit de la durée du comportement. Elle fournit donc un indice motivationnel important, qui caractérise notre engagement dans des activités quotidiennes

La persistance est un des meilleurs indicateurs du succès, même souvent plus que l’intelligence académique

Tendance à continuer dans une direction donnée, pendant une période de temps plus ou moins grande = la quantité de ressources temporelles investie par l’individu

plus grande tendance à retourner vers une activité en dehors du contexte initial dans lequel on l’a effectuée

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13
Q

Expliquez selon différente école de la psychologie pourquoi l’humain persiste :

A

Béhavioriste: explique la persistance en terme de renforcement ou apprentissage à la persistance

Humaniste: Motivation intrinsèque et besoin de compétence

Psychologie positive: Optimisme (espoir)

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14
Q

Vous pouvez discuter de quelques considérations concernant les manifestations de la motivation.

A

(Direction, intensité, persistance, déclenchement)

L’étude de la motivation ne peut se limiter à l’une des quatre manifestations précédentes. Elles peuvent s’influencer entre elles.

Ces manifestations sont en interaction et une étude de l’état motivationnel d’un organisme doit tenir compte de l’interaction

Il n’y a pas de construit unanime de la motivation. Certains ne sont pas d’accord avec la présence de ces 4 manifestations, alors que d’autres en ajoutent (ex : émotions)

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15
Q

Concernant la manifestation de la motivation, quelle question se pose-t-on sur le rôle des émotions ?

A

Sont-elles des causes du comportement ou des manifestations ?

De quelle façon les émotions sont-elles impliquées dans les 4 facteurs de la motivation ?

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16
Q

Quelles sont les composantes de la motivation ?

A
» Composante biologique
» Composante individuelle
  - composante acquise
  - composante cognitive
» Composante sociale
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17
Q

Parlez de la composante biologique de la motivation :

A

Facteurs physiologiques sous-jacents de la motivation

  • Aspects génétique
  • Neurologique
  • Hormonal

» Les différences individuelles

  • Même si les théories de la motivation essaient bien souvent d’identifier des principes généraux, les caractéristiques individuelles doivent nécessairement être prises en considération pour comprendre la motivation d’un individu
  • Par exemple, des facteurs tels que l’apprentissage ou l’analyse cognitive peuvent modifier des tendances biologiques
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18
Q

Vous pouvez parlez de la composante acquise de la motivation :

A
  • Les motivations peuvent être acquises par conditionnement classique ou par apprentissage instrumental
  • L’approbation sociale agit généralement comme renforçateur
  • Il y a des renforcements qui sont intrinsèques, d’autres sont extrinsèques.
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19
Q

Vous pouvez parler de la composante cognitive de la motivation :

A
  • La motivation est perçue comme étant une différence entre ce que l’individu comprend présentement et ce qu’il cherche à comprendre pour extraire la signification de son environnement
  • Le déterminent premier du comportement motivé provient essentiellement des cognitions
  • Basée sur une représentation de l’environnement

» Les théories cognitives :

  • Les représentations mentales jouent un rôle central dans la motivation du comportement
  • Les théories de l’expectation et de la valeur
  • L’expectation est un type de représentation mentale, i.e., un jugement sur la probabilité des conséquences d’un comportement basé sur l’expérience
  • On ajoute à l’expectation, la valeur accordée à la conséquence (positive ou négative)
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20
Q

Vous pouvez parler de la composante sociale de la motivation :

A

L’apprentissage sociale influence la motivation

  • Croyances, attitudes, valeurs
  • viennent de nos parents (imitation)
  • viennent de nos expériences
  • stéréotypes (absence d’expérience personnelle pertinente)

Les comportements sont appris à partir de l’observation d’autrui

  • Il s’apprend en l’absence de renforcement
  • Il ne dépend pas de contingences externes
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21
Q

Quel est le rôle des besoins en rapport à la motivation ?

A

Les besoins

» Les états motivationnels permettent ainsi de générer le comportement qui préviendra les problèmes de fonctionnement

  • Dommage au corps dans le cas de besoins physiologiques
  • Dommage aux valeurs, aux croyances, à l’estime de soi, à son développement dans le cas de besoins psychologique
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22
Q

Vous pouvez parler de la théorie de la drive de Hull

A
  • Remplace la notion d’instinct par le concept de drive :
  • Les états de drive sont des caractéristiques motivationnels des états de besoins. Ces besoins génèrent l’énergie nécessaire à la survie. Le drive c’est un énergiseur non-spécifique indéterminé.
  • Pour Hull l’état de besoins qui initie la drive active également des mécanismes sensoriels qui caractérise le stimulus. Quand nous avons faim, la drive est initiée et le stimuli de la drive (Sd) est ressenti, contraction de l’estomac ou sensation de vide
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23
Q

Vous pouvez parler de la formule de la théorie de Hull :

A

sEr= D x K x sHr

E : Potentiel d’énergie ou potentiel de réaction d’une réponse (Excitatory réaction), probabilité d’une réponse (r) apparaisse dans une situation donnée et/ou intensité de cette réponse. Ou encore : Fréquence de cette réponse, latence de cette réponse, persistance ou résistance à l’extinction

D : Impulsion/Drive : ensemble des effets énergisants des besoins physiologiques, énergie pouvant générer un ensemble d’activités. Représente une variable motivationnelle.

H : Habitude : Force du lien qui unit un stimulus (S) et une réponse (R), lien inné ou appris.

k : L’incitateur (incentive) : l’attrait ou la répulsion exercée par l’objet-but ; cet objet but lui-même

X : effet multiplicateur

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24
Q

Vous pouvez dire quelques mots sur la théorie des champs de Lewin :

A

La théorie des champs stipule que le comportement est déterminé par un champ psychologique et les forces en interactions de ce champ qui existent à un moment donné. L’approche est ahistorique et contraste avec l’analyse génétique ou historique.

Elle comprend 2 choses : la personne dans l’environnement et l’espace vital (son territoire)

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25
Q

Vous pouvez parler de l’espace de vie selon Lewin :

A

Espace de vie

» Lewin affirme que le comportement (B) est déterminé à la fois par la personne (P) et son environnement (E)

» La personne et l’environnement constituent l’espace de vie. L’espace de vie représente une réalité psychologique. L’environnement psychologique n’est pas identique à l’environnement physique.

» La perception de l’environnement est influencée par plusieurs variables de la personne; besoins, valeurs, attitudes, motifs.

» Selon Lewin, pour comprendre le comportement l’on doit concevoir la personne et l’environnement comme une constellation. La personne et l’environnement possèdent des caractéristiques structurelles et dynamiques.

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26
Q

Quelles sont les différents concept de la théorie des champs ?

A

» concept liés à la personne :

  • Concepts structuraux
  • Concepts dynamiques
  • Importance du travail cognitif
  • Intégration des aspects structuraux et dynamiques

» Concepts liés à l’environnement :

  • Concepts structuraux : Direction dans l’espace - la taxonomie de la direction
  • Concepts dynamiques : - valence - force
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27
Q

Vous pouvez parler de la structure en relation à la personne selon la théorie des champs de Lewin :

A

Relation à la personne : structure

La personne peut être conçue comme un point dans l’espace de vie ou comme une région dans l’espace vital. L’individu est conçu comme un point indifférencié

La personne possède des propriétés structurelles : des sous-régions, des frontières (limites) et des régions adjacentes
Région = contenants, vaisseaux entre les des murs, les murs sont les frontières qui diffèrent en perméabilité.
La perméabilité des frontières déterminent en partie le sort des tensions contenues dans les régions. La tension est un concept dynamique intra-personnelle. Chaque sous-région peut intéragir avec les régions avoisinantes.

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28
Q

Vous pouves parler du dynamisme en relation à la personne selon la théorie des champs de Lewin :

A
  • Le concept de tension réfère à l’état d’une région. Quand un besoin existe, une région est représentée en état de tension. La tension est un aspect dynamique de la personnalité qui pousse à agir, dans une certaine direction
  • Il existe un nombre non-spécifique de régions intra-personnelles qui correspond aux différents besoins et intention
  • La réalisation d’un but réduit la tension dans une région
  • Importance du travail cognitif : Contrairement à Freud ou à Hull, pour Lewin les besoins ne sont pas reliés à des fonctions psychologiques ou de survie
  • Intégration : Un besoin ou une intenrion crée une tension dans une région personnelle. Le déséquilibre dans l’état de tension entre des régions amène cette tension à se transmettre d’une région à l’autre. Le passage de cette tension entre les régions dépend en partie de la perméabilité des frontières. Si les frontières ne sont pas complètement perméables une région peut rester dans un état de tension relativement fixe.
  • Lewin postule que la tension se dissipe après l’atteinte du but, ce qui rétablit l’équilibre entre les régions.
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29
Q

Vous pouvez parler de la relation structural à l’environnement selon la théorie des champs de Lewin :

A
  • Les principales structures sont les régions, les frontières et les régions adjacentes.
  • Les régions environnementales sont d’abord coordonnées par des activités.
  • Les régions deviennent des actions instrumentales.
  • Elles peuvent aussi être considérées comme des espaces à travers laquelle la personne doit se mouvoir pour atteindre le but.
  • Le nombre de région dans un espace de vie à un moment donné est déterminé par la différenciation psychologique. Chaque différenciation psychologique devient une région séparée. Les frontières déterminent «l’espace de mouvement libre». Cet espace libre devient ce qui est accessible à la personne, l’interdiction externe de même que les limites personnelles entourent cet espace.

» L’atteinte d’un but dans une région donnée dépend de 3 facteurs :

  • le niveau de tension
  • les propriétés et caractéristiques du buts
  • la distance subjective entre la personne et le but (effort à fournir)
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30
Q

Vous pouvez parler de la direction dans l’espace de vie et la taxomonie de la direction selon la théorie des champs de Lewin :

A

La direction dans l’espace de vie : La direction dans l’espace de vie renvoie aux relations qui existent entre deux régions Chemin (X,Y,Z) ou (r,s,t) pour un emploi, c’est le chemin de l’école ou de la formation en entreprise.

La taxonomie de la direction : Les directions peuvent être «se diriger vers» ou «s’éloigner de» et peuvent inclure ou ne pas inclure une région autre que celle dans laquelle la personne se trouve

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31
Q

Vous pouvez parler de la relation de la valence à l’environnement selon la théorie des champs de Lewin :

A

Lorsqu’une région intra-personnelle devient sous tension, une région environnementale acquiert une valence. La tension, qui résulte d’un état de besoin, doit nécessairement être orienté vers un objet environnemental pour acquérir un but (une valence). La valence d’un objet dérive habituellement du fait qu’un objet permet la satisfaction d’un besoin directement ou indirectement

La valence varie quantitativement en fonction de l’intensité du besoin et des propriétés de l’objet but.

Va (G) = f (t,G)
Va G = la valeur du but
t = tension
G = les propriétés de l’objet-but.

La valence n’est pas une force car elle n’est pas coordonnée avec un mouvement ou une locomotion. Une région avec une valence devient le centre d’un champ de force

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32
Q

Quelle est la relation de la force à l’environnement selon la théorie des champs de Lewin ?

A

» En plus de l’intensité du besoin des propriétés de l’objet-but, l’intensité de la force dépend de la distance psychologique relative qui sépare la personne du but. Des exceptions existent aussi selon Lewin, des contrées éloignées les personnes difficiles à garder.

» Force = f Va(g)/e = (t,G)/e
e = la distance psychologique entre la personne et le but (selon la représentation cognitive de l’environnement.

» La force, aussi appelée la tendance à la «locomotion», agit pour installer une locomotion dans l’espace de vie, dans la direction de l’objet du but. L’intensité de la force augmente au fur et à mesure que la personne approche du but désiré. En passant à travers es différentes régions. Un objet-but est une des régions de l’espace de vie.

» Si le but est atteint la tension est relâchée, réduisant alors la valence de l’objet environnemental et diminuant en retour la force agissant sur la personne.

» La réduction de la force amène la cessation du comportement. Plus l’effort à fournir est grand moins la personne sera porté à faire une telle activité.

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33
Q

Vous pouvez parler du conflit attraction-attraction selon la théorie des champs de Lewin :

A

» Dans ce conflit, la personne se retrouve avec plusieurs régions à valence positive. Ces conflits sont faciles à résoudre car les situations sont instable

» Ex. Les tartes aux pommes et les tartes aux cerises. 
attraction (G) :4
tension (t) : 3
distance psychologique (e) : 2
Force = f 4x3/2 = 6 pour les deux tartes
  • Si quelqu’un s’interpose entre moi et la tarte aux pommes alors
    Force = f 4x3/3 = 4
    Force = f 4x3/2 = 6

Dans ce genre de conflit, toutes nouvelles informations changent la valeur attractive d’un des deux objets permettant de créer des forces inégales.

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34
Q

Vous pouvez parler du conflit évitement évitement selon la théorie des champs de Lewin :

A

Ce type de conflit est stable, selon Lewin : ces forces opposées maintiennent l’individu dans un état d’équilibre

Exemple : Un policier se retrouve face à deux bandits, son besoin de sécurité vaut t=5, chaque bandit est également menaçant G=-3 et le policier se perçoit également distant des deux bandits e=2é

Puis, le policier observe que le bandit de gauche est un moins bon tireur Force = f 5x(-3)/2 = -7.5 5x(-2)/2 = -5
L’évitement sera moins fort chez le bandit qui tire mal, alors le policier se dirigera vers lui. Alors, la distance psychologique ce modifiera. Force = f 5x(-2)/1 = -10 , 5x(-3)/3 = -5

en théorie, le policier continuera d’osciller entre ces deux alternatives jusqu’à ce qu’il soit tiré par un bandit.

Toutefois, les besoins peuvent changer, la valence peut varier en magnitude et aussi en direction et la distance psychologique peut se modifier. Lewin indique que ce type de conflit peut souvent se résoudre par la «fuite du champ». Lewin souligne aussi qu’une des conséquences d’établir des comportements avec l’utilisation de punitions pu des sanctions négatives amène la personne à construire des barrières qui la maintiennent dans cette situation. L’énergie sera alors attribuée à assurer le maintien de ces barrières.

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35
Q

Vous pouvez parler du conflit attraction-évitement selon la théorie des champs de Lewin :

A

Dans ce type de conflits, la même région acquiert des valences positive et négative et établit des champs de forces positives et négatives. Ces conflits sont relativement stables. La personne entrevoit atteindre le but, mais l’évite en raison e changements dans l’intensité de l’attraction ou de l’évitement. Les comportements sont ambivalents ; une situation difficile quand les personnes désirent un but dont certaines conséquences sont négatives.
Ex: L’attraction vers la nourriture et évitement du choc électrique ; Retour aux études amenant la perte de revenu pour quelques années ; Dénoncer l’agression d’un parent pour avoir plus de sécurité, mais au risque de perdre l’amour de ce dernier.

36
Q

Quel est la signification de l’emploie pour Freud ?

A

La signification de l’emploi :
» Pour Freud (1930) le travail, avec la capacité à aimer, est le lien le plus fort qui relie l’individu à la réalité. Ils demeurent des éléments centraux de la vie.

37
Q

Qu’est-ce qui fait que le travail est significatif pour la majorité des gens ?
Vous pouvez nommer les diverses signification du travail :

A

Le travail est important et significatif pour la majorité des gens (80%), compte tenu

  1. du temps que chacun y consacre dans sa propre vie
  2. des multiples fonctions qu’il accomplit pour l’individu et du fait qu’il est intriqué avec les autres aspects important de la vie quotidienne comme la famille, les loisirs, la religion et la communauté

» La signification économique :
»La signification psychologique :
» La signification sociale :

38
Q

Vous pouvez parler de la motivation intrinsèque :

A

Elle signifie que l’on pratique une activité pour le plaisir et la satisfaction que l’on retire en elle-même (activit. autotélique)

Elle origine du besoin de se sentir compétent et auto-déterminé (et en relation avec les autres)

” force qui incitent à effectuer des activités volontairement, par intérêt pour elles-mêmes et pour le plaisir et la satisfaction que l’on en retire “ (Roussel, 2000)

Notion de : force personnelle (pas préçis) - accomplissement de soi (no) - pas de renforçateurs extermes

39
Q

Vous pouvez parler de la motivation extrinsèque selon la théorie de l’auto-détermination de Deci et Ryan

A

Elle signifie que nous pratiquons une activité non pas pour cette dernière, mais plutôt pour en retirer un bénéfice (une conséquence plaisante ou éviter une conséquence déplaisante)

La motivation extrinsèque n’est pas synonyme d’absence d’auto-détermination (bien que les activités qui sont motivés extrinsèquement sont le plus souvent, sinon toujours, moins auto-déterminer)

Implique notions de : Renforcement - Récompense - Rétroaction

40
Q

Vous pouvez parler de l’amotivation selon la théorie de l’auto-détermination de Deci et Ryan :

A

Un individu est dit amotivé lorsqu’il ne perçoit pas la relation entre ses actions et les résultats obtenus

41
Q

Vous pouvez nommez les différents types de motivation de la théorie de l’auto-détermination :

A

Amotivation - régulation externe - régulation introjectée - régulation identifiée - régulation intégrée - intrinsèque

42
Q

Vous pouvez nommer des utilités du continuum de la motivation de la théorie de l’auto-détermination

A

1) Il permet de situer divers concepts sur une échelle de motivation et ainsi mieux connaître les motivations sous-jacentes aux comportements
2) Pour comprendre le étapes qu’une personne doit suivre pour en arriver à une motivation intrinsèque
3) Permet de prédire les conséquences psychologiques de divers types de motivation (par exemple : augmentation de la créativité, performance et persistance plus grandes).

43
Q

Vous pouvez parler de trois composantes de la motivations intrinsèque :

A

Motivation intrinsèque :

  • Connaissance
  • Accomplissement
  • Stimulation
44
Q

Vous pouvez parlez de la motivation intrinsèque du continuum :

A

Motivation intrinsèque :
- Plus un individu a le sentiment d’autodéterminatioin et de compétence (et de relatedness), plus il est motivé intrinsèquement

  • L’individu s’engage dans une activité pour le plaisir qu’elle procure
  • Les études démontrent que si le développement de l’autonomie est favorisé, les gens seront plus motivés et apprendront mieux
  • La motivation intrinsèque est synonyme d’autodétermination (Je suis vraiment pas sûr de ça).
45
Q

Vous pouvez parler de la motivation extrinsèque intégrée :

A

» Les différentes raisons d’accomplir une activité sont intégrées au soi, à la personnalité

» L’individu accomplit une activité et se sent auto-déterminé dans la régulation de ses comportements parce qu’il la considère cohérente avec son système de valeurs et ses besoins

» Les activités motivées par régulation intégrées comportent de nombreux points communs avec celles intrinsèquement motivées, en particulier un fort sentiment d’auto-détermination

» Elles sont néanmoins extrinsèques car leur objectif vise les résultats engendrés et non le plaisir inhérent à l’activité elle-même

46
Q

Vous pouvez parler de la motivation extrinsèque identifiée :

A

» Les activités sont accomplies librement (quoi qu’on veut dire par là ?) parce qu’elles concordent avec ses buts et ses valeurs

» L’individu accomplit une activité et s’y engage volontairement parce qu’il a consciemment identifiée cette activité comme importante à ses yeux et l’a accepté

» Il s’engage non pas parce qu’il faut le faire mais parce qu’il veut le faire même si l’action n’est pas la plus plaisante

» Les activités sont réalisées pour des fins instrumentales, mais elles sont auto-déterminées

47
Q

Vous pouvez parler de la motivation extrinsèque introjectée :

A

» Le comportement survient pour soulager les pressions internes

» L’individu se motive seul, mais sous l’effet de pressions plus ou moins conscientes et intériorisées

» Ces pressions sont de nature très diverses : éviter d’éprouver de la culpabilité, des remords, de la honte, de l’anxiété ou encore renforcer l’ego, l’estime de soi

» Il peut s’agir de se conformer à des règles ou des normes qui ne sont pas pleinement acceptées par l’individu

» Cette motivation n’est pas auto-déterminée parce que l’individu n’a pas la capacité de choisir

48
Q

Vous pouvez parler de la motivation par régulation externe :

A

» Le comportement est régularisé par des sources de contrôle extérieurs. Motifs externe

» Induit pour un sujet des comportements contrôlés par des forces ou des circonstances externes

» Il s’agit de la forme de motivation la moins autodéterminées. L’individu agit avant tout pour obtenir une récompense ou éviter une punition

49
Q

Vous pouvez parlez de l’amotivation du continuum de la motivation selon la théorie de Decy et Ryan :

A

» Absence de perception de relation entre ses actions et les résultats obtenus

50
Q

Vous pouvez parler de la théorie de l’autodétermination plus actuelle :

A

» motivation contrôlée :

  • motivation par régulation externe
  • motivation par régulation introjectée

» motivation autonome

  • motivation par régulation identifiée
  • motivation par régulation intégrée
  • motivation par régulation intrinsèque
51
Q

Vous pouvez parler de la signification économique du travail :

A

» La signification économique :

  • La rémunération que le travail procure est essentielle pour se procurer la nourriture et l’abri, les biens
  • Le travail est un lieu où la personne reçoit de l’acceptation, assume un rôle et acquiert une identité définie qui dépasse souvent le lieu de travail
52
Q

Vous pouvez parler de la signification sociale du travail :

A

» La signification sociale :

  • Les relations de travail offrent des opportunités de développer des amitiés, d’avoir du support et des contacts sociaux, d’échapper à une vie familiale ou personnelle insatisfaisante
  • Le travail est un lieu où la personne reçoit de l’acceptation, assume un rôle et acquiert une identité définie qui dépasse souvent le lieu de travail
  • Plusieurs personnes se définissent par leur travail et leur rôle au travail (ou celui du conjoint)
  • Structurer les journées, le temps
  • Pas de travail = pas ou peu de loisir
53
Q

Vous pouvez parler de la signification psychologique du travail :

A

» L’opportunité d’explorer et d’exploiter des habiletés créatives, de développer un sens de la compétence, d’accepter des responsabilités, de recevoir de la reconnaissance et du respect.
» Construire et de préserver une identité, une valeur personnelle, et un sens de la continuité personnelle
» Les rôles au travail s’intériorisent et deviennent une partie intégrale de l’image de soi

54
Q

À quoi est utile la motivation au travail ? Et en quoi est nécessaire la productivité ?

A
  • Savoir comment motiver ses employés
  • Amener les subordonnées à faire de leur mieux
  • Amener les subordonnées à réaliser la mission de l’entreprise

» Parce que :

  • Mondialisation de la concurrence
  • Amélioration de la production
  • Réduction des coûts
  • Lien entre satisfaction des employés et celle des clients
55
Q

Quelles sont les variables liées à la motivation au travail ?

A
  • Les différences individuelles
  • Les caractéristiques de l’emploi
  • Les pratiques de l’organisation
  • L’harmonisation de ces éléments
56
Q

Vous pouvez parler de Taylor et du travail à la chaîne (1911) :

A

Organisation scientifique du travail

Salaire

Hiérarchie

57
Q

Vous pouvez parler d’Elton Mayo et les relations humaines (1940) :

A
  • But attractif
  • Coopération amicale
  • Effet Hawthorne
58
Q

Vous pouvez dire un mot ou deux sur les théories des besoins en relation au monde du travail :

A
  • La théorie des besoins de Maslow
  • La théorie ERG d’Alderfer : besoin d’existence, de sociabilité, de développement
  • La théorie des besoins de McClelland : besoin de réussite, besoin de pouvoir, besoin d’appartenance
59
Q

Vous pouvez parler de la théorie des deux facteurs d’ Herzberg :

A
  • Satisfaction : lorsque les facteurs sont présents, les employées sont très satisfaits et très motivés au travail
  • Point neutre : absence d’insatisfaction et de satisfaction (juste assez pour ne pas perdre son emploi)
  • Insatisfaction : lorsque ces facteurs sont convenables, les employées cessent de se plaindre et leur rendement atteint le point neutre ci-dessus
  • L’inverse d’ «insatisfaction» n’est pas «satisfaction» et vice-versa, mais plutôt un point neutre qu’on pourrait appeler «absence d’insatisfaction» et «absence de satisfaction»
  • Un sentiment de grande satisfaction est accompagné d’un niveau élevé de motivation, selon Herzberg. Vision actuelle : il s’agit plutôt de deux phénomènes différents
» Facteurs de satisfaction : facteur reliés au contenu de la tâche :
La réalisation de soi
Les possibilités d'évolution de carrière
L'autonomie et les responsabilités
La reconnaissance
L'intérêt du travail
Le travail lui-même
» Facteurs d'insatisfaction : facteurs reliées au contexte de la tâche :
Les politique et le style de gestion
La supervision reçue
Les relations interpersonnelles
Les salaires et les bénéfices
Les conditions de travail
La sécurité d'emploie
60
Q

Vous pouvez parler du modèle d’enrichissement des tâches de Hackman et Oldham :

A

Potentiel de motivation d’un emploi : maximiser…

  • Diversité des aptitudes et variété des compétences nécessaires pour occuper l’emploi : nombre de tâches + aptitudes nécessaires
  • Reconnaissance des tâches : entier.
  • Importance du travail : effet sur l’organisation et les autres employés
  • Autonomie : sentiment de responsabilité
  • Rétroaction
61
Q

Vous pouvez parler de la théorie des attentes de Vroom (1964)

A
  • Perception de soi
  • Instrumentalité
  • Valence
    : sont des termes utilisés dans la théorie

Les efforts mènent au rendement qui mènent aux rewards

62
Q

Vous pouvez parler des facteurs de stress au travail en relation aux tâches :

A
  • Surcharge : quantité, temps restreint, interruption continuelles
  • Surcharge qualitative : tâches complexes, exigence de performance et d’efficacité
  • Sous-charge : tâches monotones et répétitives, insuffisance de travail «bore-out»
63
Q

Vous pouvez parler des facteurs de stress liés à l’organisation du travail :

A
  • Circulation insuffisante de l’information
  • Normes et préjudices rigides
  • Perspective de carrière limitées ou inconnues
  • Structures centralisée vs decentralisée
64
Q

Vous pouvez parler des facteurs de stress liés à la qualité des relation de travail :

A
  • Relation avec le supérieur : style de gestion autoritaire vs participatif
  • Relation avec les collègues : concurrence et compétition vs collaboration
  • Relation avec la clientèle : contacts limités, attentes exigeantes de la clientèle
65
Q

Vous pouvez parler des facteurs au travail de stress liés à l’environnement physique

A
  • Bruit
  • Variation de température, chaleur et froid intenses
  • Humidité
  • Mauvais éclairage
  • Pollution
  • Surpopulation des locaux
66
Q

Vous pouvez parler des facteur de stress au travail liés à l’environnement socioéconomique :

A
  • Mondialisation : discours orienté vers la performance, primauté des valeurs économiques, interdépendance des marchés
  • Importance de la concurrence nationale et internationale
  • Compétitivité de l’organisation : primauté des objectifs à court terme
67
Q

Vous pouvez parler du syndrome d’adaptation au stress :

A

Syndrome d’adaptation au stress
2 causes :
1. dû à un stress trop important
2. dû à une trop longue demande de résistance physiologique et émotionnelle face à un agent stresseur

Inspiré de la théorie de l’excitation de Hebb. Précision :

  • Besoin optimal d’excitation
  • Ramener à un état agréable
  • Recherche un niveau minimal d’excitation, ce qui motive à atteindre un niveau idéal

»Poids du stress :

  • Équilibre : Ça me tente
  • Surcharge : Il faut - tension musculaire - insomnie - problèmes cardio-vasculaires - migraines - céphalée
    Épuisement : cassure du jour au lendemain
68
Q

Vous pouvez parler des effets physiologiques du stress :

A

augmentation de la tension sanguine, accélération du rythme cardiaque, transpiration, sensations de froid et chaleur, difficultés respiratoires, tensions musculaire, désordres gastro-intestinaux.

69
Q

Vous pouvez parler des effets émotionnels du stress :

A

colère, anxiété, dépression, perte de confiance en soi, appauvrissement des fonctions intellectuelles, impossibilité de se concentrer et de prendre des décisions, nervosité, irritabilité, inaptitude à supporter l’autorité, insatisfaction dans la vie professionnelle

70
Q

Vous pouvez parler des effets comportementaux du stress :

A

amoindrissement de la performance, tendance à l’absentéisme, prolifération des accidents. forte rotation de personnel, abus alcool et de drogue, impulsivité.

71
Q

Cette question n’est pas à l’examen : Discuter du stress :

A

Le stress est nécessaire. Il permet de mobiliser l’organisme afin de répondre à ce qui à provoquer le stress. À une certaine dose, le stress améliore les performances. C’est lorsqu’il se prolonge que le stress devient délétère pour la santé. Lorsqu’il est chronique.

72
Q

Vous pouvez parler de l’effet Zeigarnik

A

L’état de tension continue à motiver le comportement jusqu’à ce que le comportement associé à la tâche soit complété

Les gens ont une tendance à se rappeler des tâches incomplètes, par exemple une relation amoureuse qui finit mal et non clarifiée car la tâche incomplète créer chez le sujet un état de tension

Qu’est-ce qui arrive quand une intention est interrompue ? Est-ce qu’elle continue à influencer le comportement? Oui, les tâches interrompues semblent être mieux mémorisées que celles qui sont complétées.

73
Q

Parlez des composantes du modèle de la motivation de Victor :

A

Appartenance: la reconnaissance que les valeurs, les caractéristiques et les émotions liées à un groupe correspondent à une partie de notre identité personnelle.

Engagement: Volonté de réaliser une série de tâches de façon optimale et intègre dans le but d’atteindre un objectif précis.

Identitéde groupe: Ensemble de valeurs qui orientent les règles et guident l’action du groupe.

Motivation de groupe: Orientation commune de l’identité et de l’engagement.

74
Q

Que dit Victor à propos des valeurs ?

A

Les valeurs sont au cœur de l’identité personnelle et de groupe.
Si l’individu en vient à associer ses valeurs personnelles et celles du groupe, la motivation augmentera

75
Q

Que dit Victor à propos des règles ?

A

Les règles reflètent les valeurs et encadrent leur application.
Elles favorisent l’engagement et développent l’identité du groupe

76
Q

Quelle opposition retrouve-t-on dans une équipe ?

A

Individuel vs collectif

Relations vs performance

Créativité vs «Business»

Processus vs Résutlats

77
Q

Quelles sont les 4 règles d’équipe de l’équipe de Victor ?

A
  1. Dire la vérité
  2. Prendre soin les unes des autres
  3. Accepter les erreurs
  4. S’engager pleinement
78
Q

Quelles sont les cinq valeurs de l’équipe de Victor ?

A

Confiance mutuelle

Communication

Responsabilit

Prendre soin

Fierté

79
Q

Que dut Victor à propos de dire la vérité ?

A

Correspond principalement aux valeurs de confiance mutuelle, de communication, de responsabilité collective et de «caring».

Entretenir une culture d’ouverture et de transparence.
Ne rien laisser «sous la glace».

Les cultures d’équipe et d’entreprise fondées sur le non-dit sont autodestructrices et stériles.

80
Q

Comment peut-on dire la vérité selon Victor ?

A

Communication émotionnelle: Identifier comment je me sens, nommer la situation, dire comment elle me fait me sentir et énoncer une attente pour le futur.
Apprendre à formuler une critique constructive.
Ce qui ne mérite pas d’être dit devant le reste de l’équipe ne mérite pas d’être dit.
Créer une habitude et des conditions favorables à la communication «candide».

81
Q

Que dit Victor à propos de prendre soin ?

A

Valeurs de confiance mutuelle, responsabilité collective, «caring»

82
Q

COmment peut-on prendre soin selon Victor ?

A

Développer l’empathie, pas une caractéristique naturelle des adolescents.
Système de «buddies».
Activités d’équipe organisées par l’équipe
Le leader qui agit en modèle
Devenir un bon coéquipier, transcender les besoins individuels

83
Q

À quelles valeurs correspond accepter les erreurs ?

A

Valeurs de confiance mutuelle, de responsabilité collective, de communication et de fierté.

84
Q

Comment parvient-on à accepter les erreurs selon Victor ?

A

Critiques constructives.
Faire disparaître la honte liée à l’échec et à l’erreur.
Renforcer la responsabilité personnelle et collective de ne pas répéter les erreurs.
Culpabilité est adaptative: J’ai fait quelque chose de mal. Orientée vers un comportement et une action plutôt qu’une caractéristique personnelle.

L’inverse de la vulnérabilité est la honte: se cacher, ne jamais se croire à la hauteur, ne jamais rien essayer de nouveau, ne jamais entrer en contact avec soi-même ou avec les autres.

85
Q

À quelle valeur correspond s’engager pleinement, selon Victor ?

A

Valeurs de confiance mutuelle, de responsabilité collective et de fierté