Méthode II exam I Flashcards

1
Q

Quels sont les types de recherche ?

A

Méthode expérimentale
Étude corrélationnelle
Schème ou plan factoriel

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2
Q

Quels sont les deux grandes catégories de recherche et leurs buts typiques ?

A

Recherche fondamentale
Développement et tests de théories
Généralement, contribution à l’avancement des connaissances

Recherche appliquée (inclus clinique)
Vise à résoudre un problème pratique

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3
Q

Distinguer deux catégories de lieux de recherche

A

Recherche sur le terrain
Là où le phénomène d’intérêt se produit

Recherche en laboratoire
Environnement contrôlé, relative éloigné (écologiquement) du milieu naturel

(Pas de distinction méthodologique comme telle - mais des contraintes pratiques rendent certaines méthodes plus ou moins utilisables dans une catégorie comparée à l’autre)

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4
Q

Nommez trois éléments fondamentales d’une expérience :

Que reflètent ces trois éléments ?

A

Variables dépendantes et indépendantes
Groupes contrôles et expérimentaux : minimum deux groupes
Allocation aléatoire aux conditions expérimentales (incluant groupe contrôle)

Ces trois choses reflètent l’idée de base, à savoir manipuler des variables pour voir leurs effets sur des groupes comparables

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5
Q

Qu’est-ce qu’une variable indépendante ? plus encore ?

A

Variable qui est introduite ou “manipulée” par les chercheurs
Variable qui influencera peut-être le comportement des participants
Variable qui varie dans l’étude de façon indépendante du comportement des participants

(Dimension que le chercheur manipule délibérément et dont il veut mesurer l’effet)
(facteur que le chercheur conçoit comme étant possiblement responsable de l’apparition du phénomène)

Les diverses valeurs d’une vi sont appelées les niveaux

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6
Q

Qu’est ce que la variable dépendante ? qui plus est ?

A

Variable que l’on désire comprendre
Variable que l’on décrit par des statistiques
Variable qui dépend de notre traitement expériementale

(L’effet du traitement (vi) est mesuré au nivau de la vd

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7
Q

Qu’est-ce qu’une variable confondante ?

A

Variables autre que variable indépendante mais qui pourrait influencer la vd

(Problème si variable confondantes covarient avec vi :
Quelle variable cause changements sur vd)

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8
Q

Fondement de la méthode expérimentale

A

L’assignation aux conditions expérimentales est aléatoire
Cela enlève des biais potentiel
(Rend les groupes équivalents a priori)
(Groupe contrôle permet étalonnage)

La relation vi vers vd peut donc être comprise comme causale
(s’il n’y a pas de variable confondante plausible)

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9
Q

Parlez de la méthode quasi-expériementale

A

A les apprances d’une expérimentation mais…
Vi sont des caractéristiques de l’environnement physique ou social que le chercheur ne manipule pas, que ce soit pour des motifs technologiques ou parce qu’il choisit de ne pas le faire (ex : degré de pollution, jours d’ensollement, etc.)

Des caractéristiques des participants eux-mêmes peuvent être également conçues comme des vi, indépendamment de l’intervention du chercheur (ex: sexe, âge, origine ethnique, etc.)

Par conséquent, la plus grande réserve s’impose lorsqu’il s’agit de conclure que ces Vi, non manipulées, sont es causes des conduites avec lesquelles on les a mises en relation

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10
Q

Évaluation, soit avantage et critique de la méthode expérimentale :

A

Avantage de la méthode expérimentale : Capacité de manipuler rigoureusement une ou plusieurs variables en spécifiant avec précisions les conditions exacte de leur apparition

Contrôle “total” de la situation de recherche : En laboratoire, on peut éliminer presque complètement les facteurs perturbateurs ( ex: bruits, présence d’autrui, ect.) et contrôler les conditions ambiantes (éclairage, température, etc.)

Critique de la méthode expérimentale :
Si les résultats sont obtenues en laboratoire, dans des conditions purement artificielles, il est difficile voire impossible de les généraliser à des situations plus natureles
Implique une difficulté de planification et de réalisation
Dépenses considérables d’énergie et de temps

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11
Q

Parlez de la méthode pré-expérimentale

A

Un seul groupe, avec mesure pré et post
Mesure -­­> intervention -> mesure
Moins puissant qu’un plan expérimental ou quasi expérimental en raison des sources d’invalidité : amélioration test-retest, changement = temps

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12
Q

Qu’est-ce que l’étude corrélationnelle

A

On observe la variabilité qui existe de façon naturelle au niveau de certains phénomènes psychologiques et on tente de découvrir quels sont les phénomènes qui varient ensemble ou conjointement
Méthode non-expérimentale
Pas de distinction vi / vd

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13
Q

Parlez du schème factoriel ou plan factoriel en relation avec la ou les vi

A

Une vi = plan unifactoriel
Deux vi = plan bifactoriel (deux facteurs)
Trois vi ou plus : plan multifactoriel

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14
Q

Quels sont les effets étudiés des plans factoriel ?

A

Effet d’interaction :
L’impact d’un facteur A sur la Vd n’est pas le même aux différents niveaux d’un autre facteur B
Dans les plans multifactorieles, possibilité d’interraction de 3e ordre ou pire
(ex : L’interaction entre A et B et C varie selon D (au secour…)

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15
Q

Avantage et inconvénient des plans factoriels

A

Permet d’examiner plusieurs vi dans une même étude
Statistiquement puissant et méthodologiquement flexible
Permet d’étudier l’impact conjoint des vi sur la vd
Mais…
Chaque combinaison de vi demande son propre groupe de praticipants
Analyses et surtout interprétation plus complexes

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16
Q

Parlez de recherche développementale :

A

Le but principal est d’étudier le changement dans le temps

Deux approches principales :
études longitudinales
études sectionnelles

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17
Q

Parlez d’études longitudinale

A

Études longitudinales :
Les mêmes participants sont étudiés de façon répétée durant la période de mesure (minutes, heures, jours, mois, années…)
Étude de cohorte : lorsque deux groupes ou plus sont suivis dans le temps, permettant un schème expérimentale

La durée de l’étude est souvent un problème (ex: logistique, financier)
Mais une étude longitudinale permet d’étudier le changement
Pourvu que les mesures soient assez fine

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18
Q

Parlez, donc, s’il vous en dit, d’études sectionnelles :

A

Différents participants sont mesurés aux différents “moments” de l’étude
Moment : âge ou période d’intérêt pour l’Étude
(ex: groupe d’enfants de 2 ans, 4 ans, 6 ans et 8 ans)
Peut se faire rapidement (jours,heures!)
Ne permet pas d’étudier le changement comme tel
Comparaisons entre groupes d’âges : possible effet de cohorte (i.e. groupe différents a priori et indépendamment de l’effet de l’âge)

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19
Q

Qu’est-ce que la recherche historique en psychologie. Parlez des types de données et de leur avantage respectif.

A

Étude de documents d’archive ou par le biais de “témoins” des événements

Deux types de données
Sources primaires : les personnes qui étaient là
Peuvent être plus précises

Sources secondaires : les personnes qui n’étaient pas là (du moins à ce moment là)
Peuvent être plus objectives (Sylvain says)

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20
Q

Parlez donc de l’étude de cas comme méthode d’investigation

A

n = 1 (ou presque)
Fréquent dans la recherche clinique
Accent généralement dur individus atypiques
Limite à la généralisabilité

Pas moins utile qu’une bonne expérience
(ex: paranoïa et homosexualité, relativité générale et éclipse solaire

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21
Q

Dites donc, et les méthodes descriptives ?

A

Le but principal étant de décrire certaines variables
(ex : créer un profil social, économoqie, et ethnique d’une région)

Les statistiques descriptives
(résumer/condenser l’information) sont la norme

Parfois méthodes inférentielles (i.e., généraliser) quand échantillon représente population plus large

Absence d’hypothèse

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22
Q

Et les sondages, recensement ?

A

Création d’une large base de données
Généralement, bas sur format Question-Réponse
Questionnaire : papier, informatiser ou internet (web)
Entrevues : individuelle, en personne ou par téléphone, clavardage

Structurées : liste ordonnée de questions
Non-structurées : dynamique, en fonction des réponses

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23
Q

Recherche qualitative :

A

Basée davantage sur la personne comme tout que sur des comportements isolés (i.e., subjectivité, phénoménologie)
Peu ou pas de procédure statistiques

cinq caractéristiques habituels :
Optique = compréhension (pas simplement description)
Approche ouverte et large (pas d’hypothèse)
Données qualitatives (dialogues, lettres, notes d’observations….)
analyse qualitative : unité de sens
Débouche sur récit, interprétation

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24
Q

Concernant les biais ?

A

Ils sont partout
Importance de réaliser que l’idée même d’étudier quoi que ce soit de particulier est biaisée
Qu’on soit un béhavioriste enragé ou un humaniste phénoménologique indécrottable
Qu’on soit chercheur ou participant
Prendre connaissance des biais permet de mieux comprendre l’objet d’étude
En fait, fondement de l’humilité en recherche

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25
Q

Plus précisément, des biais associés au chercheur ?

A

Désir d’obtenir les comportements attendus ou annoncés par la prédiction à vérifier ou par la position théorique
Il arrive que le sujet soit informé de la nature des réponses escomptées ou de certains de leurs éléments par divers aspects (verbaux, non-verbaux) de la conduite du chercheur
Ce qui mène à une communication plus ou moins explicite de ce que le sujet croit que le chercheur aimerait que le sujet fournisse

D’autres caractéristiques physiques (sexe, ethnicité), psychologiques (status professionnel) de la personne qui recueille les données sont susceptible d’agir de manière différentielle sur le comportement des participants
: effet de l’expériemntateur
: Possiblemement moins d’hostilité provoquée expérimentalement envers une expérimentatrice qu’envers un expérimentateur, ou inversement, par exemple

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26
Q

Les biais associés au participant dans tout ça ?

A

Puisqu’il a invité l’invitation du chercheur, le sujet peut entretenir certaines attentes à l’endroit de ce qu’il vient faire dans cette situation
: Il peut croire qu’il doit afficher le comportement qu’il pense être celui qui intéresse le chercheur, plutôt que de produire les réponses qu’il émettrait naturellement s’il ne se savait pas participer à une recherche
: Le participant élaborera ces propres hypothèses concernant les objectifs de la recherche en se basant sur les informations véhiculée par la situation dans laquelle si le se trouve
: De manière plus ou moins délibérée et générale, le participant souhaite retirer de sa participation un image de lui qui le satisfasse : il s’efforcera de produire des réponses qu’il juge être de de bonnes réponses
: Le participant cherche à se présenter sous un jour qu’il croit être favorable aux yeux du chercheur

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27
Q

(Début cour 5)

Pouvez-vous expliquer ce que la science n’est pas ?

A

La science n’est pas définie par son sujet : tout dans l’univers est de son domaine
La science n’est pas définie par ses outils : l’utilisation d’un scanner n’est pas en soi scientifique

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28
Q

Si vous aviez à décrire une méthode presque scientifique, que diriez-vous ?

A
  1. Théorie : Pas vraiment. Peut-être. Quelque chose de vague. Une intuition.
  2. Hypothèse : Bien, euh, il pourrait être intéressant de regarder X, Y, et / ou Z
  3. Étude : Procédure permettant l’acquisition de données pour évaluer l’hypothèse
  4. Données : L’ensemble de mesure obtenues par la réalisation de l’étude
  5. Analyse : Procédure permettant d’évaluer la correspondance données hypothèse
  6. Interprétation : Tirer les conclusion qui s’imposent étant donné le résultat des analyses
    (Retour à 1)
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29
Q

Qu’est ce que Sylvain, la méthode scientifique ?

A
  1. Théorie : Collection organisée de proposition essayant d’expliquer quelque chose
  2. Hypothèse : Prédiction spécifiques sur ce qui se passe en certaines circonstances
  3. Étude : Procédure permettant l’acquisition de donné pour évaluer l’hypothèse
  4. Données : L’ensemble de mesures obtenues par la réalisation de l’étude
  5. Procédure permettant d’évaluer la correspondance données- hypothèse
  6. Interprétation : Tirer les conclusions qui s’imposent étant donné le résultat des analyse
    (Retour à 1)
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30
Q

Qu’est-ce que la science selon Stanovich (2007) ?

A

Empirisme systématique : Définition d’hypothèses identifiant des variables claires permettant une vérification exhaustive et non ambigüe
Connaissances publiques vérifiables : réplicabilité, évaluation par les pairs
Théorie vérifiables : Pas de boîtes noires

31
Q

Parlez donc des critères des questions de recherche et de leur rôle en lien avec les autres étapes de recherche :

A

Exemple de questions de recherches
: Questions qui se prêtent à des observations ou mesures spécifiques
: Qui seront analysées par la suite
: Doivent être transformé en hypothèses

Exemples de questions qui ne sont pas vérifiables :
Des questions dont la formulation ne permet pas une mesure ou analyse satisfaisante : Quelle est la meilleure couleur ?
:Recherche sur des domaines reliés peuvent informer la question

32
Q

Qu’est ce qu’une question de recherche ? Qu’est-ce qu’un hypothèse de recherche ?

A

Une question renvoie à une information manquante que la recherche, on l’espère, pourra produire : Ex : est-ce que les chiens et les chats diffèrent en habiletés mentales ?

Les hypothèses sont des prédictions à propos de la réponse à la question : ex: les chiens devraient apprendre un labyrinthe plus rapidement que les chats
: les prédictions sont habituellement le fruit de la théorie et / ou du bon sens

33
Q

Parlez donc des recherches qui ne se prêtent pas à l’analyse statistiques

A

Certains travaux se basent sur des méthodes qualitatives ou ethnographique, le but étant de produire une description détaillée d’une situation (ex : étude de cas)

Ces travaux ne sont pas moins valables en vertu de leur méthodes, mais ils cherchent à répondre à des questions différentes
(ex: c’est quoi vivre avec un trouble bipolaire?)

34
Q

Rôle et type d’hypothèses

A

Une hypothèse est une prédiction à propos de choses observables dans des circonstances précises : sert d’interface entre la théorie et l’objet de la théorie.

Une hypothèse théorique est très générale (ex : la peur cause l’activation physiologique)

Une hypothèse opérationnelle (ou de recherche) précise quoi mesurer et à quoi s’attendre (ex: Une grosse tarentule velue sera associées à au moins 10% d’augmentation du rythme cardiaque chez l’arachnophobe
: l’hypothèse opérationnelle est essentielle pour construire et réaliser une étude

35
Q

L’hypothèse nulle (Ho) :

A

La recherche s’intéresse généralement aux relations ou différences
: Changement dans une mesure dans certaines circonstances
: Changement en X associés à des changements en Y

Le test d’hypothèse statistique, lui, est préoccupé par la probabilité d’absence de différence ou relation

Presque toutes les techniques d’analyses inférentielles s’intéressent à la possibilité de rejeter Ho avec un certain niveau de confiance
Habituellement, 5%

36
Q

Quelles sont les types d’observation en recherche ?

A

La recherche scientifique est basée sur les données, qui sont obtenues par une quelconque forme d’observation

Observation directe du comportement
: Mesure en ligne
: Cas spécial: Mesure physique, physiologiques (rythme cardiaque, temps de réaction, conductance de la peau…) : généralement utilisées comme indexes du construit d’intérêt (attention, peur, apprentissage…)

Produits dérivés du comportement :
: Mesure hors ligne : vidéos, archives

Test : forme particulière de mesure hors-ligne
: les réponses nous intéressent, pas le geste de remplir le questionnaire comme tel

37
Q

Parlez donc de la causalité et de recherche :

A

En psychologie, ça serait bien de pouvoir cataloguer les causes du comportement
: Certaines méthodes de recherche et procédures statistiques peuvent tester des modèles causaux

Mais la meilleure étude avec les meilleures analyses ne fera jamais plus que suggérer (ou non) que les données sont consistances avec tel modèle causal

38
Q

Un mot sur la variation ? Qu’est-ce que une expérience ou étude espère démontrer en lien avec la variation

A

Sans variation, il n’y aurait pas de différence ou de relation à étudier : on mesure un, on mesure tous

Une expérience ou étude espère démontrer que la différence ou la relation est relativement moins variables que les participants en soi

39
Q

Discuter donc un peu de la distribution binomiale

A

Renvoie à la distribution d’événement n’ayant que deux possibilités (événements binaires)
: les possibilités sont mutuellement exclusives
: les possibilités n’ont pas besoin d’être égales pour autant qu’elles s’aditionnent à 1.0

Vous dit la probabilité d’observer un nombre spécifique de conséquences A (probabilité Pa) étant donné n mesure

40
Q

Qu’entend-on par distributions d’échantillons

A

Distribution d’une statistique obtenue de plusieurs échantillons d’une même grandeur
: l’exercice du début de cours est un exemple

Si on s’intéresse à comment la moyenne varie d’un échantillon à l’autre, par exemple, on est intéressé par la distribution de la moyenne

41
Q

Définissez valeur attendue et erreur standard

A

Valeur attendue : la moyenne d’une distribution d’échantillons est appelée la valeur attendue de la statistique concernée

Erreur standard : L’écart-type d’une distribution d’échantillons est appelée l’erreur standard de statistique concernée

42
Q

Théorème central limite (voir note de cours)

A

Théorème central limite (voir note de cours)

43
Q

Qu’est-ce que psycInfo

A

Base de données contenant les détails de publications en psychologie depuis le 18e siècle
Maintenue par l’American Psychological Association

44
Q

Quelles sont les forces de psychinfo et WoS comparativement

A

Couverture : WoS
Précision : psychinfo
Pertinence : Psychinfo
Citation : WoS

45
Q

Quels sont les utilités,k avantages et dangers d’avoir recours à Wikipédia ?

A

Utilité : Chercher des définition / explication de termes techniques

Avantages
: Rapide!
: Extrêmement riche en information
: Généralement bien écrit

Dangers
: N’est pas une ressource officielle - Qualité et validité ne sont pas garanties
: N’est pas une ressource stable

46
Q

(Début cours 3) Comment procède-t-on à l’évalutation du risque en éthique de la recherche ?

A

Une question de risques / bénéfices

Une analyse, théorique ou appliquée, doit être faire:

Quels sont les bénéfices potentiels de la recherche ?
: Pour les participants
: Pour la discipline
: Pour la société

Quels sont les risques encourus par les participants à l’étude (ex: physique, psychologique, financier…) ?

Sachant cela, les bénéfices sont-ils plus importants que les risques ?

47
Q

Nommer des populations spéciales / vulnérables en ce qui a trait à la recherche :

A
Enfants
Personnes âgées
Personnes démunies
Personnes incarcérées
Militaires
Employés (dans le cas où étude permise voire financé par l'employeur)
Étudiant-e-s
Personnes malades, handicapées
Personne émotionnellement vulnérables
Vos propres clients, employé-e-s
48
Q

Que dit l’éthique à propos du consentement libre à participer à la recherche ?

A

Participer à une étude
: Tout individu est libre de prendre part à un projet de recherche
: Il-elle doit avoir la capacité légale d’accepter l’expérimentation / l’observation…
: Le consentement des participants doit être obtenu sans coercition, contrainte ou pression

Ne PAS participer à une étude
: Tout individu est libre de NE PAS prendre part à un projet de recherche
: Il-elle doit avoir la capacité légale de refuser l’expérimentation / l’observation…
: La personne ayant dit oui auparavant a le droit de se retirer sans coercition, contrainte ou pression - retrait sans préjudice

49
Q

Quelle critère tente-t-on de respecter lorsqu’il s’agit de rémunération en recherche ?

A

Ne doit pas être excessive afin de ne pas influencer le libre consentement

Est généralement une compensation qui sert à
: remercier les gens d’avoir collaboré
: Rembourser certains frais

50
Q

Quels critères sont demandés pour que le consentement soit perçue comme éclairé ?

A

Le-la participant-e doit être mis au courant de la nature, des risques et avantages de la recherche
Le-la chercheur-se doit s’engager à fournir une information complète que toute personne raisonnable et prudente aimerait connaître avant de s’engager dans une activité - utiliser un langage simple et compréhensible

51
Q

Qu’inclut un formulaire de consentement ?

A

Typiquement une lettre renseignant les participant-e-s potentiel-le-s sur
: les objectifs du projet de recherche
: les méthodes et techniques employés pour réaliser l’étude
: les avantages de même que les risques ou les désavantages inhérents au projet, pour les participant-e-s ou la population en général
: comment la confidentialité des résultats et l’anonymat seront conservés
: une clause expliquant au-à la participant-e la liberté qu’il-elle a de se retirer en tout temps de l’expérimentation et ce, sans que cela lui cause préjudice
: le chercheur laisse son nom et numéro de téléphone pour que le participant puisse le rejoindre s’il a des questions ou encore s’il veut porter plainte

Précède la signature du consentement

52
Q

Nommez trois éléments essentiels du consentement libre et éclairé

A

La compétence : l’habileté du-de la participant-e à prendre une décision rationnelle en accord avec ses propres valeurs fondamentales et à fournir un consentement intentionnel
: Dans certains cas, le consentement peut ne pas être obtenu du-de participant-e directement : on demande alors au tuteur, parent, gardien légal…

La connaissance : Compréhension complète des risques, des sources d’inconfort qui peuvent découler de la participation à l’étude

La volition : Capacité de fournir un consentement en l’absence de pression ou de contrainte externe

53
Q

Quelles conditions rendent acceptables de réaliser une recherche en l’absene de consentement ?

A

Il s’agit d’une étude en milieu naturel

Pas de mise en scène ou artifice

Il n’est pas possible d’identifier les individus dont on obtient l’information

54
Q

Qu’entend-on par principe de respect ?

A

Principe du respect
: Le participant a droit à la protection de sa vie privée : accepte de participer anonymement à une étude, pas de partager son intimité avec le reste du m onde

: Le chercheur ne peut en aucun temps obtenir de l’information des participants sans avoir pris des mesures permettant de respecter leur sentiment d’intégrité et de dignité

55
Q

Qu’entend-on par anonymat :

A

Consiste à faire en sorte que l’identité d’un participant ne soit pas associée aux données recueillies au cours de la recherche

56
Q

Qu’entend-on par confidentialité ?

A

Assure aux participants que l’information ne sera pas transmise à une tierce personne qu’avec son consentement explicite
:Bris de confidentialité si le chercheur soupçonne que le participant constitue un danger imminent pour soi ou pour autrui
: Événement qui sont survenus dans le passés (ex:abus, crime) = on doit préserver la condidentialité

57
Q

Qu’est-ce que la duperie ?

A

L’une (ou une combinaison) de trois choses

: Omission volontaire de divulguer certains aspects significatifs de la recherche aux participant

: Transmission d’informations ambigües

: Transmission d’information totalement inadéquates quant à la nature même de l’étude

La duperie va directement à l’encontre du principe de consentement

58
Q

Dans quelle circonstance la duperie est-elle tolérée ?

A

En recherche clinique / avec les participants, l’utilisation du placebo est considérée comme acceptable uniquement lorsque aucune autre forme de traitement efficace n’est disponible

En revanche, si l’utilisation du placebo est reconnue comme n’aggravant pas les problèmes (e.g., migraine) et que de surcroît les participants savent qu’une condition est placebo, les risques semblent minimes et le consentement éclairé

59
Q

Nommer certains sujets de recherche qui ne peuvent s’étudier sans un élément de duperie :

A

L’utilisation de congénères pour créer des situations “naturelles” de manière contrôlée

Des instructions qui servent à protéger la manipulation : si de comprendre la manipulation affecterai la performance

60
Q

En quoi consiste la désensibilisation ?

A

À la fin de la cueillette de données, partager l’information quant aux buts de l’étude qui ont pu être négligés / omis auparavant, et répondre aux questions : élimination des malentendues

Si duperie
: Expliquer pourquoi
: Rétablir confiance
: Demander la permission d’utiliser les vraies données

Responsabilité de détecter, de réduire ou de corriger les risques et les méfaits physiques ou psychologiques de la recherche

61
Q

Nommer les différents types de fraude en recherche

A
Plagiat
Fabrication
Falsification
Sabotage
Omission
62
Q

En quoi consiste le plagiat ?

A

D’une façon générale, présenter l’idée de quelqu’un d’autre comme sienne

Verbatim
: plus facile à identifier
: reflète possiblement erreur / naïveté

Modifiée
: plus difficile à identifier
: Reflète probablement malhonnêteté : Modification visant à dissimuler l’origine au lieu de la reconnaître

63
Q

En quoi consiste la fabrication ?

A

Création, en tout ou en partie, de “données” de recherche

: Généralement vise à réduire variance et/ou augmenter les effets

64
Q

En quoi consiste la falsification ?

A

La transformation d’une partie ou de toute une base de données
: Encore une fois, vise généralement à réduire variance et/ou à augmenter les effets

65
Q

En quoi consiste le sabotage ?

A

Partager avec d’autres équipes de recherche des méthodes / données qu’on sait fausse et / ou inadéquates
: Souvent dans le but d’aider à reproduire (à leur insu) la supercherie initiale
: Parfois pour ralentir les travaux des labos adverses

66
Q

En quoi consiste l’omission ?

A

Forme passive mais grave de fraude consistant à ne pas révéler des résultats dont on sait qu’ils changent de façon substantielle la perception de ce qui est révélé (ex: notre médicament guérit 2 x plus de cancer que le meilleur médicament courant. (omis: mais accélère d’un facteur de 10 le décès de tous les autres patient-e-s

67
Q

À qui appartient la recherche ?

A

Règle générale, les étudiant-e-s détiennent la propriété intellectuelle de leurs travaux
Exception : lorsque l’étudiant-e a un rôle plus propre à l’assistant-e de recherche

68
Q

Quelle sont les utilités de la recherche avec des animaux ?

A

Les recherches fondamentales ont grandement contribué aux connaissances acquises sur l’apprentissage, la perception, la mémoire, la motivation et les émotions

Permet un meilleur contrôle de certaines variables héréditaires et expérimentales en comparaison à la recherche auprès d’humains

Débouchés sur des applications pratiques intéressantes

Certaines études seraient impensable à réaliser auprès d’humains
: Étude du fonctionnement du cerveau
: Effet de certains médicaments
: Compréhension de la cause, de l’antécédent ou des conséquences d’une pathologie

69
Q

Quelles sont les conditions pour réaliser des études auprès des animaux ?

A

Si elle permettent une meilleure compréhension du comportement

Si elles aident à mieux comprendre l’espèce animale à l’étude

Si elles ont comme conséquences d’améliorer le bien-être des humains et / ou des animaux

Si la recherche n’a pas de méthode alternative valable

70
Q

Dans quelle condition, en recherche, est-il tolérer d’imposer du mal-être à un anima ?

A

Exposer un animal à un stress, à des douleurs ou à une situation de privation est toléré seulement en l’absence de méthodes alternatives et seulement si la valeur prospective de la recherche au plan scientifique, éducationnel ou appliqué est justifiée.

71
Q

Comment le chercheur justifie-t-il de manière éthiquement valable l’utilisation des animaux ? Sur quels critères sa demande sera-t-elle évaluée ?

A

Le chercheur doit justifier de manière éthiquement valable l’utilisation des animaux
:à des fins d’enseignements ou de démonstration : il faut tenir compte du niveau d’inexpérience des étudiants, de compétence de l’enseignement et du type de projet
: s’il leur administre des traitements douleureux
: s’il désire enseigner une technique de chirurgie à ses étudiants
: à éviter si les objectifs peuvent être atteints en utilisant des vidéos, films ou autre moyens

72
Q

Quelle question le chercheur doit-il se poser lorsqu’il travail avec des animaux ?

A

Est-ce que les bénéfices potentiels de la recherche sont supérieurs aux risques encourus par les animaux ?

C’est seulement lorsque les bénéfices sont supérieurs aux risques que la recherche peut être effectuée

73
Q

Parlez donc un peu du mandat et de la composition suggérée des comités éthique

A

Mandat simple et clair : S’assurer du respect des principes éthiques en vigueur dans l’institution et dans l’organisme qui subventionne l’étude
: Souvent une question d’assurance aussi : pour l’institution mais surtout pour les chercheurs

74
Q

Qu’ accepte-t-on en adoptant un modèle scientifique ?

A

La science propose une vision de la réalité - il y en a d’autres

La science elle-même n’est pas une chose observable :
C’est une série de contrainte dans notre façon d’étudier le monde