Module 6 Flashcards

1
Q

À l’enfance et à l’adolescence, qui forge les habitudes alimentaires

A

Les parents

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2
Q

À l’âge adulte, qui forge et influence les comportements alimentaires ?

A

Par le partenaire/amoureux

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3
Q

Quel est le cadre le plus mobilisé dans la recherche sur les influences sociales en lien avec l’image corporelle.

A

Le modèle d’influence tripartite

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4
Q

Nommez les 3 sources d’influence sociale qui ont un impact direct sur l’insatisfaction corporelle des individus

A

Les pairs, la famille et les médias

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5
Q

Quels sont les deux variables par lesquelles les 3 sources d’influence sociale ont une influence sur l’insatisfaction corporelle

A

l’internalisation des standards de beauté et une tendance excessive à comparer son apparence avec celle d’autrui

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6
Q

Auprès de quel échantillon le modèle tripartite a été validé

A

Les adolescents et les femmes blanches

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7
Q

V/F L’accessibilité et la disponibilité des légumes et des fruits dans le domicile familiale sont liées à la consommation de légumes et de fruits chez l’enfant d’âge préscolaire et scolaire

A

Vrai, ces variables font en sorte que que l’enfant est davantage exposé aux fruits et légumes ce qui favorise une plus grande acceptation et une préférence aux goûts de ces aliments.

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8
Q

Quel est le prédicateur le plus important de la qualité de l’alimentation chez l’adolescent

A

L’alimentation de la mère

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9
Q

V/F Si une mère consomme des aliments peu nutritifs comme de sucreries ou du chocolats, son enfant n’aura pas la même habitude

A

Faux, si une mère consomme plus d’aliments nutritifs, plus l’enfant fera de même. Idem pour les aliments peu nutritifs

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10
Q

Quelles sont les 3 grandes catégories de pratiques alimentaires utilisées par les parents ? Expliquez les.

A
  1. Le contrôle coercitif inclut l’usage de pressions et de dominance de la part du parent par rapport au comportement alimentaire de l’enfant
  2. la structure re voie à l’organisation de l’environnement alimentaire familial pour augmenter les compétences alimentaires de l’enfant
  3. le soutien à l’autonomie de l’enfant encourage l’autonomie de l’enfant dans le contexte alimentaire.
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11
Q

Expliquez en quoi la consommation d’aliments par la mère, durant la grossesse, influence l’acceptation future des aliments par son enfant

A

Par la transmission in utero des saveurs dans le liquide amniotique et parce que les aliments consommés par la mère passent également dans le lait maternel.

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12
Q

Nomme moi certains recours sous-optimal que les parents peuvent utiliser comme pratiques alimentaires

A

la restriction, la pression à manger, l’utilisation de la nourriture pour gérer les émotions de l’enfant.

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13
Q

Quel est l’effet de la restriction auprès de l’enfant

A

Favorise la surconsommation de l’aliment interdit lorsque l’enfant y est exposé

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14
Q

V/F Les pratiques parentales liés au contrôle coercitif et à la structure sont associés à de meilleures habitudes alimentaires que le soutien à l’autonomie

A

Faux, c’est le contrôle coercitif qui est associé à des moins bonnes habitudes alimentaires

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15
Q

V/F Les pratiques alimentaires qu’ont les parents et les comportements alimentaires de l’enfant s’inter-influence

A

Vrai, les pratiques des parents peuvent façonner la réaction des enfants face aux aliments et leurs préférences alimentaires, mais les caractéristiques de l’enfant à table peuvent également influencer le recours, par les parents, à certaines stratégies et pratiques

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16
Q

Qu’est-ce qu’implique la cohabitation d’un couple ?

A

De joindre leur système d’alimentation et de négocier le partage des tâches entourant les repas

17
Q

Que peut-il être engendré suite à la jonction des systèmes d’alimentation de chaque membre du couple lors de la cohabitation ?

A

Une certaine convergence dans les habitudes alimentaires mais aussi des divergences.

18
Q

V/F La convergence des habitudes alimentaires du couple lors d’une nouvelle cohabitation peut avoir des effets négatifs comme la consommation plus importante d’alcool

A

Vrai

19
Q

V/F On mange différemment lorsque nous sommes en présence d’autres personnes

A

Vrai

20
Q

Par quels divers mécanismes peut-on expliquer l’influence d’autrui sur nos habitudes alimentaires ainsi que sur notre perceptions corporelles ?

A
  1. La facilitation sociale
  2. La volonté de faire bonne impression
  3. La conformité
21
Q

V/F le modèle de conformité au niveau de l’alimentation dit que les individus mangent nécessairement plus lorsque d’autres personnes se trouvent autours d’eux

A

Faux, certaines personnes vont voir leur alimentation inhibé selon la quantité d’aliments que les individus autour vont consommer
(les gens mangent plus si leurs compagnons mangent beaucoup, alors qu’ils mangent moins lorsque leurs compagnons mangent peu)

22
Q

V/F Les femmes vont manger autant, peu importe le nombre et la personne qui se trouve devant eux.

A

Faux, les femmes vont mangés moins si elles essaient de faire bonne impression, si elle se sentent observées, ou jugées.

23
Q

Expliquez sur quoi se base le modèle « inhibitory norm model of social influence of eating »

A

Les aliments ayant des propriétés organoleptiques (aliments appétissants) incitent la consommation alimentaire alors que les influences sociales dictent le moment où les individus devraient cesser de manger

24
Q

Que font les individus qui sont fortement influencés par les autres ?

A

Ils régulent leur apport alimentaires pour ne pas être perçus comme excessifs ou comme dérogeants de la norme

25
Q

V/F Il a été démontré que la comparaison de nos aliments avec ceux des autres influence le degré d’appréciation de notre repas et la quantité qu’on mange

A

Vrai, on apprécie plus notre repas si l’on considère que ce que l’autre a reçu est pire, ce qui nous encourage à manger plus. Dans le cas contraire, si l’on considère que ce que l’autre a reçu est mieux, on a tendance à moins manger.

26
Q

V/F Il a été démontré que l’exposition à des images de personnes minces influence la quantité d’aliments consommé et que cet effet varie selon le niveau de restriction cognitive du mangeur.

A

Vrai, des mangeurs restreints mangent moins lorsqu’ils sont exposés à des images de personnes minces et pour lesquelles la minceur semble atteignable ou qu’ils s’identifient à ces personnes, alors qu’ils vont manger davantage en réponse à une exposition à des images de personnes minces s’ils considèrent leur apparence physique inatteignable ou s’ils ne s’identifient pas à ceux-ci.

27
Q

Nommez les différents déterminants d’ordre individuel qui modulent le comportement du jeune mangeur

A

Les facteurs biologiques, les préférences alimentaires, les connaissances et les attitudes à l’égard de la nutrition, le sexe et le rythme de croissance.

28
Q

V/F Les enfants ont une préférence innée pour les aliments acides et amères alors que le goût pour les aliments sucrés et gras se développent plus tard

A

Faux, contraire

29
Q

Nommez les déterminants collectifs qui modulent les comportements alimentaires des jeunes mangeurs

A

Les aspects socioéconomiques, sociaux et l’environnement physique