Module 5 Flashcards

1
Q

À quoi fait référence l’image corporel ?

A
  1. Comment on perçoit notre corps
  2. Comment on se sent dans notre corps
  3. Ce qu’on ressent quand on pense à notre corps
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2
Q

V/F Avoir une image corporelle positive signifie qu’il y a une absence d’insatisfaction corporelle et de préoccupations négatives au sujet de son corps.

A

Faux

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3
Q

À quoi réfère l’estime corporelle ?

A

L’auto-évaluation qu’une personne fait de son corps

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4
Q

V/F L’estime de soi et l’image corporelle positive sont deux concepts similaire qui englobe les même sous-dimensions.

A

Faux, il s’agit de deux construits distincts

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5
Q

Nommez les deux variables psychologiques auxquelles l’estime corporelle est associée

A
  1. L’appréciation de son corps
  2. L’estime de soi
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6
Q

Nommez les deux variables auxquelles l’estime de soi est négativement liée

A
  1. Troubles alimentaires
  2. Stigmatisation liée aux poids
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7
Q

À quoi est associé une faible estime corporelle chez les jeunes ?

A

Un risque augmenté de troubles du comportement alimentaire chez les jeunes.

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8
Q

V/F Plus un individu a une image corporelle positive, plus il est susceptible d’adopter de saine habitude alimentaire et des comportements alimentaires adaptatifs (alimentation intuitive)

A

Vrai

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9
Q

Nommes les 7 stratégies parentales et leur description

A
  1. Être un modèle d’image corporelle positive
    - Les parents parlent avec respect de leur corps, du corps de leurs enfants et du corps d’autrui
  2. Adopter une attitude bienveillante envers le corps de l’enfant
    - Les parents posent des gestes démontrant qu’ils acceptent sans jugement l’apparence physique de leurs enfants et évitent tout commentaire sur le poids.
  3. Promouvoir une vision fonctionnelle du corps
    - Les parents attirent l’attention sur les capacités du corps et ce qu’il nous permet de réaliser et de ressentir
  4. Encourager l’enfant à se développer dans des domaines qui ne sont pas reliés à l’image corporelle
    - Les parents mettent en évidence les compétences de l’enfant (p. ex., habiletés physiques, succès académiques) et leurs qualités (p. ex., personnalité, forces de caractère) afin d’aider l’enfant à développer son estime de soi.
  5. Encourager la participation à des expériences d’ « embodiment »
    - Les parents encouragent l’enfant à participer à des activités qui favorisent la prise de conscience et une attention envers les besoins et sensations du corps (p. ex., yoga, activités motrices).
  6. Encourager l’enfant à avoir une vision élargie de la beauté
    - Les parents encouragent les enfants à voir la beauté dans diverses apparences physiques, physionomies et caractéristiques internes (personnalité)
  7. Enseigner la littéracie envers les médias
    - les parents enseignent à l’enfant à se questionner et à adopter une attitude critique envers le contenue médiatique, notamment les messages et les images qui véhiculent des idéaux corporels irréalistes.
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10
Q

Qu’est-ce que l’« embodiment »

A

L’« embodiment » est un construit qui englobe un large éventail d’expériences qui impliquent le corps en interaction avec son environnement (par le biais des perceptions, des émotions et des mouvements, par exemple. L’embodiment inclut à la fois l’appréciation de son corps et une vision bienveillante du corps comme un agent actif qui permet d’interagir avec le monde

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11
Q

Nommez les 5 dimensions de l’expérience de l’ « embodiment »des femmes

A
  1. la connexion et le confort avec son corps (p. ex., être connecté avec son corps et en apprécier l’unicité versus se sentir inconfortable dans sa peau),
  2. la capacité à être en action et à être spontané (p. ex., exprimer son désaccord et ses opinions versus obéir sans dire un mot),
  3. la connexion et l’expression de désirs (p. ex., le plaisir de manger versus vivre un trouble alimentaire),
  4. l’écoute de son corps et le fait d’en prendre soin (p. ex., faire des activités qui nous font du bien versus se surmener et ignorer la fatigue), et
  5. le fait de tendre vers des objectifs constructifs qui s’éloignent de l’objectification et de l’apparence physique (p. ex., vouloir être actif et en bonne santé versus vouloir être mince).
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12
Q

Quelle conséquences positives peut avoir le fait d’accorder de l’importance aux fonctionnalités du corps

A

résister aux pressions sociales et l’objectification du corps féminin

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13
Q

V/F Les femmes et les hommes vivent l’ « embodiment » de la même façon et aux même niveau.

A

Faux, les femmes évaluent leur corps en fonction de leur apparence esthétique et les hommes en fonction de ce qu’ils sont capable de faire. Les femmes vivent aussi beaucoup plus d’embodiment que les hommes.

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14
Q

Que permet la pratique du Yoga vis-à-vis l’embodiment ?

A
  • promouvoir des expériences positives d’embodiment par l’intermédiaire de plusieurs mécanisme
  • diminution de l’auto-objectification du corps
  • une plus grande conscience des sensations physiques vécus par le corps
  • plus grande compassion envers soi
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Perfectly
15
Q

Comment pourrait-on définir la compassion envers soi

A

Une vision bienveillante et sans jugement envers soi, de ses défauts et ses échecs, en reconnaissant que nous sommes tous humains et que l’échec est normal.

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16
Q

Que propose Neff (2003) face à des expériences de vie difficile ou face à l’échec

A
  1. de la bienveillance envers soi - plutôt que de se juger sévèrement,
  2. une vision connectée avec les autres - en normalisant l’échec et en comprenant que les autres personnes vivent des expériences similaires aux nôtres, et
  3. la pleine conscience des pensées et émotions douloureuses, c’est-à-dire les considérer avec curiosité, mais sans leur accorder une attention démesurée.
17
Q

V/F De hauts niveaux de compassion envers soi ont été associés à moins de symptômes dépressifs et d’anxiété chez les jeunes

A

Vrai

18
Q

À quoi était associé un faible niveau de compassion de soi

A

faible qualité de sommeil et un faible bien-être psychologique

19
Q

V/F La compassion envers soi-même est positivement liée à l’alimentation intuitive

A

Vrai