Module 2 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’une définition de la communauté selon Émile Durkheim?

A

Entité collective dont les parties sont indifférenciées (distinction entre les parties n’est pas prise en compte) et dépendantes les unes des autres = les individus n’existes que comme membres de la communauté. Partage de la culture assure le maintient de la collectivité.

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2
Q

Qu’est-ce qu’une définition de la communauté selon Max Weber?

A

La communauté est ultimement fondée sur un sentiment d’appartenance subjectif, soit affectif, soit hérité de la tradition. Le partage d’une culture commune est une condition favorable à la formation d’une communauté, mais pas essentielle.

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3
Q

Qu’est-ce qu’une définition de la société selon Émile Durkheim?

A

Association d’individus. L’intérêt réciproque assure le maintient de la collectivité (les individus se lient en fonction d’intérêts communs). La présence de l’État est nécessaire pour assurer la cohésion.

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4
Q

Qu’est-ce qu’une définition de la société selon Max Weber?

A

La société se fonde sur les compromis entre les intérêts égoïstes des individus.

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5
Q

Quels sont les 2 types de relations entre les individus de la société selon Max Weber?

A

1) Échanges de bien assurant la satisfaction réciproque des intérêts (ex. transactions commerciales)
2) Associations créées dans un but déterminé (ex. contribution des citoyens pour créer une force policière assurant la sécurité)

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6
Q

Qu’est-ce qu’une foule selon Gustave Le Bon?

A

Entité collective ayant sa nature propre. La foule ne s’identifie pas à l’addition des individus qui la composent. Pour l’analyser, il faut considérer le comportement de celle-ci comme une réalité à part entière.

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7
Q

Quels sont les 5 caractères spéciaux des foules selon Gustave Le Bon?

A

1) Impulsivité
2) Irritabilité
3) Incapacité de raisonner
4) Absence de jugement et d’esprit critique 5) Exagération des sentiments

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8
Q

Quelles sont les 3 caractéristiques de la psychologie de la foule selon Gustave Le Bon?

A

1) Impulsivité (ëtre en groupe procure un sentiment de puissance invincible freinant les instincts habituels = désinhibition des individus + diminution de leur capacité à raisonner)
2) Contagion mentale (Les membres de la foule suivent spontanément les actions impulsives de la foule)
3) Suggestibilité (Les individus de la foule perdent leur conscience individuelle = hypnotisés. Ils n’ont plus de désirs et d’opinions qui leurs sont propres)

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9
Q

Qu’est-ce qu’un paradigme?

A

Représentation générale du monde, dans laquelle s’insère un certain nombre de théories partageant spontanément cette vision et les questions de recherche qui en découlent.

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10
Q

Que défend le paradigme des effets puissants et directs?

A

Défend l’idée selon laquelle la communication de masse possède la capacité de modifier unilatéralement et mécaniquement le comportement des récepteurs.

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11
Q

Quels sont les 3 auteurs supportant e paradigme des effets puissants et directs?

A

1) Gustave Le Bon
2) Ivan Pavlov
3) Harold Lasswell

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12
Q

Quels sont les effets des communications de masse?

A

Elles agissent directement sur les perceptions des récepteurs et peuvent modifier leurs comportements.

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13
Q

Qu’est-ce que la métaphore de la seringue hypodermique?

A

Les émetteurs seraient capables d’injecter directement leurs messages dans le cerveau des récepteurs passifs. Image pour désigner l’influence des audiences passives aux médias de masse.

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14
Q

Quelle est la question programmatique?

A

« Qui dit quoi, par quel canal, à qui, et avec quels effets ? »

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15
Q

Qu’est-ce que le paradigme des effets limités et indirects?

A

Aussi appelé École de Columbia, ce mode de pensés rejette la métaphore de Lasswell et s’oppose à l’idée selon laquelle la communication de masse pourrait modifier mécaniquement et unilatéralement le comportement des récepteurs. L’influence des réseaux interpersonnels est supérieur à celle des médias de masse.

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16
Q

Qu’est-ce qu’un groupe d’appartenance?

A

Groupe de personnes qui partagent la même représentation du monde et les mêmes aspirations. Les membres d’un groupe d’appartenance tendent à se rallier de plus en plus aux représentations et aux aspirations de leur groupe.

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17
Q

Qu’est-ce qu’un leader d’opinion?

A

Personne la mieux informée et la plus familière des contenus médiatiques. Leur expertise dans le domaine médiatique est valorisée par les autres membres du groupe d’appartenance. Ils ont pour fonction de sélectionner, parmi l’offre médiatique, les contenus médiatiques en adéquation avec les représentations et les aspirations de leur groupe d’appartenance, d’une part, et de relayer par la suite ces contenus médiatiques aux autres membres de leur groupe.

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18
Q

Qu’est-ce que l’hypothèse des 2 étages de la communication?

A

La communication médiatique a une influence limitée et indirecte parce qu’elle procède en deux temps. La communication médiatique passe d’abord par la réception des leaders d’opinion. Ces derniers diffusent ensuite dans leur groupe d’appartenance des contenus médiatiques préalablement triés et sélectionnés.

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19
Q

Quelles sont les 3 fonctions de la communication selon Lasswell?

A

1) Surveillance de l’environnement
2) Coordination des différentes parties de la société dans leur réponse à l’environnement
3) Transmission de l’héritage social d’une génération à une autre

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20
Q

Qu’est-ce qu’un agent relais?

A

Représente un maillon dans la chaîne de communication.

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21
Q

Qu’est-ce qu’un agent de contrôle?

A

Il modifie le contenu d’un message (ex. éditeurs, censeurs, agents de propagande).

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22
Q

Qu’est-ce qu’un agent de traitement?

A

Il ne modifie pas le message ; il ne fait que le diffuser (ex. stations de radio, imprimeurs, distributeurs de l’édition).

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23
Q

Quels sont les 3 éléments pouvant mener à une communication inefficace?

A

1) Facteurs de compétence
2) Structure de la personnalité
3) Valeur accordée au pouvoir et à la richesse (classe sociale)

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24
Q

Quels pourraient être des exemples de facteurs de compétence nuisant à la communication?

A
  • Manque de qualifications

- Ignorance totale (on ignore qu’on ne sait pas)

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25
Q

Qu’est-ce que la structure de la personnalité pouvant nuire à la communication?

A

Une personne sélectionnera les faits qui légitiment ses traits de caractère et pourra acquérir une vision incorrecte et exagérée d’une situation ou d’un message. Il existe donc des différences importantes entre les personnes liées à leurs différences d’intelligence et d’énergie (elles n’interprèteront pas le message de la même façon).

26
Q

Comment la valeur accordée au pouvoir et à la richesse peut nuire à la communication?

A

Distorsion du message créée par ces valeurs afin de coïncider avec une certaine idéologie. Ex. un membre de la classe supérieure ne corrige pas ses perspectives avant d’entrer en contact avec un membre de la classe inférieure.

27
Q

Comment peut-on appartenir à une masse?

A

Pour appartenir à la masse, il faut avoir des symboles de références communs.

28
Q

Comment peut-on faire partie d’un public?

A

Un individu fait partie d’un public lorsqu’il fait plus qu’être un observateur passif. Il en fait partie lorsqu’il commence à vouloir influer sur la vie publique.

29
Q

Qu’est-ce que des connaissances équivalentes entre deux personnes?

A

Des gens ayant des niveaux de connaissances différents sur un même sujet peuvent avoir les mêmes idées et la même compréhension globale de ce sujet, même s’il ne sont pas au même niveau de connaissances (ex. expert en politique et simple citoyen) = connaissance équivalente. Malgré la grande distances entre leurs connaissances, les spécialistes et les non-spécialistes peuvent être d’accord sur les grandes lignes de la réalité.

30
Q

Qu’est-ce que le béhaviorisme?

A

Psychologie fondée sur l’idée de stimulus disant que les médias procèdent par injections dans les esprits pour produire certains types de comportements.

31
Q

Qui soutient la théorie du béhaviorisme?

A

Lasswell

32
Q

Pourquoi critique t’on les médias?

A

Cela vient d’une inquiétude relative à une perte de pouvoir. On tente d’identifier des groupes victimes (personnes irresponsables et vulnérables) qu’il faudrait prendre en charge et protéger = justifie la critique des médias par les gens inquiets de perdre le pouvoir.

33
Q

Qu’est-ce que la propagande?

A

Idée de transmission, de diffusion édifiante. Mot à connotation négative, celle d’exercer une influence sur l’opinion des gens. Concept limite et peu opératoire.

34
Q

Quelle est la plus grande inquiétude engendrée par les médias?

A

Celle de la relation entre la violence réelle et la violence médiatique.

35
Q

Quels sont les arguments des prenants de la relation entre la violence réelle et la violence médiatique (4)?

A

1) Idée de mimétisme
2) Effet de désinhibition (violence perçue comme normale)
3) Effet de l’activation d’une violence pré-existante
4) théorie cathartique (effet de soulagement des frustrations intérieures ressenti par les individus qui s’exposent à de la violence imaginaire)

36
Q

En somme y’a t’il une causalité entre la violence réelle et la violence médiatique?

A

Il n’y a AUCUNE CAUSALITÉ entre la violence médiatique et la violence chez les individus. Lorsqu’un individu présente des tendances violentes, des facteurs complexes sont impliqués, tels le milieu familial et les valeurs sociales. Le développement d’une violence plus insidieuse renvoie à l’importante déstructuration des liens familiaux que connaissent les pays occidentaux depuis quelques décennies et à une perte de respect envers certaines institutions discréditées dans un contexte de crise économique.

37
Q

Quels sont les effets de la publicité?

A

Le grand effet INDIRECT de la publicité est de rendre disponible les produits dans l’imaginaire. Il est probable que la publicité aide à vendre des biens, même si elle NE PERSUADE JAMAIS un consommateur de quoi que ce soit.

38
Q

Quels sont les 5R de Schudson en publicité?

A

1) RENDRE disponible les biens
2) Développer une RHÉTORIQUE dont le but est de rendre les programmes mémorisables et prégnant dans les imaginaires
3) Entrer en RÉSONANCE avec les cadres culturels
4) Faire perdurer les produits au moyen d’une RÉTENTION institutionnelle
5) Aider le public à décider de leur réponse aux programmes en fournissant des schémas de RÉSOLUTION de problèmes

39
Q

Qu’est-ce que le schéma canonique de la communication?

A

Les émetteurs veulent atteindre des récepteurs en vue de leur faire adopter leur point de vue (Lasswell).

40
Q

Qu’est-ce que l’École de Columbia?

A

S’intéresse aux effets des médias tout en étudiant le contenu des messages ou les caractéristiques des audiences. Ils s’opposent à l’idée que les médias ont un pouvoir de persuasion très important. Selon les chercheurs de cette école, les relations interpersonnelles auraient une importance significative dans les changements d’opinion et les médias auraient un effet limité et indirect.

41
Q

Quelle est la thèse principale de l’École de Columbia?

A

Démontrer que la communication de masse n’a pas l’efficacité nécessaire et suffisante pour modifier significativement (d’autres variables entrent en jeu) et à elle seule les attitudes ou les comportements des utilisateurs des médias. Les médias ne fond que renforcer les facteurs de changements déjà existants chez les individus.

42
Q

Quelles sont les 3 variables contredisant l’idée que les médias ont un fort pouvoir de persuasion directe?

A

1) Sélectivité individuelle (les personnes sélectionnent les messages qu’ils veulent en fonction de leurs compétences sociales et cognitives)
2) Réseaux de relations interpersonnelles (le pouvoir personnel des individus constitue un facteur décisif de changement)
3) Dimension temporelle (les changements d’attitude et de comportement ne SONT PAS immédiats !)

43
Q

Quelles sont les 3 faiblesses épistémologique du Bureau?

A

1) Définition trop étroite du concept d’effets = limite le concept à la problématique des effets attendus alors que des effets pervers peuvent être non anticipés
2) Il faut tenir compte du médium du message en tant que véhicule sensoriel et cognitif
3) Les chercheurs ne considèrent les messages que comme conçus intentionnellement pour influencer à court terme (et non à long terme) les opinions (et non l’ensemble du cadre culturel et idéologique) des individus (et non des institutions ou de la vie collective).

44
Q

Quelle est l’opinion de Klapper au sujet de la communication de masse?

A

La communication de masse agit au sein d’un réseau complexe de canaux possibles d’influence. Elle n’a pas l’efficacité nécessaire et suffisante pour conduire à un changement d’attitude chez les récepteurs.

=> Un message est efficace dans la mesure ou il renforce des attitudes et des opinions déjà existantes.

45
Q

Quelles sont les 4 principales critiques de l’empirisme?

A

1) Les études empiriques sur les communications de masse s’isolaient de toute sociologie de la culture
2) Les enquêtes étaient généralement commandées par les responsables de la diffusion et les agences publicitaires. Les commanditaires se posaient des questions précises qui portaient forcément sur le court-terme
3) Les chercheurs restaient donc insensibles à plusieurs dimensions pourtant fondamentales des impacts sociaux de la communication de masse
4) Les recherches empiriques ne peuvent constituer le cadre théorique nécessaire à une compréhension en profondeur des mécanismes d’influence sociale des médias

46
Q

Quelle est la question paradigmatique de Wright?

A

Quelles sont les fonctions manifestes et latentes de la surveillance médiatisée (activités d’information), de l’interprétation critique (activités éditoriales), de la transmission médiatisée de l’héritage culturel et du divertissement médiatique pour les différents niveaux de système (société, sous-groupes, individus, culture) ?

47
Q

Qu’est-ce que le courant Use and Gratification?

A

Courant qui consiste à postuler que des auditoires spécifiques ont tendance à sélectionner certains types de messages et à choisir certains supports plutôt que d’autres. Les chercheurs tentent de déterminer le poids de variables psychologiques ou sociales dans l’explication des choix.

48
Q

Le courant Use and Gratification porte son attention sur quoi?

A

Portent leur attention d’abord sur les messages plutôt que sur les effets, d’abord vers les récepteurs que les messages. Ils tentent de répondre à la question «Ce que fond les gens avec les médias ?» (et aussi «Quelles sont les fonctions remplies par les médias ?»).

=> Cette perspective centrée sur la satisfaction des usagers s’insère dans une approche fonctionnaliste.

49
Q

Quels sont les courants fidèles aux effets indirects et limités (3)?

A

1) Uses and Gratification
2) Études sur la diffusion de l’innovation à travaers les réseaux de relations interpersonnelles
3) Travaux liés à la théorie de l’écart de connaissances

50
Q

Quels sont les courants fidèles aux effets directs et puissants (3)?

A

1) Mise en agenda
2) Recherches historiques sur les impacts sociaux des technologies de la communication
3) Travaux liés à la théorie de l’incubation culturelle des téléspectateurs

51
Q

Qui suis-je ? Je suis fondée sur la cohésion et les compromis entre les intérêts égoïstes des individus.

A

La société de masse

52
Q

À quel paradigme de la communication est associé l’École de Columbia ?

A

Le paradigme des effets limités

53
Q

Lequel ou lesquels des énoncés suivants ne constituent pas des conclusions de l’étude sur le comportement électoral intitulée People’s Choice (1944) réalisée par Elihu Katz et Paul Lazarsfeld ?
A) Les électeurs font partie de groupes d’appartenance partageant les mêmes représentations et aspirations.
B) Les électeurs ne s’exposent qu’aux contenus conformes à leurs opinions préexistantes.
C) Les médias ne font que renforcer les représentations et les aspirations que possèdent déjà les électeurs.
D) Les groupes d’appartenances jouent un rôle de filtre quant aux contenus médiatiques consommés.
E) Aucunes de ces réponses

A

E)

54
Q

Lesquelles des thèses du modèle des effets puissants et directs sont rejetés par le modèle de la communication à deux étages (2) ?

A

1) La société constitue une masse d’individus passifs et anonymes.
2) Les effets des médias sont puissants et directs.

55
Q

Quelle est la distinction entre les agents de contrôle et les agents de traitement selon Lasswell, dans « Structure et fonction de la communication dans la société » (module 2) ?

A

Les agents de contrôle modifient le contenu d’une communication.

56
Q

Vrai ou faux ? Selon Lasswell dans « Structure et fonction de la communication dans la société » (module 2), un individu devient membre d’un public lorsqu’il commence à vouloir influer sur la vie publique.

A

Vrai

57
Q

Quels arguments concernant les expérimentations sur la violence médiatique est avancé par Éric Maigret dans « Les pièges des théories des effets directs » (module 2) ?

A

La violence médiatique est symbolique et elle est perçue comme telle : aucune causalité ne peut donc être établie entre des contenus violents et des attitudes.

58
Q

Quelle critique a été adressé à la psychologie expérimentale selon Éric Maigret dans « Les pièges des théories des effets directs » (module 2) ?

A

Son réductionnisme extrême

59
Q

En quoi Paul Lazarsfeld, de l’École de Columbia, innove-t-il dans son approche des effets des médias selon Breton et Proulx, dans « Enquêtes empiriques sur le pouvoir des médias » (module 2) ?

A

Il insiste sur la nécessité de produire des données empiriques pour fonder les analyses des effets des médias de masse.

60
Q

Quelle(s) faiblesse(s) théorique(s) appartiennent au modèle des effets limités de l’École de Columbia, selon Breton et Proulx, dans « Enquêtes empiriques sur le pouvoir des médias » (module 2) ?
A) Il est insensible aux impacts sociaux de la communication de masse.
B) Il fait une critique peu rigoureuse de la culture de masse.
C) Il restreint le concept d’effet à celui d’efficacité à court terme.
D) Il se limite à l’étude des effets pervers des médias.

A

A) et C)