Mi-session Flashcards

1
Q

Vrai ou faux:

Pour qu’on puisse parle d’agression sexuelle, il doit y avoir trois éléments : 1 ) un contact physique, 2) de nature sexuelles, 3) sans consentement

A

Faux

Contraindre une personne à se dévêtir, à se masturber, voyeurisme, exhibitionnisme

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2
Q

Vrai ou faux

La grande majorité des victimes pas ont agressées pas une personne qu’ils connaissent et si oui dans combien de % des cas?

A

Vrai à 85 %

À partir de ce qui est déclarer à la police

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3
Q

La majorité des enfants agressés sexuellement dévoilent les faits 6 mois ou moins après l’agression

V ou f

A

Faux : 50% des enfants dénoncent après 5 ans : comment on sait? On a demander aux adultes victimes d’agressions à l’Enfance

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4
Q

Le harcèlement sexuel constitue un crime selon le code driminel canadien pouvant entraîner jusqu’à 2 ans de prison.

V ou f

A

Faux , le harcèlement pas dans le code criminel.

LEs sanctions sont plus au niveau professionnel

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5
Q

Les enquêtes actuelles indiquent qu’environ 10% des agressions sexuelles sont dénoncées annuellement aux services de police.
V ou f

A

Vrai

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6
Q

LEs séquelles des agressions sexuelles sont différentes d’une personne à l’autre, mais le stress post-traumatique est présent chez presque toutes les victimes

V ou f

A

Faux,
La personne peut s’en sortir avec plus ou moins de séquelles… le choix post-traumatique est une séquelle comme une autre

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7
Q

LE fait qu’un enfant a été agressé sexuellement augmente les risques qu’il soit de nouveau victime d’agression sexuelle au cours de sa vie.

A

Vrai, c’Est un facteur de risque important.

Revictimisation

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8
Q

Il est nécessaire qu’il y ait preuve physique ou une corroboration (ex: témoin) de l’Agression sexuelle pour qu’il vaille la peine de se rendre en cour.
V ou f

A

Faux, c’Est l’ancienne façon de faire qui a changer en 1983

Le discours de la personne peut être suffisant

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9
Q

Définition de la coercition sexuelle

A

Recours à la force (physique, intimidation, chantage, menaces, intoxication) afin d’avoir des relations sexuelle non-désirée

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10
Q

Au sens de la loi, 3 éléments doivent être présents pour qu’il s’agit d’une agression sexuelle , nomme les trois

A

1) l’emploi de la force
2) de nature sexuelle
3) sans le consentement de la personne

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11
Q

En 1983, plusieurs changements légaux nomme en minimum 3

A

1) on ne parle plus de viol, ni d’attentat à la pudeur, mais d’agression sexuelle
2) reconnaissance de l’À.S. Entre conjoints et conjointes
3) les femmes et les homme, peuvent subir et perpétrer une À.S. (Anastasia c’était pénétration pénis dans le vagin de la victime)
4) le passé sexuel des victimes est inadmissible comme preuve
5) la corroboration et la plainte spontanée ne sont plus nécessaire

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12
Q

Dans le cadre du cours, l’agression sexuelle est définie comme,… 1-2-3 éléments

A

1) un geste avec ou sans contact physique
2) de nature sexuelle
3) sans le consentement de la personne

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13
Q

Qu’elles sont les circonstances pouvant empêcher le consentement libre et éclairé (5)

A

1) l’âge
2) personne en situation d’autorité (pour les personnes de 18 ans et moins)
3) situation de dépendance ( pour les personnes ayant une DI ou un DP)
4) facultés affaiblies (drogues, alcool, inconscience, sommeil)
5) ITSS non dévoilée

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14
Q

Au Canada, quelle est l’âge minimale pour consentir à une activité sexuelle

A

16 ans sauf exceptions si les deux partenaires sont pas trop éloignés en age

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15
Q

Lorsque le plus jeune des partenaires a 12 ou 13 ans, il peut consentir avec une personne …

A

De moins de 2 ans sont ainé

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16
Q

Lorsque le plus jeune des partenaire a 14 ou 15 ans,, il peut consentir avec une personne …

A

De moins de 5 ans sont ainé

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17
Q

Avant l’âge de 18 ans, le consentement n’est pas valide dans le contextes (3)

A

1) la personne est en situation d’autorité ou de confiance vis-à-vis le jeune
2) le jeune est en situation de dépendance à l’égard de la personne
3) La personne est dans une relation ou elle exploite le jeune (ex: porno, travail su sexe)

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18
Q

Exemple concert de la validité du consentement

Employeur et employé?

A

Ok si les deux sont âgés de 18 et plus

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19
Q

Exemple concert de la validité du consentement

Fille de 11 ans et son chum de 13 ans qui tentent une pénétration vaginale

A

Non, 11 ans le consentement n’est pas valide

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20
Q

Exemple concert de la validité du consentement

Garçon de 16 ans qui fait l’amour avec son ami de 24 ans

A

Ok, 16 ans âge du consentement

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21
Q

Exemple concert de la validité du consentement

Fille de 13 ans fait une fellation à son chum de 16 ans

A

Non, 12-13 : 2 ans son ainé

Donc le gars est trop vieux

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22
Q

Exemple concert de la validité du consentement

Une fille de 17 ans qui. Embrasse son coach de 20 ans

A

Non, le coach est en position d’autorité sur elle.

En bas de 18 ans le consentement n’est pas valide

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23
Q

1 femme sur ? A vécu une agression sexuelle avant 18 ans ?

A

1 femme sur 5

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24
Q

1 homme sur ? A vécu une agression sexuelle avant 18 ans?

A

1 homme sur 10

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25
Q

C’est quoi un facteur de risque

A

Augmente la probabilité d’être victime d’ube agression sexuelle sans en être la cause

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26
Q

Quel est le seul et unique facteur qui explique la victimisation sexuelle?

A

Être en présence d’une personne qui commet n e agression sexuelle

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27
Q

Nomme les facteurs de risque chez les enfants (12)

A

1) être une fille
2) être âgé de 6 à 11 ans pour AS intrafamiliale
3) être âgé de 12 à 17 ans pour AS extrafamiliale
4) avoir vécu des mauvais traitements (sexuels ou physique) dans le passé
5) avoir des besoins particuliers (handicapé, DI, DP, problèmes de santé mentale)
6) isolement - vulnérabilité
7) faible supervision parentale
8) consom de drogue et d’alccol Des parents
9) problèmes de sm des parents

10 conflits familiaux imp

11) présence d’un beau-père
12) historique d’agression sexuelle durant l’enfant chez la mère

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28
Q

Nomme les facteurs de risque chez les adultes (8)

A

1) être une fille
2) être une jeune adulte (18 à 24 ans)
3) avoir déjà subit une AS
4) avoir vécu des mauvais traitements pendant l’enfance
5) consommation de drogues et d’alcool
6) travailler dans l’industrie du sexe
7) avoir de nombreux partenaires sexuels
8) avoir un partenaire de même genre pour la violence conjugale

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29
Q

Nomme les facteurs de risque communautaire et sociaux chez les enfants de moins de 18 ans et les adultes (5)

A

1) tolérance face à la violence
2) faibles sanctions légales face à l’AS (ou faible risque de conséquences)
3) hypersexualisation des jeunes
4) normes traditionnelles quant aux rôles de genre
5) idéologie des droit sexuels dominants de l’homme sur ceux de la femme

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30
Q

V ou f

Avoir une mère qui a subi une AS avant l’âge de 18 ans est un des facteurs de risque les plus importants pour un enfant d’être lui-même victime

A

Vrai

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31
Q

On estime que ? De % des enfants victimes d’AS auraient une mère victime durant l’enfance

A

50%

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32
Q

Nomme quelques conséquences au plan psychosocial de l’Agression sexuel (11)

A

1) faible estime de soi
2) symptômes de dépression, idéations suicidaires
3) conso abusive d’alccol Et de drogue
4) anxiété
5) troubles somatiques; troubles alimentaires
6) troubles de conduites
7) consultation accrue des services de santé
8) difficulté au plan social: trouble de la personnalité
9) symptômes de stress post-traumatique
10) symptômes de dissociation
11) revictimisation

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33
Q

Conséquences à l’age Adulte de l’Agression sexuelle au plan sexuel (5)

A

1) comportements sexuels à risque
2) échanges de rapports sexuels contre de l’acool- drogue
3) dysfonctions sexuelles
4) évitement de la sexualité
5) compulsion sexuelle

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34
Q

LE stress poste-traumatique selon le DSM, nomme les critères

A

A. Éxposition ou menaces de mort, de blessures sérieuses ou de violences sexuelles

B. Présence de symptômes intrusifs associés au trauma (ex. R^ves, flashbacks)

C. Évitement persistant des stimuli associés au trauma (ex. Souvenirs, lieux)

D. Altérations négatives des cognitions et de l’humeur (ex: honte, culpabilité, détachement)

E. Perturbation importantes de la vigilance et de la réactivité (ex: irritabilité, colère, hypervigilance, difficulté à rester endormi)

F. Perturbations (critères B,C,D,E) qui perdurent depuis au moins un mois

G. Perturbation causent une détresse et un dysfonctionnement

H. Non attribuable à une autre cause

Explique, itinéraire, et, applique, pas, DAn , dans , nos plans

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35
Q

Critère À du stress post-traumatique, nomme les 4 possibilités d’exposition

A

1) exposition directe
2) être témoin, en personne
3) apprendre qu’un membre de la famille ou une personne proche a vécu un évènement traumatique
4) être exposé de maniière répétée ou extrÊme aux détails aversifs d’un évènement traumatique

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36
Q

C’est quoi le trouble vicariant

A

Burnout différent chez les cliniciens qui travaillent auprès des personnes traumatisées

C’est une exposition traumatique indirecte : pensées intrusives, cauchemars, émotions négatives liées au trauma, hypervigilance

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37
Q

Quels sont les pistes pour éviter le trouble vicariant

A
  • prendre soin de vous
  • demander de l’aide
  • éviter de contaminer les collègues en donnant des détails d’une histoire traumatique (ne pas raconter les pires histoires)
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38
Q

Conséquences possibles du trouble vicariant

A
Diminution de l’estime de soi
Cauchemars 
Abus d’alccol
Comportements autodestructeurs 
Remise en question existentielle
Perte de buts
Isolement 
Diminution de l’intérêt sexuel
Surprotection des proches
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39
Q

Conséquences d’une AS à l’enfance et à l’ado au plan psychosocial

A
  • atteinte à l’estime de soi
  • problèmes intériorisés (anxiété, dépression, isolement)
  • problèmes extériorisés (agressivité, crises de colère, troubles de la conduite)
  • problèmes scolaires (adaptation social et rendement académique)
  • symptômes de stress post-traumatique
  • dissociation
  • difficultés liées à la régulation émotionnelle
  • fugues, actes délinquants
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40
Q

Conséquences à l’enfance et à l’ado de l’AS au plan sexuel

A
  • comportements sexualisés inappropriés
  • activités sexuelles précoces et plus de partenaires sexuels
  • grossesse à l’adolescence
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41
Q

Quels sont les 4 dynamiques traumagéniques de Finkelhor et Browne

A

1) stigmatisation
2) trahision
3) l’impuissance
4) sexualisation traumatisante

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42
Q

Qu’est ce que les 4 dynamiques traumagéniques peuvent faire pour la victime

A

Elles peuvent modifier la perception cognitive ou émotive du monde de la victime et qui causent un traumatisme en faussant son concept de soi, sa vision du monde et ses capacités affectives.

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43
Q

Définie la stigmatisation

(dynamique traumagéniques)

La stigmatisation

A

Les connotation négatives associées à l’AS qui sont incorporées à l’image de soi de la victime

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44
Q

La stigmatisation (dynamique traumagéniques)

Nomme 1) les dynamiques , 2) les conséquences psychologiques et 3) les manifestation comportementales

A

1) blâme et dénigrement,
imposition du silence,
fortes réactions suite au dévoilement de la victime,
la victime est étiquettée- stéréotypée

2) honte et culpabilité ,
perte d’estime de soi,
l’impression d’être différent

3) isolement,
abus de substances,
activités criminelles,
comportement d’automutilation ou suicidaire

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45
Q

La trahision (dynamique traumagénique) définie

A

Dynamique à travers laquelle la victime se rend compte que quelqu’un sur qui elle était dépendante et en qui elle. Avait confiance lui a causé du mal

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46
Q

La trahision (dynamique traumagénique)

Nomme 1) les dynamiques , 2) les conséquences psychologiques et 3) les manifestation comportementales

A

1) manipulation de la confiance et de la vulnérabilité,
manque de soutien et de protection,
le bien-être de la victime est négligé

2) deuil, 
dépression, 
dépendance excessive, 
capacité de jugement altéré, 
méfiance, 
colère, 
hostilité

3) vulnérabilité à la revictimisation, surdépendance (à des personne et à des substances),
inconfort dans les relations interpersonnelles,
isolation,
dépression,
comportements agressifs,
délinquance

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47
Q

Défini l’impuissance (dynamique traumagénique)

A

Processus à travers duquel la volonté et les désirs pèse la victime ne sont pas respectés

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48
Q

L’impuissance

Nomme 1) les dynamiques , 2) les conséquences psychologiques et 3) les manifestation comportementales

A

1) perte de contrôle sur. Son corps,
présence d’abus physique ou de menace de violence,
incapacité de faire cesser les agressions, réaction non-soutenante de l’entourage

2) anxiété,
peur, diminution du sentiment d’efficacité, perception. De soi comme une victime, besoin de contrôle

3) cauchemars, 
phobies, 
hypervigilance, 
plaintes somatique, 
dépression, dissociation , 
comportements suicidaires, 
inacapacité de faire face aux situations difficiles, 
comportements agressifs, 
délinquence, 
comportement abusif envers les autres
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49
Q

Défini les sexualisation traumatisante (dynamique traumagénique)

A

Les sentiments et les attitudes sexuels de la victime se développent de façon inappropriées dans le cadre d’une AS

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50
Q

Dynamiques traumagénique

Sexualisation traumagénique

Nomme 1) les dynamiques , 2) les conséquences psychologiques et 3) les manifestation comportementales

A

1) récompenser ou puni pour des comportement sexuel,
transmission d’idées fausses

2) peur,
dégoût,
culpabilité,
confusion au sujet des normes et des fonctions associées aux relations sexuelles

3) conduites sexuelles inadaptée pour l’Age, comportements sexuels compulsif,
aversion ou évitement de la sexualité

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51
Q

Qu’elles sont les conséquences des AS chez les garçons comparativement aux filles?

A

1) - De symptômes de stress post-traumatique
2) = de problèmes intériorisés (dépression, anxiété, isolement)
3) + de problèmes extériorisés (colère, agressivité, délinquence)
4) = de culpabilité

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52
Q

Est-ce que ca se peut une personne qui n’envie pas de bouleversement dans leur vie suite à une AS

A

Oui, possible

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53
Q

C’est quoi la définition de la polyvictimisation ?

A

Avoir vécu plusieurs types différents de victimisation, souvent par des perpétrateurs différents

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54
Q

Quels est le % des victimes d’AS qui sont polyvictimisées?

A

50%

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55
Q

Qu’est-ce qu’on peut dire en ce qui à trait aux symptômes des personnes polyvictimisés et les symptômes?

A

Ils présentent souvent davantage de sympotomes

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56
Q

Définition de la violence conjugale situationnelle

A

Survient lors de conflits ou de différends ponctuels entre deux partenaires et résulterait d’une réponse inadaptée au stress, à l’exaspération et à la colère issus de conflit dans le couple.

Sans présenter un schéma général de contrôle , cette violence s’inscrit plutôt dans une dynamique violente de gestion des conflits.

Peut être mineure ou sévère, fréquente ou isolée

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57
Q

Nomme exemples de violence psychologique

A
  • dévaloriser l’autre, le rabaisser
  • insulter, humilier
  • utilisation de chantage et de menaces (se suicider)
  • isolement social, contrôle excessif
  • violence envers les objets ou envers les animaux (lancer une assiette sur le mur)
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58
Q

Nomme exemples de violence physique

A
  • coups, gifler, tirer les cheveux, bousculades
  • brûlures, morsures, étranglement
  • exercer une contrainte physique
  • lancer un objet vers l’autre
  • utiliser une arme
  • homicide
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59
Q

Nomme ex pour de la violence sexuelle

A
  • attouchements sexuels et agressions sexuelles
  • imposition d’actes dégradants ou de pratiques sexuelles non désirées
  • dénigrement sexuel
  • transmission volontaire ou par négligence d’ITSS
  • coercition reproductive
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60
Q

Nomme ex de violence économique

A
  • contrôle et surveillance des activités économique
  • privation ou contrôle des ressources $ et matérielle
  • création d’une dépendance $
  • dépenses excessives qui met en péril le budget familial
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61
Q

Quelle est la forme de violence la moins dénoncées et qui s’accompagné souvent d’autres formes de violences?

A

Sexuelle

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62
Q

Vrai ou faux et commente

LEs hommes et les femmes seraient aussi nombreux à rapporter des actes de violence conjugale

A

Vrai, mais les femme rapportent en vivre de manière plus chronique et sévère (AS, blessures physique, arme)

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63
Q

Qu’est-ce que la symétrie de la violence ?

A

La violence serait perpétrée de la même façon autant chez les hommes que chez les femmes
La violence conjugale n’est pas un phénomène de genre

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64
Q

Qu’elles sont les principales limites de la CTS (l’instrument de mesure conflit tractus scale (symétrie de la violence)?

A
  • l’échelle ne tient pas compte du contexte

Et de que a initier la violence

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65
Q

Quelle sont les 4 sortes de violence conjugale (Allen)

A

1) terrorisme intime
2) résistance à la violence
3) v.c. Situationnelle
4) contrôle mutuel

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66
Q

Quels sont les 4 étapes du cycle de la violence? Et qu’est-ce qui les défini?

A

1) tension : l’agresseur a des excès de colère, menace l’autre du regard, fait peser de lourds silences. La victime se sent inquiète, tente d’améliorer le climat, fait attention à ses propres gestes et paroles
2) Agression: l’agresseur violente l’autre sur les plans psychologique, sexuels, physique ou économique. La victime se sent triste, humiliée, a le sentiment que la situation est injuste
3) Justification: l’agresseur trouve des excuses pour justifier son compt. Peut mettre la faute sur la victime. La victime tente de. Comprendre ses explication, l’aide à changer, doute de ses propres perceptions, se sent responsable de la situation.
4) Réconcilation: (lune de miel): l’agresseur demande pardon, parle de thérapie ou de suicide. La victime lui donne une chance, apporte son aide, constate ses efforts, change ses habitudes

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67
Q

Pourquoi les personnes qui subissent de la violence conjugale demeurent avec leur partenaire?

A
  • la peur des représailles, maque de confiance envers le système judiciaire et policier
  • l’isoleemnt Social, peu de contacts avec les parents et amis, manque de connaissances quant aux ressources
  • la peur du jugement, de ne pas être cru
  • l’espoir constant que l’autre va changer, en modifiant ces propres agissements
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68
Q

Pourquoi une personne victime en vient à quitter?

A
  • de moins en moins de période de réconciliation
  • se rendre compte que les enfants vivent des conséquences , qu’elle doit protéger les enfants
  • seuil de non retour fixer précédemment a été atteint
69
Q

Nomme différentes choses qu’on peut faire pour contrer le phénomène de la violence

A

1) valoriser les relations amoureuses saines et égalitaires
2) promouvoir de saines habiletés de commuiqcation et de gestion de conflits
3) être empathique, ne pas les juger, comprendre les raisons pour lesquelles elles restent, continuer d’être présent pour briser l’isolement
4) diffuser les ressources d’aide
5) commençons par changer nos propres comportements

70
Q

Nomme les différentes stratégies de gestion de conflit (la pyramide : du plus efficace au moins efficace)

A

1) soumission: cèdes pour mettre fin aux conflits
2) domination: tenter de montrer que j’ai raison
3) séparation: prendre du recul : efficace quand la situation est trop tendue pour après faire des compromis
4) réactivité : quand conflits, chicanes fortes: peut mener à de la violence sit.
5) évitement: éviter les désaccords : pas optimal pcq se dit pas grand chose, riend de règles
6) compromis: chercher une terrain d’entente

71
Q

Facteurs de vulnérabilité des personnes LGBT (7)

A

1) isolement social: partenaire est souvent la principale source de soutien
2) pressions sociales : désir de bien faire pour faire bien paraître la communuauté
3) homonégativité intériorisée: honte par rapport à son orientation sexuelle
4) contrôle hétérosexiste (plus ado) : menace de révéler son orientation sexuelle
5) présence du VIH (plus adulte): blâmer le statut séropositivité, menacer de le dévoiler , empêcher d’avoir accès à des services médicaux
6) manque de modèles LGBT: peu de moèle s vivant de la. violence
7) ressources insuffisantes: peu de ressources adaptées aux LGBT

72
Q

Nomme les différentes étapes incluent dan la trajectoire typique de service

A

1) Dévoilement
2) investigation policière
3) évaluation de la DPJ (entente multisectorielle)
4) intervention médicale (trousse médico-llégale, examen médico-social)
5) services psychosociaux (traitement, organisme, aide financière IVAC)
6) Parcours socio-juridique (CAVAC)

73
Q

DIFFÉRENCE ENTRE DÉVOILER, signaler et dénoncer

A

1) parler à une personne proche, un professionnel , recevoir du soutien
2) à la DPJ
3) juridique, à un supérieur, pas nécessairement à la police, mais à queleu’un qui peut protéger

74
Q

Définition de dévoiler

A

Révéler, expliquer, porter à la connaissance de quelqu’un ce qui était caché ou qui n’était pas connu

75
Q

Le continuum du dévoilement

A

Se confier à un proche ——— signaler à la police

76
Q

Pourquoi c’est imp de dévoiler une AS

A

1) mettre fin à la situation d’abus

2) recevoir du soutien et des services

77
Q

Pour penser plus collectivement la question du dévoilement…

A

Le dévoilement ne devrait pas reposer uniquement sur la victime … devoir collectif de créer une société qui favorise le dévoilement des AS

78
Q

Combien de f et d’h seront victime d’AS avant 18 ans ***

A

F: 1 sur 5
H: 1 sur 10

79
Q

Combien de % des gens qui avait vécu une AS n’Avait jamais dévoiler. ?? H et F?

A

F: 15,7%

H: 34,2%

80
Q

Quelle sont les barrière socio-culturelles du dévoilement?

A

1) stigmatisation: peur d’être étiqueté comme une victime, craindre des réponses homophobes : enjeu entourant l’homosexualité pour les garçons agressés par un homme
2) sexualité = tabou: manque de connaissance sur la sexualité en général, n’est pas un sujet de discussion
3) manque de services disponibles: pas assez d’éducation populaire, de campagnes de sensibilisation d’aide
4) culture/période historique : invisibilité des AS dans la société au moment de l’AS

81
Q

Quelles sont les types de barrières au dévoilement (3)

A

1) individuelles
2) relationnelle
3) socio-culturelle

82
Q

Quelles sont les barrières individuelles au dévoilement ?

A

1) internalisation du problème envers la victime: honte , sentiment de culpabilité, de responsabilité., avoir l’impression d’être différent, d’être brisé
2) mécanismes de protection: minimisation consciente et inconsciente, souvenirs refoulés (flashbacks à l’âgé adulte), consommation de substance, dissociatio, perte de confiance en autrui
3) immaturité du développement au moment de l’AS: manque de connaissance liées à la sexualité, confusion à propos de l’AS, difficulté. De langage

83
Q

Quelles sont les types de barrières relationnelles en lien avec la dévoilement

A

1) violence et dysfonctionnement dans la famille: sentiment de na pas être en sécurité, protection des autres, blâme envers la victime
2) dynamiques de pouvoir: manipulation, menaces de l’Agresseur, loi du silence dans la famille, complexité de la relation avec l’Agresseur (ex: pas pouvoir voir sa famille élargie)
3) conscience de l’impact de dévoiler: peur de la réaction des autres: blâme, colère, rejet. Peur des conséquences, peur de l’implication des autorités
4) réseau social pauvre: personne à qui dévoiler, personne n’ayant les capacités d’offrir de l’aide et le soutien nécessaire

84
Q

Quels sont les éléments déclencheurs du dévoilement ? 3 catégories

A

1) motivation intérieures: ressentir le besoin de dévoiler, prendre conscience de la situation d’AS, vouloir mettre fin à l’S, vouloir protéger les autres, besoin d’aide
2) initié par un proche ou un contexte propice: question posée directement, confidences mutuelles, après un programme ou une émission de télé, sentiment de sécurité (ex: ma mère n’est plus avec mon eau-père alors plus de contacts avec lui)
3) influencé par l’extérieur: dévoilement d’une autre victime, témoignage de l’agresseur, indice physique (très rare)

85
Q

Comment réagir à un dévoilement de mineur: nomme les mots clefs slmt (6)

A

1) écouter
2) respecter
3) encourager
4) confidentialité
5) prendre des notes
6) signaler

86
Q

Comment réagir à un dévoilement d’un mineur

A

1) écouter: ne pas juger, écouter les confidences, ne pas questionner trop précisément (le butdce n’est pas de faire une enquête policière mais d’être présent pour la personne alors on tente de la ramener dans le moment présent pour qu’elle exprime ses émotions le plus possible) rester calme, être ouvert et rassurant
2) respecter: respecter les silences, démontrer qu’on croit l’enfant, ne pas remettre en doute ses propos
3) encourager: l’encourager à exprimer ses notions, l’aider à se déculpabiliser, le féliciter, l’encourager à revenir vous en parler
4) confidentialité: ne pas promettre de garder le secret, garder l’info entr professionnel
5) prendre des notes: noter ce que l’enfant dit le plus possible, dès que possible dans les mots de l’enfant le plus possible va être utie pour le signalement à la DPJ
6) signaler: à la DPJ de la région de l’enfant

87
Q

Comment réagir au dévoilement d’un adulte , nomme les aspects et qui les caractérisen

A

1) écouter: ne pas juger, écouter les confidences, ne pas questionner trop précisément, rester calme, être ouvert et rassurant
2) respecter : respecter les silences, démonter qu’on croit la personne, ne pas remettre en doute ses propos
3) encourager: encourager à exprimer ses émotions, l’aider à se déculpabilise, Léa féliciter, l’écoulage à revener vous en parler
4) confidentialité: lui promettre de garder l’information confidentielle, sauf si la sécurité de certaines personne est copromise
5) besoins: l’amener à identifier ses besoins immédiats et l’accompagner
6) ressources: tenter de la guider vers les ces sources appropriées

88
Q

Quelles sont les 6 éléments à retenir lorsqu’on reçoit un dévoilement

A

1) écoute
2) respect
3_ encourager
4) confidentialité
5) besoins
Ressources

89
Q

Quel est l’objectif principal des interventions en cas d’AS

A

Réduire les symptômes associés à la violence sexuelle et favoriser un état fonctionnel de la personne.

Ex: réduire les symptômes de stress post-trauma, les diff intériorisés et extériorisées, les diff sexuelles, encourager l’expression des sentiments et les pensées par rapport à l’AS, contrer les sentiments d’isolement, de honte, de culpabilité et corriger les attributions négatives (blâme, ex), connaître et solliciter les ressources de la personne

90
Q

Quelles sont les principales types d’intervention?

A

1) thérapie cognitivo comportementale : diminuer les symptômes via l’enseignement de stratégies d’adaptation efficaces, comme la relaxation, la reconstruction cognitive et la régulation des émotionnelle
2) thérapie axée sur les. Émotions : amener la victime à approfondir sa compréhension de son expérience émotionnelle et des actions qui en découlent (ex: la colère vécue comme une source d’empowerment)
3) thréapie psychodynamique: rendre conscient ce qui était inconscient à la victime en explorant la signification donnée au trauma
4) intervention féministe : accompagner les femmes survivantes d’agression sexuelle à reprendre le pouvoir sur leur vie en mettant l’accent sur l’Action et la conscientisation

91
Q

Que doit-on retenir à propos des type d’intervention en AS

A

Il y a une. diversité d’intervention, il suffit de trouver celle qui conviendra le mieux à la personne

92
Q

Quels sont les éléments pour l’évaluation des besoins de la victime

A

1) parcours de vie
2) description de la violence sexuelle subie
3) autres traumas interpersonnels vécus par la personne
4) symptômes associés à la situation de violence sexuelle
5) facteurs pouvant moduler les symptomes

93
Q

Explique un peu les services offerts à Marie-vincent

A

Pour les enfants

Volet traitement: thérapie cognitivo-comportementale axée sur le trauma (TF-CTB)

Durée : 12 rencontres X 90 minutes
Rencontre individuelle avec l’enfant (45 min)
Rencontre individuelle avec le parent (45 min)
Rencontre dyadique parent-enfant

Particularités
- modèle structuré selon des composantes spécifiques tout en offrant une flexibilité

  • accent sur les compétences et les forces de l’enfant
  • parent non-agresseur est positionné comme agent actif du changement
  • exposition graduelle au trauma
94
Q

** nomme les différentes composantes de la TF-CTB

A

P: Psychoeducation and parenting skills

R: Relation skills

A: affective modulation skills

C: cognitive coping

T: trauma narrative

I: In-vivo mastery of trauma reminders

C: Conjoint parent-child sessions

E: Enhacing personal safety and optimal development

95
Q

*** TF-CTB: explique la lettre P

A

Psychoeducation and parenting skills:

Psychoéducation relative aux réactions associées au trauma

ainsi

qu’à la problématique de l’agression sexuelle et composante centrée sur les pratiques parentales

96
Q

*** TF-CTB explique la lettre R

A

Relaxation skills:

Habiletés de relaxation

97
Q

*** TF-CTB: explique le lettre A

A

Affective modulation skills:

Développement d’habiletés De reconnaissance, d’expressions et de gestion des émotions (saine gestion des émotions)

98
Q

*** TF-CTB: explique la lettre Cv (le 1)

A

Cognitive coping:à

Développement d’habileté de reconnaissance et de. Restructuration des pensées; habileté visant une meilleure compréhension des liens entre les pensées, les émotions et les comportements associés au trauma

99
Q

**TF-CTB: explique la lettre T

A

Trauma narrative:

Exposition graduelle au souvenir du trauma par, entre autres, la narration de la situation

100
Q

**TF-CTB: explique le lettre I

A

In-vivo mastery of trauma reminders:

Désensibilisation relative aux souvenirs liés au trauma et maitrise des émotions liés au trauma

101
Q

***TF-CTB: explique la lettre C (le 2ème)

A

Conjoint parent-child sessions:

Sessions dyadique permettant à l’enfant et au parent de s’excercer À appliquer les habiletés apprises et favorisant une discussion sur le trauma vécu

102
Q

***TF-CTB: explique la lettre E

A

Enhacing personnal safety and optiomal development:

Éducation sexuelle et l’élaboration de stratégies d’adadaptation et d’affirmation de soi ainsi que les habiletés de protection de soi afin de promouvoir la sécurité et le développement d’optimal de l’enfant

103
Q

Nomme trois autres ressources (autre que m-v) pour les enfants victimes

A
  • centre d’intervention en abus sexuel pour la famille
  • parents- unis Lanaudière
  • programme d’évaluation et de traitement des agressions sexuelles
104
Q

Parle un peu des services du CALACS

A

Centre d’aide et dekklutte contre les agressions à caractère sexuel

Soutenir les femmes et les ados victimes d’agression sexuelle (à l’enfance ou à l’age Adulte)

Approche féministe

3 volets d’action:

  • aide directe (rencontre individuelle ou groupe de. Soutien)
  • prévention et sensibilisation (ex: promotion des relations amoureuses saines)
  • lutte de défense des droits (ex: journée internationale des droits des femmes)
105
Q

Est-il vrai que l’intervention de groupe. Est mieux que l’intervention individuelle pour les personne victimes d’AS? Parce que ca permet de briser son isolement et de briser le silence

A

Non c’est faux.

Les deux sont bonn s et peuvent être utilisés pour les victimes dépècement des besoins de la personne

106
Q

Nomme des avantage de l’intervention de groupe (groupe de soutien)

A
  • briser l’isolement
  • ventiler de façon sécuritaire
  • ensemble travailler sur les pensées érronées: soutien des pairs VS se faire soutenir par d’autre victimes
  • se rendre compte que le problème n’Est pas unique
  • mettre en application ce qu’elles ont appris
  • sentir que je peux faire du bien aux. Autres
  • rélations égalitaires: intervenants-aidées-pairs
  • être capable de recevoir
  • partage d’info sur les stratèges d’adaptation utiles
107
Q

Nomme qq inconvénients de groupe de soutien

A
  • enjeu entourant la confidentialité
  • possibilité de te faire dire que ton problème est moins grave que celui des autres
  • en groupe peut être ansiogène
  • pas au même niveau dans le cheminement, dans lecparcours (peut être à la limite décourageant)
  • contaminer les autres par leur propre récit
  • peut se sentir pas d’affinité avec les autres, peut se sentir pas la bienvenue ou pas représenté
108
Q

Parle un peu des services du CRIPHASE

A

Centre de ressources et d’intervention pour hommes abusés sexuellement dans leur enfance

  • interventions individuelles, mais surtout des groupes de soutien
  • différentes phases avec des groupes fermés (ex: phase sexo, phase artistique)
109
Q

Quelle ressource est nouvelle pour les hommes victimes d’abus S pendant l’enfance?

A

CIASF le groupe momentum qui vient en aide aux hommes victimes d’abus sexuel durant l’enfance

110
Q

Quel est le rôle de l’IVAC

A

Indemnisation des victimes d’actes criminels

  • suppport et dédommagement financier (ex: perte de journée de travail, dommages psychologique subis, consultation psychologique)
  • pour les enfants et les adultes ayant subi un acte criminel au QUÉBEC
  • indépendant du système judiciaire (ce qui veut dire que la personne peut ne pas vouloir faire des procédures judiciaires)
  • service très utile, mais qui peut causer certaines frustrations…
111
Q

Quel est le rôle du CAVAC

A

Les centres d’aide aux victimes d’actes criminels, présents dans toutes les régions. Du QC, sont des organismes sans but lucratifs qui offrent des services d’aide à toute personne victime d’un acte criminel

C’est un organisme qui accompagne les victimes dans toute la trajectoire de services

112
Q

Quel est le processus étape par étape de la DPJ, nomme les étapes

A
  • réception et traitement des signalements
  • évaluation de la situation
  • orientation
  • mise en place des mesures de protection
  • révision/fin de l’intervention
113
Q

C’est quoi la différence entre le centre jeunesse et la DPJ

A

CJ c’est.une grande organisation différentes directions (adoption, DPJ, LSJPA)

La DPJ fait partie du CJ

114
Q

En quelle anémie la loi de la protection de la jeunesse

A

1950

115
Q

Comment on décrit la loi de la protection de la jeunnesse

A

1) exceptionnelle (situation exceptionnelle)

2) essentiellement curative : quand il y a compromission, vise à mettre fin à cette situation

116
Q

Quels sont les différentes catégories que représente La DPJ

A

1) protection
2) primauté de la responsabilité
3) compromission de la sécurité
4) compromission du développement

117
Q

Quels sont les 2 composantes de la protection pour la DPJ

A

1) réponse minimal des besoins fondamentaux

2) meilleur intérêt de l’enfant

118
Q

Quel est la composante de la primauté de la responsabilité parentale

A

C’est d’abord et avant tout aux parents qu’incombe la responsabilité d’assurer la protection de l’enfant

119
Q

Quelles sont les deux composantes de la compromission de la écutrité

A

1) mange à à l’intégrité

2) danger réel, présent ou imminent

120
Q

Quel est la composante de la compromission du développemen

A

Entrave actualisation des capacités

121
Q

C’est quoi la différence entre sécurité et développement

A

Sécurité : court terme

Développement: + long terme

122
Q

Qui dirige les investigation policière ?

A
  • policiers et intervenants de la DPJ
123
Q

Quel est le but de l’investigation policiere

A

Évaluer si l’AS est fondée ou non

124
Q

Quels sont les défis auxquels les services policiers font face lors de l’investigation policiere

A

1) la mémoire
2) la suggestibilité
3) le développement
Nt

125
Q

Quels sont les notions importantes en lien avec la mémoire et les investigations policiere

A

1) encodage :: perception , interprétation de l’évènements, enregistrement au moment de l’évènement
2) entreposage : conservation de l’information dans la mémoire
3) rappel: façon d’accéder aux souvenirs de manière spontanée par la personne elle-même (VS mémoire de reconnaissance)

126
Q

Définition de la mémoire , défi imp pour l’ionvestigation Policiere

A

Est un processus reconstruction plutôt qu’une reproduction de la réalité

** difficulté pour les enfants. À gérer les information, les souvenirs à retenir

127
Q

Définition de la suggestibilité, défi pour l’intervention policiere

A

Est le degré auquel les individus reçoivent, acceptent et incorporent dans leur mémoire des infos données après l’évènement vécu

  • les enfants sont particulièrement vulnérables à la suggestibilité
128
Q

Facteurs influençant la suggestibilité

A
  • facteurs influençant la suggestibilité : le type de question posées et le style de l’intervenant
129
Q

Suggestibilité, qq questions type à faire et à ne pas faire

A

À faire:

  • intimations générales: raconte-moi ce qui c’est passé
  • invitations avec indices: parle-moi plus de sa main sur ta cuisse
  • invitations avec segmentations de temps: dis-moi ce qui s’est passé entre le moment ou tu te couches jusqu’au moment ou ton père t’enlève ton pyjama

à ne pas faire:

  • questions fermées: est-ce qu’il ta touché les seins
  • questions à choix de réponse: est-ce arrivé dans ta chambre ou dans celle de tes parents?
  • questions suggestives: tu avais peur, n’est-ce pas?
  • poser deux questions en même temps
130
Q

Suggestibilité: style de l’interviewer

Comment favoriser un style soutenant

A
  • compliment, encouragements
  • sourires, regards fréquents
  • renforcements positifs
  • employer le prénom de la personne
  • faire preuve d’empathie
131
Q

Nomme les défis en lien avec l’investigation policiere et le développement

A
  • devoir adapter le style d’entrevue et l’interprétation des réponses des enfants
  • stades de développement liés au taux de dévoilement , à la quantité de détails dans les récits ainsi qu’à leur cohérence et leur complexité
  • défis liés aux habiletés cognitives, langagières et socio-affectives, surtout chez les victimes
  • compréhension des questions posées
132
Q

Les trois points importants à retenir pour l’investigation policière

A

1) les investigations policières auprès des victimes d’AS doivent être réalisées par des personnes compétentes ayant suivi une formation (suggestibilité)
2) la mémoire de rappel, les questions ouvertes et un style soutenant de la part de l’interviewer sont essentiels pour favoriser les détai d’été la cohérence
3) certains facteurs peuvent diminuer les chances d’avoir un récit menant à fuffisamment de détails pour porter des accusations (ex: jeune âge, temps depuis les évènements, difficulté de langage)

133
Q

Pour l’intervention médicale, qu’est-ce qu’un centre désigné

A

Ce sont des cliniques avec des professionnels qui sont experts des interventions dans le contexte d’AS

Normalement ces cliniques reçoivent des personnes pour les urgences : 5 jour après les évènements pour faire la trousse médico-légale….

134
Q

Quel est pas le rôle du médecin en cas d’AS

A

N’Est pas de confirmer s’il y a eu. Ou non une agression sexuelle

135
Q

Quels sont les hôpitaux avec des centre désignés pour les enfants à mtl

A
  • Children hospital

- St-Justine

136
Q

Quels sont les hôpitaux a mtl avec des centres désignés pour les adultes à mtl

A

Hôpital Notre-Dame

Hôpital général de mtl

137
Q

Si on veut trouver un centre désigné comment on peut procéder

A

Info santé

Ligne de référence (au début des cours elle avait donner u e ligne générale de référence)

138
Q

Quel est le temps maximal pour faire une intervention médicolégale

A

5 jours ou moins

6 jours ou plus: intervention médicale habituelle

139
Q

Quel est le facteur favorisant la tenue de l’intervention médicolégale

A

Le facteur temps écoulé depuis le dernier épisode d’AS

140
Q

Différences entre enfants et ado/adultes pour l’examen médical

A

Pour les enfants regarde les organes génitaux externes, mais pas interne
Pas d’utilisation de spéculum

141
Q

Qu’est-ce qui est faite pendant un examen médical pour les ado/adultes

A
  • examen des organes génitaux internes et externes
  • utilisation du spéculum si nécessaire: utiliser pour permettre de voir le col de l’utérus et de procéder aux prélèvements (écartement des parois vaginales)
  • test de grossesse
  • dépistage d’ITSS
142
Q

*** Est-ce que la perforation de l’hymen est un signe spécifique d’un contact sexuel

A

Non

143
Q

Quels sont les deux signes réellement spécifiques à un contact sexuel

A

1) grossesse

2) spermatozoides dans les érélèvements effectués sur le corps de la victime

144
Q

Quels sont les signes spécifiques à un trauma qui permettent de corroborer les verbalisations de la victime

A

EX: lacérations aiguës, ecchymoses importantes sur les organes génitaux, itss…

145
Q

Quels sont les 4 points à retenir pour l’examen médical

A

1) dans la grande majorité des cas , l’examen médical à la suite d’une situation d’AS est normal
2) dans de rares cas (moins de 5 % chez les enfants), des signes spécifiques servent de preuves corroborant les verbalisations des victimes
3) donc, l’absence de preuves médicales ne signifient pas qu’il n’y a pas eu d’AS
4) l’examen médical demeure important, car il permet de rassurer l’intégrité physique de la personne et d’identifier ses besoins d’intervention. Il n’est toutefois pas obligatoire et on S’ASSURE du consentement

146
Q

V ou f

Dans la mojorité des cas l’examen médical à la suite d’uns AS est normal

A

Vrai

147
Q

Dans combien de % des cas, l’examen médicale servent de preuves corroborant les verbalisations des victimes chez les enfants

A

5%

148
Q

Quels sont les différents cercles qu’on peut faire de l’intervention

A
  • individuel
  • relationnel (groupe de pairs)
  • communautaire (école, quartier)
  • sociétal : normes, valeurs , culture, inégalités
149
Q

Quelles sont les approches universelle et sélectives, définition et différentes entre les deux

A

Universelle: la prévention qui cible l’ensemble de la population (EX: aller dans les classes au secondaire et faire une activité de sensibiltsation)

Sélective: la prévention sélective qui cible des sous-populations considérées à risque ( EX: aller dans un organisme pour personnes avec un handicap physique pour faire de la prévention, on cible cette population présisément)

150
Q

Quels sont les objectifs des programmes pour enfants

A

1) diminuer la vulnérabilité du jeune en favorisant :

  • de meilleures connaissances face aux AS (comment reconnaître une situation d’abus)
  • l’affirmation de soi et le sens d ses droits (dire non )

2)favoriser l’identification d’un réseau de soutien et le dévoilement à une personne de confiance

151
Q

Quels sont les différents thèmes abordés avec les enfants

A

1- les secrets et le fait de dévoiler à un autre adulte de confiance une situation abusive

2- l’affirmation de soi et apprendre à dire non

3- l’éducation sexuelle: les différentes parties du corps

4- le continuum de l’abus

5- être maître de mon corps

6- les types de touchers: ceux qui te font bien sentir ..

7- les situation sécuritaires et à risques

152
Q

Quels sont les éléments qui sont importants de se souvenir pour faire de l’intervention avec un enfant

A
  • répétition : plus l’enfant est jeune plus il faut répéter
  • concepts concrets
  • matériels plus animé: jeux de rôle, chansons, films
  • activités qui engagent le mouvement (imitation et répétition de comportements
    )
  • sessions courtes
  • périodes de révision
  • inclure les parents: permet de soutenir et de réconforter les apprentissages
153
Q

Si on veut critiquer, quels est le point négatif de ses programmes

A

Le message véhiculé c’est que c’est important de se protéger, vise pas les agresseurs en disant n’agressez pas les autres, mais les victimes.

Responsabilisation : met la responsabilité sur la potentielle victime

Devrait parler plus de consentement

154
Q

Quels sont les. Effets des programmes de prévention au niveau individuel

A
  • augmentation des connaissances et maintien des acquis
  • meilleure habiletés de protection de soi
  • meilleure habileté de perception du risque
  • augmentation des dévoilement d’AS
  • peu d’effets négatifs
155
Q

On dit de la loi sur la protection de la jeunnesse qu’elle est:…

A

1) exceptionnelle

2) essentiellement curative…

156
Q

Quelle année la loi de la protection de la jeunesse

A

1950

157
Q

Quels sont les deux facteurs inclus dans le concept de la protection pour la DPJ

A

Réponse minimale des besoins fondamentaux

Meilleur intérêt de l‘enfant

158
Q

Quel est le facteur inclus dans le concept de la primauté de la responsabilité parentale pour la DPJ

A

C’est d’abord et avant tout aux parents qu’incombe la responsabilité d’assurer la protection de l’enfant

159
Q

Quels sont les deux facteurs inclus dans le concept de la compromission de la sécutité pour la DPJ

A

1) menace à l’intégrité

2) danger réel, présent, imminent

160
Q

Quel est le facteur inclus dans le concept de la compromission du développement pour la DPJ

A

Entrave actualisation des capacités : limiter gravement le développement ou la sécurité

161
Q

Nomme les 7 tapes de l’intervention du DPJ

A

1) réception et traitement du signalement: signalement retenu (mesures de protection immédiate: entente provisoire ou recours au tribunal) ou non retenu — directement à l’étape 6 (fin de l’intervention)
2) évaluation de la situation : sécurité ou développement compromis
3) orientation choix des mesures de protection : 1) entente sur les mesures ou 2) recours au tribunal
4) mise en place des mesures de protection
5) révision de la situation
6) fin de l’intervention
7) liaison avec les ressources d’aide

162
Q

Qui peut signaler à la DPJ

A

Tout le onde peut signaler tout type de compromission

163
Q

Qui doit signaler à la DPJ

A

Les membres d’un ordre, n’importe quel professionnel doit signaler toutes situations de compromission

164
Q

Quels sont. les 4 critères ouf évaluer un signalement

A

1) faités signalés
2) vulnérabilité (BB de trois mois VS ado de 16 ans)
3) capacités parentale : volonté
4) ressources (tendance à plus retenir un signalement en juin qu’en septembre parce que plus l’école pendant 2 mois comme facteurs de protection)

165
Q

Quels sont les 6 motifs de signalement à la DPJ

A
  • abandon
  • négligence (RV médicaux, vêtements approprié à la saison …)
  • mauvais traitements psychologiques (violence entre les parents et l’enfant est présent sur place)
  • abus sexuel
  • abus physiques
  • trouble de comportement sérieux
166
Q

Quel est le but de l’entente multisectorielle

A

Garantir et apporter l’aide nécessaire aux enfants victimes d’abus sexuels, de mauvais traitements physiques ou d’un. Absence de soins menaçant leur santé physique en assurant une concertation efficace entre les mintstrs , Les établissement et les organismes intéressés

167
Q

Quels sont les trois acteurs impliqués dans l’entente. Multisectorielle

A

1) DPJ
2) Police
3) procureur

168
Q

Nomme qq objectifs de l’entent multisectorielle

A
  • diminuer les rencontres et éviter de multiplier les interrogatoires
  • permettre à chacun des acteurs d’,effectuer son mandat de façon opimal
  • éviter la contamination des propos de l’enfant
  • favoriser La concertation des acteurs
  • maximiser l’efficacité des actions