Mémoire autobiographique Flashcards

1
Q

La mémoire autobiographique contient 2 types de mémoire. Quelles sont elles ?

A

Sémantique et Épisodique

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Q

Quelles sont les dimensions de la mémoire autobiographiques ? (3 dimension, 8 composantes)

A

sensorielles (5 sens), spatiales (temps et espace), et émotionnelles

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3
Q

Quelle étude prouve que la mémoire autobiographique est multidimensionnelle ?

A

-Étude en neuropsychologie Greenberg et Rubin : les patients qui ont perdu la capacité de reconnaître ou de voir des objets, perdent une partie de leur mémoire autobiographique, étant donné que les indices visuels ne sont plus disponibles comme indices de récupération.

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4
Q

La mémoire autobiographique est riche, parce qu’elle concerne beaucoup de régions cérébrales. Quelles sont-elles ?

A

(MÉTEMPAPRÉPPOCAMPE) Lobe temporal médian (épisodique). • Cortex pariétal (traitement des scènes). • Le cortex préfrontal (information sur soi). • L’hippocampe (souvenir et voyage mental dans le temps)

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5
Q

Quelle étude prouve que la mémoire autobiographique est riche ?

A

-Cabeza et le brain-scanning study : On présente à des participants des photos d’endroits qu’ils ont prises eux-mêmes, et des photos des mêmes endroits qui ont été prises par d’autres personnes. Les 2 types de photos activent les mêmes régions cérébrales. Par contre, les photos prises par eux-mêmes activent des régions supplémentaires : le cortex préfrontal (région associée à l’information sur le soi) et l’hippocampe (associé au souvenir *cette région est BCP plus active lorsqu’on présente les photos prises par soi-même, mais elle est aussi active dans l’autre type de photo.)

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6
Q

Quelles sont les 3 théories (hypothèse) qui peuvent expliquer la courbe de réminescence entre l’adolescence et le début trentaine ?

A

(ICH) : Hypothèse d’imagerie, cognitive, histoire culturelle

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7
Q

Décrivez les trois théories qui expliquent la courbe de réminescnece entre l’adolescence et le début trentaine.

A

Hypothèse Image de soi: La mémoire est améliorée pour les événements qui se produisent en fonction de l’image de soi : les événements qui déterminent notre futur, qui viennent former notre image de soi.

Hypothèse cognitive : Après 30 ans, une certaine stabilité s’installe : famille, maison, travail stable. Cette période de stabilité permet de consolider l’information de la période qui était juste avant (entre l’adolescence et le début trentaine).

Hypothèse de vie de l’histoire culturelle : Chaque personne vit dans une culture, et dans cette vie culturelle, des événements sont attendus (ex : mariage). Ceux-ci sont donc importants et plus faciles à mémoriser pour la mémoire autobiographique. Ainsi, ces évènements arrivent vers certaines périodes établies par cette culture, et expliquent la courbe de réminiscence. Les événements personnels sont plus faciles à récupérer quand ils correspondent aux scénarios (script) de la vie culturelle.

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8
Q

Quelle étude supporte la théorie d’hypothèse cognitive ?

A

Hypothèse cognitive : Après 30 ans, une certaine stabilité s’installe : famille, maison, travail stable. Cette période de stabilité permet de consolider l’information de la période qui était juste avant (entre l’adolescence et le début trentaine).

-Étude sur les personnes qui immigrent : C’est après l’immigration que la personne devient stable, et de ce fait on voit que la courbe de la mémoire autobiographique descend vers le bas après l’immigration.

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9
Q

Quelle étude supporte que l’attention est plus s importante pour les éléments émotionnels, au détriment des éléments plus neutres ?

A

Étude avec les armes (Stanny et Johnson) : diminution de la performance mnésique pour l’événement en soi lorsqu’il y a présence d’armes. • Participants regardent des scènes de films avec des armes, où il y a présence de tirs ou non. • Résultats : • Erreurs dues à l’attention et à l’excitation. • L’attention peut être réduite par des stimuli spécifiques. • Concentration sur les armes.

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10
Q

Pourquoi on l’impression que les mémoires flash sont parfaites ?

A

L’hypothèse de répétition narrative : Puisque le souvenir de l’événement est populaire, il est très souvent médiatisé et abordé : ainsi, le souvenir est réactivé plusieurs fois. Toutefois, comme mentionné plus haut, à chaque fois qu’un souvenir est réactivé, il rentre dans un état fragile et s’altère.

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11
Q

Qu’est-ce que la mémoire de source ?

A

mémoire pour la détermination des origines de nos souvenirs

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12
Q

Décrire les 2 types de problème de sources.

A

Erreur de monitorage : identification erronée de la source de la mémoire.
Crypto-amnésie : plagiat inconscient du travail des autres. (dû à l’oubli de sa source d’origine)

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13
Q

Décrire l’étude qui prouve l’existence de l’erreur de monitorage.

A

-Étude sur les noms de célébrités : On présente à deux groupes des noms de célébrités et des noms d’inconnus. Le premier groupe doit distinguer tout de suite après l’expérience quels noms appartenaient à des célébrités et quels noms ne l’étaient pas. Ils ont tous réussi. Le deuxième groupe devait faire la même chose, mais avec un délai de 24h. Ils n’ont pas aussi bien réussi, étant donné qu’ils se sentaient familier avec les noms inconnus, sans pour autant se rappeler où ils avaient entendu ces noms. Ceci est un exemple d’erreur de monitorage.

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14
Q

Décrire les divers types d’inférences pragmatiques.

A

Inférences de schéma : Ces inférences sont basées sur nos connaissances de l’environnement. On a une représentation de ce qui se trouve dans certains endroits. Par exemple, si on rentre dans un café, on s’attend à voir un micro-ondes. Ainsi, si quelqu’un nous demande s’il y avait un micro-onde dans le café qu’on vient d’en ressortir, et que nous n’avons pas assez porté attention à ce qui se trouvait à l’intérieur et donc on en a oublié le contenu, on pourrait répondre oui, puisqu’on assume qu’il y un micro-ondes dans tous les cafés.

Inférences de scénario ou de script : Ces inférences sont basées sur les actions qui ont généralement lieu au cours d’une expérience ou d’une activité particulière. Par exemple, si on rentre dans un établissement, on doit porter un masque. Si un jour, nous allons dans un magasin, il se peut que contrairement à l’habitude, nous ne l’avons pas fait. Toutefois, si notre mémoire nous joue des tours, nous pouvons conclure que nous avons mis un masque quand même.

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15
Q

Décrire l’étude de la guerre des fantômes.

A

Études de la “guerre des fantômes” : Les participants ont tenté de se souvenir d’une histoire d’une culture différente. Après, reproduction répétée : Au fil du temps, la reproduction est devenue plus courte, contenait des omissions et des inexactitudes + Introduction de changements pour rendre l’histoire plus cohérente avec leur propre culture. Conclusion : Les détails d’une mémoire peuvent provenir de plusieurs sources différentes (ils ont utilisé leur propre culture pour construire leurs souvenirs là où il y a eu des oublis).

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16
Q
1. Pour la plupart des adultes de plus de 40 ans, la bosse de réminiscence
décrit la mémoire améliorée pour:
a. enfance et adolescence.
b. adolescence et jeune adulte.
c. jeune adulte et moyen âge.
d. enfance et âge moyen.
A

b.adolescence et jeune adulte

17
Q
  1. L’étude de Schrauf et Rubin sur les «deux groupes d’immigrants» a montré
    que la réminiscence coïncidait avec des périodes de changements rapides,
    survenant à un âge normal pour les personnes émigrants tôt dans la vie, mais
    passant à 15 ans plus tard pour ceux qui émigraient plus tard. Ces résultats
    soutiennent :
    a. L’hypothèse cognitive
    b. L’hypothèse de l’image de soi.
    c. L’hypothèse de répétition narrative.
    d. L’hypothèse autobiographique.
A

. L’hypothèse cognitive

18
Q
  1. Une leçon à tirer de la recherche sur les mémoires flash est que :
    a. Les répétitions d’expositions ne peuvent pas les expliquer.
    b. La confiance des gens dans leur propre mémoire prédit leur
    précision (haute confiance = haute précision).
    c. L’extrême vivacité d’un souvenir ne signifie pas qu’il est précis.
    d. Ils sont permanents et résistent à l’oubli.
A

c. L’extrême vivacité d’un souvenir ne signifie pas qu’il est précis

19
Q
  1. L’idée que nous nous souvenons mieux des événements de la vie parce
    que nous rencontrons les informations encore et encore dans ce que
    nous lisons, voyons à la télévision et parlons avec d’autres personnes
    s’appelle :
    a. Hypothèse de répétition narrative.
    b. Hypothèse cognitive.
    c. Hypothèse d’image de soi.
    d. Hypothèse de réminiscence.
A

a. Hypothèse de répétition narrative

20
Q
  1. Selon l’approche de la mémoire , ce que les gens
    rapportent en tant que souvenirs est basé sur ce qui s’est réellement
    passé et sur d’autres facteurs tels que d’autres connaissances,
    expériences et attentes.
    a. Spécifique à l’événement
    b. De source
    c. Constructive
    d. De désinformation
A

c. Constructive

21
Q
  1. Dans l’expérience «la guerre des fantômes», les reproductions des
    participants contenaient des inexactitudes basées sur :
    a. La répétition narrative.
    b. Les erreurs de suggestions.
    c. Les attentes culturelles.
    d. Le traitement superficiel.
A

c. Les attentes culturelles.

22
Q
  1. L’expérience dans laquelle on demandait aux gens de porter des
    jugements de renommée sur des noms célèbres et non célèbres illustrait
    l’effet de sur la mémoire.
    a. Répétition répétée des noms distinctifs.
    b. Erreurs de source
    c. Spécificité de codage
    d. Erreurs de schémas
A

. Erreurs de source

23
Q
  1. se produit lorsque la lecture d’une phrase conduit
    une personne à s’attendre à quelque chose qui n’est pas explicitement
    déclarée ou nécessairement impliquée par la phrase.
    a. Perspective de l’observateur
    b. Inférence pragmatique
    c. Mémoire prospective
    d. Narration automatique
A

b

24
Q
  1. Dans l’expérience au cours de laquelle les participants se sont assis dans
    un bureau et ont ensuite été invités à se souvenir de ce qu’ils ont vu dans le
    bureau, les participants se «souvenaient» de certaines choses, comme des
    livres, qui n’étaient pas là. Cette expérience illustre l’effet des sur la
    mémoire.
    a. Schémas
    b. Scripts
    c. Confabulations
    d. Biais
A

a. Schémas

25
Q
  1. L’effet de désinformation se produit lorsque la mémoire d’une personne
    pour un événement est modifiée par des informations trompeuses présentées
    :
    a. Avant l’événement.
    b. Pendant l’événement.
    c. Après l’événement.
    d. Toutes ces réponses
A

c

26
Q
  1. Dans l’expérience de «l’effet de désinformation» de Lindsay, les participants ont vu une
    séquence de diapositives montrant un homme volant de l’argent et un ordinateur. Cette
    présentation de diapositives a inclus la narration par une oratrice qui a décrit ce qui se passait
    dans les diapositives comme elles ont été montrées. Les résultats ont montré que l’effet de
    désinformation était plus grand lorsque la présentation d’informations trompeuses postévènement était
    a. Visuel.
    b. Auditif, quel que soit le genre du locuteur.
    c. Auditif venant d’un locuteur femme
    d. Auditif venant d’un locuteur homme
A

c. Auditif venant d’un locuteur femme

27
Q

Quel énoncé ci-dessous n’est pas vrai, basé sur les résultats de la recherche de la mémoire?
a. Les suggestions peuvent créer de faux souvenirs pour les événements qui se sont
produits pendant l’enfance.
b. Les suggestions peuvent créer de faux souvenirs pour un événement vécu
récemment.
c. Bien que les témoignages oculaires soient souvent erronés, les personnes qui
viennent de visionner une bande vidéo d’un crime sont assez aptes pour choisir
l’auteur de l’infraction.
d. De nombreuses erreurs judiciaires ont été commises à la suite de témoignages
erronés de témoins oculaires.

A

c

28
Q

Structure essentielle au traitement émotionnelle :

a. cortex pariétal
b. amygdale
c. hippocampe

A

b. amygdale

29
Q

Étude qui supporte que le stress améliore la consolidation de la mémoire pour les stimulis émotionnels :

A

Étude de Cahill (eau glacée) : on présente des images neutres et des images émotionnelles à des participants dont leur bras étaient immergés dans l’eau glacée et d’autres dans l’eau tiède. Les participants qui avaient les bras dans l’eau glacée se rappelaient mieux des images émotionnelles, alors qu’il n’y avait pas de différence pour les participants aux bras dans l’eau tiède. Conclusion : • La libération du cortisol induite par une situation émotionnelle entraîne une meilleure consolidation pour les stimuli émotionnels. Quand on est stressé, on est plus sensible aux stimulus émotionnels.

30
Q

L’événement qui a eu lieu occupe une minuscule partie de notre mémoire. Ce qui occupe une grande partie de notre mémoire, c’est… (5)

A

nos connaissances, nos attentes, nos omissions (oubli) et nos distorsions et nos expériences (avant et après) influencent la façon dont on perçoit ces événements.

31
Q

De manière générale, on utilise le niveau :

a. global
b. basique
c. spécifique

A

b. basique