Langage sémantique Flashcards

1
Q

Quels sont les deux éléments qui expliquent la créativité du langage humain ?

A
  1. Hiérarchique : Des composantes plus petites, deviennent des unités plus grandes. Par exemple, lorsqu’on parle, on utilise des lettres, qui composent des sons, qui composent des mots, qui composent des phrases, qui composent des histoires… On est capable de prédire ce qu’une personne va dire lorsqu’elle commence une phrase. On est donc des experts.
  2. Gouvernée par des règles : S’il n’y avait pas autant de règles, on ne pourrait pas comprendre les autres. Par exemple, l’ordre des mots est important : What is my cat saying ? X Cat my saying ? what is not
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2
Q

Qu’est-ce que l’effet de fréquence de mot ?

A

on répond plus rapidement aux mots à haute fréquence qu’ à basse fréquence.

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3
Q

Le langage est complexe parce que…

A

Les mots ne sont pas égaux. La prononciation est variable. On est capable de faire de la segmentation de parole.

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4
Q

Les 2 facteurs de la rapidité de compréhension des mots sont…

A

Le contexte et la dominance du mot.

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5
Q

Pour comprendre les phrases, on a besoin de se fier sur…

A

La sémantique et la syntaxe, (+expérience, contexte, connaissance)

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6
Q

L’analyse syntaxique, c’est…

A

L’ordre des mots, et le fait qu’on regroupe des mots ensemble.

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7
Q

Quelle est la différence entre l’approche de première syntaxe et l’approche interactionniste ?

A

Dans l’approche interactionniste, on n’utilise pas seulement la syntaxe mais aussi la sémantique, l’expérience, les connaissances et le contexte de l’histoire. Il y a une interaction entre ces éléments.

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8
Q

L’approche des prototypes, c’est…

A

Le cerveau crée un prototype, c’est-à-dire une image abstraite du “membre typique” d’une catégorie.

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9
Q

L’approche définitionnelle, c’est…

A

Reconnaître les objets par les définitions de ceux-ci. Exemple : c’est une chaise puisqu’elle remplit toutes les caractéristiques de la définition d’une chaise.

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10
Q

L’approche des exemplaires, c’est…

A

“Le concept est représenté par plusieurs exemples (plutôt qu’un seul prototype)”

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11
Q

Les avantages de l’approche des prototypes :

A
  • Explique les effets de typicalité.
  • Puisqu’elle implique également des representations abstraites, les prototypes peuvent mieux fonctionner pour les grandes catégories.
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12
Q

Les avantages de l’approche des exemplaires :

A
  • Explique les effets de typicalités.
  • Implique des représentations concrètes, donc les exemples peuvent mieux fonctionner pour les petites catégories.
  • N’élimine pas des informations pertinentes.
  • Mieux pour les catégories plus variables.
  • Plus important avec l’apprentissage.
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13
Q

Les 3 problèmes de l’approche des réseaux sémantique

A

Problème de vérification de phrase : Toutefois, le réseau sémantique ne fonctionne pas toujours….Selon les résultats, la distance entre les concepts ne garantit pas toujours une meilleure rapidité..
Ex : Le canari est un être vivant = plus rapide que =Le canari est une peau.
Ex : Le cochon est un animal = plus rapide que = le cochon est un mammifère

Problème de typicalité : Le réseau sémantique ne peut pas expliquer les cas atypiques ni les cas de typicalité ! Par exemple, pengouin et moineau sont à la même distance du mot oiseau dans un réseau sémantique. Pourtant, “moineau” est activé plus facilement que “pengouin”. C’est-à-dire que si on demande si moineau est un oiseau, la réponse est plus rapide que la même question pour le mot “pengouin”.

Problème d’économie cognitive : On ne sait pas vraiment si le réseau sémantique est réellement économique en terme cognitif. Est-ce que le fait de stocker des propriétés sur des nœuds cognitif supérieur est économique ? *pas besoin de comprendre en détail

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14
Q

Approche sensori-fonctionnelle, c’est…

A

Il y a une région pour les sensations et une pour les fonctions. Donc, lorsqu’on perçoit un animal c’est sensoriel, et lorsqu’on perçoit un objet c’est fonctionnel. Il y a des zones spécifiques pour traiter les sensations, et des zones spécifiques pour traiter les fonctions.

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15
Q

Approche à facteurs multiples, c’est…

A

Au lieu de penser aux régions, on devrait plutôt penser aux caractéristiques. Plus les caractéristiques des concepts d’une catégorie se ressemblent, plus c’est difficile d’identifier les concepts.

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16
Q

Approche de catégorie sémantique :

A

Chaque région du cerveau est liée à une catégorie sémantique

17
Q

. Quelle propriété ci-dessous n’est PAS l’une des caractéristiques qui rendent le langage humain unique?

a. Structure hiérarchique
b. La communication
c. Gouverné par des règles
d. Elle implique l’arrangement d’une séquence de symboles.

A

b

18
Q
  1. L’expérience de Pollack et Pickett sur la compréhension de la parole a révélé que lorsque les participants
    prenaient des mots individuels retirés des conversations (mots isolés présentés sans contexte), ils pouvaient
    identifier:
    a. 100% des mots prononcés par leur propre voix.
    b. 50% des mots prononcés par leur propre voix.
    c. 50% des mots prononcés par d’autres avec un accent semblable au leur.
    d. Aucun des mots prononcés par d’autres.
A

b

19
Q

. L’effet de fréquence des mots se réfère au fait que nous répondons plus :
a. Lentement à des mots de basse fréquence que des mots de haute fréquence.
b. Lentement aux lettres apparaissant dans les non-mots que les lettres apparaissant dans les mots.
c. Rapidement à des lettres qui apparaissent plusieurs fois dans un mot que juste une fois dans un
mot.
d. Rapidement à des phonèmes qui apparaissent plusieurs fois dans un mot plutôt que juste une
fois dans un mot

A

a

20
Q
  1. Les études d’ambiguïté lexicale montrent que les gens accèdent à des mots ambigus basé sur:
    a. L’identification d’une seule signification pour ce mot.
    b. La signification dominante de chaque définition du mot.
    c. Le mot qui vient immédiatement avant et le mot qui vient immédiatement après le mot ambigu
    dans la phrase.
    d. Une progression ascendante (bottom-up) de la compréhension du sens.
A

b

21
Q
  1. L’approche interactionniste de l’analyse syntaxique
    a. La sémantique est activée seulement à la fin d’une phrase.
    b. La sémantique est activée lors de la lecture d’une phrase.
    c. La structure grammaticale d’une phrase détermine l’analyse initiale.
    d. La sémantique est seulement activée pour lever l’ambiguïté.
A

b

22
Q
  1. L’étude du mouvement des yeux de Tanenhaus et ses collègues a présenté aux participants différentes
    images pour interpréter la phrase: «Mettez la pomme sur la serviette dans la boîte. Leur résultats supportent
    a. L’approche de première syntaxe.
    b. L’approche interactionniste.
    c. Le modèle de chemin de jardin à analyser. L
    d. L’approche de première syntaxe et l’approche interactionniste.
A

b

23
Q

Le langage est universelle car…

A

◦ Les enfants sourds inventent une langue des signes qui leur est propre pour communiquer avec les autres qui ne comprennent pas la langue des signes conventionnelle. Même les enfants sourds qui n’ont jamais appris le langage des signes vont apprendre par lui même un langage des signes propres à lui.
◦ Tous les humains ayant des capacités normales développent un langage et apprennent à suivre ses règles complexes, peu importe leur conscience de ces règles, leur difficulté en grammaire.
◦ Toutes les cultures utilisent un langage.
◦ Le développement du langage est similaire à travers les cultures : on commence à parler (sons) aux alentours de 7 mois, à dire des mots vers 1 an et à faire des phrases vers 2 ans.
◦ Les langages sont “uniques mais identiques”. À travers les cultures, il y a beaucoup de similarités entre les langages : utilisation de verbe, de négation, d’intonation, temps passé et présent, et…

24
Q

Inférence anaphorique, c’est…

A

connecter-reconnaitre de quoi ou de qui on parle sans constamment le mentionner (• J’amène les enfants pêcher. Ensuite, évidemment, je
les grille.)

25
Q

inférence instrumental, c’est…

A

sous entendre les objets ou les méthodes utilisées. Exemple : il a surement utilisé une plume = (• Shakespeare a écrit Hamlet sur son bureau)

26
Q

Inférence causal, c’est…

A

considérer que l’Événements dans une clause est provoquée par des
événements dans la phrase précédente. Ex : • Sharon a pris de l’aspirine. Son mal de tête est parti

27
Q

La modélisations de situation, c’est…

A

la représentation mentale de l’histoire qui se déroule dans un texte. Quand on lit une histoire, on se la représente en images. Les neurones miroirs s’activent.

28
Q

Une étude qui supporte la modélisation de situations…

A

Étude de l’aigle (dans un nid ou qui vole)

Étude du clou, (vertical ou horizontal)

29
Q

Étude qui supporte que les connaissances influencent la prédictions des histoires…

A

Ousterhourt : the cat wont sleep. = ok

the cat wont bake = ??? = plus d’activité dans le cerveau.

30
Q

La théorie du contrat de données stipule que…

A

◦ Le locuteur construit des phrases afin qu’elles
contiennent :
◦ Informations données déjà connues.
◦ Nouvelles informations.
*◦ Nouvelles informations peuvent alors devenir une
information connue.

31
Q

Les points communs (common ground) entre les locuteurs durant une conversation se fait par…

A
32
Q

Amorçage syntaxique, c’est…

A

La production d’une construction
grammaticale spécifique par une personne
augmente les chances qu’une autre
personne utilise cette construction. (réduit les calculs syntaxiques)