MEG Flashcards
1
Q
David Cohen en 1968 :
A
Développe la MEG
2
Q
1972 Zimmermann :
A
Invente de SQUIDS : superconducting quantum interférence dévice )
3
Q
Aujourd’hui :
A
- 248 à 306 capteurs
- C’est une imagerie topographique de l’activité cérébrale
4
Q
Définition :
A
- Peut mesurer l’activité d’une région précise du cerveau mais aussi la connectivité de deux régions qu’elles soient proche ou distantes lors de l’exécution d’une tache.
- Utiliser que pour le cerveau
- Les champs magnétiques sont détectable à l’aide d’un magnetoencephalogramme à partir d’un champ magnétique beaucoup plus faible que celui de l’environnement extérieur.
5
Q
Deux types de dipôles :
A
- dipôle radial : direction perpendiculaire à la surface de la tête ( gyrus )
- dipôle tangentiel : direction tangentiel à celle ci. ( sillon )
6
Q
Résolution spatiale et temporelle
A
Spatiale : 3 mm
7
Q
Composition de la MEG :
A
- capteur : composé de bobine réceptrice.
- SQUID : résistance électrique égale à 0 et transforme le flux magnétique en tension électrique.
- bobine Primaire permet de mesurer le gradient du champ magnétique dans la direction radiale ou tangentiel
- bac d’hélium liquide. : sert à refroidir les bobines et les SQUIDS
8
Q
Enregistrement :
A
2 tâches :
- rouge ; intensité du courant sortant du cortex
- bleu : intensité du courant entrant cette fois
Entre les deux il y a le générateur électrique = zone du cortex qui est activé.
9
Q
Avantage :
A
- très bonne résolution spatio-temporelle
- non invasive
- en temps réel
- localiser les sources électriques a l’origine des champs magnétiques
- 20 à 30 minutes
- silencieuse
10
Q
Inconvénient :
A
- froid de la pièce
- inconfort ( casque sur la tête )
- géométrie complexe et la conductivité de chaque constituant n’est pas connus et difficile à mesurer.
- n’ombre de mesure qui s’élève à 300 donc restriction de l’espace de recherche des solutions
11
Q
Difference MEG / EEG :
A
- MEG : plus de capteurs , plus efficaces
12
Q
Dans le bilan neuropsychologique :
A
- permet d’approfondir le bilan d’examen en visualisant certaines régions cérébrales
- compléter par d’autre imagerie et aussi par des examens psychologiques et psychométrique en évaluant les fonctions cognitive.
En neurochirurgie : localisation des fonctions sensorielles et cognitif et donc aide à la précision du geste chirurgical
- diagnostic préopératoire en épilepsie, capacité de localisation, commodité d’utilisation.
- voir les régions activité lors d’un rappel traumatique.