LSSSS Flashcards
Loi sur les services de santé et des services sociaux du Québec, en quelle année?
Pour qui?
Pourquoi?
Comment?
1972 (modifiée en 2015)
Pour qui? 9 clientèles des 9 programmes-services
Pourquoi? (objectif) Maintenir ou améliorer l’autonomie des personnes:
Comment? Processus (les étapes de l’intervention)
Étudier le schéma de la LSSSS dans mon livre.
Page gauche= davantage 1ère ligne
Page de droite=davantage 2e, 3e ligne
LSSSS
But :
Trois plans :
Actions :
But: Encadrer les services offerts à la population et f_avoriser le développement ou le maintien_ de l’autonomie.
Trois plans:
Santé physique.
Santé mentale.
Volet social.
Actions:
Préventives: Exemple, campagne de sensibilisation.
Curatives: soigner, atténuer ou améliorer la qualité des soins données.
Exemple, une activité de loisir adaptée à l’intention de jeunes qui ont le trouble du spectre de l’autisme dans un camp de jour de la Ville amène une amélioration de la qualité de vie.
Comment la LSSSS parvient-elle à son but?
Par L’offre de services
Quelle est la philosophie de l’offre de services?
Les établissements du Réseau ont la responsabilité collective d’offrir les différents services.
Individualisation
Gradation
Normalisation. L’institution, c’est en dernier recours.
Fait: ____des personnes qui se retrouvent à l’urgence du Centre hospitalier (CH) ne sont pas des cas urgents.
Madame et monsieur tout le monde ne connaît pas son CLSC?
60%
Dans quel volet en en particulier quel programme œuvrent la majorité des psychoéducateurs ?
Volet psycho social et en particulier le programme services jeunes en difficulté
Quel est le rôle d’un CISSS? D’un CLSC?
CISSS: Rôle de coordonnateur du Réseau Territorial de services.
CLSC: Rôle de coordonnateur du Réseau Local de services.
Porte d’entrée dans le système:
La ligne téléphonique 811;
Confidentiel
24 heures par jour, 365 jours par année
Examen
Quelles sont les 4 étapes de l’intervention psychosociale (volet social) sous la LSSSS?
Accueil, évaluation, orientation, référence.
Décris comment se passe la première étape, l’accueil.
- Le client demande de l’aide en téléphonant au 811 (volet psychosocial) ou se présente à l’accueil du CLSC.
- La réceptionniste lui demande de prendre une place dans la salle d’attente.
- Un intervenant psychosocial (psychoéducateur) l’invite à une rencontre individuelle dans un bureau privé.
- Il prend contact avec le client et écoute sa demande. La relation professionnelle commence à l’accueil en adoptant des habiletés sociales appropriées. Écoute, considération.
Décris comment se passe la deuxième étape de l’intervention, l’évaluation.
- L’intervenant psychosocial procède à une analyse de la demande à l’aide d’une grille de priorisation.
- L’intervenant psychosocial (psychoéducateur) met la date sur la grille d’analyse de la priorisation et la signe (engagement).
- Ce document est déposé au dossier de l’usager.
La grille de priorisation s’inspire de l’approche__________________.
Une grille de priorisation qui contient les éléments suivants:
écosystémique.
- Durée (depuis quand): Le problème.
- Fréquence:
- Intensité:
- Sphères atteintes;
- Évolution de la situation.
- Sentiment d’épuisement, de dépassement face à la situation problématique.
- Niveau de retrait du milieu familial
- Présence d’un Réseau de support/aide
- Accès à un autre servie (privé/public)
- Facteurs de vulnérabilité en fonction de l’âge
- Présence de facteurs de risque
- Capacité du parent/tuteur à prendre les moyens appropriés pour faire face à la situation problématique.
- Autres éléments pouvant avoir un impact
Pour chaque élément (grille de priorisation), il y a une cotation:
Exemple: Sentiment d’épuisement, de dépassement face à la situation problématique.
Aucun, 0
Faible, 1
Moyen, 2
Élevé, 3
Très élevée, 4
Le total des cotes pour chaque élément:
Plus la moyenne de la cote est élevée, plus la priorité est_____________.
Exemple: Urgence suicidaire: 57 et plus (total).
urgente.
Volet social: Programmes de Ière ligne.
Décris la 3e étape de l’évaluation : orientation
Intervention à court terme.
La personne reçue à l’accueil-évaluation nécessite une intervention à court terme.
Si l’intervenant évalue un besoin de 2 à 3 rencontres individuelles, elle peut réaliser une intervention à court terme, selon ses compétences spécifiques. Il pourrait s’agir de l’intervenant qui a procédé à l’accueil-évaluation.
Elle peut aussi orienter la personne à un travailleur social ou un psychologue à l’intervention à court terme (exemple, santé mentale)
Si la situation de la personne nécessite une intervention plus spécialisée, à moyen ou long terme, par exemple 10 rencontres, l’intervenant psycho social proposera un des programmes suivants (toujours en première ligne) :
Soutien à domicile;
Exemple: Une jeune maman d’un milieu défavorisé bénéficie de l’aide d’une infirmière à domicile pour la soutenir dans le développement du petit enfant.
Adulte et santé mentale;
Exemple, pour briser l’isolement social et favoriser l’intégration à l’emploi.
Programme Enfance-famille-jeunesse, en particulier le programme services jeunes en difficulté, 2007.
Exemple: Un jeune en difficulté n’a pas de lieu d’hébergement (itinérance).
Ces 3 mesures (programmes) peuvent aussi servir de 2e ligne au besoin, sous une référence.
Décris la 4e étape de l’intervention : Référence.
4. Référence à un service de deuxième ligne.
Règle générale: il faut une recommandation du CLSC.
Exemples:
CH: services de santé mentale. Recommandation du CLSC ou du médecin de famille.
Dépendance : Référence pour aller voir un intervenant spécialisé en dépendance par exemple.
CJ: Protéger temporairement un jeune avec sa collaboration. L’intervenant psycho social peut demander une mesure d’hébergement temporaire et provisoire (mesure volontaire) dans un milieu d’hébergement en centre jeunesse . (1ère ligne)
Développement et sécurité sont compromis, le jeune ne collabore pas, signalement et intervention de deuxième ligne en protection de la jeunesse. (2e ligne)
À l’étape référence, que faire avec Cas complexe: Multiproblématique?
Équipe intervention (Interactions entres les niveaux d’interventions, entre les partenaires et les programmes-services.)
Les agents de liaison de différents partenaires visent les objectifs suivants:
- Compréhension complète de la situation personnelle et sociale:
Facteurs de protection, facteurs de risque:
Jeune, famille, milieu de vie.
Hypothèses de travail: Tentatives d’explication.
Besoins du jeune, famille et milieu de vie.
- Planification d’une intervention de services en équipe interdisciplinaire, en partenariat;
Exemple: 22 services du programme-services jeunes en difficulté.
- Assurer la communication entre le client (personne en difficulté, famille) et un intervenant pivot (coordonnateur), entre les intervenants .
Commentaires:
Pour ce faire, il faut le consentement écrit du client.
Plusieurs intervenants de compétences spécifiques s’engagent et travaillent ensemble, collectivement, pour trouver une solution au problème. Il faut prévenir le travail en silo.
Face à un cas individuel multiproblématique (santé mentale, dépendance, déficience…)
On travaille en équipe pour : Comprendre le cas et planifier une intervention de services. Plan d’intervention de services pour les références. On travaille en réseau. Chaque intervenant ensuite prend un engagement. Médication, travail avec la famille, l’inscrire à l’école…
Quelles sont les attitudes professionnelles principales pour chaque étape de l’intervention ?
- Acuueil : Ecouter
- Évaluation : Empathie, Comprendre: Consentement du client, la famille et la communauté
- Orientation : Accompagner, faire avec: Confidentialité, choix de l’intervenant, participation du client.
- Référence : Coordonner les services et faire avec. Dossier: La chronologie des interventions
Quelle est la finalité de l’intervention ?
Autonomie dans la communauté, maintien, soutien.
Quels sont les différents droits de l’usager définis dans la LSSSSQ?
Droit à l’information
Droit aux services
Droit de choisir le professionnel ou l’établissement
Acceptation ou refus du client
Droit au consentement
Droit de participer
Droit à l’accompagnement
Droit de recours
Dossier de l’usager
Relations professionnelles
Consentement.
Confidentialité
Secret professionnel
Nomme trois instances de recours
Le commissaire local aux plaintes
Protecteur du citoyen
Commission de la protection des droits de la personne et de la jeunesse.
Pour chacun de ces acteurs il y a un commissaire local aux plaintes :
Centre hospitalier (CH), centre local de services communautaires (CLSC), centre jeunesse (CJ)
Quelles sont les responsabilités d’un commissaire local aux plaintes?
Intervient suite à une plainte ou de sa propre initiative lorsqu’il a des motifs de croire que les droits d’un individu ou d’un groupe sont lésés.
Il fait rapport au conseil d’administration, ainsi qu’à toute direction ou à toute personne responsable …
Exemples: Un groupe de jeunes subit de l’abus de pouvoir d’une équipe d’éducateurs. Une mère est préoccupée de la fugue de sa fille en centre jeunesse. Une personne en difficulté a été traité d’une façon irrespectueuse par un intervenant professionnel.
Quel est le rôle du Protecteur du citoyen?
Prévenir et corriger les erreurs et les injustices commises à l’égard d’une personne ou d’un groupe en relation avec un ministère ou un organisme.
N’est pas un tribunal mais assume un rôle de médiateur.
Trouver une solution satisfaisante pour les parties concernées.
Rôle de la Commission de la protection des droits de la personne et de la jeunesse :
Accueille et traite la plainte:
•Victime de discrimination, d’exploitation ou de harcèlement au sens de la Charte des droits de la personne . Exemple: Ward vs Gabriel: liberté d’expression vs discrimination reliée à un handicap.
•Vous croyez que les droits d’un enfant sont ou ont été lésés par les services d’un établissement, d’un organisme ou d’une personne agissant en vertu de la Loi sur la protection de la jeunesse ou de la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents
Impacts de la LSSSS sur la pratique professionnelle :
Droit des usagers
Accès aux services
Consentement aux soins
Retrait du milieu
Cadre de la tenue du dossier.
Confidentialité.
Collaboration entre les différents établissements.
Obligation de travailler en partenariat, en réseau, art. 99,2.
Obligation d’élaborer un PI, un PSI, art. 102, 103, 104
Bref, une loi importante qui est un cadre de référence pour l’organisation des services.
Présenter la Loi sur le système de santé et de services sociaux du Québec à un parent d’un jeune en difficulté.
But: Encadrer les services offerts à la population et favoriser le développement ou le maintien de l’autonomie.
La LSSSS parvient à son but par l’offre de services.
Trois plans:
Santé physique.
Santé mentale.
Volet social.
Actions:
Préventives: Exemple, campagne de sensibilisation.
Curatives: soigner, atténuer ou améliorer la qualité des soins données.
Pour qui? 9 clientèles des 9 programmes-services
Philosophie de l’offre de services :
Les établissements du Réseau ont la responsabilité collective d’offrir les différents services.
Individualisation, gradation, normalisation
Comment? Les étapes du processus d’inetrvention