les risques encourus Flashcards

1
Q

l’aspect cognitif est essentiel en prévention, mais ne suffit pas pour autant?pk?

A

la prise de conscience que quelque chose doit être changer n’entrainera pas nécessairement un changement, c’est pourquoi il faut associés les apprentissages cognitifs à de nouvelles façons de faire ou de réagir devant le problème.

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2
Q

quels sont les différentes nature du risque?

A
  1. familiarité avec un risque: peut conduire à banaliser, minimiser ou nier un risque (ex: habituer à contoyer un risque)
  2. une moindre proximité avec le danger : peut le faire sous-estimer
  3. le sentiment de surcontrôle: quand un risque est perçu comme aisément contrôlable, on le néglige, biais de l’optimiste.
  4. un sentiment d’absence total de contrôle de soi: déresponsabilise l’individu ex: relation sexuelle. les istuations nous échappent, on ne peut les contrôler.
  5. les risque volontaire: on s’expose soi-même au danger.
  6. le calcul cout/bénéfice: qu’est-ce qu’on a à gagner ou à perdre en prenant ce risque.
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3
Q

quelle nature du risque est comme l’analyse stratégique?

A

le calcul coût/bénéfice

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4
Q

quelles sont les caractéristiques des personnes et population?

A
  1. L’âge: plus on est jeunes, plus on se sent à l’abris du danger.
  2. la culture d’appartenance: certains mode de vie exposent d’avantages à des risques. ex: dieu va me sauver.
  3. les valeurs et les croyances: on peut s’adonner à certaines pratiques à risque en raison de nos valeurs et de nos croyances.
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5
Q

coment est gradué la probabilité de l’exposition à un risque?

A

forte: l’événement va vraisemblablement se réaliser
modéré: l’événement a plus de chance de se réaliser que de ne pas se réaliser
faible: il est plutôt improbable que l’événement se réalise

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6
Q

comment on gradue les impacts d’une situation à risque?

A

sérieux ou graves: les pertes encourues nuiront considérablement à la personne
modéré: les pertes encourues perturberont des personnes et leurs activités.
faible ou négligeable: la perte aura un impact mineur, habituellement acceptable.

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7
Q

la matrice de la décision permet quoi?

A

de se représenter visuellement les risques encourues à la fois sur le plan de la probabilité et de leur gravité potentielle(impact).

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8
Q

la matrice de décision permet quelle sorte de décisions?

A

les décisions les meilleurs possible, en matière de prévention, par ordre de priorité, on s’attardera aux risques qui ont à la fois une probabilité élevé et un impact grave.

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9
Q

il y a des risques qui sont accepté, car on les croit bénéfiques pour la société? V\F

A

VRAI, les risques volontaires, tels que les soldats

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10
Q

la meilleure prévention est celle qui fait en sorte que le risque anticipée n’advienne pas. V\F

A

VRAI

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11
Q

plus on agit à la surface du problème, plus l,action préventive tend à être efficace, car le problème n’a pas le temps de se développer? V\F

A

FAUX, il faut agir à la source du problème.

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12
Q

quand un risque est trop négligeable ou improbable pour justifier sa prévention, il est considéré comme acceptable?

A

OUI, il est peu mobilisateur de changement

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13
Q

qu’est-ce que la résilience?

A
  • Capacité,faculté, habileté de réagir
  • Ça se développe
  • Rien n’est impossible
  • Trouver la force de changer
  • Faculté de trouvé des solutions dans un moment de détresse
  • Percevoir le problème comme un défit
  • Travailler la résilience c’est travailler l’estime de soi
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14
Q

La résilience se traduit en deux mouvements, quels sont-ils?

A

la résistance à l’adversité et la (re)construction» de soi et de sa vie.

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15
Q

quels sont les 3 savoirs?

A
  1. savoirs: connaissances ou croyances
  2. savoir-être:concernent les aptitudes et les attitudes (à adopter).
  3. savoir-faire: impliquent des habiletés concrètes, des comportements, notre façon de faire.
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16
Q

une approche fonctionnelle est axé sur quoi?

A

sur l’importance déterminante des cognitions et des croyances personnelles.

17
Q

quel est la prémisse de l’approche fonctionnelle?

A

que nos idées, attitudes et actions remplissent certaines fonctions pour nous.

18
Q

la théorie sociale cognitive s’appuie sur quel notion?

A

autoefficacité

19
Q

théorie sociale cognitive postule que les attentes et les motivations des gens sont à la source de leur comportements?

A

oui

20
Q

quelles sont les 3 types d’attentes de la théorie sociale cognitive pour qu’un message de prévention donne un résultat?

A
  1. attente dues à la situation
  2. attente dues à l’action envisagée
  3. attente liées à l’autoefficacité (posséder les compétence et les moyens d’agir)
21
Q

décrivez donc la logique derrières les attentes de la théorie sociales cognitive.

A

voici une situation reconnue comme dangereuse ou risquée, devant laquelle un changement de comportement de ma part est possible pour réduire les risques, sachant que je possède la compétence pour adopter ce comportement.

22
Q

le modèle des croyances en matière de santé implique quoi? (3 choses)

A
  1. une préoccupation suffisante quant à sa santé et son bien-être
  2. un sentiment de vulnérabilité ( menace à l’encontre de soi)
  3. la conviction que les mesures de prévention proposées peuvent être efficace, cela à un coût humain ou financier acceptable.
23
Q

le modèle transthéorique conçoit le changement en faveur de quoi?

A

un comportement préventif comme un processus se déroulant en plusieurs étapes sucessives.

24
Q

quel est la principale critique du modèle transthéorique?

A

qu’il est linéaire, alors que se sortir d’un problème n’est pas forcément le résultat du passage naturel d’un point A à un point B.

25
Q

le modèle transthéorique est surtout utilisé pour quoi?

A

la toxicomanie.

26
Q

quelles sont les étapes du modèles transthéorique?

A
  1. Précontemplation (le problème est là, mias il ne se passe pas grand chose sur le plan préventif)
  2. Contemplation (la personne prend conscience du problème)
  3. Préparation (la personne commence à imaginer ou à planifier une action amorçant un changement de comportement)
  4. Changement ( comporte souvent des essais/erreurs)
  5. Maintien ( consiste à éviter un retour en arrière)
  6. Terminaison ou la sortie (la tentation du retour en arrière a disparu)
27
Q

l’approche par la cohérence émotionnelle s’appuie sur 3 postulats, quels sont-ils?

A
  1. les gens ont tendance à vouloir maximiser leur sentiment de cohérence
  2. les incohérences sont perçues comme des situations à éviter ou minimiser
  3. les constats d’incohérence mènent tôt ou tard au besoin de rétablir le sentiment de cohérence.
28
Q

plus une dissonance cognitive est intense, plus la pression pour la réduire est élevé?

A

OUI

29
Q

devant tout phénomène humain,une personne peut se situer sur un continuum, le quel? (approche du jugement social)

A

acceptant–> indifférent–> rejetant

30
Q

on se préoccupe de l’acceptabilité sociale de sa conduite?

A

oui

31
Q

pour ne pas se sentir rejeté ou isolé, les gens ont tendance à adopter les points de vue des personnes significatives pour eux?

A

oui

32
Q

une pression à la conformité,ne peut pas influencer un changement?

A

faux, cette pression peut jour en faveur d’un changement de comportement

33
Q

le modèle du comportement interpersonnel postule que tout comportement résulte de 3 facteurs, lesquels?

A
  1. la présence ou l’absence de conditions ou de circonstances qui sont facilitantes ou gênantes
  2. la force de l’habitude
  3. l’intention d’adopter le dit comportement , cela selon 4 facteurs qui interagissent les uns avec les autres:
    - la composante cognitive: on analyse les avantages et les inconvénients à agir
    - la composante affective
    - la composante des croyances personnelles normatives
    - la composante sociale
34
Q

qu’est-ce qu’affirme la théorie de l’action raisonnée?

A

l’adoption d’un comportement préventif est directement lié à l’intention de réaliser ce comportement

35
Q

par quoi serait influencé l’intention de la théorie de l’action raisonnée?

A
  1. L’évaluation positive ou négative, selon ces croyances et valeurs, de comportement préventif.
  2. la norme sociale, telle qu’elle est perçue subjectivement.
36
Q

qu’affirme, en gros, la théorie de l’action raisonnée et le modèle du comportement interpersonnel?

A

les attitudes et comportements des individus peuvent être déterminés à la fois par les croyances, par des valeurs personnelles et par la motivation à respecter des normes sociales, anciennes ou nouvelles.

37
Q

le modèle de l’action raisonnée a été rebaptisé comment?

A

le modèle du comportement planifié

38
Q

qu’a-t-on ajouter dans le modèle du comportement planifié?

A

un 3ème élément qui influence l’intention:

3. le comportement demandé doit être à la portée de l’individu et relativement aisé à mettre en oeuvre.

39
Q

bref, ces modèles veulent bien connaître leur public cible avant de lancer un message de prévention?

A

OUI