Les relations fonctionnelles schématiques entre le néencéphale et le paléencéphale dans le cas des comportements motivés de survie Flashcards

1
Q

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le .. influence les réponses ..

A

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques.

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Q

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’.. le néencéphale de s’.. à la .. des ..

A

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’empêcher le néencéphale de s’opposer à la finalisation des comportements motivés de survie.

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Q

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’empêcher le néencéphale de s’opposer à la finalisation des comportements motivés de survie voire même de lui .. une ..

A

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’empêcher le néencéphale de s’opposer à la finalisation des comportements motivés de survie voire même de lui imposer une coopération.

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Q

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’empêcher le néencéphale de s’opposer à la finalisation des comportements motivés de survie voire même de lui imposer une coopération.

Cette action de soumission comportementale, le simple .. des .. peut y contribuer.

A

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’empêcher le néencéphale de s’opposer à la finalisation des comportements motivés de survie voire même de lui imposer une coopération.

Cette action de soumission comportementale, le simple filtrage des informations peut y contribuer.

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5
Q

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’empêcher le néencéphale de s’opposer à la finalisation des comportements motivés de survie voire même de lui imposer une coopération.

Cette action de soumission comportementale, le simple filtrage des informations peut y contribuer.

Outre cette activité de filtrage, il y’a la manière .., c’est la voie ..

A

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’empêcher le néencéphale de s’opposer à la finalisation des comportements motivés de survie voire même de lui imposer une coopération.

Cette action de soumission comportementale, le simple filtrage des informations peut y contribuer.

Outre cette activité de filtrage, il y’a la manière subjective, c’est la voie sensitive.

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6
Q

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’empêcher le néencéphale de s’opposer à la finalisation des comportements motivés de survie voire même de lui imposer une coopération.

Cette action de soumission comportementale, le simple filtrage des informations peut y contribuer.

Outre cette activité de filtrage, il y’a la manière subjective, c’est la voie sensitive.

Le .. associe une composante .. dite .. aux signaux périphériques ascendants.

A

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’empêcher le néencéphale de s’opposer à la finalisation des comportements motivés de survie voire même de lui imposer une coopération.

Cette action de soumission comportementale, le simple filtrage des informations peut y contribuer.

Outre cette activité de filtrage, il y’a la manière subjective, c’est la voie sensitive.

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

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7
Q

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’empêcher le néencéphale de s’opposer à la finalisation des comportements motivés de survie voire même de lui imposer une coopération.

Cette action de soumission comportementale, le simple filtrage des informations peut y contribuer.

Outre cette activité de filtrage, il y’a la manière subjective, c’est la voie sensitive.

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être .. ou ..

A

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’empêcher le néencéphale de s’opposer à la finalisation des comportements motivés de survie voire même de lui imposer une coopération.

Cette action de soumission comportementale, le simple filtrage des informations peut y contribuer.

Outre cette activité de filtrage, il y’a la manière subjective, c’est la voie sensitive.

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

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8
Q

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’empêcher le néencéphale de s’opposer à la finalisation des comportements motivés de survie voire même de lui imposer une coopération.

Cette action de soumission comportementale, le simple filtrage des informations peut y contribuer.

Outre cette activité de filtrage, il y’a la manière subjective, c’est la voie sensitive

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

L’.. et le .. dépendent

  • du type de ..,
  • de l’.. de l’..,
  • de l’.. du ..
A

Premier point: notion d’influence primaire

L’influence primaire: dans le cas des relations fonctionnelles, le paléencéphale influence les réponses néencéphaliques dans le but d’empêcher le néencéphale de s’opposer à la finalisation des comportements motivés de survie voire même de lui imposer une coopération.

Cette action de soumission comportementale, le simple filtrage des informations peut y contribuer.

Outre cette activité de filtrage, il y’a la manière subjective, c’est la voie sensitive

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

L’intensité et le signe dépendent

  • du type de stimulus,
  • de l’état de l’organisme,
  • de l’état du paléencéphale
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9
Q

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

L’intensité et le signe dépendent

  • du type de stimulus,
  • de l’état de l’organisme,
  • de l’état du paléencéphale

Si l’.. est suffisamment grande, et non .., cette composante affective est ressentie ..

A

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

L’intensité et le signe dépendent

  • du type de stimulus,
  • de l’état de l’organisme,
  • de l’état du paléencéphale

Si l’intensité est suffisamment grande, et non refoulée, cette composante affective est ressentie consciemment.

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10
Q

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

L’intensité et le signe dépendent

  • du type de stimulus,
  • de l’état de l’organisme,
  • de l’état du paléencéphale

Si l’intensité est suffisamment grande, et non refoulée, cette composante affective est ressentie consciemment.

Ce ressenti au niveau du .. se fait en .. étapes.

A

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

L’intensité et le signe dépendent

  • du type de stimulus,
  • de l’état de l’organisme,
  • de l’état du paléencéphale

Si l’intensité est suffisamment grande, et non refoulée, cette composante affective est ressentie consciemment.

Ce ressenti au niveau du néencéphale se fait en 2 étapes.

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11
Q

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

L’intensité et le signe dépendent

  • du type de stimulus,
  • de l’état de l’organisme,
  • de l’état du paléencéphale

Si l’intensité est suffisamment grande, et non refoulée, cette composante affective est ressentie consciemment.

Ce ressenti au niveau du néencéphale se fait en 2 étapes:

  • sous sa forme ..
  • sous la forme d’un ..
A

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

L’intensité et le signe dépendent

  • du type de stimulus,
  • de l’état de l’organisme,
  • de l’état du paléencéphale

Si l’intensité est suffisamment grande, et non refoulée, cette composante affective est ressentie consciemment.

Ce ressenti au niveau du néencéphale se fait en 2 étapes:

  • immédiatement, sous sa forme brute
  • et ensuite sous la forme d’un sentiment élaboré
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12
Q

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

Si l’intensité est suffisamment grande, et non refoulée, cette composante affective est ressentie consciemment.

Ce ressenti au niveau du néencéphale se fait en 2 étapes:

  • immédiatement, sous sa forme brute
  • et ensuite sous la forme d’un sentiment élaboré

Cette élaboration se fait à partir des signaux ..

A

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

Si l’intensité est suffisamment grande, et non refoulée, cette composante affective est ressentie consciemment.

Ce ressenti au niveau du néencéphale se fait en 2 étapes:

  • immédiatement, sous sa forme brute
  • et ensuite sous la forme d’un sentiment élaboré

Cette élaboration se fait à partir des signaux primaires ascendants.

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13
Q

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

Si l’intensité est suffisamment grande, et non refoulée, cette composante affective est ressentie consciemment.

Ce ressenti au niveau du néencéphale se fait en 2 étapes:

  • immédiatement, sous sa forme brute
  • et ensuite sous la forme d’un sentiment élaboré

Cette élaboration se fait

  • à partir des signaux primaires ascendant
  • au niveau ..
A

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

Si l’intensité est suffisamment grande, et non refoulée, cette composante affective est ressentie consciemment.

Ce ressenti au niveau du néencéphale se fait en 2 étapes:

  • immédiatement, sous sa forme brute
  • et ensuite sous la forme d’un sentiment élaboré

Cette élaboration se fait

  • à partir des signaux primaires ascendant
  • au niveau pré-frontal
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14
Q

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

Si l’intensité est suffisamment grande, et non refoulée, cette composante affective est ressentie consciemment.

Ce ressenti au niveau du néencéphale se fait en 2 étapes:

  • immédiatement, sous sa forme brute
  • et ensuite sous la forme d’un sentiment élaboré

Il y’a une note intéressante concernant l’espèce humaine:

Comme le néencéphale a des capacités .., un sentiment peut se fonder surtout sur la .. ; .. des .. dans lesquels un .. s’éta

A

Le paléencéphale associe une composante affective dite primaire aux signaux périphériques ascendants.

Cette composante primaire peut être positive ou négative.

Si l’intensité est suffisamment grande, et non refoulée, cette composante affective est ressentie consciemment.

Ce ressenti au niveau du néencéphale se fait en 2 étapes:

  • immédiatement, sous sa forme brute
  • et ensuite sous la forme d’un sentiment élaboré

Il y’a une note intéressante concernant l’espèce humaine:

Comme le néencéphale a des capacités projectives, un sentiment peut se fonder surtout sur la mémorisation ; mémorisation des conditions dans lesquels un affect primaire s’était formé.

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15
Q

L’évolution temporelle usuelle des sentiments associés:

Ça c’est au niveau ..

A

L’évolution temporelle usuelle des sentiments associés:

Ça c’est au niveau pré-frontal.

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16
Q

L’évolution temporelle usuelle des sentiments associés:

Si nous avons coopération:

Avant l’action, le sentiment est une .. actuelle c’est-à-dire un .. de l’action.

A

L’évolution temporelle usuelle des sentiments associés:

Si nous avons coopération:

Avant l’action, le sentiment est une difficulté actuelle c’est-à-dire un désir de l’action ; *de la faire, de la laisser faire, de la refaire ou de la laisser refaire. *

17
Q

L’évolution temporelle usuelle des sentiments associés:

Si nous avons coopération:

Avant l’action, le sentiment est une difficulté actuelle c’est-à-dire un désir de l’action ; de la faire, de la laisser faire, de la refaire ou de la laisser refaire.

Au moment du déroulement, c’est une .. actuelle et un .. à faire, à laisser faire, à refaire ou à laisser refaire.

A

L’évolution temporelle usuelle des sentiments associés:

Si nous avons coopération:

Avant l’action, le sentiment est une difficulté actuelle c’est-à-dire un désir de l’action ; de la faire, de la laisser faire, de la refaire ou de la laisser refaire.

Au moment du déroulement, c’est une facilité actuelle et un plaisir à faire, à laisser faire, à refaire ou à laisser refaire.

18
Q

L’évolution temporelle usuelle des sentiments associés:

Si nous avons coopération:

Avant l’action, le sentiment est une difficulté actuelle c’est-à-dire un désir de l’action ; de la faire, de la laisser faire, de la refaire ou de la laisser refaire.

Au moment du déroulement, c’est une facilité actuelle et un plaisir à faire, à laisser faire, à refaire ou à laisser refaire avec, simultanément, une .. dans l’instant et un .. à .. de faire, de laisser faire, de refaire ou de laisser refaire.

A

L’évolution temporelle usuelle des sentiments associés:

Si nous avons coopération:

Avant l’action, le sentiment est une difficulté actuelle c’est-à-dire un désir de l’action ; de la faire, de la laisser faire, de la refaire ou de la laisser refaire.

Au moment du déroulement, c’est une facilité actuelle et un plaisir à faire, à laisser faire, à refaire ou à laisser refaire avec, simultanément, une difficulté dans l’instant et un déplaisir à empêcher de faire, de laisser faire, de refaire ou de laisser refaire.

*Si nous avons soif et que nous avons de l’eau dans la bouche, c’est vraiment très difficile de ne pas déglutir. *

19
Q

L’évolution temporelle usuelle des sentiments associés:

Quand c’est antagoniste:

Avant l’action, il y’a un désir de .. ou de ..

A

L’évolution temporelle usuelle des sentiments associés:
Quand c’est antagoniste:

Avant l’action, il y’a un désir de ne pas faire ou de ne plus faire.

20
Q

L’évolution temporelle usuelle des sentiments associés:
Quand c’est antagoniste:

Avant l’action, il y’a un désir de ne pas faire ou de ne plus faire.

S’il y’a antagonisme l’action doit quand même avoir lieu pour une raison .. et .. mais ça ne .. pas.

A

L’évolution temporelle usuelle des sentiments associés:
Quand c’est antagoniste:

Avant l’action, il y’a un désir de ne pas faire ou de ne plus faire.

S’il y’a antagonisme l’action doit quand même avoir lieu pour une raison décisionnelle et rationnelle mais ça ne plaît pas.

21
Q

Nous avons donc au départ une influence .. du .. et nous avons en réponse une action spécifique.

A

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale, ascendante, et nous avons en réponse, par voie descendante, une action spécifique.

22
Q

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique sur la .. et aussi sur le ..

A

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

23
Q

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec .. ou .., sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

A

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

24
Q

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Du point de vue motivationnel, l’évènement primaire ascendant est dit .. motivationnel ..

A

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Du point de vue motivationnel, l’évènement primaire ascendant est dit activateur motivationnel général.

*Donc nous avons “au premier tour” un processus motivationnel général. *

25
Q

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Du point de vue motivationnel, l’évènement primaire ascendant est dit .. motivationnel ..

La réponse secondaire est dite motivationnelle ..

A

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Du point de vue motivationnel, l’évènement primaire ascendant est dit activateur motivationnel général.

La réponse secondaire est dite motivationnelle spécifique (parce qu’il tient compte de la réponse spécifique périphérique néencéphalique, de l’action spécifique périphérique ; nous pouvons dire que nous avons une motivation spécifique pour cette action).

26
Q

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une .. de ..

A

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une boucle de rétroaction.

27
Q

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une boucle de rétroaction.

Cette boucle de rétroaction peut être .. ou ..

A

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une boucle de rétroaction.

Cette boucle de rétroaction peut être positive ou négative.

28
Q

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une boucle de rétroaction.

Cette boucle de rétroaction peut être positive ou négative.

Si elle est .., nous aurons une évolution de tout le système vers quelque chose de neuf.

Ça sera peut être l’..

A

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une boucle de rétroaction.

Cette boucle de rétroaction peut être positive ou négative.

Si elle est positive, nous aurons une évolution de tout le système vers quelque chose de neuf.

Ça sera peut être l’assouvissement.

29
Q

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une boucle de rétroaction.

Cette boucle de rétroaction peut être positive ou négative.

L’ensemble des voies et des centres nerveux impliqués (dans ces bouclages) est appelé pour des raisons historiques système de la ..

A

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une boucle de rétroaction.

Cette boucle de rétroaction peut être positive ou négative.

L’ensemble des voies et des centres nerveux impliqués (dans ces bouclages) est appelé pour des raisons historiques système de la récompense.

30
Q

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une boucle de rétroaction.

Cette boucle de rétroaction peut être positive ou négative.

L’ensemble des voies et des centres nerveux impliqués (dans ces bouclages) est appelé pour des raisons historiques système de la récompense.

Ce système met en jeu en particulier le cortex .. et le système ..

A

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une boucle de rétroaction.

Cette boucle de rétroaction peut être positive ou négative.

L’ensemble des voies et des centres nerveux impliqués (dans ces bouclages) est appelé pour des raisons historiques système de la récompense.

Ce système met en jeu en particulier le cortex orbito-frontal et le système limbique.

31
Q

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une boucle de rétroaction.

Cette boucle de rétroaction peut être positive ou négative.

Un bouclage positif garantit un possible nouvel état d’.. (d’.., de ..).

Un bouclage négatif ne garantit pas un état ..

A

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une boucle de rétroaction.

Cette boucle de rétroaction peut être positive ou négative.

Un bouclage positif garantit un possible nouvel état d’équilibre (d’assouvissement, de guérison…).

Un bouclage négatif ne garantit pas un état stable.

32
Q

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une boucle de rétroaction.

Cette boucle de rétroaction peut être positive ou négative.

Nous pouvons observer, sur le plan comportemental, un état .. de grand .. dans le cas de décisions de comportements .. et, en particulier, dans le cas du ..

A

Nous avons donc au départ une influence primaire du paléencéphale et nous avons en réponse une action spécifique, avec coopération ou antagonisme, sur la périphérie et aussi sur le paléencéphale.

Donc nous avons une boucle de rétroaction.

Cette boucle de rétroaction peut être positive ou négative.

Nous pouvons observer, sur le plan comportemental, un état oscillant de grand ampleur dans le cas de décision de comportements drastique et, en particulier, dans le cas du régime alimentaire.