L'approche thermorégulatrice d'origine périphérique Flashcards
Il existe des thermorécepteurs dans la ..
Il existe des thermorécepteurs dans la peau.
Nous supposons un sujet dont la température centrale est discrètement abaissée.
Il est mis en présence d’une source modérée de chaleur.
Au niveau de son .., le refroidissement interne est détecté par les thermorécepteurs ..
Nous supposons un sujet dont la température centrale est discrètement abaissée.
Il est mis en présence d’une source modérée de chaleur.
Au niveau de son hypothalamus, le refroidissement interne est détecté par les thermorécepteurs centraux.
Nous supposons un sujet dont la température centrale est discrètement abaissée.
Il est mis en présence d’une source modérée de chaleur.
Au niveau de son hypothalamus, le refroidissement interne est détecté par les thermorécepteurs centraux.
Simultanément, cet hypothalamus est informé de la situation .. par les thermorécepteurs ..
Nous supposons un sujet dont la température centrale est discrètement abaissée.
Il est mis en présence d’une source modérée de chaleur.
Au niveau de son hypothalamus, le refroidissement interne est détecté par les thermorécepteurs centraux.
Simultanément, cet hypothalamus est informé de la situation environnementale par les thermorécepteurs cutanés.
*Il a la double information. *
Nous supposons un sujet dont la température centrale est discrètement abaissée.
Il est mis en présence d’une source modérée de chaleur.
Au niveau de son hypothalamus, le refroidissement interne est détecté par les thermorécepteurs centraux.
Simultanément, cet hypothalamus est informé de la situation environnementale par les thermorécepteurs cutanés.
L’association de tous ces signaux produit une .. du corps vers la .. de ..
Nous supposons un sujet dont la température centrale est discrètement abaissée.
Il est mis en présence d’une source modérée de chaleur.
Au niveau de son hypothalamus, le refroidissement interne est détecté par les thermorécepteurs centraux.
Simultanément, cet hypothalamus est informé de la situation environnementale par les thermorécepteurs cutanés.
L’association de tous ces signaux produit une exposition du corps vers la source de chaleur.
Nous supposons un sujet dont la température centrale est discrètement abaissée.
Il est mis en présence d’une source modérée de chaleur.
Au niveau de son hypothalamus, le refroidissement interne est détecté par les thermorécepteurs centraux.
Simultanément, cet hypothalamus est informé de la situation environnementale par les thermorécepteurs cutanés.
L’association de tous ces signaux produit une orientation d’exposition .. du corps vers la source de chaleur.
Nous supposons un sujet dont la température centrale est discrètement abaissée.
Il est mis en présence d’une source modérée de chaleur.
Au niveau de son hypothalamus, le refroidissement interne est détecté par les thermorécepteurs centraux.
Simultanément, cet hypothalamus est informé de la situation environnementale par les thermorécepteurs cutanés.
L’association de tous ces signaux produit une orientation d’exposition instinctuelle du corps vers la source de chaleur.
Nous supposons un sujet dont la température centrale est discrètement abaissée.
Il est mis en présence d’une source modérée de chaleur.
Au niveau de son hypothalamus, le refroidissement interne est détecté par les thermorécepteurs centraux.
Simultanément, cet hypothalamus est informé de la situation environnementale par les thermorécepteurs cutanés.
L’association de tous ces signaux produit une orientation d’exposition instinctuelle du corps vers la source de chaleur.
Il le fait peut-être .. mais il peut aussi le faire quand il ..
Nous supposons un sujet dont la température centrale est discrètement abaissée.
Il est mis en présence d’une source modérée de chaleur.
Au niveau de son hypothalamus, le refroidissement interne est détecté par les thermorécepteurs centraux.
Simultanément, cet hypothalamus est informé de la situation environnementale par les thermorécepteurs cutanés.
L’association de tous ces signaux produit une orientation d’exposition instinctuelle du corps vers la source de chaleur.
Il le fait peut-être volontairement mais il peut aussi le faire quand il dort.
Supposons le même sujet dont la température centrale est discrètement abaissée mais cette fois ci privé de source chaude.
Ce sujet, comment sait-il qu’il est privé de source chaude?
Grâce à ses .. qui .. source de ..
Supposons le même sujet dont la température centrale est discrètement abaissée mais cette fois ci privé de source chaude.
Ce sujet, comment sait-il qu’il est privé de source chaude?
Grâce à ses thermorécepteurs cutanés qui ne détectent aucune source de rayonnement.
Supposons le même sujet dont la température centrale est discrètement abaissée mais cette fois ci privé de source chaude.
Dans ce cas là, la réaction motrice qui va être adoptée c’est une posture d’.. des ..
Supposons le même sujet dont la température centrale est discrètement abaissée mais cette fois ci privé de source chaude.
Dans ce cas là, la réaction motrice qui va être adoptée c’est une posture d’augmentation des surfaces en miroir.
Supposons le même sujet dont la température centrale est discrètement abaissée mais cette fois ci privé de source chaude.
Dans ce cas là, la réaction motrice .. qui va être adoptée par le .. c’est une posture d’augmentation des surfaces en miroir.
Supposons le même sujet dont la température centrale est discrètement abaissée mais cette fois ci privé de source chaude.
Dans ce cas là, la réaction motrice instinctuelle qui va être adoptée par le paléencéphale c’est une posture d’augmentation des surfaces en miroir.
*Les surfaces en miroir c’est par exemple la face interne des cuisses ou bien la face interne de l’avant-bras par rapport à la face externe du thorax ou bien la face postérieure de la jambe par rapport à la face postérieure de la cuisse à condition de plier la jambe sur la cuisse. *
Supposons le même sujet dont la température centrale est discrètement abaissée mais cette fois ci privé de source chaude.
Le sujet va se .., se .., de manière à maximiser les ..
Supposons le même sujet dont la température centrale est discrètement abaissée mais cette fois ci privé de source chaude.
Le sujet va se recroqueviller, se pelotonner, de manière à maximiser les surfaces en miroir.
Supposons le même sujet dont la température centrale est discrètement abaissée mais cette fois ci privé de source chaude.
Sur le plan .., le sujet va se recroqueviller, se pelotonner, de manière à maximiser les surfaces en miroir.
C’est un comportement ..
Supposons le même sujet dont la température centrale est discrètement abaissée mais cette fois ci privé de source chaude.
Sur le plan paléencéphalique, le sujet va se recroqueviller, se pelotonner, de manière à maximiser les surfaces en miroir.
C’est un comportement archaïque.
Comme nous ne trouvons pas de source chaude à l’extérieur, la seule source chaude qui existe c’est nous-mêmes.
Nous avons affaire à sujet qui a trop chaud puisque sa température centrale est un peu augmentée.
Il va chercher des sources moins chaudes.
Ses thermorécepteurs en détectent, il va s’orienter vers ce qui est le moins chaud.
S’il n’y a pas de moins chaud, il va .. au maximum ses ..
Nous avons affaire à sujet qui a trop chaud puisque sa température centrale est un peu augmentée.
Il va chercher des sources moins chaudes.
Ses thermorécepteurs en détectent, il va s’orienter vers ce qui est le moins chaud.
S’il n’y a pas de moins chaud, il va diminuer au maximum ses surfaces en miroir, il va s’étaler le plus possible.
