Lectures Flashcards
Selon le texte de François-Lecompte, quels sont les freins à la consommation socialement responsable ?
- Manque d’information et manque de confiance dans l’information sur le comportement des entreprises
- Coût élevé de la consommation responsable
- L’aspect «praticien» de cette consommation (manque de disponibilité des produits)
- Renoncer au plaisir de la consommation
- Cette consommation est trop contraignante
- Difficulté de savoir quel est le bon comportement
Selon le texte de François-Lecompte, quels sont les objectifs à la consommation socialement responsable ?
- L’envie de faire changer les choses à travers son comportement
- L’envie d’être en accord avec ses principes
Est-ce que Peterson voit un lien entre ceux qui occupent des emplois supérieur et le fait qu’il s’intéresse qu’à des activités de haute valeur ?
Non. Il a constaté que ceux qui occupaient des emplois supérieurs avaient également tendance à s’intéresser plus souvent que les autres à une vaste gamme d’activités de statut inférieur, tandis que ceux qui occupaient des emplois inférieurs avaient une gamme d’activités culturelles limitées.
Selon Peterson, qu’est-ce qui a rendu possible l’accessibilité goût de l’esthétique à une vaste gamme de personnes ?
La hausse du niveau de vie, la poursuite des études et les représentations des médias.
À quoi renvoie le concept des goûts omnivores dans le texte de Peterson ?
- Avoir des goûts omnivores c’est le terme, qui est maintenant désigné pour parlé de snobisme.
- On peut considérer l’omnivorité comme le résultat de l’esthétisation d’éléments de la culture populaire.
- C’est un peu dire que le snobisme intellectuel consiste à détester toutes les formes de culture populaire tandis que l’omnivorité consiste à n’en détester aucune.
Qu’est-ce qui différencie les univores des omnivores, dans le texte de Peterson ?
Les univores, eux, affichent du goût pour une gamme étroite d’activités ou d’objets. Tandis que les omnivores, aiment une vaste gamme d’activités ou d’objets.
Quels exemples (2) nomme-t-on dans le texte de Micchielli pour parler de la Place des émotions et des normes sociales dans la communication persuasive publicitaire ?
#1 On y parle de la femme dans la Grèce antique, qui s'est dénudé pour se faire acquitter du meurtre qu'elle avait commis. #2 Une publicité porno-chic.
Quel lien fait-on, dans le texte de Micchielli, entre la femme de la Grèce antique et la publicité porno-chic ?
Dans les deux cas, on fait appel aux valeurs des gens. Dans le cas de la femme, c’est immoral de tuer une femme avec un si beau et unique corps. Tandis que dans l’autre cas, on fait appel aux valeurs des gens pour créer l’indignation et, du même coup, attirer l’attention et se faire remarqué parmi les autres publicités.
Selon Micchielli, comment sont utilisés les significations, les valeurs et les émotions dans les publicités ?
L’objet mis en vedette dans la mise en scène publicitaire est investi dans les valeurs portées par les normes présentes. Ces valeurs normatives deviennent des significations associées à l’objet. Cette association se fait parce que l’objet est intégré dans la scène.
C’est parce que toutes ces significations positives sont alors attachées à la possession de l’objet que l’achat de l’objet peut être envisagé.
Le langage parlé par la communication persuasive publicitaire nous apparait donc comme un langage cultuel.
Que dois faire la publicité si elle veut être comprise ? (Texte de Micchielli)
Elle doit s’appuyer sur les normes sociales ambiantes, elle doit les intégrer dans ses mises en scène pour que la valorisation des produits vanté puisse s’effectuer.
