Lecture articles - cours 1 Flashcards
Grisell Vargas-Schaffer (2010)
En 1986, pourquoi l’organisation mondiale de la santé à créé une échelle analgésique ?
- cadre de travail pour les médecins
- l’élaboration des plans thérapeutiques pour la douleur causée par le cancer
Grisell Vargas-Schaffer (2010)
Qu’à permis l’échelle analgésique comme évolution suite à sa traduction en 22 langues ?
- Elle a contribué à sanctionner le recours aux opioïdes pour le traitement de la douleur cancéreuse
- a donné lieu à de nombreuses campagnes internationales d’éducation sur l’utilisation, les avantages et les effets secondaires des narcotiques
dans le traitement de la douleur
Grisell Vargas-Schaffer (2010)
Quels sont les pourcentages d’effectivité de la méthode de l’OMS dans la gestion de la douleur ?
un soulagement abordable et adéquat chez 70 %
à 90 % des patients souffrant de douleur cancéreuse.
Aujourd’hui, on remet en question ces pourcentages et
on croit qu’ils se situeraient plutôt entre 70 % et 80 %
Grisell Vargas-Schaffer (2010)
Quels sont les 5 recommandations de l’OMS pour utiliser correctement les analgésiques ?
- Administration des analgésiques par voie orale.
- Il faut administrer les analgésiques à intervalles
réguliers. - Il faut prescrire les analgésiques en fonction de
l’intensité de la douleur mesurée selon une échelle
d’intensité - Le dosage du médicament contre la douleur doit être adapté à la personne.
- Il faut prescrire les analgésiques en se préoccupant constamment des détails
Grisell Vargas-Schaffer (2010)
Est-il vrai de dire qu’en dépit du débat et des mises à jour du diagramme analgésique de 1986, personne ne conteste sa valeur éducative ni les bienfaits découlant de sa diffusion dans le monde entier?
Oui,
- Cependant, elle a fait l’objet de nombreux débats et critiques, à l’élargissement de son utilisation à d’autres types de douleur
Grisell Vargas-Schaffer (2010)
Pour quelles types de douleur la méthadone à l’étape 3 de l’échelle analgésique est si importante ?
Très utile dans le traitement de :
- la douleur due au cancer,
- la douleur chronique non cancéreuse
- la douleur neuropathique réfractaire qui ne répond pas aux traitements conventionnels
La méthadone est aussi très utile dans la
rotation des opioïdes pour la douleur d’origine
cancéreuse.
Grisell Vargas-Schaffer (2010)
Est-il vrai de dire que l’échelle analgésique s’utilise seulement vers le haut de l’étape 1 à l’étape 2 ?
Non,
Cette version de l’échelle analgésique peut servir dans les deux directions
- la montée plus lente pour la douleur chronique et celle due au cancer,
- la descente plus rapide pour la douleur intense aiguë, la douleur chronique incontrôlée et la percée de douleur.
Grisell Vargas-Schaffer (2010)
Résumez la nouvelle adaptation de l’échelle analgésique de l’OMS
- Ajout d’un 4e étape
- ou on l’y rajoute des tx tel que le Bloc nerveux, Épidurale, Pompes ACP, Thérapie par bloc, neurolytique, Stimulateurs médullaire
- Nouveaux modes d’administration, timbre
Grisell Vargas-Schaffer (2010)
Est-ce vrai de dire que l’adaptation de l’échelle ne peut être utiliser pour la douleur purement neuropathique ?
Oui,
Cette adaptation peut être utilisée pour la douleur nociceptive et la douleur nociceptive et neuropathique combinée, mais pas
pour la douleur purement neuropathique.
AIIAO (2013)
Quels sont les moments recommandé pour procéder à un dépistage de la douleur ?
- Lors de l’admission ou d’une visite d’un professionnel de la santé;
- après un changement de l’état médical;
- avant, pendant et après une procédure
AIIAO (2013)
Pourquoi dit-on que les infirmières occupent une position unique qui leur permet de dépister
la douleur et, si le dépistage est positif, de passer à une évaluation exhaustive de la douleur ressentie par une personne ?
Puisque ce sont les infirmières qui ont le plus grand nombre de contacts avec les bénéficiaires de soins de santé.
AIIAO (2013)
De quoi tiend compte l’approche exhaustive et systématique de l’évaluation de la douleur chez une personne dont le dépistage est positif ?
■ des antécédents antérieurs de douleur;
■ des caractéristiques sensorielles de la douleur (intensité, qualité, caractéristiques temporelles, emplacement et ce qui aggrave ou soulage la douleur);
■ les répercussions de la douleur sur les activités de la vie quotidienne (capacité à travailler, à dormir, à jouir de la vie);
■ les répercussions psychosociales de la douleur sur la personne ou sur les autres (dépression, aspects financiers);
■ les interventions déjà utilisées qui prenaient en charge la douleur de façon efficace
AIIAO (2013)
Les infirmières doivent être conscientes du fait qu’une évaluation exhaustive de la douleur est influencée par différents facteurs, lesquels ?
- la maladie de la personne ou son degré d’invalidité (c.-à-d. la douleur est ressentie à plusieurs endroits),
- son âge,
- son stade de développement,
- son niveau d’éducation ou son état cognitif,
- sa capacité à communiquer,
- sa culture,
- son ethnicité,
- les aspects biologiques,
- ses expériences antérieures avec la douleur
- sa réticence à signaler la douleur
- la spiritualité
Acapo, Seyrès, Savignat (2017)
Acapo, Seyrès, Savignat (2017)