Le comportement prosocial Flashcards
Facteur important dans le comportement
Intention, dans les comportements, est importante
Parfois, certains veulent aider (bonne intention), mais cause plus de mal que de bien
Comportement altruiste
Acte délibéré visant a aider autrui, sans attendre de récompense.
- Acte délibéré (intentionnel), autrement, ce n’est pas considéré comme de de l’altruisme.
- Ne s’attend pas a des récompense
- Ex : Sun Youth, annonce qu’il donneront bicyclettes à des jeunes qui seraient méritant, afin de renforcer leur comportements positif (comp prosocial d’aide) – Par contre, en donnant cet argent, on accepté de ne pas donner leur nom ; ils sont donc sans attente de récompense (gestes posés pour s’assurer de ne pas recevoir ce genre de récompense)
Ce n’est pas utopique, pcq ça existe, mais c’est l’idéal - niveau très élevé d’altruiste - N’est-il meilleur de savoir/célébrer les gens qui aide (refonrcement positif, apprentissage sociale – identification à la personne)
Comportement prosocial (ou comportement d’aide)
Acte délibéré visant a aider autrui, sans égard aux motivations ou aux récompenses attendues.
Acte délibéré (intentionnel)
Qd on récompense un peu/bcp, la personne ne fait pas ça pour la récompense, mais peut tout de même accepter celle-ci.
Ex : Cours d’intro à l’informatique, peut demander de l’aide aux autres. La règle, si on demande de l’aide, en retour qd qq d’autres nous le demande, on a l’obligation de lui venir en aide (Pass it along) On passe la dette à une autre personne, fort probable que ce ne soit pas la même, aider n’importe qui d’autre. Ultimement plus efficace.
Le concept de rendre n’est pas vrm de l’altruiste
Ex : Samedi soir, entend un bruit bizz (eau) Tuyau salle de bain explosé au sous sol, je ne suis pas plombier. Appelle plombier (j’ai une besoin d’aide) - 5e appelé vient, facture 600$… Facture énorme, mais je suis content qu’il soit venu aidé. A qd meme choisi de travaillé le samedi soir.
Pas vrm le comp altruiste ni comp prosocial…mais d’avantage un comportement social (bon pour tout le monde)
Ce n’est pas pcq on paie pour un service que celui-ci n’a pas de caract prosocial.
« Ça prend de tout pour faire un monde »
Les trois composantes de la perspective évolutionniste :
le comportement d’aide et la sélection naturelle
- L’aide a ceux qui partagent nos gènes
- La réciprocité
- La sélection de groupe
Basés sur principe de survie de Darwin : survie de l’espèce par la survie des individus
Ex : immeuble en feux, on entend les douleurs d’un enfant.. Il faut presque arrêter les pompiers pour l’empêcher de rentrer dans le but de sauver un enfant qui n’est pas le leur.
Diminue nos chances à nous survivre
L’aide a ceux qui partagent nos gènes
Le comportement d’aide se produit de façon dirigée et privilégiée entre les individus génétiquement apparentés, et ce, chez les êtres humains.
On risque notre vie pour notre jumeaux, qui a exactement le même bagage génétique que nous -> Fait du sens selon Darwin
On pourrait argumenter que l’altruiste (qui n’agit pas sur la base de ressemblances génétiques) est impliquée dans la survie du code génétique même qd on sauve un inconnu, pcq la plupart des êtres humains ont des codes génétiques peu différents.
Bien que ça semble aller à l’encontre de la survie des individus en général, pas totalement vrai
On aide + membres de notre famille que les étrangers
La réciprocité
Le fait d’aider est avantageux parce que cela peut entraîner une réciprocité : l’aidant peut devenir l’aidé lorsqu’il en a besoin.
- Ce qui a transformé notre espèce en espèce socialisée.
- Va de pair avec la spécialisation (sinon, devrait tou faire nous même) Quelqu’un n’a pas ce qu’on a – Interréchange
La sélection de groupe
Lorsque deux groupes sont en concurrence, celui qui compte le plus grand nombre d’individus ayant des tendances prosociales a un net avantage sur celui qui se compose surtout d’individus égoïstes.
- Avantage : socialisation
- Désavantage : conflits intergroupes
- Notre groupe survie, on survie
- Impact sur évolution de l’espèce
- Le groupe n’a pas besoin de la survie d’1 individu, mais est aussi un peu comme l’espèce-> peu remplacer ces membres.
- Le gr où il y a + d’entraide, généralement, va gagner sur un autre.
- 2 gr sont en conflit : 1er = bonnes personnes, 2e gr = mauvaises personnes (criminels, etc) Gr qui va gagner -> 1er, argument : dans le gr 1, les gens s’entraide. Dans le gr2, les gens mauvais vont se retourner contre eux (nature d’être anti-sociaux, ne jouent pas bien ensemble)
- Ex : L’eau monte, dans une maison de fourmis, mais aucune veut se sacrifier pour faire 1 point, donc elles meurent toutes.
Composantes de la perspective d’apprentissage
Conditionnement opréant : renforcements et punitions
Apprentissage par observation de modèles
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Ce n’est pas inné, donc c’est appris.
On peut faire correspondre des comportements à des récompenses.
Nous sommes contrôlés par les règles environnementales de récompenses et de comportements.
Plus il y a de l’interréchange (spécialisation de chacun) plus ça augmente les gains de tout le monde - Béhaviorisme
Conditionnement opérant : renforcements et punitions
- Vous aurez davantage tendance à aider autrui si, au cours de votre vie, vos comportements d’aide ont été plutôt renforcés que punis.
- Les renforcements dispositionnels sont particulièrement efficaces.
Par le succès de nos comportement d’aide à nous, on est récompensé socialement (Ex du plombier, reçoit $)
Trouver un besoin, une niche, vous allez devenir riches (C’EST le comportement prosocial)
Apprentissage par observation de modèles
L’observation d’un modèle d’aide favorise les comportements prosociaux, même si celui-ci n’est présenté que dans les médias.
La perspectives des normes sociales et ses composantes
Normes sociales sot flexibles : spécifiques aux groupes
Seule diff entre normes et lois : lois obligatoires + sanctions juridiques / normes : sanctions sociales.
Normes générale servent a favoriser comp sociaux :
La responsabilité sociale
La réciprocité
L’équité
La responsabilité sociale
Norme selon laquelle nous devons prêter main-forte aux gens qui ont besoin d’aide, surtout à ceux qui dépendent de nous.
- Le devoir de prêter main forte aux autres, en particulier aux membres de notre groupe.
- Dépend à quel groupe on s’identifie
- « Toutes personnes doit prêter mai forte à celle en ayant de besoin », c’est une obligation juridique, une loi. (Ex : sur le bord de la route, accident de voiture, il faut s’arrêter)
- Règle prescriptive « vous devez faire ça », pas besoin de donner une raison.
La réciprocité
Norme selon laquelle nous devons, dans la mesure du possible, rendre toutes les faveurs que nous avons reçues
- Règle intermédiaire
- Norme importante : oublie la loi, oublie obligation légale, si qq t’as aider, tu dois l’aider en retour
- Le syst économique, contrats, échange mutuels.
L’équité
Norme selon laquelle nous devons recevoir autant d’avantages de la société que nous y avons investi d’efforts.
- Contient une justification implicite : il est juste que les gens qui reçoivent plus rendent plus .
- Les gens qui ont plus, doivent aider ceux qui ont moins
- Gens qui gagnent + vont payer + d’impôts
- À ceux qui ont plus de ressources, + d’obligations
- Populaire, ça créer une règle morale
Le modèle de la prise de décision d’aider
On parle pas de cause ni d’intention ici, pas vrm de raison de savoir pourquoi
(X important de savoir pourquoi mon plombier est venu m’aider la samedi soir)
- Bien que tout le monde soit d’accord qu’aider est un comportement idéal.
- En pratique, les comportements d’aide sont rares
La réalité statistique ne semble pas suppporter fort comportement d’aide
Exemple :
Sujets arrivent pour une expérience dans la salle d’attente. Y’a une porte d’entrée, mais pas de porte de sortie.
En salle d’attente, de la fumée sort du conduit d’aération -> Situation d’urgence (va avec comportement d’aide)
Naturellement, gens seuls se lève et sorte.
Mais, en groupe, les gens tournent leur têtes sur caméras (voient bien la fumée), mais ne bougent pas, en faisant va et vient avec la tête vers la fumée.
La situation est-elle perçue?
Clair que la personne a remarquéé la fumée (prend un peur + long à remarquer qd ils ne sont pas seuls (passe + de temps à regarder les autres) seuls, regardent partout) IP
La situation est-elle interprétée comme requérant de l’aide?
Ça prend X long après pour que personne décide s’il faut quelle fasse quelque chose (ignorance pluralistique : en gr, l’autre nous distrait, + peut être que ce se lever pour quitter pas la bonne réponse… regarde l’autre pour voir comment il réagit) Tendance nous même a rester calme, jusqu’à ce qu’on ait confirmation que situation de danger. Ici, les 2 ce sont mutuellement induit en erreur en restant calme IP. Gens quittent la pièce quand ils ne peuvent plus voir l’autre (ne peuvent plus observer comp/réponse de l’autre)
La personne assume-t-elle la responsabilité d’aider?
Dans une salle d’attente à l’hôpital, on voit une monsieur s’affaisser sur son banc ; en pratique, pire attente pour perdre conscience (les gens restent là, les gens se disent que c’est pt normal, que les infirmières interviendront) Patients qui attendent se disent pt qu’ils doivent aider… non, pcq il y a des médecins/infirmières. Donc assume que ce n’est pas notre repsonsabilité d’agir, simple présence des autres influence. + il y a de gens, - il y a d’aide : diffusion de responsabilité. On attend que qq d’autre agisse. (Étudiant en médecine, qui es conscience d’être formé, elle interviendra par exemple lors d’un incidence dans le métro) Pire endroit où faire un arrêt cardiaque, salle d’attente d’un cardiologue. (Égoïste, narcissique)
La personne trouve-t-elle un moyen d’aider?
Je veux aider, mais qu’est-ce qu’on fait. Paralysie de l’action ; on est confronté à une situation et on se sent responsable, + anxiété, tandis que gens qui ont une formation et ont bcp pratiqué passe en mode automatique, donc habileté à ignorer cette paralysie. Moins psychologique, + institutionnel. X encore suffisant… on sait quoi faire, mais pas encore décidé.
La personne décide-t-elle d’aider?
Prend la décision d’aider ou pas. Je sais maintenant précisément quoi faire, mais je décide de ne pas… plein de raisons
La présence des autres
L’apathie des témoins s’explique par:
- la division de la responsabilité d’aider en autant de parties qu’il y a de personnes témoins de la situation exigeant de l’aide.
- une expression de conformisme: la norme est que personne ne bouge…
- la peur du ridicule.
La contrainte du temps
Être à court de temps diminue la probabilité d’un comportement prosocial.
Expérience très célèbre :
Y-a-t-il des traits de personnalités qui pourraient aider + à cause de qui ils sont? Y-a-t-il qq chose qu’on pourrait leur mettre en tête pour stimuler le comportement d’aide.
Approche collège qui forme éducateur + un séminaire ou on forme prêtres.
Il y a des étudiants qui veulent devenir profs.
Il y a des séminaristes (personnes perûes comme + charitables) qui veulent devenir prêtres.
Demande de donner un cours de catéchèse/morale.
+
Directeur dit «Super, vous êtes à l’heure, le
se déroulera au 1er étage »
Ou
« Vous êtes super serré dans le temps, vous
y arriverez en retard »
+
Donner un cours sur sacrements, ou donner un cours sur les bons samaritains (normes sociale d’entraide).
(6 conditions)
Pendant qu’ils montent, entendent une personne tomber violemment dans les escaliers et crier. Que font-ils?
Séminaristes ou éducateurs ne faire aucune différence.
Le contenu du cours ne fait aucune différence.
Ce qui fait une différence : à l’heure (aide +) ou en retard (aide –).
Ici, c’est un facteur situationnel : est-ce que je peux aider sans que ça me cause du trouble.
Êtres humains aide quand X inconvénients pour eux et récompenses sociales.
Les conditions physiques de l’environnement peuvent réduire la tendance à aider :
En campagne ou en ville ?
Nous sommes moins succeptibles d’être secourus en ville qu’en campagne, mais c’est principalement dû à l’effet du spectateur et à l’abondance de stimulations
Comparaison pas super approprié, pcq facteurs situationnels ne sont pas les mêmes (ex, une pers né en grande ville qui vit en village, ou pers né en village vivant en grande ville)
-> C’est donc là où on se trouve, et non où on est né.
La chaleur et le bruit
Sont des conditions désagréables qui rendent plus agressif et moins enclins à aider.
- Ces condition aversives on un effet de réduction des comportements d’assistance
- Parfois, ces variables produisent une augmentation, mais petit % des gens (pcq ressente encore + d’emptahie)
- Personnes purement empathique rares
Les états affectifs et les comportements pro-sociaux : l’Impact de l’humeur
L’état émotif
- Comment on se sent sur le moment (dynamique).
- Émotions + flexibles/fluides que les traits de personnalité.
Ex : Cinéma, film comédie avec fin joyeuse VS film mélodrame fin tragique triste.
- Gens qui sortent de la comédie aident bcp plus. Ainsi, humeur joue un rôle important.
Certain sentiment de culpabilité d’être
joyeux par rappport à une personne dans le
besoin.
- Gens sortant du mélodrame ressentent d’avantage une similarité/lien avec la personne en aide
