La psychologie de la santé Flashcards
Qu’est-ce que la psychologie de la santé?
[Très large, santé psychologique oui, mais aussi physique. Réaction face à des maladies.]
La psychologie de la santé porte sur les facteurs psychologiques, tels que la personnalité, le stress et les influences sociales, qui ont un effet sur les réponses physiologiques, et sur les comportements liés à la santé, lesquels influent à leur tour sur l’incidence de la maladie.
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Terme qu’on aime ce qu’on appelle le «biofeedback». Tout est lié dans un système circulaire, quand on change nos comportements, ont effets sur la santé, rechange les comportements, etc.
Clair que la maladie existe :
- Maladie physique (causes physiques comme virus, bactérie, toxicité, pollution)
- Maladie mentale (forme de maladie physique selon le profs. Y’a des distinctions, tels que système nerveux central. Ultimement, tout ça est physiologique, mais on peut tout de même faire la distinction).
Les gens voient souvent la maladie mentale comme qq chose de contrôlable, un signe de faiblesse psychologique
Réponses physio : comprendre impact de ses réponses.
Comportements liés à la santé : Faut regarder aspect comportementale préventif (rétention sera toujours meilleur que le traitement)
Facteurs psychologiques : On est pas tjrs conscient/responsable des conséquences psychologiques qu’on subit.
Pourquoi les gens fumes? Vaste majorité des gens pensent que c’est une maladie : affecte la santé
La psychologie de la santé doit son essor à deux causes principales
L’émergence de nouvelles maladies:
Les principales causes de décès sont désormais des maladies chroniques telles que les maladies cardiaques, les cancers et le diabète.
[ Découverte des maladies environnementales :
Maladies liées a l’environnement en terme de produits chimiques, de pollution (causes biologiques/physiques). Sont reliées à L’activité humaine, sont liées au comportement que les gens posent. C’est comme le prix qu’on doit payer vis-à-vis les comportements adoptés.
Santé psychologique émerge :
Reconnaissance de la santé/maladie mentale. Compréhension des bases bio de la santé mentale, mais pas uniquement biologique. On pointe encore le rôle e l’environnement physique/psychologique.
Visage de la santé physique/mentale a changé énormément ]
L’adoption graduelle du modèle biopsychosocial :
La santé et la maladie sont les conséquences de l’interaction de facteurs biologiques, psychologiques et sociaux.
[ Les travailleurs de la santé engloberont 3 facteurs :
Facteurs biologiques
Facteurs psychologiques
Facteurs sociaux (environnement, société au sens large (décision gouvernementale : ex vend des cigarettes)
Pourquoi société continu de vendre produits toxique..?
À quel point la politique peut décider à la place des gens?
(Crise de la pandémie COVID-19 a probablement apporter un changement suplémentaire)
Les choix qu’on fait/comportements sont en partie propres à nous, répercussions/causes sur notre santé… mais aussi toute notre environnement autour de nous (env social, gouvernement, etc) ]
Le modèle d’autorégulation du comportement lié à la maladie
- Lorsqu’une maladie le frappe, l’individu cherche à revenir à l’état antérieur, jugé plus satisfaisant.
[ Principe général de psychologie : Principe de l’homéostasie, principe de motivation.
Lorsqu’on dévie de la «normal», notre système vise à nous ramener avec ces 2 principes.
Peut importe notre niveau de «normal», l’idée de ce «normal», peut importe ce qui nous fait dévier de cette homéostasie, notre système modulera nos comportement pour nous ramener à cet état «normal».
Mais l’idée qu’on recherche le calme plat, pas vrai : certaines cherchent sensations fortes, sortir zone de confort, etc.
On veut une variation acceptable de ses choses là. ]
- Cette démarche de recherche d’équilibre suit trois étapes :
1. L’interprétation – la personne tente de comprendre le problème ;
[ (Diffère des problèmes de santé mentale : ici, fonctionne pas pour pathologie mentale et certaines physiques, pcq il y a cette idée de déni) Avant de réagir, chercher à comprendre la cause, généralement dans le but de faire la 2e étape… ]
- L’adaptation, ou coping – la personne cherche à agir afin de recouvrer la santé ;
[ Adaptation : réaction comportementale/physiologique/émotive. Comment on traire et perçoit les choses. Le concept de «copine mecanism », c’est vivre avec, pas nécessairement solutionner. (Dans le cas de la maladie physique, personne peu rarement elle-même solutionner la chose, ça pq va voir un médecin et suit traitement, donc on cope avec notre maladie, en attendant que le traitement fonctionne) – Dirige notre compoterment. ] - L’évaluation – la personne mesure l’efficacité de son adaptation.
[ On fait ce «FeedBack», le bon, ou la personne ajuste son comportement autant quelle est capable pour améliorer la partie «coping», jusqu’à ce quelle retourne à son état normale… mais certaine n’y arrive pas : deviennent non-fonctionnel (suicide, décès physique, perd combat) ]
Schéma du modèle d’autorégulation du comportement
En haut : partie plus cognitive
- Partie ou on se représente mentalement cette dynamique.
- Menace de la maladie, danger à notre capacité à fonctionner, décès, peur, etc. (Pas tout le monde qui réagis à la maladie de la même manière : relié à leur identité)
- Cause : physique, relie avec cause, mais psychologique + compliqué (s’agit de la cause perçue, cause attribuée, là ou l’influence sociale joue un rôle) – Par rapport à cette cause que la personne adoptera son comportement
- Chronologie : au veau du passé de la personne, histoire de cas (Pratique médicale meilleur quand on peut donner des infos) - Partie aussi de l’évolution de la maladie, processus.
- Conséquences : (représentation de la perception de la personne de ces conséquences + des attentes des conséquences : ex effets secondaires des médoc, pense qu’on les aura tous)
- Traitement et contrôle : Pouvoir adérer à un traitement, capacité de. Capacité/volonté/adérence. (Ex : Thérapie béhaviorale cognitive demande des personnes capables/compétentes)
En bas : partie plus comportementale
- Peur : comportement d’évitement, de retrait, dépression, anxiété -> n’aide pas la personne à moyen/long terme lorsque dépression par exemple évolue.
- Gestes que les gens poseront, bonnes habitudes de vies. Ce que les gens mettront en pratique (+ facile au gens de faire ce que l’on dit de faire, et non ce qu’on leur dit de ne pas faire)
Étape 2 : partie plus béhéviorale traditionnelle
(Coping -> évitement)
Ex : J’ai une terrible peur des ponts (presque clinique). C’est très psychologique, pont Victoria, traversera jamais, ça bouge, fait du bruit etc. Mais pont Champlain, ok, c’est plat, c’est calme, tout comme route normale quoi.
C’est une stratégie d’évitement (dire que c’est une mauvaise stratégie, c’est naïf) – Identifier les déclencheurs et les éviter n’est pas une mauvaise stratégie.
Pour les choses chroniques, ne change rien
Pour les blessures physiques.. Mauvaise stratégie.
Moins bonne stratégie qu’une stratégie rétroactive.
Le système COM-B
Pour qu’un comportement soit adopté, les trois conditions suivantes doivent être présentes:
- Capacité (physique ou psychologique)
- Motivation (intention d’accomplir le comportement)
- Possibilité (absence de contrainte dans l’environnement)
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Comportements : adérence, bonnes habitudes de vie. Lorsqu’on parle de faire certaines choses + et d’autres choses -, on parle de ce modèle.
Capacité physique : inclus qu’on soit capable de la faire physiquement. La capacité physique d’une personne inclus une progression, développement de capacité graduellement pour atteindre le niveau visé (chaque fois qu’on allonge les traitements, plus probable que la personne abandonne) - Pas de gym près de chez moi, au gym $$$$, argent facteurs de capacités physique dans ce sens. C’est l’aspect limitation : ce qu’on ne peut pas faire.
Capacité psychologique : Thérapie béhaviorale cognitive, ne peut pas appliquer chez l’enfant, pas chez tout le monde, demande un certain raisonnement, volonté : demande une certaine capacité psychologique. Si qq dépression profonde, pas capable de réalisé la ½ des choses qu’on lui demande qu’elle fasse.
Motivation : Il faut avoir des objectifs / raisons. On voit bcp des gens n’ayant pas de raisons à moyen/long terme pour leur vie. Les gens qui on des attente/esperance/objectif sont plus susceptible de suivirent un traitement que ceux qui n’ont pas ça. Optimisme probablement un facteur qui jouera un rôle avec la motivation. Médecin, facteur explication, «convaincre», on a besoin de croire afin d’adérer.
Possibilité : Revient un peu a capacité. Le fait que l’environnement puisse facilité. Ex : subvention, rend ressources/services, fournir de l’info, faire éducation pour prévention etc. Permet a personne de poser les geste et mettre en place ce que capacité et motivation lui dise de faire.
La théorie de la motivation PRIME
Un peu plus nuancé
On retrouve 2 places : processus motivationnels/psychologiqes
Processus automatiques :
Pas tjrs idée de conflits refoulés
Automatisme
+ forts besoins et envies concurrentiels (pulsions sont plus fortes que manger, dormir, etc)
Choses qui font obstacles. Quand il faut arrêter de faire certaines choses, aspect pulsionnel peuvent bloquer : c’est des contre-pulsions
Processus réféléchis :
Raisonnement
Prise de décision
Peser pour/contre
Partie sociale, ce que la personne a développée comme objectif (Trouble du comportement alimentaire : anorexie, question de croyances, pas purement neurologique) Ce qui est positif/négatif
Plans prévisionnels : planification, là ou but/objectif jouent rôle particulier. On planifie ce comportement, on fait des étapes «faut apprendre à marcher avant de courir » Partie plus rationnelle, mettre en place objectifs atteignables.
Y’a pas un meilleur que l’autre
La roue du changement de comportement
Quand on met modèle COM-B et PRIME ensemble = roue du changement de comportement.
Nous parle de différents niveau de facteurs.
Au centre, on a la personne en elle-même
Plus on s’éloigne, plus on a des niveaux à l’extérieur de l’individu.
À l’extérieur de la roue, on a les niveaux gouvernemental, instituionnnel, politique, etc.
Donc partie des facteurs au niveau gouvernemental, politique, puis d’autres qui dépendent de l’individu en tant que tel.
Le problème de la roue : Faut faire correspondre à des niveaux supérieurs. Veut faire comprendre comment certains aspects de la personne s’accorde avec aspects + extérieurs (ce pq certains trucs apparaissent 2x, comme physique au milieu)
2e couche à partir du milieu : motivation / capacité / possibilité -> Modèle COMB-B
Modèle essaie de faire comprendre que certains facteurs au niveau internes (individuels) peuvent être mis en correspondance avec facteurs (institutionnels) sociaux/gouvernementaux (santé publique, investissements, formations médecins, campagne publicitaire, taxation cigarettes/alcools…)
Techniques de changement du comportement appliquées au tabagisme
Ce sont des facteurs qui interragissent ensembles : c’est 1 rélité, 1 personne.
Capacité : Équiper la personne avec des capacités (donner à la personne des formations, apprentissages, outils, routines, straétigies qui peuvent favoriser leur traitement (ex : tabagisme) )
Raisonnement, peut importe type de traitement utilisé, capacité reste avec nous à long terme.
Ce qu’on voit de plus en plus : impliquer la personne dans le choix (décision) est facteur important pour l’estime de soit et leur contribution, renforce notion de capacité.
Plus on a d’info sur ce que la personne a déjà essayer, ou médoc qu’ils utilisent, mieux c’est.
Motivation : Facteurs d’estime de soi. Pourquoi? D’où vous venez? Vos objectifs?
Utilisation de tests pour diagnostiquer, mais aussi pour confronté les patients avec des réalités objectives.
Au début, bcp + difficile de faire les choses, mais avec le temps, devient plus facile (effet boule de neige)
Félicitations. Ex : SAAQ système de points, punis pour leur comportement (ici punition a une certaine efficacité), prix assurances par rapport aux accidents/tickets. Quand paye moins chers pour bon comportement conductieur comme récompense.
Psychothérapeute, médecin donne bcp de félicitation, renforcement social, feedback.
Puni ça marche a court terme, mais renforcement (récompense) fonctionne bcp plus
Possibilités : Ça reprend un peu les 2 autres.
D’avantage la partie de ce qu’On va faire pour se donner accès a des choses, les rendre disponibles.
C’est beau de dire au gens de manger mieux, la réalité c’est de dire que de manger mieux coûte cher.
Presque + coûteux pour une personne pauvre de se nourrir (doit acheter plus petit quantité, pas accès a capacité de planifier correctement) que gens classe moyenne qui peuvent manger mieux (achète grande quantité (Costco) revient moins cher)
Pointer la personne vers des ressources (CLSC, thérapie) adresser questions fondamentales, barrières sociales.
Definition du stress
- Sentiments négatifs éprouvés devant l’incapacité de s’adapter à son environnement.
- Les chercheurs ont remarqué que:
- les gens réagissent différemment aux mêmes événements.
- chez un individu, le même événement peut entraîner des réactions différentes d’une fois à l’autre.
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Le stress se reconnaît aussi sous le nom de : Syndrome général d’adaptation
Le concept de stress moderne est l’idée que le stress c’est lorsqu’on est en train de s’adapter : Lorsqu’il existe une pression (interne) de l’environnement sur nous.
Quand pression exige de nous une réaction (pas toujours le cas), souvent déviation significative et on réagira.
Parfois faut faire plus que le percevoir
Il faut activement poser des gestes
Stratégie pour faire face au stress / éliminer
Stresser est bcp plus traditionnellement des choses désagérable, MAIS aussi chose agréable (on dit E-Stress, moins dommageable, mais on doit tout de même réagir, par exemple ; une promotion)
Énormes variations individuelles quant au stress.
Variations aussi dû à l’état émotif, énergétique, physiologiquement, changement situation, etc.
Les causes du stress
- Pour Holmes et Rahe (1967), l’intensité du stress dépend de l’importance du déséquilibre engendré par les événements extérieurs ou du réajustement nécessaire pour y répondre.
- D’autres recherches démontrent que:
- la personnalité des individus influe sur la façon dont ils réagissent à un événement donné.
- un événement est stressant dans la mesure où l’individu le perçoit comme tel.
- l’effet des événements stressants peut être cumulatif.
- les événements positifs peuvent aussi engendrer un stress, accompagné toutefois d’une détresse moindre que dans le cas des événements négatifs.
- les situations comportant de l’ambiguïté sont souvent plus stressantes.
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Idée que le stress est une perception
Quand on parle du stress, on parle pas du stresseur. Ce qui compte n’est pas le stresseur (qui est objectif et que l’on peut mesurer) -> C’est une affaire de perception
Un stresseur est à quel point on se déplace par rapport au niveau idéal qu’on veut maintenir.
Personnalités différentes, ex ; de type A et de type B.
Cumulation : Stress a aussi effets physiques. Les effets du stress sur le corps sont assez bien connus, c’est plus commun à travers personnes. (On fait face a qq chose qui nous déplaît et nous force a réagir) – Les effets de dure pas très longtemps (syst dopaminergique)
S’enfuir/comportement d’évitement peut ne pas être une mauvaise réponse (survie, réponse combat/fuite)
3 phases :
Phase d’alerte (mobilisation)
Phase de résistance (corps vit avec ce stresseur, continu a produire a libérer hormones que l’on devrait pas à long terme– cancer, diabète, inflammation). Accumulation de stresseurs
Phase d’épuisement (mourir physiquement / psychologique, peut plus gérer tout ce stress)
Positifs/négatifs : bonnes nouvelles peuvent être tout aussi stressantes que mauvaises nouvelles (Tourette, tics = stress -> intensification des symptômes)
Les stress n’est pas une pathologie, c’est normal, c’est la nécéssiter de devoir d’adapter (continuellement chez l’humain)
Croyances qui nous protègent du stress
Le contrôle perçu :
Croyance en sa capacité d’influer sur l’environnement
[ Dans la mesure ou la personne a une bonne estime de soi -> Locus de contrôle (interne/externe)
Interne : sont plus stressés par ce qu’ils leur arrivent est dû à eux-mêmes. Responsabilise plus, état + stressant à court terme, pcq on est en charge.
Externe : stress – intense, pcq ce qu’ils leur arrive est du a des causes extérieures. ]
Le sentiment d’efficacité personnelle:
Croyance en sa capacité d’accomplir certaines actions pour obtenir les résultats désirés
[ Locus de contrôle interne plus souvent associé au sentiment d’efficacité personnelle -> ces gens vont déployer les efforts pour passer à travers. Notion de contrôle perçu. À moyen/long terme, tout ça protège le corps du stress, - dommageable. ]
Deux formes d’adaptation au stress
La recherche de solutions au problème:
nous tentons de trouver une réponse constructive afin d’éliminer la source de stress.
[ L’idée de gérer le stress n’est pas de le gérer en tant que tel et de vivre avec, mais de la solutionner (régler).
Le leadership axé sur le problème est la même stratégie que solution de problème en santé.
Veut dire de mobiliser et de faire des efforts jusqu’à ce qu’on ait solutionné le stresseur.
Le cancer -> la recherche… pas le patient.
Y’a des choses en terme de prévention qu’il peut faire. Mais, quand on a le diagnostic, quon prend médoc, on va plus vers…. La régulation émotionnelle ]
La régulation émotionnelle:
nous adaptons des stratégies centrées sur nos émotions.
[ L’idée de vivre avec, de la manière la moins corporellement/émotionnellement dommageable.
Évitement / méditation / thérapie groupe / visualisation positive, etc ne sont pas des traitements médicaux, éliminer tumeurs, ces autres choses sont de la régulation émotionnelle.
Il a aussi des straétégies inconscientes, mais ce n’est pas ce que je viens d’écrire plus haut (choses qu’on peut faire consciemment)
Pour des stresseurs auxquels il n’y aura jamais de solution… :(
Partie devient particulièrement importante pour minimiser l’impact. ]
La personnalité et l’adaptation au stress
Optimisme:
[. Optimisme : vers a moitié plein
Pessimiste : vers a moitié vide
C’est un trait de personnalité en soi, notre vision du monde.
Optimisme par rapport a soi même ; ex sentiment de compétence.
Associé a une espérance de vie plus longue en général. ]
Espoir et curiosité:
[. Espoir et optimise -> Synonymes
Curiosité : Idée d’état d’actualisation.
Maslow, pyramide des besoins. État d’actualisation, tout les besoins disparaissent ; caractériser par une certain naïveté.
Genre d’attitude (ex comme l’état d’émerveillement chez les enfants ; au Zoo devant girafe WOW) sentiment de contemplation, espérance fondamentale, renouveaux…
Chose qui change chez les enfants (vision du monde change)
Aimer faire la chose pour la chose
Très très bénéfique pour la gestion du stress ]
Résilience:
[ Se mesure à travers la résistance.
Résilience psychologique et physique.
(3e phase d’épuisement diapo 12)
Capacité à endurer ]
Personnalité de type B:
[ Type A : + problématique
Type B : + de chance qu’il y ait moins d’impact, prendre ça avec un grain de sel ]
Le soutien social
[ Les gens qui vivent seuls vivent moins longtemps que les gens qui vivent en groupe.
Oui, y’a des stresseurs à vivre avec quelqu’un, mais les gens s’adaptent. Stresseurs sont devenus réduits avec le temps (enfants ont quittés la maison, on ne travaille plus, etc)
Y’a une progression : a long terme, l’Interraction/contact sont positifs. ]
- Le soutien nous protège des effets néfastes du stress.
- Son impact se traduit sur le plan:
- émotionnel: l’empathie des autres, leur amitié, leur affection ou leur amour.
[ Toute les choses qui font que les gens nous valorisent, augmentera notre estime de nous-même par le regard positif.] - matériel: l’offre de biens ou de services et diverses formes d’entraide.
[ Facture d’internet par nous même ou une facture d’internet a deux est la même.
Le partage des ressources/collaboration.
La communauté est plus efficace si cohésion, mieux que de vivre seul. ] - informationnel: les ressources offertes aux personnes ou les informations qui les aident à s’évaluer.
[ Aspect spétialisation (profession) et de ressources.
Plein de programmes aident personnes âgées/isolées -> réduit sentiment d’isolation.
Accès à l’info vient avec l’accès aux autres.
On a accès aux bénéfices de ce que les autres savent. ]
- émotionnel: l’empathie des autres, leur amitié, leur affection ou leur amour.
Le processus d’adaptation au stress
A) Commence par perception : début
B) Évaluation/interprét : stresseurs
C) + i) Ce que la personne sait faire/doit faire
D) Impact sur le style d’adaptation individuel
(Habitudes dans la façon de gérer des stresseurs)
E) Personnalité type A / B, introversion / extraversion
F) Ressources : argent + temps
G) Le réseau social (récemment imigrés pas même situation que les natifs, pas même expérience) Personnalité peut avoir impact sur.
H) Tous autres facteurs négatifs
(Réseau social est un +, mais c’est aussi un stresseur)