Lavielle - autisme Flashcards

1
Q

1er cas d’autisme décrit par Léo Kanner en 1943

A

Donald T

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2
Q

comment est définie la triade autistique dans la CIM-10 (bientôt CIM-11) et DSM-V (qui en a regroupé 2)

A

1) troubles des interactions sociales
2) troubles de la communication restreints
3) activités stéréotypées, répétitives et intérêts

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3
Q

Troubles du Spectre de l’autisme

A

troubles définis au sein du DSM-V. Ils sont définis comme une affection neurodéveloppementale d’expression variable et caractérisée par des difficultés :
- Dans les domaines de la communication et des interactions sociales
- Des comportements, des intérêts, des activités à caractère restreint ou répétitif.
- Apparaissant au cours du développement (notion d’apparition progressive des signes, non visibles
tout de suite)
- Les symptômes limitent et altèrent le comportement de la personne

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4
Q

critères diagnostiques, On retrouve des difficultés persistantes sur le plan de la communication et des interactions sociales (il faut avoir 3 des 3 symptômes pour répondre à ce critère) :

A
  • Réciprocité socio-émotionnelle,
  • Déficit dans la communication non-verbale,
  • Difficulté à développer, maintenir et comprendre des relations sociales
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5
Q

4 caractéristiques des comportements stéréotypés

A
  • Utilisation de mouvements répétitifs/stéréotypés, utilisation particulière du langage
  • Insistance sur la similitude, aux routines et rituels verbaux ou non verbaux
  • Intérêts restreints, limités ou atypiques
  • Hypo ou hyper réactivité à des stimuli sensoriels ou intérêts inhabituels envers des éléments sensoriels de l’environnement
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6
Q

diagnostic différentiel de l’autisme

A

les perturbations ne sont pas mieux expliquées par une déficience intellectuelle ou un retard global de développement

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7
Q

Un des apports du DSM-V est que le diagnostic doit également spécifier :

A
  • Le fonctionnement intellectuel (précisé dans le DSM-V) : tests psychométriques
  • Décrire le profil verbal et non verbal du patient
  • Le développement langagier
  • Le niveau de langage réceptif peut être inférieur à celui du langage expressif dans les TSA
  • Si le TSA est associé à une condition médicale (épilepsie, syndrome génétique) ou environnementale (alcool, ec.)
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8
Q

% des causes génétiques pour le TSA

A

autour de 50%-60%

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9
Q

causes environnementales avérées pour le TSA

A

Avérées

  • Exposition prénatale infectieuse : à la rubéole, au cytomégalovirus (attention ++ portée aux femmes
    enceintes) .
  • Exposition prénatale à des produits toxiques : Thalidomide, acide Valproïque
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10
Q

2 déficits de traitement de l’information de l’autiste

A

cohérence centrale (focalisation sur le détail, qui est un déficit de perception et non de sensation)

théorie de l’esprit

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11
Q

pourquoi l’enfant autiste a du mal à catégoriser, programmer, s’organiser, anticiper, changer de tâches ou d’activités ?

A

à cause d’un déficit des fonctions exécutives

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12
Q

d’après Pierce et al,2012, les enfants autistes préfèrent regarder des formes géométriques qui bougent ou d’autres enfants qui bougent?

A

des formes géométriques

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13
Q

apprentissage

A

acquisition de savoir-faire, c’est-à-dire le processus d’acquisition de pratiques, de connaissances, compétences, d’attitudes ou de valeurs culturelles, par :

  • l’observation
  • l’imitation
  • l’essai
  • la répétition des essais ou exercices.
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14
Q

APPRENTISSAGE IMMEDIAT OU PAR INSIGHT

A

ne procède pas par essai/erreur, on observe la situation et les objets à sa disposition et découvre directement la bonne procédure.

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15
Q

APPRENTISSAGE PAR OBSERVATION ET PAR IMITATION

A

Ils impliquent 3 éléments : un modèle, un observateur (ou apprenti) et les stimuli de l’environnement physique ou social. Il est observé chez l’homme et l’animal.

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16
Q

apprentissage avec exercice

A

Ce qui va participer à l’apprentissage, c’est la connaissance du résultat qui va lui être associé = le feed-back
Le renforcement viendrait donc moduler la pertinence des apprentissages.

17
Q

apprentissage massé

A

situation où l’individu apprend pendant une durée définie sans interruption.

18
Q

apprentissage distribué

A

situation où l’individu apprend pendant une durée définie avec interruption.

19
Q

modèle de Denvers :

A

concerne les tout-petits, modèle de PEC précoce. Il y a une proposition de langage restreint : on s’adresse à l’enfant avec des énoncés courts pour qu’il puisse s’approprier des modèles, accéder à des énoncés.

20
Q

*Programme Prompt

A

programme d’indiçage pour favoriser le développement du langage et de l’articulation. Indice le point d’articulation, le positionnement de la mâchoire, des lèvres, de la langue.

21
Q

L’ABA

A

Ce n’est pas une méthode, mais une approche scientifique. Développée par Lovass pour les enfants autistes, mais au début on
trouvait des renforcements négatifs → a été réadaptée et réajustée depuis.

22
Q

Le PECS :

A

échange d’images. Forme d’apprentissage par modification de comportement. Faire en sorte que la personne ait un outil de communication qui lui permet d’être comprise. Permet de faire des demandes, des descriptions (différentes étapes)

23
Q

MAKATON

A

Programme d’éducation au langage, constitué d’un vocabulaire fonctionnel sous forme de signes et de pictogrammes qui offrent une représentation visuelle des objets et concepts et facilitent la communication. 8 niveaux

24
Q

programmes d’accompagnement adultes

A
  • programmes TEACCH et les principes de l’ABA sont utilisés pour favoriser l’insertion professionnelle
  • Études universitaires possibles
  • Possibilités de job coaching (SEPHORA, Nocibe etc)