La ville, phénomène économique Flashcards

1
Q

Offre et demande

A
  1. élastique, il faut trouver le juste milieu
  2. variation de réaction d’un élément par rapport à un autre
  3. lorsque le $ change, quelle sera la rapidité du changement de l’offre ou de la demande
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2
Q

Demande (inélastique et offre élastique:)

A

hausse de prix entraine baisse relative des quantités demandés.
quand le bien n’a pas ou très peu de substitut (lait, blé, farine, électricité)

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3
Q

Demande (très élastique et offre inélastique: )

A

hausse du prix entraine forte diminution de la consommation. demande baisse beaucoup plus vite (bien pas si essentiel ou substitut)

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4
Q

Demande excédentaire

A

Les maisons à Londres. Offre excédentaire: subventionner un bien au détriment de sa demande

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5
Q

économie yoyo

A

calgary (trop axé sur l’économie naturelle

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6
Q

court terme en économie

A

période ou il est impossible de modifier les facteurs fixe de votre production (ex: usine, impossible à grandir, on fait avec)

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7
Q

offre en immobilier

A

varie selon le produit.. condo maison

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8
Q

offre résidentiel

offre commercial et industriel

A

Plus souple

plus rigide

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9
Q

offre de long terme

A

détermine le caractère du marché (plus l’offre se rapproche de l’horizontale plus les 4 composantes fonctionnent (vice versa): sol, main d’ouvre, matériaux et capitaux)

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10
Q

concurrence pure et parfaite

A

très rare, même voir impossible (marché de fruit et de légume se rapproche le plus)

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11
Q

Concurrence pure

concurrence parfaite

A

personne n’a de pouvoir sur les prix

connaissance parfaite du produit qui est mis en vente

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12
Q

Point d’équilibre de l’entreprise

A

cout de production de la dernière unité= cout de revenu marginal de la dernière unité

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13
Q

monopole

A

seule à détenir/produit bien ou service (seul à avoir des terrains à vendre sur ce terrain là) Peut jouer sur les prix et les quantités. Rareté en jouant sur les quantité

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14
Q

économie

déséconomie

A
  • réduction de cout de production de bien ou de service

- augmentation de cout de production du bien ou du service

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15
Q

économie d’échelle

A

plus grande population fait diminuer le cout unitaire d’un produit. Bien coute moins cher à produire lorsque ce bien produit ou vendu augmente. (découle de la taille du niveau de production)
–>baisse de prix avec compétition

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16
Q

Économie d’échelle + cout de transport…

A

aide à la prise de décision de la production dans un lieu

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17
Q

Cout de production faible + cout de transport faible…

A

centralité (pourquoi les entreprises et les individus s’installent dans les grands centres urbain) opportunité d’emploi

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18
Q

Cout fixe et cout variable…

A

varie d’une industrie à l’autre. Joue dans la croissance des villes.

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19
Q

cout de transport

A

produire, agencer les intrants (main d’oeuvre, capital, sol) produire le bien et expédier le produit final sur le marché

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20
Q

cout supérieur

A

avantage supérieur

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21
Q

Économie d’agglomération

A

réduit les couts et procurent des gains de productivité

22
Q

Économie de concentration sectorielle (de localisation)

A

propre à un secteur d’activité ou un industrie

  • économie externe: source de matière première, avantage de transport, main d’oeuvre abondante, infrastructure publiques
  • déséconomie externe: épuisement de ressource, encombrement, pollution, rigidité de la main d’oeuvre
23
Q

Économie d’urbanisation

A

les avantages de la grande ville (main d’oeuvre spécialisé) grande université

  • économie externe: main d’oeuvre et service spécialisés,
  • déséconomie externe: augmentation des couts, maraudage d’employés, pollution
24
Q

Fonction de production

A

la quantité produite est fonction d’une combinaison de facteur de production
Q=f(k(capital)l(travail)z(autres facteurs))

25
Q

productivité

A

tient en compte valeur ajouté par rapport à chaque heures investit (rapport entre production totale et facteurs de productions)

26
Q

Gains de productivité

A

base de développement économique puisque baisse les couts de production et élargie les frontières des possibilités de production

27
Q

explication des économies d’urbanisation

3 rép.

A
  1. entreprise qui se situe dans un centre urbain (main d’oeuvre spécialisée, accès à l’information, fournisseurs plus près et clients potentiel
  2. centralité (détermine sa localisation en fonction du marché, attiré par les grand ville)
  3. biens publics (université)
28
Q

deux facteurs qui expliquent l’urbanisation

A
  1. LOI D’ENGEL= taux des revenue par capita, changement dans les structures de consommations.
    ⇒ Au fur et à mesure que le revenu augmente par capita, la consommation des gens changent (société de subsistance (quête de nourriture) à société de consommateur (quête de nouveaux besoins … l’art, la santé, l’éducation, etc.)
  2. DEMANDE POUR LES PRODUITS AGRICOLES INÉLASTIQUE = Élasticité–Revenu (ER) = Variation de la demande en % / Variation du revenu en %
    ⇒« Bien inférieur » : Lorsque ER de la demande est x
29
Q

deux grandes formes d’explication

A
  1. LOI D’ENGEL = Au fur et à mesure que le revenu augmente par capita, la consommation des gens changent (société de subsistance (quête de nourriture) à société de consommateur (quête de nouveaux besoins … l’art, la santé, l’éducation, etc.)
  2. CITIES FIRST= les villes font vivre les campagnes. Toute l’organisation de l’agriculture desserrent les urbains → plus les villes se développe, plus il y a de monde à nourrir, plus sa développe l’agriculture
    •Travaille agricole est né autour de la ville (pour subvenir au habitant de la consommation des villes)
    •Campagne et ville font 1 (la poule ou l’œuf)
    •Les villes n’ont jamais éliminé le vieux travail (les campagnes sont les produits des villes
    •L’économie des villes font les importations from the rural world. Et réinvente le travail urbain pour subvenir au besoin de la ville
30
Q

L’urbanisation dans le monde

A
  • 2011-2012 la population est rendue majoritairement urbain
  • Croissance urbaine chute, mais reste fort dans les régions moins développées
  • Pays développer on dépasse le 80% du taux d’urbanisation
  • Certains sont rendus à 90% d’urbanisation
  • Tendance universelle = de plus en plus de gens d’agglomère dans des villes
  • Plus on vie dans un monde ou la concurrence est forte plus, il faut couper dans des coups, plus on va avoir tendance à se regrouper
  • Inde et Chine compte le tiers de la croissance démographique mondiale entre 2000 et 2005 à eux seules.
31
Q

Canada 2001

A

→ Régions urbaines : 97% des communautés s’y retrouve
→ Régions intermédiaires : 71% des communautés se retrouve dans les régions en croissance
→ Région rurale voisine : 63% des communautés se retrouve dans les régions en croissance

32
Q

courbe de cout moyen de divers services municipaux

A

Cout d’un service urbain varie selon la nature de ce service : cout de production par capita d’un service tend à diminuer jusqu’au minimum en raison des économies d’échelles, puis augmente au-delà d’une certaine taille urbaine (50 000 et +)

  • Service avec couts fixes prédominant (ex. métro) connaissent une diminution des couts unitaires
  • Services avec couts divisibles (ex. les biblio.) présente cout unitaires invariables
  • Certains Services présente structures de couts avec plusieurs minima et maxima
33
Q

Taille urbaine et cout des services

A

Ne peut pas se prononcer si on n’a pas lancé un objectif pour la ville. Qu’est qu’on entend de optimum pour une ville? Qualité de l’air, tranquillité… Notion de optimum n’est pas la même que celle de notre voisin.

−Point de maximisation des profits pour une firme privé ((Point ou le revenu additionnel est = au cout marginal de production))
−Entreprise publique (une ville) : objectif n’est pas nécessairement le profit

34
Q

ligne dans un graphique

A
  • Ligne droite : structure de cout proportionnel, caractérise bien et service qui peuvent être découper en petit structure. Peut de cout fixe. Plus de cout variable. (Bibliothèque, aréna,) proportionnel à la population.
  • Courbe en bosse de chameau : plusieurs min et max. Ajuste au fur et a mesure en modifiant la partie fixe de la production (usine qui n’est plus suffisante, etc.)

•Courbe qui diminue : fait d’un bien et d’un service ou les cout fixe son très élevé et ils ne sont jamais finit à rentabiliser, plus rare + dans les grande villes. (les métro, autobus, tramway) - 1 millions (seuil d’habitant qui ne vaut pas la peine d’avoir un métro)
- ville= optimiser, faciliter le mode de fonctionnement au niveau des résidents et des producteurs.

35
Q

Défi de l’urbanisation

A

− Ville idéale entre 500 000 et 1 millions d’habitant.
− En moyenne les villes qui ont connu la plus forte croissance sont les villes entre 100 000 et 1 millions d’habitant (villes qui se sont développer le + ville, ces villes représente les avantages les plus intéressant (qualité de vie, cout du sol, etc.)
− En haut 1 millions : trop de problèmes
− En bas de 500 000 : pas assez de gens pour une entreprise qui veut s’installer (consommateur, etc.)
− 1995 : 45% en ville
− 2015 : 55% en ville (36 mégalopoles compteront + de 8 millions d’habitants)

36
Q

Quatre défi pour les villes

A

1.la mondialisation de l’économie
Mouvement d’urbanisation est nourrie par l’économie. Il n’est pas porté partout par le dynamisme économique

2.la ségrégation sociale et spatiale
Dans un monde ou l’urbanisation et la féminisation croissante de la pauvreté iront de pair, comment enrayer le processus de ségrégation déjà de pair aux États-Unis? « Gated communities » : vivre qu’avec leur semblable, en refusant les charges et les devoirs de solidarité.

3.une urbanité
Comment domestiquer la croissance ou plutôt l’exposition de la mobilité? Mode de transport, nouvelles technologies dans le cadre du DD.

4.une gouvernance urbaine démocratique à inventer
Une plus grande transparence et une démocratie des institutions.

37
Q

Contraintes pour le développement urbain

A

Contraintes économiques et financières du développement urbain influence le développement sur le processus d’urbanisation
Actuelle la moitié de la population mondiale vivant en ville a été dépassé

38
Q

Pays développé

A
  • 80% de la pop vivent en villes
  • Développement qualitatif : augmentation du nombre de mètres carrés nécessaires à chaque habitant, travailleur ou résident
  • déplacement entre ou à l’intérieur d’agglomération
  • Appauvrissement relatif des centres en Frances, certains retours des populations aisés dans les villes nord-américaines
39
Q

Pays en développement

A
  • diminution très nette des revenus des centres, véritables crises des centres urbains
  • pop des villes augmentent rapidement
  • nombre de nouveau urbain est de 70 millions par an
  • grandes disparités de pays en pays
  • Urbanisation rapide des pays en développement est un phénomène transitoire et non exponentiel
40
Q

trois observations à faire sur les pays en développement

A
  1. Grande différence de pays en pays. Il ne faut donc pas établir de généralité sur le taux de croissance de la population (Chine vs Afrique) et sur le réservoir de population rurale
  2. Urbanisation rapide des pays en développement est un phénomène transitoire et non exponentielle
  3. Ce ne sont plus les grandes villes qui se développent le plus rapidement. La croissance urbaine aujourd’hui se fait dans les villes de 100 000 habitants à 1 million
41
Q

Courbe identique

A

revenu par habitant augmente avec la taille de la ville

42
Q

Facteurs explicatifs de la productivité des villes

A
  1. Bonne gestion
  2. Environnement de qualité
  3. Bonne gestion de transport
  4. Maitrise de l’étalement urbain
43
Q

Taille effective du marché de l’emploi

A
  • point de vue du travailleur

- Point de vue de l’entreprise

44
Q

la productivité est expliqué par ….

A

la taille effective du marché de l’emploi avec élasticité de 0.2. → Augmente la taille effective du marché de l’emploi de 10%, on augmente la productivité de 2%

45
Q

Taille effective du marché de l’emploi est expliqué par

A

1) taille totale du marché de l’emploi (taille de la ville) avec élasticité de 1
2) la rapidité d’accès (aux centres d’emplois) avec élasticité de 1.6
3) étalement urbain avec élasticité de -1,2.

46
Q

Le phénomène d’étalement urbain et la croissance des villes

A

Facteurs géographiques, sociaux et sociétaux, difficulté à aboutir à une qualification de ce phénomène puisque la conclusion varie.

47
Q

Le développement des villes dans le monde

A

Depuis 20-30 ans, baisse relative des taux de croissance urbaine comparés à ceux des décennies précédentes. Encore plus flagrant si on la raisonne à périmètre constant
Outre ces formes globales, l’expansion périphérique est très divers : habitat, mode de peuplement, processus de protection de bâti, type de construction, catégories sociales concernées (géo, socio et politique diffèrent)

48
Q

Ce qui se ressemble dans le processus d’expansions (influencé par contexte géographique et culturel)

A

• Les métropoles des pays en développement
Urbanisation informelle des périphéries (occupations illégales de terrains, etc)
Périurbanisation résultant d’un développement planifié (quasi-ville satellites)
Mouvement de déconcententration des classes aisées en périphérie lointaine
• Grandes métropoles des pays industrialisés
Extension urbaine éloignée et discontinue liée à la diffusion de l’usage automobile
Développement par l’habitat individuel

49
Q

Ménages qui quittent les centres villes et s’éloignent un peu plus :

A

1) foncier moins cher
2) accéder à la propriété
3) offre faible de quartier denses et d’habitat collectif
4) représentation de maison individuelle au niveau de nos sociétés
5) exigence accrue en matière de confort

50
Q

deux autres facteurs qui expliquent l’urbanisation

A
  1. Productivité agricole
    Augmentation de la productivité agricole + Changements dans les structures de consommation + Diminution de la main d’oeuvre agricole en %
    ⇒Déplacement de main s’œuvre agricole vers d’autres secteur économique favorise la création de milieu urbain.
  2. La ville versus la campagne
    Δ+ Revenu → Δ+ Demande de biens urbains → Urbanisation → Δ+ Demande de terrains urbains → Δ+ Prix fonciers urbains
    ⇒ Salaire supérieur en ville qu’en campagne, sens rationnel des gens,