la théorie de la déviance culturelle Flashcards
la première école : le contexte
- modernité et développement des grandes technologiques (mouvement des campagnes vers les villes)
- apparition + en + des inégalités sociales et des quartiers défavorisés
- hausse de la criminalité associée - nouveau sujet d’étude (assimilation et immigration)
CONSTAT : le taux de criminalité n’est pas le même d’un quartier à l’autre
le constat de la première école donne lieu au concept de :
zones centriques : représentation spatiale du développement urbain et de l’organisation sociale
les villes se développe autour d’un quartier d’affaire central
les zones centriques (5)
- le quartier des affaires (coeur de la ville, concentration des activités économiques)
- le quartier de transition
- la zone d’habitation ouvrière (densité de population + élevée)
- la zone résidentielle (classe moyenne à élevé)
- la zone de banlieue (habitants avec revenu plus élevé)
le quartier de transition
- niveau de criminalité plus élevé
- mélange résidentiel et commercial
- forte désorganisation social et physique
- création d’un environnement propice aux activités criminelles (instabilité économique, manque de cohésion sociale, présence de population diverses et transitoires)
la première école : l’étude
- étude de la surconsommation de crimes dans les quartiers défavorisés
- constat : ensemble de changement trop rapide contribue à désorganiser la société (individu pas le temps ni ressources pour assimiler nouvelles normes sociales à leur nouvel env.)
- la solution : un objectif commun (avoir une société bien organisée et structurée)
la seconde école
impact des facteurs sociaux de désorganisation sociale sur la criminalité
- pauvreté
- instabilité résidentielle
- hétérogénéité ethnique
la seconde école : objectif
comprendre comment les caractéristiques des quartiers influencent le comportement criminel
- le taux élevé de criminalité associé aux quartiers d’instabilités sociales et à l’effondrement des institutions sociales
- l’approche souligne importance d’une structure commune et sociale pour la prévention de la criminalité
la seconde école : nouvelle culture
pas simplement à l’origine ou localisation géographique ou une classe sociale, mais ensemble d’individu qui :
- interagissent entre eux
- entretiennent une passion ou un intérêt qui les rassemble
- de manière à encourager sa répétition
- créant un sentiment d’appartenance significatif
la seconde école : l’étude
individu et passage à l’acte individuel. dans cette perspective on adhère à une culture qui normalise sa pratique de manière à expliquer son passage à l’acte
culture qui normalise sa pratique de manière à expliquer son passage à l’acte : dualité
dualité entre le conformiste et l’anticonformisme
maintien de l’appartenance à une sous culture - l’association différentielle
- tout type de comportement est appris qu’il soit légitime ou criminel
- cet apprentissage se fait dans de petits groupes informels lors de situation et dans un contexte spécifique
- ces apprentissages doivent être transmis par une personne significative qui aura un impact sur l’individu
joindre un sous groupe / sous culture
- manque de connaissance de la norme partagée par la majorité
- intérêt envers une pratique d’une sous-culture
- exposition à une pratique marginale
comment quitter la sous culture
confrontation avec les attentes de la majorité
la seconde école : point tournant de la théorie
obligation d’avoir la présence de l’autre / du groupe
la seconde école : cassure avec les théories de la tension
théorie de la tension : expliquer le recours à la criminalité par une volonté individuelle d’atteindre des objectifs sociaux
ICI : l’adhésion à un groupe qui partage un ensemble d’idée est fondamentale