la mémoire sémantique Flashcards

1
Q

c’est quoi un concept?

A

c’est une représentation mentale générale et abstraite qui permet de catégoriser les objets.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

c’est quoi la définition?

A

contrairement au concept, la définition est une description verbale de la représentation mentale

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

c’est quoi une catégorie

A

c’est un regroupement d’objets concrets qui illustre un concept. ce terme est souvent utilisé comme un synonyme de concept.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

pourquoi les concepts sont important?

A

s’il n’y avait pas de concepts, chaque objets auraient un nom propre, ce qui pourrait devenir complexe à gérer mentalement.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

quels sont les règles de bases du concept?

A

il peut varier en précision, un concept pourrait être flou pour la population générale, mais pas pour un expert. le concept peut englober plusieurs choses.
ex. animal/mammifère/chat/siamois.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

nomme les 5 propriétés de la catégorisation

A

1.vise à réduire la complexité de l’environnnement
2. permet d’identifier les objets
3. réduit le besoin d’un apprentissage continu
4. aide à déterminer les actions appropriées
5. organise et relie les classes d’objet

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

c’est quoi une règle logique?

A

vu que les objets possèdent plusieurs dimension, la règle logique va relier les valeurs de ces dimensions pour définir un concept.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

nomme les 4 types de règles logiques

A

1.conjonctive
2.disjonctives
3.conditionnelle
4.bi-conditionnelle

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

explique la règle conjonctive (ET)

A

cette règle utilise la relation logique ET pour relier des attributs du stimulus. tout les attributs doivent être présent

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

explique la règle disjonctive (OU)

A

cette règle utilise la relation logique OU pour relier des attributs. un seul attribut doit être présent.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

explique la règle conditionnelle (SI ALORS)

A

cette règle utilise la relation logique SI ALORS pour relier les attributs. il y’a une relation unidirectionnelle entre deux attributs

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

explique la règle bi-conditionnelle (SI ALORS ET INVERSEMENT)

A

cette règle utilise la relation logique SI ALORS ET INVERSEMENT, pour relier des attributs. il y’a une relation bidirectionnelle plus complexe que la règle conditionnelle.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Explique l’étude de Bourne (1970)

A

il voulait savoir si les 4 règles avaient la même difficulté. il va demander de aux sujets de dire si le stimulus est positif ou négatif. les sujets réussissaient la tâche s’ils reconnaissaient la règle ou s’ils donnaient la bonne réponse plusieurs fois d’affilé.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

donne l’ordre de difficulté des règles

A
  1. conditionnelle
    2.conjonctive
    3.bi-conditionnelle
    4.disjonctive
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

pourquoi certaine règles sont plus dures que d’autre?

A

selon la théorie des fréquences, plus un attribut apparaît fréquemment dans la catégorie positive, plus il est facile à identifier.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

V/F: les catégories naturelle ont des frontières logiques et définies

A

faux, elles sont floues et elle sont influencé par le contexte et la culture

15
Q

explique l’étude de labov (tasse/bol)

A

il voulait savoir si l’identification d’un objet changeait selon le contexte. pour ce faire, il va montrer un stimuli variant selon la longueur et la largeur et va demander au sujets d’imaginer de la purer dans les contenants. ill va déterminer que l’identification dépend en effet du contexte.

16
Q

nomme les trois types de catégories

A

1.catégories superordonnées
2.catégories de base
3.catégories subordonnées

17
Q

explique la catégorie superordonnées

A

c’est la catégorie au sommet de la hierarchie. ici les membres partagent peu d’attributs

18
Q

explique la catégorie de base

A

c’est le niveau le plus utilisé dans le langage courant, vu que c’est le premier niveau appris par les enfants

19
Q

explique la catégorie subordonnées

A

c’est la catégorie au bas de la hierarchie, elle est plus spécifique et les membres partagent de nombreux attributs.

20
Q

V/F: plus une catégorie est abstraite, moins on peut en former une image mentale précise.

21
Q

Explique l’étude de Rosch

A

les sujets doivent lister les attributs des objets selon leur niveau hiérarchique (supérieur/de base/subordonné), ce qui permettra de mesurer le nombre d’attributs partagés entre membres d’une même catégorie. cette étude à permis d’établir que plus on descend dans la hiérarchie, plus les membres partagent des attributs.

22
Q

que dit Rosch par rapport à la rapidité de catégorisation

A

selon lui, la catégorisation est plus rapide au niveau de base. pour tester son hypothèse, il va faire vérifier aux sujets à quel niveau appartient un objet (supérieur/de base/subordonné). il va en conclure que le temps de réponse est plus court pour les catégories de base, ce qui veut dire qu’on identifie d’abord un objet au niveau de base et qu’en suite soit on généralise (supérieur), ou précise (subordonné)

23
Q

explique l’effet d’expertise

A

c’est le fait que les Experts catégorisent plus rapidement au niveau subordonné dans leur domaine que les novice

23
Q

V/F: un objet n’est pas perçu comme plus typique s’il partage un grand nombre d’attributs avec les autres membres de la catégorie

A

faux, il est plus typique

24
Q

qu’est ce que la typicalité influence

A

elle influence la vitesse de catégorisation, la facilité de rappel et le jugement de similarité.