La fin de vie (Cours 15) Flashcards
Les proches aidants ne participent pas au processus décisionnels durant la fin de vie.
Faux. Ils y participent
Parmi les rôles des proches aidants durant la fin de vie on, compte: la Satisfaction des besoins immédiats et à court terme, la Quête d’information pour le patient, le Processus décisionnels et le Respect des volontés en cas d’inaptitude.
Vrai.
Parmi les rôles des proches aidants durant la fin de vie, on compte: la Satisfaction des besoins immédiats et à court terme, la Quête d’information pour l’équipe médicale, le Processus décisionnels et le Respect des volontés en cas d’inaptitude.
Faux. La Quête d’information pour le patient et non l’équipe médicale.
Les proches aidants s’occupent de la satisfaction des besoins immédiats et à court terme lors de la fin de vie.
Vrai.
Sebinou est un loser.
Vrai.
Avant les années 50, on part de mort comme phénomène médical.
Faux. Comme phénomène social. Le phénomène médical est Après les années 50.
Les soins palliatifs ont débuté après les années 50.
Vrai.
Il n’y a pas de tabou et mystère entourant la mort.
Faux.
Après les années 50, on voit la mort comme un phénomène médical.
Vrai.
Les salons funéraires sont apparus après les années 50.
Faux. Avant les années 50.
Le décès et la veillées à la maison datent d’avant les années 50.
Vrai.
La professionnalisation de la mort date d’avant les années 50.
Faux. Après les années 50.
La mort comme phénomène médical est associé à l’amélioration des soins de santé, une professionnalisation du deuil et le début des soins palliatifs.
Faux. Professionnalisation de la mort.
La mort comme phénomène social est associé à l’amélioration des soins de santé.
Faux. La mort comme phénomène médical y est associé.
La mort comme phénomène social est associé aux décès et veillées à la maison.
Vrai.
Après les années 50, on part de mort comme phénomène médical soit l’amélioration des soins de santé, la professionnalisation de la mort et le début des soins palliatifs.
Vrai.
Avant les années 50, on parle de mort comme phénomène sociale soit les décès et les veillées à la maison et la création des salons funéraires.
Vrai.
Avant les années 50, on parle de mort comme phénomène sociale soit les décès et les veillées à la maison, la thérapie familiale et la création des salons funéraires.
Faux. Pas la thérapie familiale.
La loi concernant les soins de fin de vie (entrée en vigueur en 2015 au Québec) sert à encadrer les soins palliatifs et l’aide médicale à mourir tout en instaurant un régime de directives médicales anticipées.
Vrai.
la Loi concernant les soins de fin de vie entrée en vigueur en 2015 au Québec a deux objectifs: encadrer les soins palliatifs et encadrer l’aide médicale à mourir.
Faux, elle a un objectif de plus : Instaurer un régime de directives médicales anticipées.
La Loi concernant les soins de fin de vie entrée en vigueur en 2015 au Québec sert, notamment, à instaurer un régime de directives thérapeutiques anticipées.
Faux. Un régime de directives médicales anticipées.
La Loi concernant les soins de vie au Québec est en vigueur depuis plusieurs décénnies.
Faux. Elle est entrée en vigueur en 2015.
La Loi concernant les soins de fin de vie entrée en vigueur en 2015 au Québec a comme objectif d’encadrer l’aide médicale à mourir et d’instaurer un régime de directives médicales anticipées.
Faux. Elle cherche également à encadrer les soins palliatifs.
L’aide médicale à mourir n’est pas abordée dans la Loi concernant les soins de vie (2015 au Québec).
Faux. Elle veut encadrer les soins palliatifs ET l’aide médicale à mourir.
Encadrer les soins palliatifs et l’aide médicale à mourir tout en instaurant un régime de directives médicales anticipées sont des objectifs de la loi canadienne de 2015 concernant les soins de fin de vie.
Faux. C’est une loi québécoise.
Le suicide-assisté est permis au Québec
Faux.
L’Euthanasie est un soin de fin de vie.
Vrai.
La sédation palliative continue, le contrôle actif de la douleur, l’arrêt/refus de traitement et les soins psycho, sociaux et spirituels forment les soins palliatifs.
Vrai
La Sédation palliative continue est un soin d’aide médicale à mourir.
Faux. Il s’agit d’un soin palliatif.
Les soins de fin de vie peuvent être divisés en deux grandes catégories; l’Aide médicale à mourir et les Soins palliatifs.
Vrai.
Le suicide-assisté c’est quand c’est le malade qui se donne la mort.
Vrai.
L’euthanasie c’est quand le malade se donne la mort.
Faux. Quand c’est le médecin.
L’euthanasie c’est quand le médecin donne la mort.
Vrai.
Soulager la souffrances par le coma est une forme de mort naturelle irréversible.
Faux. C’est réversible.
La sédation palliative continue permet de soulager les souffrances par le coma.
Vrai.
La sédation palliative continue est réversible.
Vrai.
Le principe de Mort dans la dignité fait référence au respect des volontés et à des soins de qualité mais également à un projet de loi.
Vrai.
La Loi concernant les soins de fin de vie découle du projet de loi nommé « Mourir dans le respect ».
Faux. Le projet de loi se nommait « Mourir dans la dignité ».
Les soins palliatifs font références à l’accompagnement et aux soins de confort pour les patients atteints d’une maladie incurable.
Vrai.
Les soins palliatifs soulagent 25% des souffrances.
Faux. 99%
Refuser des traitements qui prolongeraient la vie est une forme de suicide-assisté.
Faux.
Arrêter ou refuser des traitements, c’est miser sur la qualité de vie du temps qui reste.
Vrai.
Le Québec est un pionnier dans sa légalisation du suicide-assisté.
Faux. Le suicide-assisté n’est pas permis au Québec.
Au Canada, seulement l’euthanasie est légale lorsqu’on parle d’aide médicale à mourir.
Faux. Au Canada, le suicide-assisté et l’euthanasie sont légales alors qu’au Québec seulement l’euthanasie.
Pour avoir droit à l’aide médicale à mourir, la personne doit;
être assurée au sens de la Loi sur l’assurance maladie;
être majeure;
être apte à consentir aux soins;
être atteinte d’une maladie grave et incurable;
avoir une situation médicale caractérisée par un déclin irréversible;
éprouver des souffrances physiques ou psychiques constantes.
Vrai.
Pour avoir droit à l’aide médicale à mourir, la personne doit;
être assurée au sens de la Loi sur l’assurance maladie;
être apte à consentir aux soins;
être atteinte d’une maladie grave et incurable;
avoir une situation médicale caractérisée par un déclin irréversible;
éprouver des souffrances physiques ou psychiques constantes.
Faux. Elle doit également être majeure.
Pour avoir droit à l’aide médicale à mourir, la personne doit;
être majeure;
être apte à consentir aux soins;
être atteinte d’une maladie grave et incurable;
avoir une situation médicale caractérisée par un déclin irréversible;
éprouver des souffrances physiques ou psychiques constantes.
Faux. Elle doit également être assurée au sens de la Loi sur l’assurance maladie.
Pour avoir droit à l’aide médicale à mourir, la personne doit;
être assurée au sens de la Loi sur l’assurance maladie;
être majeure;
être apte à consentir aux soins;
avoir une situation médicale caractérisée par un déclin irréversible;
éprouver des souffrances physiques ou psychiques constantes.
Faux. Elle doit également être atteinte d’une maladie grave et incurable.
Pour avoir droit à l’aide médicale à mourir, la personne doit;
être assurée au sens de la Loi sur l’assurance maladie;
être majeure;
être atteinte d’une maladie grave et incurable;
avoir une situation médicale caractérisée par un déclin irréversible;
éprouver des souffrances physiques ou psychiques constantes.
Faux. Elle doit également être apte à consentir aux soins.
Pour avoir droit à l’aide médicale à mourir, la personne doit;
être assurée au sens de la Loi sur l’assurance maladie;
être majeure;
être apte à consentir aux soins;
être atteinte d’une maladie grave et incurable;
avoir une situation médicale caractérisée par un déclin irréversible;
éprouver des souffrances physiques ou psychiques constantes.
Faux. Elle doit également avoir une situation médicale caractérisée par un déclin irréversible.
Pour avoir droit à l’aide médicale à mourir, la personne doit;
être assurée au sens de la Loi sur l’assurance maladie;
être majeure;
être apte à consentir aux soins;
être atteinte d’une maladie grave et incurable;
avoir une situation médicale caractérisée par un déclin irréversible;
éprouver des souffrances physiques ou psychiques constantes.
Vrai.
Pour avoir droit à l’aide médicale à mourir, la personne doit;
être assurée au sens de la Loi sur l’assurance maladie;
être majeure;
être apte à consentir aux soins;
être atteinte d’une maladie grave;
avoir une situation médicale caractérisée par un déclin irréversible;
éprouver des souffrances physiques ou psychiques constantes.
Faux. La maladie doit être grave ET incurable.
Il y a cinq étapes à la demande d’aide médicale à mourir.
Vrai.
Les étapes d’une demande d’aide médicale à mourir sont
1) La demande d’information
2) La demande écrite
3) L’évaluation médicale
4) Approbation de la demande
5) Administration de l’aide médicale à mourir.
Vrai
Les étapes d’une demande d’aide médicale à mourir sont
1) La demande d’information
2) La demande écrite
3) L’évaluation médicale
4) L’envoie de la demande
5) Administration de l’aide médicale à mourir.
Faux. 4) Approbation de la demande.
L’aide médicale à mourir n’a aucune limite.
Faux. (yen o)
Lors d’une demande d’aide médicale à mourir, la personne doit faire une évaluation psychologique.
Faux. Il n’y a pas d’évaluation psychologique dans ce genre de demande.
Le personnel est bien formé pour l’aide médicale à mourir.
Faux. Il y a un manque de formation.
L’aide médicale à mourir peut être offerte dans certaines situations aux mineurs matures.
Faux.
Une personne souffrante d’un trouble mental peut demandée l’aide médicale à mourir.
Faux.
Une personne peut faire une demande anticipées d’aide médicale à mourir.
Faux.
Les soins palliatifs sont pour les gens seulement atteints d’une maladie grave évolutive ou terminale.
Vrai.
Les soins palliatifs présentent une approche globale.
Vrai.
Les soins palliatifs ne prennent pas en compte la souffrance spirituelle.
Faux. Les soins palliatifs prennent en compte la souffrance psychologique, sociale et spirituelle.
Les soins palliatifs sont des soins actifs administrés par une équipe interdisciplinaire.
Vrai.
La prise en charge thérapeutique palliative est une forme de prise en charge psychologique.
Faux. Il s’agit de deux prises en charge distinctes.
La prise en charge thérapeutique palliative cherche à identifier les causes, les effets secondaires des traitement, les infections, l’état de santé mentale, toujours dans le but d’améliorer le confort de la famille et d’assurer une prise en charge holistique.
Faux. Améliorer le confort du patient.
La prise en charge thérapeutique palliative cherche à identifier les causes, les effets secondaires des traitement, les infections, l’état de santé mentale, toujours dans le but d’améliorer le confort du patient et d’assurer une prise en charge holistique.
Vrai.
Source d’anxiété lorsqu’on réalise que les soins curatifs ne sont plus efficaces: Crise de la Mort.
Faux. Crise existentielle.
Le modèle d’Elizabeth Kübler-Ross est souvent utilisé dans la pratique lors de difficultés psychologiques en fin de vie.
Vrai.
Le modèle d’Elizabeth Kübler-Ross comporte certaines faiblesses comme : une réalité plus analytique et des variations individuelles importantes.
Faux. Une réalité plus dynamique.
Le modèle d’Elizabeth Kübler-Ross comporte certaines faiblesses comme : une réalité plus dynamique et des variations individuelles importantes.
Vrai.
Le modèle d’Elizabeth Kübler-Ross aide les malades à comprendre certains comportements du personnel soignant.
Faux. Aide le personnel soignant à comprendre certains comportements des malades.
Le modèle d’Elizabeth Kübler-Ross aide le personnel soignant à comprendre certains comportements des malades comme l’agressivité et les projets insensés.
Vrai.
Il y a 6 étapes du deuil de Kübler-Ross.
Faux.
Les 5 étapes du deuil de Kübler-Ross sont
1. le déni,
2. l’agressivité,
3. le marchandage,
4. la dépression,
5. l’acceptation.
Faux. 2 - La colère.
Les 5 étapes du deuil de Kübler-Ross sont
1. le déni,
2. la colère,
3. le marchandage,
4. la dépression,
5. l’acceptation.
Vrai.
Il y a plus de dépressions et de troubles anxieux chez les mourants que chez les autres malades.
Faux.
Contrairement à une idée répandue : pas plus de dépressions et de troubles anxieux chez les mourants que chez les autres malades.
Vrai.
Les symptômes anxio-dépressifs sont fréquents chez les mourants.
Vrai.
Les symptômes anxio-dépressifs sont fréquents chez les mourants mais la présence et l’intensité des symptômes dépendant de facteurs situationnels, individuels et relationnels.
Vrai.
Les symptômes anxio-dépressifs sont fréquents chez les mourants, mais la présence et l’intensité des symptômes sont indépendants des facteurs situationnels, individuels et relationnels.
Faux. Dépendent des facteurs.
La chambre, le confort du lit et le personnel soignant peuvent influencer drastiquement les symptômes dépressifs.
Vrai. Chambre morne, lit inconfortable et personnel soignant négligent = augmentent drastiquement les symptômes dépressifs.
Un style d’attachement sécure réduit les symptômes dépressifs.
Vrai.
Un style d’attachement ambivalent réduit les symptômes dépressifs.
Faux. Un style d’attachement sécure.
Le soutien social joue un rôle tampon dans la détresse émotionnelle.
Vrai.