INTRA Flashcards
Facteurs modificateurs de l’hérédité
pénétrance incomplète expressivité variable âge d'apparition patron d'inactivation du chromosome X expression limitée par le sexe mosaïsme
Pénétrance incomplète
possède génotype, mais n’exprime pas phénotype
pénétrance = nb individu avec phénotype/ nb individus avec génotype
fraction personnes qui ont la maladie sur tous ceux qui ont la mutation
Expressivité variable
pas exprimé de la même façon; se présente par différentes manifestations (ex. doigts longs et/ou problèmes yeux et/ou dilatation aorte et/ou anévrismes)
Âge d’apparition
maladies à déclenchement tardif: peut avoir la mutation, mais pas vivre assez vieux pour la développer (apparition phénotypique tardive)
Inactivation du X
chez la femme: un X fonctionnel (passe sous silence)
chez l’homme: très important
voir exemple du chat
expression limitée par le sexe
maladies présentes seulement chez l’un des sexes, mais qui sont transmises par les 2
ex: puberté précoce garçons ou barbe rousse; transmis par la mère
Mosaïsme
mutation somatique lors de l’embryogenèse et transmission de cette mutation aux cellules filles
mutations dans cellules reproductrices, et donc dans cellules filles
ex enfants reçoivent allèle autosomique dominant du père qui n’est pas atteint; pcq présent dans cellules germinales, mais pas dans ses cellules somatiques
Maladies génétiques simples mendeliennes
maladies rares, mutations rares, forte pénétrance
ex. dystrophie musculaire, FK
Maladies génétiques complexes
maladies communes, variations communes à faible pénétrance, facteurs environnementaux importants
DbT2, IDM, CA prostate
Faux sens
remplace codon par un autre (change AA)
Non sens
codon arrêt
décalantes
change patron de lecture )pas multiple de 3)
insertions et délétions
peuvent changer patron lecture et causer mutations décalantes, mais généralement multiple de 3 donc ok
inapparente, silencieuse
provoque pas modification apparente au produit du gène (mais des fois peuvent causer maladie)
types de mutations plus prévalentes
1- faux sens/non sens
2- petites délétions
3- épiage
Métabolisme de la codéine
au foie
0-15% en morphine par CYP 2D6 (bcp + affinité que codéine)
50-60% en codéine-6-glucoronide par UGT
10-15% en nocodéine par CYP 3A4
Allèles principaux associés activité réduite 2D6
CYP 2D6
- 17 (africains)
- 10 (asie)
- 4 (européens)
CYP 2D6*2xn
plusieurs copies gène
augmentation activité
éthiopiens et arabes saoudiens
Fréquences allyliques CYP 2D6 dans le monde
non fonctionnel: européens
Fct réduite: Afrique + Asie
fct augmentée: moyen orient + Océanie
Métabolisateurs ultra rapides (UM)2D6
Plus de 2 copies du gène
Métabolisateurs rapides 2D6 (EM)
homozygotes sauvages
hétérozygotes allèle non fonctionnel + allèle sauvage
hétérozygote allèle fct réduite + allèle sauvage
Métabolisateurs intermédiaires (IM)
2 allèles fct réduite
1 allèle fct réduite + 1 non fonctionnel
métabolisateurs lents (PM)
homozygotes allèles non fonctionnels
doubles hétérozygotes allèles non fonctionnels
3 types de barrières empêchent pathogènes de causer infection
mécanique (ex. peau)
chimique (ex. enzymes)
microbiologie (flore bactérienne normale)
Étude des changements structuraux et fonctionnels secondaires à une maladie
pathologie
histoire naturelle et développement d’une maladie
pathogenèse
anomalie anatomique causée par une maladie
lésion
façon dont est exprimée une maladie au niveau anatomique et fonctionnel
pathophysiologie
Types de nécrose
- de coagulation
- de liquéfaction
- caséeuse
- adipeuse
Nécrose de coagulation
amas de cellules mortes figé dans subst gélatineuse; cellules maintiennent leur structure initiale. cause plus fréquente = ischémie (ex. IDM)
nécrose de liquéfaction
dissolution cellules mortes ds liquide environnant (ex. abcès)
nécrose caséeuse
cellules mortes transformées en substance blanchâtre et crémeuse
(ex. lésion pulmonaire reliée tuberculose)
nécrose adipeuse
nécrose localisée dans masse adipeuse; dépôts calciques au partour du gras
ex. pancréatite
hyperplasie
augmentation grosseur tissu/organe secondaire à augmentation nb cellules
métaplasie
changement réversible type cellule
atrophie
diminution grosseur cellules et arrêt fonctionnel cellules
dysplasie
cellules pré-malignes, réversibles et caractérisées par croissance exagérée et noyau forme et couleur irrégulières
hypertrophie
augmentation grosseur cellules qui mène augmentation grosseur tissu/organe
2 types lésions cellulaires
légères (aigu + chronique)
sévères
lésions chroniques légères provoquent adaptation cellulaire qui peut permettre à la cellule de survivre et retourner à la normale
Lésions sévères induisent….
nécrose
Facteurs de croissance impliqués dans réparation tissulaire
facteur croissance épidermique
facteur croissance endothéliale vasculaire
facteur croissance épidermique
attire fibroblastes et cellules épidermiques et stimule leur prolifération
facteur croissance endothéliale vasculaire
augmente perméabilité vasculaire et stimule prolifération cellules endothéliales
erreur analytique
erreur associée à la technique
différence entre valeur obtenue et valeur vraie
- précision appareil
- calibrage dispositif
différent d’une faute brute!!! (erreur manipulation)
exactitude:
façon dont les résultats expérimentaux sont conformes à la valeur vraie/admise
précision
mesure de la fiabilité de l’expérience, comme elle est reproductible
interférence analytique in vivo
interférence par substance/facteur pré-analytique qui modifie la concentration in vivo de l’analyte (ex. tabac, Rx, drogues, diète, menstruations, hémolyse)
interférence analytique in vitro
interférence par substance perturbe méthode analytique et qui donne faux résultat
ex: spectrophotométriques, chimiques, immunologiques, chromatographies/
Comment établir valeurs de référence
hard way
soft way
no way
hard way
sélection d’individus sains selon critères, ex. mesure chez 120 patients
réf = moyenne + 2 ET
Soft way
utilise résultats de patients déjà emmagasinés dans bases de données
peu de résultats anormaux chez malades
nb faible en comparaison au nb sujets sains, donc poids relatif faible
no way
pas de valeur de référence
utilise ce que les experts ont dit
seuil concensus
sensibilité
nb personnes vraiment atteintes que le test identifie (proportion de vrais positifs chez malades)
Se = VP / VP + FN
spécificité
probabilité que test identifie correctement une personne pas atteinte maladie
proportion de vrais négatifs chez non malades
Sp = VN / VN + FP
efficience ou efficacité
% bons classements
E = VP + VN / N
prévalence
nb cas liés maladie dans une pop déterminée
P = VP + FN / N (4 groupes)
Valeur prédictive positive (VPP)
probabilité que sujet soit vraiment malade en ayant test positif
VPP = VP / VP + FP
Valeur prédictive négative
probabilité que sujet soit réellement indemne si test négatif
VPN = VN / VN + FN
Rapport de vraisemblance
rapport de la probabilité d’être malade sur la probabilité de pas l’être une fois que je connais le résultat du test
- rapport vraisemblance +
- rapport vraisemblance -
Rapport vraisemblance positif
L+ = Se / (1- Sp)
aucune info si = 1
plus il est élevé, plus on peut confirmer la maladie
rapport vraisemblance négatif
L- = (1- Se) / Sp
aucune info = 1
idéalement = 0
plus il est petit, plus on exclut la maladie
Courbe ROC
sensibilité en fonction 1-spécificité
VP en fonction des FP
RCV
Reference change value
dépend de:
CVa: coefficient variation analytique
CVb: coefficient variation biologique intraindividuelle
SCL
significant change limit
dépend de l’écart type analytique usuel des 3-6 derniers mois du labo
Comment déterminer si différence entre 2 tests est cliniquement significative?
RCV
SCL