Intra 2 Flashcards

1
Q

Quels sont les sx et le nombre d’entres eux qu’il faut qu’une personne reçoive un dx de trouble dépressif caractérisé?

A

Au moins 5 d’entre et 1 des 2 premiers:

  • Humeur dépressive
  • Perte d’intérêt/du plaisir
  • Insomnie ou hypersomnie
  • Gain ou perte de poids/ baisse ou aug. d’apétit
  • Problème de concentration/ diminution de capacité à réfléchir
  • Fatigue ou perte d’énergie
  • Agitation ou ralentissement psychomoteur
  • Dévalorisation/culpabilité
  • Idées suicidaires avec ou sans plan
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2
Q

Depuis cmb de temps il faut avoir les sx pour dx trouble dépressif caractérisé?

A

Au moins 2 semaines presqu’à tous les jours

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Q

Quels sont les critères dx autre que les sx pour le trouble dépressif caractérisé?

A
  • Sx induisent détresse cliniquement significative ou altération du fx
  • Pas imputable aux effets physiologiques d’une condition médicale ou d’une substance
  • Peut être causé par le deuil (nouveau ds DSM-5)
  • Épisode dépressif pas expliqué par trouble psychotique
  • Jamais eu d’épisode maniaque ou hypomaniaque (psychotique non plus)
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4
Q

Examen de l’état mental du dépressif ressemble à quoi?

A
  • Apparence=souvent négligée
  • Attitude=généralement coopérative et peut être apathique
  • Humeur=Triste (chagrin affectif) / déprimé (sentiment pathologique de tristesse)
  • Affect=Généralement concordant à l’humeur triste / Restreint, émoussé / généralement peu mobilisable (pas de fluctuation)
  • Cours de la pensé=généralement ralenti
  • Contenu de la pensée=thème dépressif, découragement, désespoir, dévalorisation
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5
Q

Quelles sont les caractéristique cliniques du trouble dépressif caractérisé?

A
  • Sx présent presque tous les jours
  • Fréquemment observé: déni de la tristesse (personne se cache elle-même qu’elle est triste des fois)
  • À l’avant-plan: insomnie et fatigue
  • Si ralentissement psychomoteur: sévère
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6
Q

Prévalence du trouble dépressif caractérisé?

A
  • À vie: 20-25% femmes et 9-12% hommes
  • Actuelle: 6% femmes et 3% hommes
  • Hausse dernières années
  • 18-29 ans: 3x plus élevé que 60 ans et +
  • Apparition marqué après puberté
  • Prévalence accrue chez groupes défavorisés
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7
Q

Évolution du trouble dépressif caractérisé?

A
  • Très variable d’un individu à l’autre
  • Risque + élevé qd t’en a déjà fait une
  • 40% vont mieux après 3 mois et 80% durant l’année qui suit
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8
Q

Facteurs de risque de récurrence des épisodes dépressifs?

A
  • Épisode grave récent
  • Plus jeune
  • Antécédents d’épisodes multiples
  • Persistance des quelques sx dépressifs (chronicité)
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9
Q

Quels sont les sx associés au trouble dépressif persistant et le nombre requis pour le dx?

A

Plus que 2 d’entre eux:

  • Perte d’appétit ou hyperphagie
  • Insomnie ou hypersomnie
  • Baisse d’énergie ou fatigue
  • Faible estime de soi
  • Difficulté de concentration ou a prendre des décisions
  • Sentiment de perte d’espoir
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10
Q

Quels sont les critères dx autres que les sx du trouble dépressif persistant?

A
  • Humeur dépressive au moins 1 jours/2

- Depuis au moins 2 ans sans plus de 2 mois consécutif non-déprimé

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11
Q

Prévalence du trouble dépressif persistant?

A

Sur 12 mois: 0,5%

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12
Q

Évolution du trouble dépressif persistant?

A
  • Souvent début précoce: avant 21
  • Peut maintenir un certain niveau de fx
  • Forte comorbidité avec les TP (+ de 60%)
  • Souvent masqué par sx physiques (maux de tête, douleur, problème de sommeil)
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13
Q

Étiologie du trouble dépressif caractérisé, interactions complexe entre quels facteurs?

A
  • Environnementaux
  • Sociaux
  • Biologiques (génétique, neurochimique, neuro-endocriniens, etc.)
  • Cognitifs
  • Affectif
  • Comportementaux
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14
Q

Facteurs de risque du Trouble dépressif caractérisé?

A
  • Stresseurs interpersonnels (humiliation, rejet, exclusion, perte)
  • Parentage inadéquat
  • Perte d’un parent
  • Présence d’un parent dépressif
  • Problème occupationnels/professionnels
  • Difficultés amoureuses
  • Dépendance avec ou sans substance
  • Attachement insécurisé
  • Recherche de réassurance
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15
Q

Quels sont les 4 composantes du cycle de l’apathie?

A
  • Dépression
  • Culpabilité, désespoir, découragement
  • Perte d’énergie et d’intérêt, fatigue
  • Inertie, fait moins d’activité
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16
Q

Expliquer le modèle cognitif de Beck.

A

Les croyances fondamentales influent sur les distortions cognitives qui influent sur les pensées automatiques (premières pensées qui viennent en tête). Combinées aux évènements de vie, la personne devient dépressive.

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17
Q

Qu’est-ce que la triade cognitive de la dépression?

A

Pensées négative de soi, des autres et de l’avenir

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18
Q

En quoi consiste de modèle de régulation des émotion dans le Trouble dépressif caractérisé?

A
  • Différence dans capacité à ce remettre des évènements négatifs
  • Tendance à la rumination (stratégie de résolution de problème qui épuise ressources cognitives et interfère avec prise de décision.)
  • Tendance à la suppression (tenter de pas penser à qqc; inefficace)
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19
Q

Nommer et expliquer les 3 modèles psychanalytiques du Trouble dépressif caractérisé.

A
  • Freud: agressivité contre objet (changement quelconque) perdu retourné contre soi
  • Bowlby: perte réactive un sentiment d’abandon
  • Jacobson: objet perdu se transforme en surmoi sadique
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20
Q

Nommer et expliquer les 2 modèles psychodynamiques du Trouble dépressif caractérisé.

A
  • Les facteurs en cause sont variables d’un individu à l’autre selon histoire de vie et enjeux psychiques
  • Emphase sur enjeu d’attachement, défenses et rapport aux émotions
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21
Q

Expliquer les 3 axes de la théorie de l’impuissance et du désespoir.

A
  • Impuissance acquise: Rester passif après des évènements difficiles
  • Degrés d’impuissance dépend du style attributionnel: comment personne explique son échec
  • Théorie du désespoir: ne s’attend pas à une issue positive et anticipe un évènement négatif
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22
Q

Expliquer le modèle biologique du trouble dépressif caractérisé et ses limites.

A

Modèle neurobiologique:

  • 40-50% de la dépression serait attribuable à des facteurs génétiques/héréditaires
  • Implication de divers neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, noradrénaline)
  • Imagerie cérébrale: atrophie de l’hippocampe (mémoire)
  • *Bcp de corrélats biologiques ne sont pas spécifiques à la dépression
  • *Relation causales pas établie
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23
Q

Types de traitements du trouble dépressif caractérisé?

A
  • Pharmacologique (diff. mécanismes d’action comme ISRS)
  • *Efficacité modeste en comparant au placebo
  • *TCC aussi ou plus efficace en prévention de rechute
  • *Traitement combiné plus efficace que juste médicamentation
  • Électroconvulsivothérapie: efficace avec dépression sévère et persistante avec caractères psychotiques
  • *Connaît pas mécanisme d’action
  • Activation comportementale: retour sur cycle d’apathie / Pour briser le cycle, favorise l’activation de la personne / Utilisation d’un journal d’humeur et calendrier d’activité
  • Psychothérapie cognitive-comportementale: intégration de «l’activation comportementale» à un travail cognitif (sur pensées) / restructuration cognitive sur modèle de Beck
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24
Q

Combien de temps dure une phase maniaque et quels sont ses caractéristiques?

A

Plus d’une semaine étant:

  • Humeur élevé
  • Expansive
  • Irritable
  • Augmentation anormale de l’activité orienté vers un but
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25
Q

Nombre et nature des sx d’un épisode maniaque?

A

Plus de 3 sx parmi:

  • Augmentation de l’estime de soi, idée de grandeur
  • Peu besoin de sommeil (peu ne pas dormir pentoute)
  • Grande communicabilité
  • Fuite des idées, pensées qui défilent rapidement
  • Facilement distrait. Passe d’un intérêt à l’autre rapidement. Investit ds stimuli insignifiants
  • Agitation (souvent à l’urgence pcq trop intense)
  • Engagement excessif dans des activités dangereuses
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26
Q

Critères dx de l’épisode maniaque sauf sx.

A
  • Sx suffisament grave pour entraîner une altération marquée du fx / nécessite une hospitalisation / existe des caractéristiques psychotiques
  • Épisode pas imputable aux effet physiologique d’une substance ou condition médicale
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27
Q

Caractéristique et durée d’une phase hypomaniaque.

A

Plus de 4 jours et ayant une humeur élevé, expansive ou irritable avec aug. anormale de l’activité orienté vers un but

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28
Q

Nombre et nature des sx d’un épisode hypomaniaque.

A

Plus de 3 parmi:

  • Aug de l’estime de soi, idée de grandeur
  • Peu besoin de dormir
  • Grande communicabilité
  • Fuite des idées, pensées qui défilent rapidement
  • Facilement distrait. Passe d’un intérêt à l’autre
  • Agitation
  • Engagement excessif dans des activités dangereuses
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29
Q

Critères dx d’un épisode hypomaniaque sauf sx.

A
  • Modification du fx. Diffère du fx habituel
  • Perturbations sont manifestes pour les autres
  • Sévérité pas assez importante pour altération du fx ou hospitalisation (si sx psychotique=épisode maniaque)
  • Pas du à l’effet d’une substance
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30
Q

Qu’est ce qui est requis pour un trouble bipolaire de type I?

A
  • Épisode maniaque (il y a souvent un épisode dépressif consécutif, mais pas obligé pour dx)
  • Évaluation longitudinale (premier épisode souvent début 20aine)
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31
Q

Qu’est ce qui est requis pour un trouble bipolaire de type II?

A
  • Épisode hypomaniaque et épisode dépressif (dans toute sa vie)
  • Pas juste une forme moins sévère d’un trouble bipolaire (tendance plus chronique aux épisodes dépressifs / tendance impulsive fréquente)
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32
Q

Prévalence des troubles bipolaires?

A
  • À vie= 2,1% (1% type 1 et 1,1% type II)
  • 12 mois= (0,6% type I et 0,3% à 0,8% type II)
  • Âge du premier épisode maniaque= plus de la moitié avec 18 ans et 28% avant 13 ans
  • Âge premier épisode hypomaniaque= dans trentaine
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33
Q

Est-ce que les personne ayant un trouble bipolaire au une tendance plus élevé à se suicider?

A

oui, 15x plus

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34
Q

Quel pourcentage des gens qui ont un et ensuite un autre épisode maniaque dans leur vie?

A

90%

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35
Q

Quel pourcentage des gens ont un épisode dépressif après un épisode maniaque?

A

60%

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36
Q

Trouble bipolaire. Contribution génétique importante?

A

10x plus pour type I (parenté de premier degré)

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37
Q

Quel pourcentage des gens restent avec des altérations graves au niveau professionnel?

A

30%

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38
Q

Quelles régions cérébrales ont un mauvais fx en trouble bipolaire?

A
  • Régions de l’émotivité (amygdale)
  • Sensibilité à la récompense (ganglion de la base)
  • Activité réduite de régions de régulation des émotions (cortex préfrontal ventrolatéral)
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39
Q

Facteurs de risques importants du trouble bipolaire?

A

-Changement d’horaire/cycle du sommeil

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40
Q

Caractéristiques des traitements de pharmacothérapie pour les troubles bipolaires?

A
  • Non-adhéence à la médication (entre les épisodes)
  • Stabilisateurs de l’humeur (lithium positif avec 60-70% des patients, mais effet sec. aux reins)
  • Antipsychotiques atypiques
  • Résultats contradictoire des antidépresseurs
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41
Q

Traitement efficace du trouble bipolaire à partir de ces approches:

A
  • Psychoéducation
  • Suivi systématique (équipe traitante / groupe psychoéducatif)
  • Thérapie cognitive
  • Thérapie focalisée sur la famille
  • Régulation des horaires et rythme de vie et résolutions des deuils liés au trouble
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42
Q

Quels sont les principes importants des traitements efficaces pour trouble bipolaires?

A
  • Aug prise de conscience des sx
  • Aug. motivation à l’adhérence à la médication
  • Aug. implication en traitement
  • Aug. fx famillial
  • Soutient aux proches
  • Promouvoir un horaire de vie et des cycles de sommeils réguliers
  • Dim. facteurs de risque (consommation)
  • Dim. recherche de buts ambitieux
  • Travailler relations interpersonnelles et isolement
  • Travailler pensées dysfonctionnelles
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43
Q

Sx du spectre de la schizophrénie?

A
  • Hallucination
  • Délire
  • Trouble de la pensée
  • Désorganisation
  • Sx négatifs
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44
Q

Caractéristiques de l’hallucination.

A
  • Expérience perceptive sans objet extérieur
  • Saisissantes, claires et paraissent normales
  • Sans contrôle
  • Peut impliquer tous les sens, mais majoritairement auditif (souvent menacante ou insultante / deux en conversation / distinct de sa propre pensé / peut etre non verbale)
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45
Q

Qu’est-ce que des idées délirantes.

A

Croyance erronée fondé sur déduction incorrecte de la réalité extérieure fermement soutenue même si controversé

46
Q

Caractéristique d’idées délirantes non-bizarres.

A
  • Persécution (+ fréquent) (qu’un peut être agressé, etc.)
  • Référence (gestes, commentaires ou éléments directement destiné à l’individu)
  • Mégalomaniaque ( croire à tord qu’elle a des capacités, richesse ou renommée exceptionnelle)
  • Érotomaniaque (croire à tord qu’une personne nous aime)
47
Q

Caractéristiques d’idées délirantes bizarres.

A
  • Idées invraisemblable et incompréhensible pour autres personnes d’une même culture
  • Généralement son corps ou esprit qui est sous le contrôle de qqc (ex. on a enlevé des organes)
48
Q

Description des degrés de l’évaluation dimensionnelle des sx du spectre de la schizophrénie.

A

0= pas de sx
1= Douteux (sévérité et durée insuffisantes)
2=Présent, mais léger (peu de pression à agir selon les voix et croyances délirantes)
3= Présent moyennement (certaine pression à répondre selon les voix et idées délirantes)
4= Présent et grave (pression sévère à répondre aux voix et croyances)

49
Q

Composantes des troubles de la pensée (discours désorganisé).

A
  • Circonstanciel (parles avec bcp de détails inutiles et tarde à conclure)
  • Tangentiel (ne répond pas à la question, prend tangente et ne revient pas)
  • Relâchement associatif (passe d’un sujet à l’autre sans lien souvent faut reposer la question)
  • Fuite des idées (parles vite / peut avoir de répétitions / brusque changement de sujet)
  • Coq-à-l’âne (aucun lien, très désorganisé)
  • Salade de mot (mots dis aléatoirement et pas de phrase organisée)
  • Association par assonance ( mots dits par rimes, tres désorganisé et sans lien)
  • Néologisme (invente des mots et incompréhensible)
50
Q

Caractéristique de la désorganisation.

A
  • Comportements excentriques, extravagants
  • Agitation imprévisible
  • Catatonie (tenie position très régide pendant très longtemps)
  • Mouvements stéréotypés, écholalie (répétition du même mouvement et écholalie au niveau du language)
  • Conduite bizarre
  • Vêtement inapproprié au contexte
51
Q

Caractéristiques des sx négatifs.

A

Émoussement des affects (dim. expression émotionnelle, langage corporel diminué, peu de contact visuel

  • Alogie (réponse brèves, vides. pensée ralentie)
  • Avoliton (difficulté à initier des actions et les maintenir
  • Anhédonie (Dim. capacité à éprouver du plaisir
52
Q

Critères dx pour la schizophrénie.

A
  • 2 sx parmi (Idées délirantes, hallucination, discours désorganisé, comportement désorganisé et sx négatifs) et au moins 1 d’entre les 3 premiers
  • Facteur temps significatif
  • Baisse marqué du fx au travail, relation ou hygiène
  • Depuis au moins 6 mois
  • Exclure autres troubles du spectre et trouble de l’humeur à caractère psychotique
  • Pas due à substance/médicament
53
Q

Quelles sont les catégories de personnes qui présentent des sx psychotiques pendant quelques jours/semaines?

A
  • Trouble psychotique bref (< 1 mois)
  • Trouble schizophréniforme (< 6 mois)
  • Trouble psychotique induit (psychose toxique) (lien temporel claire avec usage de substance
54
Q

Prévalence et âge survenue pour la schizophrénie.

A

À vie= 0,3 à 0,7% (plus d’homme)

Âge de survenue= 18-25 ans (plus tôt chez hommes, fin 20aine chez femmes)

55
Q

Quels sont les stades d’évolution de la schizophrénie?

A
  1. Stade prémorbide (pas de sx francs et déficits subtiles / souvent seul, parle pas bcp)
  2. Stade prodrome (15-25 / 10-20 ans) (baisse capacité attentionnelles et concentration / Dim. énergie / déprime, anxiété, repli social / mauvais sommeil / méfiance, irritabilité / 22 à 36% évoluent à ce stade
  3. Stade progressif avec plusieurs phases actives (sx francs avec progression des sx / détérioration du fx / peut durer de 5 à 10 ans)
  4. Stade résiduel/chronique (Difficulté chroniques et altération cognitives et du fx / sx négatifs à l’avant plan)
56
Q

Caractéristiques cliniques de la schizophrénie.

A
  • Forte comorbidité avec abus de substance (tabagisme)
  • Environ 20% des patients (jeunes hommes avec antécédants de violence, adhère peu au traitement, usage de substances / très violent < 1%)
  • 5% complète de suicide et 20% juste tentatives
  • Facteurs de risques (jeune, fx prémorbide supérieur, conscience élevé des sx, attitude négative du traitement)
57
Q

Étiologie de la schizophrénie.

A
  • Facteurs génétiques (60 à 80% des cas / 9x plus de chance si parents en souffre / complication à la grossesse: hypoxie et infections)
  • Facteurs environnementaux (statu d’immigrant / père âgé / toxoplasmose=infection chat / privation alimentaire prénatale / usage de cannabis / exposition à des traumas
  • Neurotransmission: aug. activité dopaminergique
  • Psychose est toxique pour cerveau (affect mémoire, concentration et vitesse de traitement de l’information et déficits durables)
58
Q

Expliquer modèle diathèse-stress du trouble de la schizophrénie.

A

Facteur génétique/héréditaires + Complications pré et périnatales influencent la vulnérabilité constitutionnelle. Elle influence la maturation du cerveau de l’ado ce qui influence la psychose. Stress psychosocial influence la maturation du cerveau aussi. (deux stades critiques du développement du cerveau)

59
Q

Traitements de la schizophrénie.

A
  • Pharmacothérapie: antipsychotiques (Clozapine) très efficaces, mais forts effets sec.
  • Psychothérapie: Gérer certains sx et non guérison (insister sur bonne collaboration climat de sécurité / psychoed. favoriser adhérence au tx pharmaco. / travailler les délires par restructuration cognitive / aider à mettre des mots sur expérience)
60
Q

Critères dx du trouble délirant.

A
  • Présence 1 ou plus idées délirantes durant au moins 1 mois
  • Pas avoir 2 sx et au moins 1 ds les 3 premiers de la schizophrénie (s’il y a hallucination, elles sont minimes et en lien avec délire)
  • À part idées délirantes, pas d’altération marquées du fx
  • Pas d’épisode dépressif ou maniaque
  • Pas dû aux effets de substance/ med / prob. médical
61
Q

Quels sont les types de délire?

A
  • Érotomaniaque: (amoureuse du sujet)
  • Mégalomaniaque: Conviction grand talent
  • Jalousie: Conviction infidèlité
  • Persécution: ¨tre la cible d’un complot, escroquerie, espionnage, filature, etc.
  • Somatique: fx corporelles
  • Peuvent être bizarres ou non
62
Q

Prévalense du trouble délirant.

A
  • À vie= 0,2%
    • fréquent= délire de persécution
  • Autant homme que femme (jalousie plus présent chez hommes)
63
Q

Caractéristique et évolution du trouble délirant.

A
  • Incapable de dire que croyance est irrationnelle meme si proches disent contraire
  • Remise en cause le déliré=risque de méfiance en vers thérapeute
  • Hypervigilance (intentions des autres)
  • Faible prportion développe schizophrénie
64
Q

Étiologie du trouble délirant.

A
  • Environnement hostile à l’enfance
  • Projection de son agressivité (déni de sa propre agressivité)
  • Diff. à traiter en psychothérapie
  • Antipsychotiques aident à réduire intensité du délire (faut que patient adhère au traitement)
65
Q

Qu’est-ce qu’un trouble d’adaptation?

A
  • Ne plus arriver à gérer une situation avec les mécanismes d’adaptation habituels
  • Sx= Provoque pression interne, tension, sans faire effraction dans psychisme
  • Sx surviennent 3 mois après un stresseur
  • Humeur: dépressive/anxieuse ou les deux
  • Perturbation des conduites
66
Q

Critères d’un évènement traumatique:

A
  • Rompre l’équilibre psychique
  • Rupture de la continuité normale des évènements
  • Brutal et inattendu
  • Menace intégrité physique ou psychique
  • Pas partie des événements habituels de la vie
67
Q

Réactions (non intensionnelles) face à un évènement traumatique.

A
  • Speechless terror
  • Réponse physiologique (fight or flight ou meme faint)
  • Détresse péri-traumatique (sidération/agitation/fuite ou panique)
  • Dissociation péri-traumatique
68
Q

Critères (autres que sx) dx d’un stress post-traumatique.

A
  • Exposition à: mort/menace de mort/blessure grave ou menace/délit sexuel ou menace
  • Exposition directe (victime)
  • Témoin direct
  • Apprendre événement violent ou accident arrivé à un proche
  • Exposition répété d’événement traumatique
  • Élimination de réaction subjective de peur/impuissance/horreur
69
Q

Sx envahissants du trouble de stress post-traumatique.

A

(1/5)

  • Souvenir répétitifs (évaluer les déclencheurs sensoriels/plusieurs fois/semaine)
  • Cauchemars récurrents
  • Flashback (revivre le trauma en expérience dissociative)
  • Détresse intense qd exposé aux stimulis
  • Réactivité physiologique qd exposé au stimuli
70
Q

Types d’évitement avec détresse du trouble de stress post-traumatique.

A

(1/2)

  • Des pensées, conversations
  • Des situations
71
Q

Altération des cognitions et de l’humeur appliqué au syndrome de stress post-traumatique.

A

(2/5)

  • Amnésie dissociative
  • Croyances modifiée (soi/autre/avenir)
  • Distortion cognitive menant à ce blâmer
  • État émotionnel négatif persistant
  • Perte d’intérêt
  • Sentiment de détachement (autres/étrangers)
  • Incopacité aux émotions positives
72
Q

Quelles sont les activations neurovégétatives du trouble de stress post-traumatique.

A

(2/5)

  • Irritabilité, accès à colère
  • Comportement irréfléchi ou autodestructeur
  • Hypervigilence
  • Sursaut exagéré
  • Problème de [ ]
  • Perturbation du sommeil.
73
Q

Sx dissociatif du trouble de stress post-traumatique.

A

(1/2)

  • Déréalisation: ressentir que environnement pas réel (détachement)
  • Dépersonnalisation: se sentir détaché de moi-même
74
Q

Prévalence du trouble de stress post-traumatique.

A

À vie=8,7%
12 mois=3,5%
Taux plus élevé aux vétérans de l’armé (métiers à haut risque=policiers, ambulanciers, pompiers)

Attention au trauma vicariant

75
Q

Caractéristique clinique du trouble de stress post-traumatique.

A
  • développement 3 mois après exposition au trauma (parfois différé)
  • Comorbidité très élevé (90%) avec dépression/abus de substance
  • Majorité des gens confronté à évènement traumatique développe pas PTSD
  • 75% résiliant
  • 6% rémission l’année suivant le trauma
  • 8% déterioration-rémission
  • 10% détérioration sans rémission
  • 4% chronique
76
Q

Facteurs de risque pré-traumatique.

A
  • ATCD de tr psychiatriques individuel/familial
  • Trauma/adversité à l’enfance
  • Sexe féminin
  • Faible niveau socio-économique
  • Faible niveau d’éducation
  • Facteurs de stress déjà présents
  • Vision du monde (pense que tout le monde fin, mais choc)
  • Style attributionnel (se blâmer)
77
Q

Facteurs de risques péri-traumatiques.

A

-Dissociation
-Détresse intense
-Évènement répitifs
-Événement causé intentionnellement par qlq
-Événement avec risque de décès
-Événement violent
-Événement intrusif
Événement déshumanisant
-Enfant impliqué

78
Q

Facteurs de risques post-traumatiques.

A
  • Absence de soutient social
  • Présence continue de stress ds quotidient
  • Adversité persistante ou nouvelle
  • Problèmes physiques
  • Mauvaise stratégie d’adaptation (consommation)
  • Sx dépressifs
79
Q

Facteurs de maintien du trouble de stress post-traumatique.

A

-Évitement (tout ce qui rappelle l’événement renforce la peur)

80
Q

Traitement du trouble de stress post-traumatique.

A
  • Médication ISRS (réduit intensité des souvenirs, évitement et hyperactivité)
  • Psychothérapie (psychoed/ exposition prolongée/ thérapie des processus cognitifs/ EMDR)
81
Q

Critères dx du trouble dissociatif de l’identité.

A
  • Perturbation de l’identitée caractérisé par 2 ou plusieurs personnalité distinctes
  • Amnésie dissociatives: fréquents trous de mémoire (évènements quotidient, info perso ou événement traumatiques)
  • Détresse ciniquement significative et altération du fx
  • Pas partie d’une pratique culturelle
82
Q

Prévalence du trouble dissociatif de l’identité.

A

12 mois: 1,5%

83
Q

Étiologie du trouble dissociatif de l’identité.

A
  • Commun: Trauma sévère à l’enfance

- Hypothèse plus plausible: trauma sévère amène forte dissociation qui cause un problème d’intégration de l’identité

84
Q

Controverse du trouble dissociatif de l’identité.

A
  • Techniques thérapeutiques peuvent encourager patients à présenter plusieurs identités
  • Nombre d’identité augmente souvent ds le temps
  • Difficile à différencier un vrai TDI et fake
85
Q

Critères dx de l’anorexie mentale.

A
  • Restriction apport énergétique par rapport aux besoins
  • Peur intense de prendre du poids ou comportement persistant interférent avec la prise de poids
  • Altération de la perception de prise de poids ou forme du corps/influence excessive de la forme ou du poids/manque de raisonnance de la gravité
86
Q

Quels sont les deux type d’anorexie mentale?

A
  • Restrictif: pas de comportement hyperphagique/vomissement/purgatif et perte de poid via régime restrictif, jeune ou entraînement excessif
  • Hyperphagique/purgatif: Comportement hyperphagique et/ou purgatif et/ou vomissements provoqués.
87
Q

Quelle est l’échelle d’IMC de l’anorexie mentale?

A
  • Léger=IMC>17
  • Moyen=IMC 16-16,99
  • Grave=IMC 15-15,99
  • Extrême=IMC<15
88
Q

Prévalence de l’anorexie mentale.

A
  • 12 mois=0,4%
  • Plus rare chez homme (1/10)
  • Apparition typique entre 14 et 18
  • Rare début après 40 ans
89
Q

Caractéristique et évolution de l’anorexie mentale.

A
  • Début en contexte stressant
  • Longue période de changement alimentaire (prodrome=tranquillement pas vite)
  • Majorité évolue bien en moins de 5 ans
  • Ceux admis en hopital, plus faible taux de rémission (plus sévère)
  • 5% de mortalité
  • Comorbidité importante (dépression/trouble de la perso/trouble usage de substance/impulsivité)
90
Q

Étiologie de l’anorexie mentale.

A
  • Facteurs prédisposants: Troubles anxieux et traits obsessionnels en enfance/dérèglement de la sensation de la faim/génétique(50%)/problèmes familiaux(abus, demandes parentales élevés)
  • Facteurs précipitants: Changement important qui amène un stress (déménagement, rupture des parents, changement d’école)/Influence des pairs (glorification de la minceur)
  • Facteur de maintient: Restriction alimentaire/restriction cognitive/facteurs de personnalité (perfectionnisme, recherche de contrôle)/ gains secondaires (approbation des proches)
  • Tous les TCA ont à un moment donné voulu faire attention à santé ou utilisé la restriction pour maintenir poids faible.
91
Q

Qu’est-ce que la restriction alimentaire?

A
  • Limiter prise d’aliment
  • Restreindre son choix d’aliment
  • Contrôler fortement qualité des aliments (éviter ceux trop caloriques)
92
Q

Quelle est la théorie de la restriction alimentaire?

A
  • La restriction a plusieurs conséquences
  • Restriction engendre surconsommation
  • Effet chameau
93
Q

Quelle est la théorie de la restriction cognitive?

A
  • Effort cognitif pour lutter contre envie de manger (objectif de contrôler le poids)
  • Aliments choisis de manière rationnelle et non par goût et envie
94
Q

Modèle comportemental appliqué à l’anorexie mentale.

A
  • Nourriture prend aspect phobique à cause d’un conditionnement
  • Se développe un évitement des stimuli qui engendre anxiété
  • Avec le temps, perte de poids devient objectif
95
Q

Compréhension psychodynamique de l’anorexie mentale.

A
  • Attaque contre soi
  • Construction d’identité autour du contrôle (sentiment de compétence)
  • Évitement de l’expérience affective
96
Q

Critères dx de la boulimie.

A
  • Survenue récurrente de binge (sentiment de perte de contrôle durant la crise)
  • Comportement compensatoire inapproprié et récurrents pour prévenir gain de poids (vomissement, laxatifs, jeûne,etc.)
  • Crise de binge-eating + comportement compensatoire arrivent au moins 1 fois/semaine pendant 3 mois
  • Estime de soi influencée excessivement par poids et forme corporelle
  • Survient pas exclusivement en période d’anorexie
97
Q

Échelle de sévérité de l’anorexie.

A

Léger=1-3 épisodes/semaine
Moyen=4-7 épisodes/semaine
Grave= 8-13 épisodes/semaine
Extrême= 14 et + épisodes/semaine

98
Q

Prévalence de la boulimie.

A
  • 1 à 1,5% des femmes
  • Ratio H/F=1/10
  • Apparition typique: fin ado/début adulte
  • Début avant puberté/après 40=rare
99
Q

Caractéristique clinique et évolution de la boulimie.

A
  • Poids dans la limite de la normale (différence avec anorexie de type hyperphagique)
  • Entre crise: consomme aliments de régime
  • Vomissements excessifs (prob. digestif, oesophage)
  • Évolution chronique ou intermittente
  • Souvent sx s’atténuent avec le temps avec ou sans traitement (qd stresseur part)
100
Q

Étiologie de la boulimie.

A
  • Composante d’avantage impulsive: binge-eating pour gérer émotions/sentiment de non-contrôle/investissement de pensées positives (je me sentirai mieux après)
  • Apparaît rarement seul: automutilation/dépendances/achats
  • Modèle psychodynamique: corps utilisé comme objet transitionnel en lien avec enjeux de séparation/Enjeux avec agressivité
101
Q

Critère dx de l’accès hyperphagique.

A
  • Même que boulimie, mais sans comportements compensatoires
  • Souvent surpoids ou obèses
  • 1,6% chez femmes et 0,8% chez hommes
102
Q

Traitements des trouble de comportement alimentaire.

A
  • Thérapie familiale (surtout pour anorexie)
  • TCC: très long (plus d’un an)
  • Important travail motivationnel
  • Psychoed
  • Expposition graduelle aux aliments interdits
  • Travail sur gestion des émotions
103
Q

Critères dx du trouble à symptomatologie somatique.

A
  • Plusieurs sx somatique causant détresse ou altération du fx.
  • Pensées axcessives liés aux sx ou préoccupation pour la santé et une manifestation parmi: pensées excessives concernant gravité des sx/anxiété élevé concernant santé ou sx/temps et énergie dévolus à ces sx
  • Depuis au moins 6 mois
104
Q

Caractéristique et évolution du trouble à symptomatologie somatique

A
  • 75% des gens auparavant dx comme hypocondriaques
  • Pour certains, préoccupation par rapport à la santé est centrale
  • Utilisation fréquente et répété des services médicaux (sans les rassurer)
  • Recherche répété d’anomalies physique
  • problème chronique
105
Q

Critères dx de la crainte excessive d’avoir une maladie.

A
  • Préoccupation d’avoir ou développer une maladie grave
  • Pas de sx somatiques, si oui, mineurs
  • Haut niveau d’anxiété
  • Comportement excessif concernant santé (vérifié signe de maladie)
  • Depuis au moins 6 mois
106
Q

Caractéristique et évolution de la crainte excessive d’avoir une maladie.

A
  • 25% auparavant déjà hypocondriaques
  • Difficile à rassurer/insatisfait
  • Maladie devient caractéristique centrale de l’identité
  • Haut niveau de problèmes interpersonnels
  • Évolution chronique
107
Q

Étiologie du trouble à symptomatologie somatique et de la crainte excessive d’avoir une maladie.

A
  • Expérience antérieur de maladie (soi ou famille)
  • Développement d’un fx mentale plutôt rigide à la santé
  • Rôle des interprétations négatives
108
Q

Critères dx du trouble de conversion.

A
  • Sx altération de motricité volontaire et fonctions sensorielles
  • Absence d’affection neurologique
  • Sx pas expliqué par autre trouble mental
109
Q

Caractéristique et évolution du trouble de conversion.

A
  • Débute après évènement stressant
  • Détresse non-exprimé, dissociée
  • Émotions fortement refoulées
110
Q

Traitements associés au trouble de conversion.

A

-Souvent en milieu médical (réapprendre à marcher)