Intra 1 Flashcards

1
Q

Quels sont les arguments remettant en question la théorie de reconnaissance par coposantes?

A

Déjà, ce ne sont pas tous les objets qui sont formés de géons, mais on est quand même capables de les reconnaître. De plus, on ne reconnaît pas toujours les objets dépendamment de l’angle. On reconnaît les objets sans vertex (ex. sphère). La couleur n’est pas dans ce modèle, puis il permet de distinguer deux catégories d’objets mais pas deux objets au sein d’une même catégorie. Aussi, elle ne tient pas compte du traitement descendant.

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2
Q

Quelles sont les conditions pour postuler une double dissociation fonctionnelle?

A

Il faut trouver deux patients avec des lésions complémentaires (que ces lésions portent atteinte à deux fonctions différentes). On vérifie ensuite si les fonctions complémentaires demeurent intactes. Si c’est le cas pour les 2 patients, on a une double dissociation, c’est-à-dire qu’on sait que ces deux fonctions dépendent de structures différentes dans le cerveau et qu’elles sont indépendantes l’une vis à vis l’autre.

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3
Q

Que pouvait conclure Donders au terme de son expérience?

A

Il pouvait affirmer que les processus mentaux tels que la prise de décision se déroule dans le temps et sont mesurables.

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4
Q

Qu’est-ce qu’Ebbinghaus a démontré?

A

Que la mémoire peut être quanditifée. Son expérience a démontré aussi que la mémoire permet de faire des économies de temps lors d’un deuxième apprentissage. Ces économies (en ms) se traduisent par une courbe descendant drastiquement les deux premiers jours et se stabilisant par la suite (même économie après 3 jours et après 30 jours)

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5
Q

Qu’est-ce qui est inattendu dans les résultats de Tolman?

A

Les rats, même lorsqu’ils commencent à un endroit différent dans le labirynthe, se souviennent du chemin à emprunter vers la récompense. Cela démontre que les rats développaient une carte cognitive pendant la tâche et cela va à l’encontre des postulats béhavioristes.

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6
Q

Quel portrait de la psychologie cognitive a dressé Neisser dans son livre?

A

Il a rassemblé les informations sur les processus cognitifs, mais celles-ci était surtout par rapport à la perception. Il n’a pas tellement parlé des processus mentaux de haut niveau, mais c’est aussi parce que peu d’études s’y attardaient à l’époque.

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7
Q

L’arrivée de la neuroimagerie et de l’électrophysiologie ont changé le monde scientifique. Quels ont été leurs apports aux science cognitives?

A

Ces technologies ont permis aux sciences cognitives de devenir véritablement empirique parce qu’il était maintenant possible de faire des mesures directes plutôt que de mesurer des TRS. Cela a aussi favorisé le développement de la localisation cérébrale.

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8
Q

Quels sont différents niveaux d’analyse scientifique pertinents aux sciences cognitives?

A

Le niveau moléculaire, le niveau fonctionnel, le niveau physiologique, etc.

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9
Q

Qu’ont découvert Hubel et Wiesel?

A

Qu’il y a dans le cortex visuel primaire des neurones répondant sélectivement à l’orientation (et donc qui détectent des caractésistiques).

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10
Q

Que savons-nous de l’aire fusiforme des visages?

A

Dans le FFA nous avons des neurones répondant à des visages. Nous savons maintenant aussi avec l’expérience des Greebles (Blackmoore et Cooper, 1970) qu’il s’agit d’une aire encodant la reconnaissance liée à l’expertise.

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11
Q

Qu’est-ce que la représentation distribuée?

A

Le traitement et l’expérience multidimensionnelle, par exemple d’information visuelle (on voit, ensuite on détecte un visage, ensuite on analyse le contenu émotif, etc.)

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12
Q

Que devons-nous faire pour postuler une connectivité fonctionnelle?

A

Vérifier s’il y a une corrélation de l’activité entre deux régions cérébrales.

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13
Q

Quel est le flow chart de la perception que nous avons vu?

A

3 niveaux : perception (stimuli entrants + mémoire) reconnaissance d’objets (analyse de caractéristiques, organisation d’éléments)  intelligence perceptuelle

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14
Q

Qu’est-ce qui distingue le modèle d’activation interactive de McClelland et Rumelhart du modèle pandémonium?

A

Le pandémonium n’intègre pas le traitement top-down, c’est à dire les attentes et le contexte.

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15
Q

Qu’est-ce que l’effet de supériorité du mot?

A

Lorsqu’une lettre est présentée dans un mot elle est plus facilement détectée par une unité parce que la présentation du stimulus a préalablement activé cette unité.

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16
Q

Nommez les problèmes perceptifs que nous avons énumérés et qui sont difficile pour les ordinateurs.

A

Le problème d’inversion de la projection (plusieurs stimuli peuvent laisser place à la même activation dans le système perceptif), la segmentation de la parole, les informations partielles, les contours causés par l’éclairage confus, etc.

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17
Q

Quelles sont les possibles fonctions des neurones miroir?

A

La prédiction des actions d’autrui en fonction de leurs buts. Cela pourrait aussi être pour favoriser l’apprentissage par imitation. Certaines études les ont aussi liés à l’empathie ou encore à l’autisme (bien que aps une cause).

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18
Q

Sur la base de quel philosophe de l’Antiquité Locke et Hume ont-ils réfléchi à l’esprit?

A

Aristote. Celui-ci est le précurseur de l’empirisme et cela a laissé place à l’empirisme britannique, puis éventuellement l’associationnisme. Les lois d’Aristote y sont sans doute pour quelque chose.

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19
Q

Pourquoi ne peut-on pas parler de loi de la perception comme l’entendait Aristote?

A

Parce qu’une loi ou un algorithme mène systématiquement à la résolution d’un problèmet et entend aussi que c’est toujours ainsi que le traitement a lieu. On parle aujourd’hui plutôt d’heuristique, c’est-à-dire une stratégie mentale estimant la meilleure résolution possible.

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20
Q

Pourquoi l’associationisme n’est-il pas une science?

A

Ce courant surivient avant que le premier laboratoire de psychologie soit fondé par Wundt. Il n’y a ainsi pas de méthodes empiriques en place. Il ne s’agit donc ainsi que d’hypothèses et de théories.

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21
Q

Qu’est-ce que Bain a apporté qui fut une poussée vers le béhaviorisme?

A

Il a déclaré que la psychologie devrait être une science. Il a aussi soutenu que la fréquence d’un comportement est augmentée lorsqu’il est suivi d’un événement plaisant.

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22
Q

Qu’est-ce que la psychophysique?

A

Il s’agit d’un courant au sein duquel il important d’extraire des lois régissant la perception via la physique. Par exemple, Weber a parlé de JND. Fechner a quant à lui établi la relation logarithmique existant entre intensité de stimulus et sensation.

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23
Q

Quel était le courant et la méthodologie associés à Wilhelm Wundt?

A

Le structuralisme. Cela venait de la chimie moléculaire. L’intention était de déterminer les éléments de base de la perception. La méthode de Wundt était l’introspection analytique (s’observer soi-même et inférer des processus mentaux). Ex. tâche d’association libre.

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24
Q

Quels sont les problèmes de l’introspection analytique?

A

Il ne s’agit pas d’une mesure fiable parce que c’est très subjectif et impossible à reproduire d’ue expérience à l’autre. De plus, il y a plein de processus mentaux auxquels on n’a pas accès parce qu’ils sont inconscients et donc on ne peut pas les observer en faisant de l’introspection analytique.

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25
Q

Quel courant fut une réaction au structuralisme?

A

Le fonctionnalisme de William James. Les différences individuelles sont trop importantes pour que l’introspection analytique soit efficace.

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26
Q

En quoi le positivisme logique a pavé pour le behaviorisme?

A

Le positivisme logique voulait que les idées scientiques se basent strictement sur des mesures empiriques.

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27
Q

En quoi le positivisme logique a-t-il laissé sa trace dans la discipline scientifique aujourd’hui?

A

Aujourd’hui on parle d’opérationnalisme. On s’attarde à la théorie qu’il y a entre le construit et la mesure. Ajout de l’importance de faire vérifier les découvertes par les pairs avant d’établir des faits scientifiques ou carrément de publier quelque chose.

28
Q

En quoi Darwin a-t-il été une influence pour les béhavioristes?

A

Les béhavioristes étudient les animaux et infèrent par rapport aux humains parce qu’ils tiennent compte de la théorie de l’évolution qui veut que tous les animaux aient un ancêtre commun. La sélection naturelle va de pair également avec la notion d’apprentissage chez les béhavioristes

29
Q

Quel était le but du béhaviorisme d’après Watson?

A

La prédiction et le contrôle du comportement (versus la compréhension des processus mentaux). Et puis au passage, mettre fin au structuralisme et la méthode introspective. Faire de la psycho une science objective expériementale.

30
Q

Quel concept est primordial pour le behaviorisme et est un concept commun avec l’empirisme d’Aristote?

A

Le concept de tabula rasa

31
Q

Est-ce que l’hérédité est un concept béhavioriste?

A

non

32
Q

Que constitue la boîte noire, cet élément entre l’événement et le comportement que les behavioristes ont choisi d’omettre?

A

Les processus mentaux

33
Q

Quels problèmes a-t-on relevés au fil des ans par rapport au behaviorisme?

A

Une étude portant sur l’apprentissage d’évitement auprès de rats a démontré que les rats auraient des prédispositions à faire certaines associations plutôt que d’autres (malaise interne avec eau goûteuse et malaise externe avec choc électrique). Cela voudrait dire qu’il y a des processus innés que le behaviorisme n’endosse pas. De plus, l’expérience de Tolman a démontré qu’il y a apprentissage même sans renforcement. Les behavioristes prédisaient que cela n’était aps possible. De plus, le behaviorisme verbal postulé par Skinner a été réfuté par Chomsky. Ce dernier parle de pauvreté de stimulus: l’environnement seul ne peut expliquer tout l’apprentissage langagier. Également, on est capable de distinguer la parole des bruits bien qu’on ne nous ait pas renforcé à faire cette distinction. On sait aussi que le babillage est renforcé par les parents. Le behaviorisme prédirait donc que le babillage soit présent longtemps après l’enfance… Autres exemples de productions non renforcées.

34
Q

Que conservons-nous du behaviorisme aujourd’hui?

A

Il a laissé place à la notion d’apprentissage statistique, a permis de rendre la psychologie rigoureuse en ce sens qu’on lui a apposé des mesures empiriques. C’est aussi le behaviorisme qui a répandu les études animales.

35
Q

En plus des problèmes relevés dans le behaviorisme, quels sont les événements qui ont mené à la révolution congitive?

A

Déjà, il y a les avancées scientifiques (ex. instruments de mesure, ordinateurs, etc.). Aussi, il y a eu la conférence de Dartmouth qui a réuni des informaticiens et des psychologues. Ceux-ci se demandé comment programmer un ordinateur à agir comme un humain. Faire des modèles humains a permis éventuellement d’élaborer des théories cognitives. Il y a eu aussi la conférence du MIT en 1956.

36
Q

Qu’est-ce qui distingue l’approche cognitive du behaviorisme?

A

On parle de 4 propriétés. L’accent est maintenant mis sur les connaissance (événements mentaux) ainsi que sur les structures mentales et leur organisation. On instiste sur le fait que l’individu n’est pas victime de son environnement. Il a de la volonté et il fait des sélections. Il se sert de son attention et il élabore des stratégies (Actif, constructif, organisé).

37
Q

Qu’ont l’approche cognitive et le behaviorisme en commun?

A

Les deux se basent sur des mesures observables (temporelles et d’exactitude).

38
Q

Qu’est-ce qu’une science selon Stanovich?

A

Un empirisme systématique, de la connaissance publiquement vérifiable et des problèmes résolubles empiriquement (opérationnalisation)

39
Q

Nommez les 4 postulats de l’approche du traitement de l’information.

A

Les processus se déroulent sur un temps déterminé et mesurable, les entraées sont traitées et transformées, certaines étape de traitement ont une capacité limitée, puis enfin le traitement est sériel.

40
Q

Qu’est-ce qui a été démontré par l’expérience de Sternberg?

A

Il a été démontré que nous faison de la recherche sérielle exhaustive, c’est à dire que nous analysons tous les éléments d’un groupe avant de déterminer si une cible y est contenue. D’après Sternberg cela pourrait être parce que cela facilite le traitement dans le sens qu’on ne prend qu’une seule décision et cela à la fin.

41
Q

Nommez une étude qui rend compte qu’on petu bel et bien étudier les processus mentaux et l’esprit de manière scientifique.

A

Expérience de Sterberg sur la recherche visuelle.

42
Q

Qu’a apporté le connexionnisme à la psychologie?

A

On a postulé que se trouvaient dans le cerveau des réseaux de neurones interconnectés. On a aussi postulé qu’il y avait du traitement en parallèle. Tous cela s’opère selon un seul ensemble de règles et ses dérivations.

43
Q

Qu’ont fait LeCun et al. ainsi que McClelland et Rumelhart dans le cadre du connexionisme?

A

Ils ont programé des réseaux connexionistes capable d’effextuer des tâches: respectivement de reconnaître des chiffres manuscrits et de conjuguer des verbes.

44
Q

Au niveau biologique, quelle approche est al plus plausible: le connexionisme ou le traitement de l’information (parallèle ou sériel)?

A

Le connexionisme. De plus, celui-ci comporte un apprentissage autonome possible ne nécessitant pas beaucoup de connaissance au départ.

45
Q

Que permet la neuroscience cognitive au niveau des mesures?

A

Elle permet de comparer les mesures neurologiques aux mesure béhaviorales pour vérifier s’il y a une corrélation et ainsi obtenir des résultats et tirer des conclusions plus solides.

46
Q

À quel type de stimuli visuels les neurones du cortex inférotemporal répondent-ils?

A

Des stimuli complexes tels que des figures irrélulières ou encore des visages.

47
Q

Nommez et décrivez les 3 types d’encodage ayant été étudiés par les chercheurs.

A

Il y a d’abord l’encodage spécifique, ce qui correspond par exemple à un neurone Grand-mère qui ne répondrait seulement qu’à notre grand-mère. Ensuite, il y a l’encodage distribué. Dans ce cas, la reconnaissance de deux objets pourrait activer les mêmes neurones mais de façon différentielle. Finalement, il y a l’encodage smi-distribué. La reconnaissance actierait un petit ensemble de neurones et deux objets pourraient partager quelques uns de ceux-ci. Il s’agit du modèle le plus réaliste parce qu’il est le plus économique au niveau des ressources tout en permettant al dégradation progressive.

48
Q

Quel type d’encodage l’étude de Quiroga et al. supporte-elle?

A

L’encodage spécifique, mais les chercheurs ont déclaré qu’ils auraient sûrement trouvé plus de preuves pour l’encodage semi-distribué s’ils avaient eu le temps.

49
Q

Qu’ont démontré les diverses études sur l’apprentissage implicite?

A

Elles ont démontré que nous faisons un apprentissage de séquence sans même nous en rendre compte et que celui-ci accélère le traitement. Lorsqu’on change la séquence, les TRS augmentent. Nous n’avons pourtant pas conscience de cela.

50
Q

D’après l’expérience de Kuran et Keele, quels sont les rôles respectifs des systèmes attentionel (explicite) et non-attentionel (implicite)?

A

Le système non-attentionnel calcule les occurence et fait des statistiques. Il prédit en fonction de celles-ci. Le système attentionnnel acumule l’info concernant le pattern entre les présentations. Il fait des prédictions basées sur ces mouvements. Il permet aussi d’accélérer le traitement. Au final, plus on est conscient, plus le traitement est rapide.

51
Q

Le système attentionnel a-t-il son rôle dans l’accélération du traitement?

A

Oui, mais son rôle est considérablement moindre que le système attentionel. Le niveau de confience n’a pas d’influence sur lui par contre. Il y a donc une dissociation simple entre les 2 systèmes attentionels! Les données de neuroimagerie sont en concordance avec ces résultats.

52
Q

Quelle est la formule du contenu de la mémoire sensorielle?

A

Le nombre d’éléments en mémoire x le nombre d’alternatives possibles

53
Q

Quels sont les dangers de la neuroscience?

A

De mauvaises analyses statistiques peuvent mener à de mauvaises conclusions. De plus, les explications scientifiques accompagnées d’images de neuro sont beaucoup mieux reçues par le public même si elles sont erronées. Finalement,

54
Q

Nommez trois exemples de la vie courante ou nous rencontrons la persistence visuelle.

A

Le cinéma, les feux de bengale ou la foudre.

55
Q

Quel est l’instrument utilisé pour flasher des stimuli visuels dans l’expérience de Sperling?

A

Un tachistoscope

56
Q

Pourquoi le rapport complet n’est pas une mesure adéquate dans l’expérience de Sperling?

A

Parce qu’elle mesure la MCT alors que le but est de mesurer la mémoire sensorielle (iconique). Le rapport complet nécessite une répétition interne qui n’Est possible que dans la MCT.

57
Q

Pourquoi ajouter un délais au rapport partiel?

A

Pour mesurer pendant combien de temps la mémoire iconique est efficace.

58
Q

Comment sait-on qu’on a affaire à la mémoire sensorielle et non à la MCT?

A

C’est que le nombre d’éléments rapportés dépasse la capacité de la MCT de façon significative.

59
Q

La mémoire sensorielle peut-elle faire du traitement?

A

Non. Le traitement doit passer par la MCT.

60
Q

La mémoire échoïque a-t-ellle la même capacité que la mémoire iconique?

A

Non. Elle peut contenir moins d’éléments, mais elle les contient plus longtemps (4s vs. 1s).

61
Q

Quel est le principal problème de la théorie par appariement de gabarits?

A

Il faut un gabarit pour tous les objets et dans tous les angles, etc. Pas parcimonieux et ne tient pas compte de la variabilité.

62
Q

En quoi le Pandémonium est meilleur que la théorie par appariement de gabarit?

A

Il est plus parcimonieux, il est sensible à la variabilité et il a du support neurologique (Hubel et Wiesel). Il est même capable de prédire une matrice d’erreur de reconnaissance de lettres.

63
Q

Quel serait une preuve du traitement descendant?

A

La supériorité du mot

64
Q

D’après l’expérience de Palmer, comment le contexte influence-t-il la reconnaissance d’objet?

A

Le contexte crée des attentes via le traitement descendant et va faciliter le traitement d’objets propice au contexte, ralentir le traitement d’objets non propices et encore plus ralentir pour un objet non propice similaire à un objet propice.

65
Q

Décrivez la tâche ayant permis de faire la dissociation entre le contrôle visuospatial et la perception visuospatiale (systèmes dorsal et ventral).

A

Il s’Agit de l’expérience de Goodale et al.. La patiente D.F. devait faire matcher une plaquette avec une fente. Elle était incapable, mais elle était capable de poster la plaquette dans la fente. Une autre expérience de Perenin et Vighetto a aussi démontré la dissociation inverse. Les deux systèmes sont donc doublement dissociés.