Final Flashcards

1
Q

Nommez trois preuves soutenant une interaction (structurelle) entre la perception et l’imagerie mentale.

A

1- La TMS ralentit le traitement pour les deux
2- Imaginer une lettre facilite son traitement perceptif par la suite
3- Des projections subtiles (perception) peuvent influencer l’imagerie de participants

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2
Q

Nommez et décrivez une méthode d’imagerie qui permet d’améliorer la mémoire.

A

La méthode de Loci: il s’agit de se déplacer et placer les objets à mémoriser dans l’espace.

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3
Q

Comment se nomme le phénomène qui fait en sorte que les souvenirs épisodiques se transfèrent à la mémoire sémantique avec le temps?

A

La sémanticisation de la mémoire épisodique

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4
Q

Qu’est-ce que l’expérience de rotation mentale a permis de démontrer?

A

Que l’imagerie visuelle est analogue à la perception dans le sens que la rotation mentale prend du temps proportionnellement croissant avec l’angle de rotation, comme pour la perception d’un stimulus réel.

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5
Q

Dans la tâche de balayage mental, quelle condition est critique pour soutenir que l’imagerie mentale est un processus analogue à la perception?

A

La condition ou on zoom notre concentration sur une partie de l’image. Pour déplacer notre attention à une aute partie de l’objet, il y a un délai, contrarement à l’autre condition ou l’objet est imaginé dans son entièreté et les TRS sont stables. C’est aussi une preuve pour la figurativité.

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6
Q

Quelles critiques Pylyshyn apporte-t-il aux études sur l’imagerie mentale?

A

Le manque de fiabilité des tâches de type introspection analytique, le fait que ces tâches soient non écologiques et l’impénétrabilité congnitive (il y a peut-être des processus inconscients que les participants ne peuvent pas rapporter).
Il soutient aussi qu’il est possible que nous utilisions de l’imagerie mentale sans que nous nous en servions pour résoudre des problèmes. L’image pourrait survenir même après la résolution (épiphénomène).

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7
Q

Quelle est l’hypothèse opposée à l’imagerie mentale?

A

L’hypothèse de la connaissance tacite

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8
Q

Dans les représentaitons propositionnelles, qu’est-ce qui explique la variance en TRS?

A

Le nombre de liens qui sépare les concepts. Plus il y a de propositions qui séparent les objets au niveau sémantique, plus les TRS sont élevés.

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9
Q

Quel est le résultat critique dans l’étude de balayage mental de Kosslyn effectuée avec une carte?

A

Il y a une relation linéaire entre la distance du point de départ et l’augmentation des TRS. Cela ne peut pas être expliqué par l’approche propositionnelle parce que celle-ci ne tient pas compte des distances entre les objets, mais plutôt de l’emplacements de ceux-ci par rapport aux autres.

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10
Q

Que savons nous d’après la tâche éléphant/mouche de Kosslyn?

A

Qu’il y a une résolution correspondante à la grosseur des items dans l’imagerie mentale. Nous savons aussi qu’il existe une possibilité d’overflow, c’est à dire qu’il y a des limites à ce qui peut être contenu spatialement dans l’imagerie mentale.

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11
Q

Qu’à-t-on découvert au sujet de l’imagerie grâce à l’électrophysiologie?

A

Que certains neurones répondent autant à la perception qu’à l’imagerie d’un même objet (ex. balle de baseball)

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12
Q

Nommez 2 différences observées en imagerie entre la perception et l’imagerie mentale.

A

Dans le cas de l’imagerie, il n’y a pas d’activation du cortex strié. De plus, il y aurait davantage d’activité associée à la récupération en MLT (puisque les objets ne sont pas perçus directement).

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13
Q

Quelle conséquence sur l’imagerie a l’ablation d’un des deux lobes occipitaux.

A

Le rétrécicement du champ imaginatif, au même titre que du champ visuel!!! Observé via la tâche d’estimation de distance.

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14
Q

La correspondance entre imagerie est-elle parfaite? Pourquoi?

A

Non, car il y a aussi des études qui ont soulevé des dissociations entre l’un et l’autre. De plus, certains phénomène perceptifs ne se retrouvent pas en imagerie, tel que l’ambiguïté du cube de Necker.

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15
Q

Comment savons-nous que les systèmes de MT et de MLT sont dissociés?

A

Si on empêche la répétition, l’effet de récence n’est pas affecté. Puisque seulement l’effet de primauté est affecté, c’est que la MT est intacte contrairement à la MLT. (Jusqu’ici on sait qu’il y a 2 systèmes).
Aussi, si on introduit un délai qui affecte l’effet de récence, l’effet de primauté demeure intact. Améliorer l’effet de primauté n’affecte pas l’effet de récence. Il y a donc une double dissociation.

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16
Q

Qu’est-ce qui pourrait expliquer que seulement la mémoire épisodique se dégrade grandement avec l’âge?

A

La mémoire épisodique relève de l’hippocampe qui se dégrade avec le temps. La mémoire sémantique relève d’autres structures.

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17
Q

Qu’a démontré l’expérience avec les histoires courtes?

A

L’oubli est majoritairement épisodique, mais le sens du message (sémantique) est préservé.

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18
Q

L’intention d’apprendre a-t-elle un impact sur la performance?

A

Non. Par contre, la profondeur de traitement et les stratégies d’encodage, oui.

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19
Q

L’effet de génération soutient quoi? Quels sont d’autres effets qui soutiennent la même chose?

A

Que la pronfodeur de traitmeent influence la performance.

L’effet d’auto-référence. L’imagerie visuelle.

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20
Q

Pourquoi l’imagerie serait une tâche des plus profondes?

A

Parce qu’elle fait appel aux 4 facteurs influençant la profondeur de traitement, soit la contiguité temporelle, la relation syntaxique, le codage sématique et la connaissance dynamique.

21
Q

Autre que le chunking, nommez une stratégie de rétention efficace.

A

L’organisation hiérarchique. En effet, le rappel d’éléments organisés peut se faire plus aisément.

22
Q

Que soutient l’effet de testing?

A

Le fait qu’il faut mieux se tester que répéter l’information, dumoins à long terme. À court terme, la répétition peut être bénéfique. Cet effet a lieu même sanas rétroaction!

23
Q

Quelle étude a permis d’invalider l’approche des niveaux de traitement?

A

L’appariement de la tâche avec le test.

24
Q

La profondeur de traitement a-t-elle tout de même une importance même si l’appariement tâche/test est le facteur le plus crucial?

A

oui.

25
Q

Comment a-t-il été prouvé que l’effet du contexte n’est pas le résultat d’une perturbation dans l’étude avec la plongée?

A

Dans une seconde expérience, le groupe sur la terre devait sauter dans l’eau et en ressortir pour effectuer le rappel.

26
Q

À part le contexte, nommez un facteur important pour la spécificité de l’encodage.

A

Le facteur sonore.

27
Q

Quelle condition montre une interaction avec l’état dans la spécificité de l’encodage?

A

La condition de génération. En effet, le rappel à la suite d’une simple lecture n’est pas affecté par l’état à l’encodage. Cela serait parce que la génération et l’humeur sont deux phénomènes internes.

28
Q

Qu’est-ce qui soutient que l’oubli en MLT serait plutôt dû à la difficulté de récupération qu’à la disparition de la trace?

A

La réponse facilité par la spécificité de l’encodage, c’est-à-dire par un indice. Puisqu’il est plus facile de se rappeler d’un souvenir lorsqu’on a un indice (saillant à l’encodage), ça veut dire qu’on n’avait pas vraiment oublié l’item, mais plutôt qu’on était incapable d’y accéder.

29
Q

Est-ce que les indices auto-générés sont plus efficaces?

A

Oui. Les indices n’auraient pas une valeur intrinsèque, car si on présente les indices de quelqu’un d’autre, le rappel ne sera pas forcément facilité. Le fait est que le rappel est facilité par le nombre d’indices, mais surotut par le fait qu’ils ont été auto-générés.

30
Q

Dans quel cas la consolidation des souvenirs est-elle significative pendant le sommeil?

A

Si on savait qu’on allait être testé. D’ailleurs, les participants présentaient une période de sommeil à ondes lentes plus longue.

31
Q

Qu’est-ce qui prouve que les souvenirs sont fragilisés lorsqu’ils sont de retour dans la MT?

A

Dans une étude, les participants pour lesquels on faisait mention des éléments appris la veille (liste A), il y a plus d’erreurs au rappel parce qu’ils ont rapporté de manière erronée plus d’items de la liste B (présentée le deuxième jours). Cela est parce que le souvenir du Jour 1 a été modifié et des items de la liste B s’y sont glissés à la reconsolidation.

32
Q

Dans l’expérience de Tulving sur la mémoire implicite, quel résultat prouve son existence?

A

Les TRS pour la complétion baisse lorsque le stimulus a été vu auparavant dans la phase d’apprentissage. Il s’agit d’un amorçage de répétition.

33
Q

Qu’est-ce qui a permis n’éliminer la mémoire explicite comme explication de l’armoçage de répétition (ex. Les participants se rappellent consciemment des mots)?

A

Avec un plus long délai, c’est à dire 7 jours, la perforamnce à la tâche de reconnaissance est significativement plus basse alors que la tâche de complétion a été réussie de manière constante. Il n’y a donc pas d’oubli dans la tâche de complétion alors que nous savons que la mémoire explicite se dégrade avec le temps. Les résultats ne peuvent donc être expliqués que par la mémoire implicite. Il s’agit d’une preuve de dissociation.

34
Q

Comment les souvenirs sont-ils réactivés dans la mémoire implicite?

A

Par la réactivation des systèmes. La mémoire implicite est dispositionnelle.

35
Q

Quelle mémoire testons nous avec des instructions directe (récupération consciente) ?

A

La mémoire explicite. Pour la mémoire implicite il faut des instructions non-directe.

36
Q

Dans quel cas l’effet de profondeur de traitement n’a-t-il pas lieu?

A

Lorsqu’on teste la mémoire implicite. C’est une autre démonstration de dissociation. La présentation espacée/groupée a également seulement un impact sur la mémoire explicite.

37
Q

Quelle serait une preuve d’amorçage sémantique?

A

Lorsqu’on présente une amorce et une cible, la lecture du mot-cible présente des TRS plus bas lorsqu’il y a un lien sémantique avec l’amorce.

38
Q

Vrai ou faux: L’amnésie est un déficit de la mémoire explicite.

A

Vrai

39
Q

Comment a-t-on déterminé une dissociation neurologique entre les mémoires implicite et explicite?

A

Ils ont fait une étude sur les gens atteints du syndrôme de Korsakov. Ces derniers ont montré une perfo inférieure aux contrôles dans la tâche de rappel, mais une perfo égale dans la tâche de complétion de mot. Cela prouve que l’amnésie est un déficit de la mémoire explicite.

40
Q

Nommez les trois explications possibles de la bosse de réminiscence.

A

L’image personnelle, le script de vie culturel et l’hypothèse cognitive.

41
Q

Donnez un exemple de biais.

A

Les erreurs d’inférence.

42
Q

Que sait-on de la suggestibilit.?

A

Plus le temps passe après la mauvaise info, plus celle-ci se dégrade et la performance augmente. Dans le même ordre d’idées, plus le délai est grand avant de présenter l’info tropeuse, plus le souvenir précédent peut être facilement remplacé.

43
Q

Quel soutient existe-t-il pour l’approche par réseau sémantique hiérarchique?

A

Le fait que les TRS sont plus long lorsqu’on doit passer par plusieurs niveaux hiérarchiques, et encore plus lorsqu’on vérifie une propriété qu’une catégorie.

44
Q

Quels sont les problèmes de l’approche classique de la catégorisation des concepts?

A

Cette approche est trop restrictive et donc n’inclut pas les exceptions. De plus, certaines définitions sont insuffisantes (n’explique pas tous les items). Enfin, certains concepts sont disjonctifs alors que cette approche ne le permet pas.

45
Q

Quelle résultat empirique va à l’encontre de l’approche classique?

A

La tâche de jugement de typicité démontre que ce ne sont pas tous les items d’une catégorie qui sont d’aussi bons exemplaires.

46
Q

Quel résultat empirique va à l’encontre de l’approche par réseaux?

A

La tpache de vérification de phrases présente parfois des TRS plus évelés pour une plus courte distance dans le réseau.

47
Q

Comment appelle-t-on l’item avec le score de ressemblance le plus élevé?

A

Un prototype.

48
Q

Quel soutient y a-t-il pour l’approche prototypiste?

A

Le rappel des prototypes est durable.

49
Q

Quelle approche l’expérience de Brady soutient-elle?

A

L’approche exemplariste.