Intervention en situation de crise hétéroagressive (part.1) Flashcards

1
Q

Quel est le point ultime d’une crise hétéroagressive ?

A

Homicide

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Q

Que signifie hétéroagressive ?

A

De l’agressivité envers autrui

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3
Q

Nommez des instruments actuariels (4) du risque de dangerosité.

A
  • Vrag
  • Sorag
  • HCR-20
  • PLC-R
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4
Q

Quel est la difficulté des instruments actuariels lors d’une intervention en situation de crise hétéroagressive ?

A

L’intervenant n’a pas nécessairement les résultats des instruments/échelles (il n’a pas accès à l’information).

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5
Q

Nommez des facteurs de risque individuels (2).

A
  • Sexe masculin

- Antécédents de violence (le plus important)

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6
Q

Nommez des facteurs de risque cliniques (3).

A
  • TP
  • Trouble de santé mentale
  • Toxicomanie
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7
Q

Nommez des facteurs de risque contextuels (3).

A
  • Perte d’emploi
  • Rupture amoureuse
  • Être en état de consommation
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8
Q

Nous savons qu’être de sexe masculin est un facteur de risque individuel, mais qu’en est-il pour les problèmes de santé mental. Les hommes ou les femmes sont plus à risque ?

A

C’est 50-50%.

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9
Q

Nommez quelques exemples d’évaluation clinique du risque de dangerosité (3).

A
  • Faire l’estimation de l’état mentale
  • Poser les vraies questions
  • Vérifier les facteurs de risque
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10
Q

Si l’intervenant a un doute sur une possible agression, que doit-il faire ?

A

Se servir de sa position active de l’intervenant afin de poser les vraies questions.

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11
Q

Nommez des choses que l’intervenant peut faire pour prévenir une situation agressive (3).

A
  • Favoriser un milieu sécuritaire/neutre
  • Privilégier un premier contact téléphonique
  • Porter des vêtements/souliers adéquats
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12
Q

Quel est l’avantage de la personne en crise ?

A

Elle connait le milieu (l’endroit), elle connait le contexte…

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13
Q

Qu’est-ce qu’un replis stratégique ?

A

Un plan B.

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14
Q

Nommez les 3 indices de signes non- verbaux d’agressivité.

A

État mental (désorganisation, irritabilité)
Manifestations physiques (corps tendu)
Comportements (hypervigilence)

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15
Q

Quel est le principal signe non-verbal (comportementale) d’agressivité ?

A

Le rocking.

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16
Q

Nommez les 3 indices de signes verbaux d’agressivité.

A

Insultes/provocation/intimidation
Menaces directes
Protestation/projection

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17
Q

Que veut dire la projection ?

A

Mettre la faute sur l’autre.

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18
Q

Nommez d’autres indices de signes précurseurs d’agressivité (3) .

A
  • Besoin excessif de contrôle
  • Certaines tentatives très ouvertes de séduction
  • Présence d’une très grande peur
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19
Q

Qu’est-ce que le two steps no ?

A

Vérifier les besoins derrière la demande. On ne dit pas non tout de suite. On diminue ainsi beaucoup les risques de violence.

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20
Q

En cas de tentative de séduction, la majorité des passages à l’acte agressif survient après que…

A

l’intervenant ait dit non.

21
Q

Quel est le groupe de personne le plus à risque d’agressivité ?

A

Les personnes âgées.

22
Q

Qu’est-ce qu’Oméga ?

A

Une formation pour assurer sa sécurité (interventions physiques et autres types d’interventions).

23
Q

Quelles sont les 4 réactions possibles en cas de danger ?

A
  • Fuir
  • Foncer
  • Feindre (faire semblant que rien ne se passe)
  • Figer
24
Q

Quelle est la meilleure solution (façon d’agir) en cas de danger selon les 4 F ?

A

Il y a des avantages et des désavantages à chacune des options.

25
Q

Quel est l’objectif de la méthode de la pacification de la crise aigue ?

A

On se centre sur le vécu de la personne. Sur l’émotion/le besoin de la personne et non sur son comportement.

26
Q

Nommez 3 exemples de choses que nous devons faire dans l’approche de la pacification de crise.

A
  • Assurer sa protection physique
  • Offrir une écoute empathique
  • Demeurer calme
27
Q

Nommez les 4 phases de la pacification de la crise.

A

1- Éclatement initial (crise aigue)
2- Cycle de communication et d’éclatement
3- Métacommunication
4- Résolution (fin de la crise)

28
Q

Lors du cycle de communication et d’éclatement, l’intervenant doit encourager…

A

L’expression émotive.

29
Q

Si la personne est intoxiqué et/ou à des troubles spécifiques, pouvons-nous utiliser la méthode de la pacification ?

A

Non.

30
Q

Si l’intervenant est la cible de la personne en crise, peut-il utiliser la méthode de la pacification ?

A

Non.

31
Q

Vrai ou faux : La pacification est un processus rapide.

A

Faux, ça peut être long. Ne pas la commencer si on ne peut pas la terminer.

32
Q

Nommez les 8 étapes de la grille du potentiel agressif.

A
  1. Tension émotive
  2. Collaboration conditionnelle
  3. Réfractaire
  4. Intimidation psychologique
  5. Résistance active
  6. Agression physique
  7. Assaut grave
  8. Menace exceptionnelle
33
Q

À partir de quelle étape de la grille du potentiel agressif devons-nous arrêter de faire la pacification(ce n’est plus approprié) ?

A

À partir de l’étape 4 : Intimidation psychologique.

34
Q

Qu’est-ce qu’une trève ?

A

Un moment d’arrêt dans l’action.

35
Q

Qu’est-ce qu’une requête Alpha ?

A

Faire une demande claire.

36
Q

Nommez des possibilités d’interventions selon le contexte de dangerosité.

A
  • Pacification
  • Trève
  • Requête alpha
  • Recardrage
  • Alternative
  • Option finale
  • Intervention physique
37
Q

Qu’est-ce que la «dangerosité» selon la lecture ?

A

L’intention ou l’impulsion de faire du mal à une personne ou de la blesser.

38
Q

Qu’est-ce que le concept d’allostase ?

A

C’est un indicateur de risque cumulatif.

39
Q

Selon la lecture, la dangerosité post-partum est exclusivement féminine sauf…

A

Dans les cas ou le trouble mental majeur préexistant chez le père est exacerbé par l’ambivalence et le stress associés à la personne.

40
Q

Selon la lecture, nommez deux exemples de comportements à l’enfance que l’on peut associer à la dangerosité ?

A
  • Allumer des feux

- Cruauté envers les animaux

41
Q

Vrai ou faux : Le stalking est lié à la dangerosité.

A

Vrai.

42
Q

Vrai ou faux : l’alcool est présent dans 30% des cas d’assauts physiques et même d’homicides.

A

Faux, c’est présent dans plus de 50%.

43
Q

Selon la lecture, dans un contexte de crise agressive qu’est-ce qu’une expression affective ?

A

Sentiment d’avoir la volonté de se blesser ou de blesser autrui réellement.

44
Q

Selon la lecture, dans un contexte de crise agressive qu’est-ce qu’une fantaisie ?

A

Fantasme de blesser ou de blesser réellement quelqu’un.

45
Q

Avant le passage à l’acte agressif, la personne bouillonne de rage à l’intérieur d’elle durant combien de minutes ?

A

30 à 60 minutes.

46
Q

Quelle est la meilleure approche (traitement/thérapie) en cas d’agressivité ?

A

Traitement spécifique portant sur la colère et l’agressivité.

47
Q

Quels sont les deux facteurs qui augmentent de façon importante l’estimation du risque de violence lorsqu’ils sont combinés (comorbidité) ?

A

Abus de substance et problèmes de santé mentale.

48
Q

Que dois faire l’intervenant dans l’étape de l’éclatement initial ?

A

Se montrer disponible tout en assurant sa sécurité.

49
Q

Que dois faire l’intervenant dans l’étape de la résolution ?

A

Conclure la pacification.