Inflation Flashcards
Le cas français vis à vis du carée magique
- 1976 : Les deux mauvais points sont l’Inflation forte et le déficit de la balance commerciale
- 1983 : A peu près les quatre indicateurs sont dans le rouge
- 2014 : Les trois mauvais points sont le taux de croissance assez faible,le déficit commercial et le taux de chômage très important et durable
Le carée magique de Kaldor
Evidemment, le carré n’est jamais parfait puisqu’il suppose qu’un pays puisse atteindre à la fois le plein-emploi, une faible inflation, une forte croissance avec un équilibre de la balance commerciale
Définition de l’inflation
L’inflation est un déséquilibre économique sur les marchés qui entraine une hausse des prix généralisée et durable par des mécanismes autoentretenus. À retenir que:
- ds l’éco réelle le prix s’autorégule par l’O/D. Mais avc certains déséquilibre il y a une hausse des prix durable
- la hausse des prix avc le tourisme ou l’innovation n’est pas pris en compte
Déflation et désinflation
La première désigne un déséquilibre qui se traduit par une tendance à une baisse généralisée et durable des prix et la deuxième signifie que l’inflation ralentit, donc que la hausse des prix est devenue moins forte.
La différence entre inflation et niveau des prix élevé
Japon: faible inflation mais niv de px élevé
USA: inflation mais niv de px bas
l’inflation mesurée par l’indice des prix est en dynamique alors que le niveau relatif des prix est une évaluation statique
Les csq sociales de l’inflation
- L’inflation fait perdre de la richesse a ts les possesseurs de créances et l’emprunteur (États Ménages Entreprise) voit sa charge d’endettement diminuer au fil des années
- l’investissement immobilier est favorisé encourageant les propriétaires à s’endetter pr construire des logements et par effet levier l’investissement aussi
- les grp sociaux qui arrivent à indexer leurs salaires à l’inflation ne perdent rien (ouvrier syndicalisés agri fonctionnaires)
Csq écoQ de l’inflation
-L’inflation fait monter les “i” nominaux. Dc l’emprunteur sur le LT dvt le risque de montée des tx nominaux est lui mm incité une ⬆️du tx d’inflation pr éviter une trop forte charge de remboursement
-L’inflation dégage des profits comptable largement fictifs
-Si les taux réels deviennent négatifs, le calcul de rentabilité de l’investissement est faussé et certaines dépenses engagées qui ne devraient pas se justifier, sont quand même lancées car le coût financier est réduit.
-Si un pays connait enfin une inflation forte par rapport à ces concurrents, le risque d’une dévaluation de sa monnaie, en période de changes flottants, est fort.
Bezbakh 4 grdes explication de l’inflation:
- par la monnaie
- par la demande
- par les coûts
- par les structures
par la monnaie, la demande, les coûts et les structures
Inflation par la monnaie
D.Hume (1750) distingue le court et le long terme. Sur le long terme, la quantité de monnaie ne change rien à l’activité économique , seuls les prix changent ainsi que le phénomène de l’inflation. Par contre, sur le court terme, une hausse modérée des revenus et des prix stimule l’activité économique. TQM Friedman critique de théorie keynésienne
L’inflation par la demande
lorsque la demande de biens et services excède largement et de manière durable l’offre correspondante:
- insuffisance de la capacité de p° (conflit armé, troubles civils, catastrophe naturelle)
- conso° accrue par désépargne fortes suite à une pô forte ⬇️ des “i” ou l’inflation montante qui pousse à consommer au mmt présent
- ⬇️impôts ⬆️dépense publique ➡️ ⬆️D artificielle État voulant relancer la conso et p°
- excédent commercial ⬆️D auquel O national ne peut faire face
Inflation par les coûts
une hausse d’un coût quelconque de production laquelle est transmise au coût total de production puis au prix de vente d’où apparition de l’inflation. La hausse du prix engendre une demande de hausse des salaires nominaux pour combler cette “augmentation du coût de la vie”. La hausse salariale entrainera une hausse du coût total de production puis du prix de vente ainsi de suite
Les hypothèses pour que l’inflation par les coûts se produise
- structure ecoQ oligopolistique (et non CPP) avc des organisations syndicales et patronales où la concurrence ne se fait pas seulement par le px mais aussi par l’innovation, la taille de E, le service aux conso.
- il faut que la hausse des salaires ou de charges salariales (en comprenant le coût de la protection sociale qui pèse sur les salaires) dépasse celle de la productivité globale des entreprises. Dans le cas contraire, il est normal que les gains de productivité soient partagés entre les différents agents économiques qui contribuent à la production (entrepreneurs comme salariés)
- le partage des gains de prod ds un climat de luttes social
- rareté de l’O du L proche du plein-emploi ainsi les E cèdent plus facilement en cas de revendications syndicale portant sur les salaires
- la spirale est facilitée si l’ouverture de l’appareil productif et les importations ne sont pas trop importantes
L’inflation par les structures
- reprendre les hypothèses pr que se réalise l’infla° par les coûts
- la séparation entre financement des investissements par les marchés ou par l’endettement (Fr 50 60’s et Japon). Les E investissent grâce à l’endettement bancaire ou vis à vis de l’Etat et ceci facilite ⬆️des px
- la longueur des intermédiaires entre producteur et consommateur engendre une multiplication de l’inflation
- l’inflation est également typique d’une sté à faible cohésion sociale, pr atténuer les conflits sociaux les E et l’Etat ⬆️les salaires puis se rattrape ensuite par une ⬆️ds tarif publics et des prix de ventes
Que se passe t-il à partir de 1945 pr Guitton
On passe d’une conjoncture subie ou contrainte à une conjoncture construite. Dc depuis 1945 les cycles sont plus atténuée, de mm pr l’inflation
Les causes de la hausse des px dans la phase de croissance du cycle Juglar :
- rareté relative de la main d’oeuvre ouvrière qualifiée ou non qui doit être embauchée avec concurrence des entreprises pour se disputer cette main doeuvre sur un bassin d’emploi donné.
- déséquilibre O et D pour les nouveaux secteurs qui se développent , d’où un écart qui se comble par une hausse des prix
- spéculation boursière sur la rareté relative des matières premières plus recherchées du fait de la phase de relance économique. La hausse des Matières premières se répercutent sur les prix de revient et de vente.
- politique de bas taux d’interêt de la Banque Centrale pour sortir de la phase précédente de déflation et de recession . Le bas prix de la monnaie encourage à l’endettement des entreprises , puis à la montée des frais financiers et donc à celle des prix de revient et de vente.
- Le climat des affaires est favorable à des anticipations sur la croissance économique, sur les bénéfices des entreprises et contribue à créer une ambiance haussière y compris sur les prix.