Infections pulmonaires chez l'hôte immunodéficient et infections nosocomiales Flashcards

1
Q

Vrai ou faux : Les infections respiratoires sont la première cause de mortalité?

A

Vrai

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2
Q

Répond si l’hôte immunodéficient est considéré comme ‘stricte’ ou ‘large’ :

a) Hôte ayant subi une chirurgie
b) Hôte ayant le sida
c) Hôte ayant une insuffisance rénale

A

a) Immunodéficient large
b) Immunodéficient stricte
c) Immunodéficient large

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3
Q

Les signes et symptômes cliniques classiques de pneumonie peuvent être absents, les signes radiographique de consolidation peuvent être absents ou retardés : Le tout varie selon __________.

A

Le degré de réponse inflammatoire

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4
Q

Toxoplasma gondii est non-opportuniste ou opportuniste?

A

Non-opportuniste

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5
Q

Cytomegalovirus est un virus non-opportuniste ou opportuniste?

A

Opportuniste

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6
Q

Staphylococcus aureus est non-opportuniste ou opportuniste?

A

Non-opportuniste

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7
Q

Legionella species est non-opportuniste ou opportuniste?

A

Non-opportuniste

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8
Q
Rappel examen 1 : 
Le cytomégalovirus est 
a) HHV-3
b)HHV-5
c)HHV-6
A

Le cytomégalovirus est HHV-5.

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9
Q

Rappel examen 1 :

Le cytomégalovirus provoque?

A

Fièvre, pneumonie chez les immunodéprimés.

Provoque aussi le gonflement des cellules infectées chez l’hôte.

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10
Q

Rappel examen 1 :

Vrai ou faux, le cytomégalovirus est une infection très rare?

A

Faux, on estime que 80% de la population américaine est porteuse du virus.

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11
Q

Pourquoi est-ce que l’intuition clinique est très importante dans la procédure diagnostique d’infections pulmonaires?

A

L’intuition clinique est très utile car :

  • Pas toujours d’expectorations
  • Cultures sont souvent négatives
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12
Q

À quoi sert le GenePOC?

A

Détecter et identifier les microbes en 1 heure par leur ADN.

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13
Q

Vrai ou faux : dans GENEPOC, POC signifie : point of care.

A

Vrai

POC = Point of care, au chevet du patient !

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14
Q

L’augmentation du nombre de personnes immunosupprimées et l’émergence de la multi-résistance bactérienne oblige l’industrie à ?

A

Tester des combinaisons d’antibiotiques et de composés immunomodulateurs.

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15
Q

Vrai ou faux : Le G-CSF sert à contrer une leucopénie?

A

Faux :

Sert à contrer la neutropénie.

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16
Q

Vrai ou faux : les corticostéroïdes sont à proscrire chez les immunodéprimés?

A

Vrai

Leur action étendue limite autant la réponse immunitaire que l’inflammation.

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17
Q

Vrai ou faux : Les pneumonies fongiques ont été très mortelles, mais ne sont plus rencontrées.

A

Faux, les infections fongiques sont en croissance rapide depuis 10-15 ans, il y a une crainte, car historiquement associées à un haut taux de mortalité.

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18
Q

Qu’est-ce qu’une infection communautaire?

A

C’est une infection acquise en communauté.

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19
Q

À tout instant, combien de personnes dans le monde souffrent d’infections contractées à l’hôpital?

A

1,4 million de personnes.

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20
Q

Que signifie PCSIN ?

A

Programme canadien de surveillance des infections nosocomiales

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21
Q

Quel est l’objectif du PCSIN?

A

Connaître les taux et tendances des infections associées aux soins de santé dans les établissements de santé canadiens, ce qui va finir par être utile pour l’élaboration de lignes directrices nationales.

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22
Q

En 2006-2009, quel a été l’action du ministère de la santé et services sociaux du Québec par rapport aux infections nosocomiales?

A

Il y a eu élaboration du Plan d’action sur la prévention et le contrôle des infections nosocomiales.

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23
Q

Vrai ou faux : Le Plan d’action ciblait seulement C. Difficile?

A

Faux

C. difficile, ERV, SARM

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24
Q

Lors d’acquisition de C. difficile, quel est souvent le facteur précipitant de l’infection?

A

Une prise d’antibiotique.

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25
Q

Pourquoi C. difficiles est précipité par une prise d’antibiotique?

A

Parceque le nombre de bactéries dans l’intestin diminue, cela favorise la multiplication du C. difficile, qui produit une toxine responsable de la diarrhée.

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26
Q

Normalement, ou est-ce que l’on peut retrouver les staphylocoques?

A

On trouve les staphylocoques habituellement sur la peau ou dans les narines des personnes.

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27
Q

Comment se transmet le SARM et quelle est la meilleure protection en milieu hospitalier?

A

Le SARM se transmet principalement d’un patient à un autre par les mains contaminées du personnel soignant. La meilleur protection est dans un lavage de main du personnel soignant.

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28
Q

Vrai ou faux : SPIN-CD est un gorupe de travail sur la surveillance nationale des infections nosocomiales, particulièrement associées au Clostridium difficile?

A

Faux : Surveillance PROVINCIALE

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29
Q

Vrai ou faux? C. difficile peut se retrouver dans les selles de la personne pendant plusieurs semaines, parfois des mois?

A

Faux, c’est ERV (entérocoques)

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30
Q

Vrai ou faux? Les entérocoques sont des bactéries qu’on retrouve habituellement sur la peau ou dans les narines des personnes

A

Faux: c’est les SARM

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31
Q

Vrai ou faux? Les SARM peuvent rester dans un plaie pendant plusieurs mois, parfois des années

A

Vrai

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32
Q

Vrai ou faux: dans les établissements de santé québécois, on estime qu’environ 10% des admis sont atteints d’une infection nosocomiale?

A

Vrai

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33
Q

Vrai ou faux? Pour le CINQ, les infections jugées prioritaire correspondent aux microbes les plus dangereux

A

Faux, correspond à la prévalence dans la société

34
Q

Quel groupe a comme but de cibler des problématiques locales ou régionales et à en réduire le potentiel de risque?

A

SPIN

35
Q

Vrai ou faux relativement à la présence d’une pneumonie chez un hôte immunodéficient ?

Elle est difficile à détecter par les signes et symptômes cliniques conventionnels d’une pneumonie.

A

vrai

36
Q

Vrai ou faux, quant au lien observé entre le type de déficience immunitaire subie par une personne et son risque de contracter un type particulier d’infection ?

L’absence de rate (asplénie) affecte la disponibilité des lymphocytes B et prédispose aux infections causées par des bactéries encapsulées telles que S. pneumoniae, H. influenzae.

A

vrai

37
Q

VRAI ou FAUX en diagnostic et immunothérapie des infections pulmonaires chez les immunodéficients :

Les corticostéroïdes sont des médicaments utiles pour les immunodéficients infectés.

A

faux

38
Q

Identifiez l’énoncé (les énoncés) FAUX relativement aux infections chez les immunodéficients :

  1. La société The Infectious Diseases Society of America formule des lignes directrices pour guider la prévention, le diagnostic, la gestion et le traitement des infections pulmonaires.
  2. Il existe des algorithmes cliniques permettant de surveiller des critères déterminants chez les sous-populations à risque telles que les personnes âgées, les patients aux soins intensifs, etc.
  3. Les algorithmes incluent des recommandations pour la vaccination et la thérapie antimicrobienne des patients.
  4. Les procédures préventives obligent les patients immunodéficients à se faire vacciner contre les infections pulmonaires.
A) 1, 2, 3 seulement sont faux 
B) 1, 3  seulement sont faux 
C) 2, 4 seulement sont faux 
D) 4   seulement est faux 
E) 1, 2, 3, 4  sont tous faux
A

d

39
Q

Il est difficile d’établir des liens entre le type (ou le degré) d’immunosuppression versus le type de microbe susceptible de causer une infection chez les gens immunodéficients. Toutefois, certaines tendances sont observées, impliquant des microbes opportunistes ou nonopportunistes. Parmi les énoncés ci-dessous, identifiez lequel est FAUX concernant différents types d’infections pulmonaires chez l’hôte immunodéficient :

A) Aspergillus est la cause la plus fréquente de mortalité par infection fongique chez les transplantés. B) Les enfants transplantés sont fragiles au virus respiratoire syncitial.
C) On observe une prévalence de tuberculose chez les sidéens à l’échelle mondiale, possiblement par réactivation d’une infection latente à Mycobacterium. D) Pneumocystis est un germe pulmonaire fréquent chez les sidéens
E) Aucun énoncé n’est faux, ils sont tous vrais.

A

e

40
Q

VRAIE ou FAUX relativement à la présence d’une pneumonie chez un hôte immunodéficient ?

Généralement diagnostiquée suite aux soupçons d’un médecin expérimenté.

A

vrai

41
Q

Qu’est-ce que l’hôte immunodéficient souffrant d’une infection pulmonaire ne risque PAS ?

A) D’être victime d’une multiplication rapide du microbe.
B) De développer une septicémie avec infection d’autres organes.
C) De voir son infection se compliquer d’une sévère inflammation pulmonaire.
D) De recevoir une thérapie empirique avec antibiotiques à large spectre

A

c

42
Q

Quelle est l’affirmation VRAIE relativement à l’étiologie des microbes pathogènes versus le type d’immunosuppression ?

A) Il est facile d’établir des liens entre le type ou le degré d’immunosuppression versus les types de microbes qui induiront une infection.
B) Il est facile d’établir des liens entre le type d’infiltration observé en radiographie versus le type de microbe en cause.
C) Il est possible de voir des tendances entre le type ou le degré d’immunosuppression versus le caractère opportuniste ou non-opportuniste des microbes qui causeront l’infection.
D) On n’observe aucun lien entre l’immunosuppression de type humorale (lymphocytaire B) et l’infection causée par des souches possédant ou non une capsule.

A

c

43
Q

VRAI ou FAUX relativement aux ‘patterns’ de déficiences immunitaires et les pathogènes leur étant associés ?

Les infections précoces chez les transplantés de moelle ou d’organe sont dues à une déficience des lymphocytes T.

A

faux

44
Q

Les algorithmes cliniques pour guider la prévention, le diagnostic, la gestion et le traitement des infections pulmonaires : quelle affirmation est FAUSSE ?

A) Ces algorithmes n’incluent pas de recommandations sur la vaccination et l’antibiothérapie.
B) Distinguent les infections nosocomiales versus acquises en communauté.
C) Sont développés par des sociétés telles The Infectious Diseases Society of America qui formulent des lignes directrices (‘guidelines’) pour les systèmes de santé.
D) Définissent des critères déterminants à surveiller pour diverses sous-populations telles les personnes âgées, les patients aux soins intensifs, les individus à risque

A

a

45
Q

Les procédures diagnostiques pour les infections pulmonaires chez les immunodéficients : VRAI ou FAUX?

L’imagerie par résonnance magnétique est plus utile que la tomographie (scanner) chez ces patients.

A

FAUX

46
Q

Les tests diagnostiques rapides à base d’ADN : quelle affirmation est FAUSSE ?

A) Les techniques microbiologiques standards faisant usage de culture microbienne nécessitent en moyenne 48 heures pour identifier une bactérie et sont inadéquats pour les virus.
B) La technologie GenePOC utilise des systèmes intégrés de puces à ADN et de circuits microfluidiques afin d’identifier les microbes en 1 heure dans un spécimen clinique.
C) La théranostique est un nouveau concept selon lequel le diagnostic rapide par ADN servira à guider et accélérer la thérapie.
D) L’inconvénient de l’identification microbienne par ADN est que cette technologie ne peut pas déterminer si la souche contenue dans un spécimen est résistante aux antibiotiques.

A

d

47
Q

Pathogenèse comparative de la pneumonie à pneumocoque dans un modèle murin de souris immunocompétentes versus immunosupprimées : qu’est-ce qui ne caractérise PAS les immunosupprimées ?

A) Retard ou absence d’infiltration de neutrophiles, monocytes et lymphocytes aux poumons.
B) Multiplication plus grande de pneumocoques dans les poumons.
C) Présence d’œdème et d’oxyde nitrique.
D) Décès plus rapide.

A

c

48
Q

L’immunothérapie combinée à l’antibiothérapie : quelle affirmation est VRAIE ?

A) L’utilisation de composés immunomodulateurs en association avec des antibiotiques est envisagée pour traiter les immunosupprimés et surmonter l’émergence de la multi-résistance des souches.
B) Les succès expérimentaux des immunomodulateurs chez l’animal ont presque toujours été suivis des mêmes succès chez l’humain.
C) Le G-CSF est une cytokine immunosuppressive contribuant à induire une neutropénie temporaire chez les gens immunocompétents aux prises avec une infiltration de neutrophiles excessive dans les poumons infectés.
D) L’utilisation des corticostéroides est plus avantageuse chez les immunodéficients infectés que contre les maladies inflammatoires de nature non infectieuse chez les patients immunocompétents.

A

a

49
Q

Pneumonie à mycobactéries : quelle affirmation est FAUSSE ?

A) Les infections à Mycobacterium tuberculosis sont très difficilement traitables chez les immunosupprimés. B) On observe une prévalence de tuberculose chez les sidéens à l’échelle mondiale.
C) VIH favorise la réactivation d’une infection latente à M. tuberculosis.
D) M. tuberculosis est un germe plus virulent que les microbes opportunistes habituels.

A

a

50
Q

Pneumonies virales : quelle affirmation est FAUSSE ?

A) Les pneumonies virales sont facilitées principalement lorsqu’il y a diminution des lymphocytes T.
B) Ganciclovir et foscarnet sont efficaces contre le cytomégalovirus chez les transplantés adultes.
C) Les enfants transplantés développent principalement des pneumonies à Herpès simplex.
D) Un rhume causé par Rhinovirus peut dégénérer en pneumonie chez un immunosupprimé.

A

c

51
Q

Pneumonies fongiques : quelle affirmation est FAUSSE ?

A) Les déficients en lymphocytes T sont vulnérables à l’histoplasmose.
B) Le taux d’infections fongiques est stable depuis 10-15 ans.
C) Aspergillus cause des infections invasives chez les neutropéniques.
D) Aspergillus est la cause la plus fréquente de mortalité chez les transplantés.

A

b

52
Q

De toutes les infections nosocomiales, lesquelles sont les plus fréquentes?

A) Les infections de la peau 
B) Les infections pulmonaires 
C) Les infections urinaires  
D) Les bactériémies 
E) Les infections du site opératoire
A

c

53
Q

Quel est l’énoncé FAUX concernant l’infection nosocomiale à Clostridium difficile?

A) Cette infection était déjà présente ou en incubation au moment de l’hospitalisation.
B) Elle peut se contracter sur une poignée de porte souillée, un robinet, une main non lavée.
C) La prise d’antibiotiques contre une infection préalable avec un autre microbe est souvent le facteur déclenchant l’infection à C. difficile.
D) Une mesure d’évitement de la transmission consiste à isoler le patient en chambre privée.
E) Les personnes âgées sont les plus à risque de développer cette infection.

A

a

54
Q

Quel est l’énoncé FAUX concernant l’infection nosocomiale à entérocoques résistants à la vancomycine (ERV)?

A) Les ERV n’induisent pas davantage d’infections que les autres entérocoques, mais ils limitent le choix d’antibiotiques efficaces pour éviter une faillite de traitement.
B) Les ERV peuvent se transmettre d’un patient infecté à un autre par l’entremise des mains du personnel soignant.
C) Il est important d’aviser le personnel soignant si une personne est porteuse d’ERV lors d’une admission en centre d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD).
D) Les ERV peuvent rester dans les selles pendant plusieurs semaines.
E) Aucun énoncé n’est faux, ils sont tous vrais.

A

e

55
Q

Quel est l’énoncé FAUX concernant l’infection nosocomiale à SARM?

A) La plupart des staphylocoques sont devenus résistants aux pénicillines traditionnelles.
B) Les SARM se transmettent généralement par les mains contaminées.
C) Les SARM peuvent rester longtemps dans les narines ou dans une plaie.
D) SARM signifie Staphylococcus aureus résistants aux médicaments.
E) La meilleure protection est le lavage des mains des patients et du personnel soignant

A

d

56
Q

Les groupes de travail pour la Surveillance Provinciale des Infections Nosocomiales (SPIN) ont des programmes actifs spécifiques contre diverses infections. Quel énoncé n’est PAS exact quant à la nature de ce qu’ils surveillent?

A) Diarrhées associées au Clostridium difficile.
B) Bactériémies nosocomiales associées aux cathéters centraux aux soins intensifs.
C) Pneumonies à pneumocoques multi-résistants acquises dans la communauté.
D) Bactériémies associées aux accès veineux en hémodialyse.
E) Bacilles producteurs de carbapénémases.

A

c

57
Q

Ci-dessous une liste d’organismes impliqués dans la lutte aux infections nosocomiales. Lequel de ces organismes a pour mission de soutenir le ministre de la santé et des services sociaux (MSSS) en fournissant expertise et services spécialisés de laboratoire et de dépistage?

A) Organisation mondiale de la santé (OMS)
B) Agence de la santé publique du Canada (ASPC)
C) Institut national de santé publique du Québec (INSPQ)
D) Comité sur les infections nosocomiales du Québec (CINQ)
E) Groupes de travail sur la Surveillance provinciale des infections nosocomiales (SPIN).

A

c

58
Q

De toutes les infections nosocomiales, lesquelles sont les plus fréquentes?

A) Les infections urinaires
B) Les infections pulmonaires
C) Les infections du site opératoire
D) Les bactériémies

A

a

59
Q

Quel est l’énoncé FAUX concernant l’infection nosocomiale à Clostridium difficile?

A) Elle peut se contracter sur une poignée de porte souillée.
B) La prise d’antibiotiques est souvent le facteur précipitant cette infection.
C) Une mesure d’évitement de la transmission consiste à isoler le patient en chambre privée.
D) On ne remarque pas d’incidence de l’infection en fonction de l’âge des patients.

A

d

60
Q

Quel est l’énoncé FAUX concernant l’infection à entérocoques résistants à la vancomycine?

A) Les ERV causent davantage d’infections que les autres entérocoques.
B) Ils se transmettent d’un patient porteur à un autre patient par les mains du personnel soignant.
C) Il est important d’aviser le personnel soignant si une personne est porteuse d’ERV lors d’une admission à l’hôpital ou en CHSLD.
D) Les ERV peuvent rester dans les selles pendant plusieurs semaines.

A

a

61
Q

Quel est l’énoncé FAUX concernant l’infection à staphylocoques résistants à la méticilline?

A) Les staphylocoques se retrouvent normalement sur la peau et dans les narines.
B) Les SARM sont facilement traités par les pénicillines traditionnelles.
C) Les SARM peuvent rester dans les narines ou dans une plaie pendant plusieurs mois.
D) La meilleure protection est le lavage des mains du personnel soignant.

A

b

62
Q

Les groupes de travail pour la Surveillance Provinciale des Infections Nosocomiales (SPIN) ont des programmes actifs spécifiques contre diverses bactériémies, sauf laquelle?

A) Bactériémies associées aux accès veineux en hémodialyse.
B) Bactériémies associées aux cathéters centraux aux soins intensifs.
C) Bactériémies à Staphylococcus aureus et à SARM. D) Bactériémies associées aux soins chiropratiques et podiatriques.

A

d

63
Q

Vrai ou faux relativement à la présence d’une pneumonie chez un hôte immunodéficient ?

Une multiplication rapide du microbe est probable avec un risque accru de septicémie.

A

vrai

64
Q

Vrai ou faux relativement à la présence d’une pneumonie chez un hôte immunodéficient ?

Les poumons subissent un œdème sévère causé par l’activité inflammatoire.

A

faux

65
Q

Vrai ou faux relativement à la présence d’une pneumonie chez un hôte immunodéficient ?

Elle oblige à administrer une antibiothérapie empirique à large spectre.

A

vrai

66
Q

Vrai ou faux relativement à la présence d’une pneumonie chez un hôte immunodéficient ?

Il est difficile d’établir un lien entre le type d’infiltration observé sur radiographie versus le type de microbe en cause, c’est pourquoi le diagnostic est basé sur un ensemble de tests

A

vrai

67
Q

Vrai ou faux, quant au lien observé entre le type de déficience immunitaire subie par une personne et son risque de contracter un type particulier d’infection ?

Les infections précoces chez les transplantés de moelle ou d’organe recevant des agents immunosuppresseurs sont dues à une déficience en neutrophiles (PMN) tandis que les infections plus tardives sont dues à une déficience lymphocytaire.

A

vrai

68
Q

Vrai ou faux, quant au lien observé entre le type de déficience immunitaire subie par une personne et son risque de contracter un type particulier d’infection ?

La chimiothérapie anticancéreuse peut s’avérer immunosuppressive de telle sorte que des infections bactériennes et/ou des infections fongiques sont à anticiper.

A

vrai

69
Q

Vrai ou faux, quant au lien observé entre le type de déficience immunitaire subie par une personne et son risque de contracter un type particulier d’infection ?

L’infection à VIH dégénère en Sida lorsque le seuil de lymphocytes TCD4 passe sous le seuil des 200/l. Pourtant, on observe même une différence dans les pathogènes causant des infections chez les sidéens selon que le taux des lymphocytes se situe au-dessus ou en-dessous de 50/

A

vrai

70
Q

VRAI ou FAUX en diagnostic et immunothérapie des infections pulmonaires chez les immunodéficients :

La bronchoscopie à fibre optique a révolutionné le diagnostic chez les immunodéficients.

A

vraI

71
Q

VRAI ou FAUX en diagnostic et immunothérapie des infections pulmonaires chez les immunodéficients :
La théranostique est un nouveau concept signifiant que le développement de tests diagnostiques rapides permet de mieux choisir et accélérer l’approche thérapeutique.

A

VRAI

72
Q

VRAI ou FAUX en diagnostic et immunothérapie des infections pulmonaires chez les immunodéficients :

Le G-CSF est approuvé chez l’humain pour contrer la neutropénie lorsque celle-ci se manifeste.

A

VRAI

73
Q

VRAI ou FAUX en diagnostic et immunothérapie des infections pulmonaires chez les immunodéficients :

L’augmentation du nombre de personnes immunosupprimées et l’émergence de la multirésistance chez les microbes oblige l’industrie à tester des composés immunomodulateurs en combinaison avec des antibiotiques.

A

VRAI

74
Q

VRAIE ou FAUX relativement à la présence d’une pneumonie chez un hôte immunodéficient ?

Facile à détecter cliniquement par des signes et symptômes communs.

A

Faux

75
Q

VRAIE ou FAUX relativement à la présence d’une pneumonie chez un hôte immunodéficient ?

Toujours visible en radiographie suite à l’infiltration de neutrophiles.

A

Faux

76
Q

VRAIE ou FAUX relativement à la présence d’une pneumonie chez un hôte immunodéficient ?

Diagnostiquée de routine par technologie ADN en laboratoire clinique depuis plusieurs années.

A

Faux

77
Q

VRAI ou FAUX relativement aux ‘patterns’ de déficiences immunitaires et les pathogènes leur étant associés ?

Les sidéens sont vulnérables au Pneumocystis et à la tuberculose.

A

VRAI

78
Q

VRAI ou FAUX relativement aux ‘patterns’ de déficiences immunitaires et les pathogènes leur étant associés ?

L’ablation de la rate affecte la disponibilité des lymphocytes B.

A

VRAI

79
Q

VRAI ou FAUX relativement aux ‘patterns’ de déficiences immunitaires et les pathogènes leur étant associés ?

Les corticostéroïdes (ex. cortisone) sont des agents immunosuppresseurs pouvant favoriser l’infection par des microbes pathogènes.

A

VRAI

80
Q

Les procédures diagnostiques pour les infections pulmonaires chez les immunodéficients : VRAI ou FAUX?

La bronchoscopie à fibre optique a révolutionné le diagnostic chez les immunodéficients.

A

VRAI

81
Q

Les procédures diagnostiques pour les infections pulmonaires chez les immunodéficients : VRAI ou FAUX?

L’intuition clinique est très utile car on n’obtient pas toujours d’expectorations chez les immunosupprimés et les cultures sont souvent négatives.

A

VRAI

82
Q

Les procédures diagnostiques pour les infections pulmonaires chez les immunodéficients : VRAI ou FAUX?

La radiographie standard de la poitrine est essentielle.

A

VRAI