Hola hola Flashcards
Différence OAP et épanchement pleural
l’épanchement pleural est une accumulation de plasma entre les deux plèvres (À L’EXTÉRIEUR DES POUMONS) du à une entrée trop grande (capillaires plèvre pariétale) ou une sortie insuffisante (lymphe et stomie pariétale).
l’OAP est causé par une insuffisance cardiaque –> HTP –> plasma des capillaires va dans les espaces interstitiels et les alvéoles (DANS les poumons)
Cause d’épanchement pleuraux exsudatifs et transsudatifs
exsudat : augmentation de la perméabilité des capillaire
- pneumonie
- infection virale
- EP
- cancer
- tuberculose
transsudat : augmentation Phydro et dim P onc
- insuffisance cardiaque
- cirrhose et ascite
- synd néphro (hypoalbuminémie)
Causes de dyspnée aigue
- OAP
- bronchite/pneumonie
- EAMPOC
- PX
- EP
- bronchospasme
- SDRA
Causes dyspnée chronique
- insuffisance cardiaque
- valvulopathie
- arythmie
- angine
- MPOC
- syndrome restrictif
- épanchement pleural
- anémie / déconditionnement / hyperventilation
Investigation dyspnée aigue
- RX
- ECG
- gaz artériel (pH, PaCO2, PaO2, HCO3)
Investigation dyspnée chronique
- FSC
- RX
- ECG
- Gaz artériel
- Test fonction respi
- Tapis roulant
Ddx ictère
- hépatite
- obstruction (cholangite, cholécystite, cancer pancréas)
- hépathopathie alcoolique
- hémolyse
- syndrome Gilbert (dim conjugaison bilirubine)
- dysfct hépatocell (toxine, rx, hépatite virale)
- dim absorption hépatique bilirubine (insuf cardiaque)
- cirrhose
sx accompagnateurs ictère
- selles grises et urines foncées (hyperbilirubinémie conjuguée, car pas liée à albumine, passe au rein)
- myalgies
- fièvre
- prurit
- stéatorrhée
- douleurs abdo
red flags
- no/vo
- perte poids
- trouble hémostase (ecchymoses, saignement, méléna)
Facteurs de risque hépatite
- comportements sexuels
- drogues IV
- vaccination
- exposition / voyage
stigmates cirrhose
- xanthomes (tâches jaunes peau)
- ictère
- pétéchies
- astérixis
- main Duputren
- atrophie testiculaire, pilosité axillaire et pubienne rare et gynécomastie
- ascite
- splénomégalie
- matité fluctuante
- signe de l’onde liquide
- érythème palmaire
- angiones stellaires
Investigation ictère
- bilan hépatique/FSC (bilirubine, PAL, GGT, AST, ALT)
- échographie abdominale
- TDM abdo
- parfois biopsie ou laparoscopie
Une élévation des AST ALT marquée > 500 U/L dans ictère =
dysfonctionnement hépatocellulaire (cytolyse)
Une élévation des GGT et PAL marquée x 3 la normale dans ictère =
cholestase (obstruction)
Quel bilirubine est excrétée dans les urines et cause des urines foncées?
la bilirubine conjuguée, car la non conjuguée est liée à l’albumine qui ne passe pas dans le rein
Si PAL et AST et ALT normaux dans ictère =?
non conjuguée
- hémolyse
- syndrome Gilbert *dysfonctionnement hépatocellulaire héréditaire
conjugée
- syndrome Dubin-Johnson
Investigation si doute d’hépatite
- tests sérologiques à la recherche d’hépatite virale ou auto-immune
Si fièvre et douleur et sensibilité abdo accompagnant ictère = investigation?
- NFS
- hémocultures
Signes d’insuffisance hépatique
- trouble coagulation (ecchymoses, saignement)
- hypoalbuminémie (oedème et ascite)
- ictère
- conscience altérée (encéphalopathie hépatique)
- dyspepsie (enzymes digestives et bile)
- hypertension portale (vascu collatérale, ascite, splénomégalie)
Investigation si signes insuffisance hépatique
profil coagulation
imagerie si douleur et exams suggérant obstruction extrahépatique, angiocholite ou cholestase
L’échographie est sensibles pour détecter… mais les moins pour…
sensible pour anomalies voies biliaires et lésions focales hépatiques, mais moins pour troubles hépatocellulaires diffus (cirrhose, hépatite)
Si l’écho montre obstruction, quelles sont les autres modalités dx pour déterminer la cause?
cholangiopancréatographie par résonance magnétique (CPIRM)
échographie endoscopique ou cholangiopancraétographie rétrograde endoscopique (CPRE) : plus invasive mais permet tx de lésions obstructives
Complication de l’ictère
- cholangite
- pancréatite aiguë due à obstruction biliaire
Physiopatho de la bilirubine
dégradation hb = bilirubine non conjuguée = se lie à albumine dans sang = transportée au foie = conjugaison
Ictère aigu chez jeune en bonne santé évoque..
hépatite virale aigue
- prodrome viral
- FDR
surdosage acétaminophène
ictère w ATCD fam ictère sans dysfonction hépatobiliaire évoque
trouble héréditaire (syndrome Gilbert)
apparition progressive ictère, prurit, perte poids, selles grises évoque
cholestase, car hyperbilirubinémie conjuguée
ictère indolore chez personne âgée, perte poids, masse évoque
cancer
Ictère, cachexie, foie dur et bosselé évoque
métastases
cirrhose
lymphadénopathie diffuse + ictère aigu évoque
mononucléose infectieuse
mx Dupuytren, érythème palmaire, pilosité axillaire et pubienne rare, angiomes stellaires évoquent
hépathopathie alcoolique
4 classes d’incontinence urinaire
- urgence (miction involontaire, non inhibée)
- regorgement (rétention)
- effort (valsalva, aug pression abdominal)
- fonctionnelle (limitations physiques ou cognitives(
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- hypermobilité urétrale
- insuffisance sphinctérienne
effort
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- détrusor hypocontracile
- obstruction infravésical
regorgement (rétention)
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- fuite involontaire non associée à l’effort
urgence
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- incapable de se rendre à la toilette à temps
fonctionnelle
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- fuite lors aug pression abdo
effort
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- globe vésical
- goutte à goutte
regorgement
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- hyperactivité détrusor
urgence
présentation cystite
- douleur sus-pubienne
- pollakiurie (souvent, petites qtés)
- nycturie
- brulement mictionnel
- hématurie
Qu’est-ce qui distingue cystite de polynéphrite (symptôme)
polynéphrite : fièvre, no/vo
cystite : absence de fièvre
Y a-t-il des sx urinaires bas dans pylélonéphrite?
dans 50% des cas
Définition infection urinaire non compliquée
- cystite ou une pyélonéphrite chez les femmes adultes préménopausées
- pas d’anomalie structurelle ou fonctionnelle de l’appareil urinaire
- pas enceintes
- pas de comorbidité importante qui pourrait induire des conséquences plus graves.
Causes de 95% des pyélonéphrites
ascension des bactéries d’une cystite = infection parenchyme rénal
vrai ou faux : il y a souvent une obstruction dans la pyélonéphrite
faux, c’est rare, bien que l’obstruction prédispose
Germes fréquents de l’infection urinaire
entérobactérie
- e.coli (75%) gram -
- klebsielle
- proteus
cocci gram +
- s. saprophyticus
- entérocoque faecalis
Investigation infection urinaire
- SMU/DCA
- imagerie
- cytstologie
- cytologie
SMU d’une infection urinaire
- nitrites
- urines troubles
- bactéries en grand nombre
- leucocyturie (#1 cause)
- protéinurie et hématurie légères
tx infection urinaire non compliquée chez femme
- 3 jours
- ATB bactéricide empirique selon résistances locales
- antispasmodique vésicale
tx infection urinaire chez hommes, enfants ou femme compliquée
- 7 jours
- ATB bactéricide
3 exemples de ATB bactéricide pour l’infection urinaire
- TMP-SMX
- fluoroquinolone
- nitroflurantoine
suivi ou tx bactériurie asx
on soigne pas si c’est pas sx et pas compliqué
si hommes, enfants, mx chronique :
- refaire culture d’urine
- ATB
- écho (causes? rétention, reflux, obstruction urétéro-pyélique, lithiase corraliforme du rein)
Si on a une bactériurie asx et qu’on a une manipulation urologique planifiée on..
traite la bactériurie pour évite de disséminer les bactéries
quel mx ne peut-on pas donner à femme enceinte pour infection urinaire?
quinolones
la grossesse donne souvent __ qui cause __
hydronéphrose = PNA
quel tx pour femme enceinte infection urinaire
PAS quinolones
2 premiers trimestres : nitroflurantoine
après 3e trimestre : TMP-SMX
en tout temps : pénicilline et céphalosporine
culture d’urine à la fin du tx
Quels rx sont utilisables en tout temps chez femme enceinte pour infection urinaire
- pénicilline
- céphalosporine
Que faut-il tjs faire après tx infection urinaire?
refaire culture d’urine de contrôle.
Complications infection urinaire
- pyélonéphrite
- récidive fréquente
- contractions utérines menace d’accouchement
Complication pyélonéphrite
- septicémie
- néphrite interstitielle chronique
oligurie
< 500 ml/jour
anurie
< 100 ml/j
Qu’est-ce qui permet de déterminer si IR aigue ou chronique dans FSC?
créatinine
Qu’est-ce qui permet d’exclure l’obstruction urinaire comme cause de l’IR?
absence d’hydronéphrose à l’échographie
y a-t-il acide ou alcalose en IR?
acidose rénale, car reins excrète plus l’acide ou réabsorbent mal HCO3
Urée définition
résultat du catabolisme musculaire et d’apport alimentaire en viande. Exlimination urinaire exclusive
Qu’est-ce qui augmente la rapport urée/créat
- hypovolémie
- aug protéines (alimentation ou saignement GI)
Qu’est-ce qui diminue rapport urée/creat
pathologie hépatique (diminue formation urée) ou malnutrition
Quel est le DFG normal?
> 90 ml/min/1,73 m2
diminution légère DFG
60 à 89
diminution modéré DFG
30 à 59
diminution sévère DFG
15 à 30
insuffisance rénale terminale
< 15 (ou dialyse)
IRA pré-rénale vs rénale
omolarité urinaire
pré rénale > 500
rénale < 400
IRA pré-rénale vs rénale
Na urinaire
pré rénale < 20
rénale > 40
IRA pré-rénale vs rénale
u/c plasma
pré rénale > 0,1 (ADH réabsorbe urée)
rénal < 0,05
IRA pré-rénale vs rénale
sédiments
pré-rénale : cylindriques hyalins, normal
rénale : cylindre granuleux
complications IR
- hyperkaliémie (sécrète pu)
- surcharge volémique (réponse inadéq à l’apport en sodium)
- acidose métabolique
- hyperphosphatémie et hyperparathyro secondaire (changement osseux)
- hypocalcémie
- hypertension (le rein n’élimine plus le sel et les toxics qui sont des osmoles qui attire l’eau dans les vx)
- anémie *diminution sécrétion EPO)
Quels sont des signes qui oriente vers IRC
- anémie
- atrophie rénale
- hyperphosphatémie
- hyperparathyro secondaire
anatomie aorte abdo de haut en bas
- 2 a. phréniques inférieures
- tronc coeliaque
- 2 a. surrénales moyennes
- a. mésentérique sup (sous pancréas, par-dessus duodénum)
- 2 a. rénales
- a. testiculaires et ovariques
- a. mésentérique inférieures
- a. vertébrales
- a. sacrale médiane (branche terminale)
- a. iliaques communes
branches du tronc coeliaque
- a. hépatique commune (droite)
- a. splénique (gauche)
- a gastrique (postérieure)
branche artère mésentérique sup (sous pancréas, par-dessus duodénum)
- a. pancréatico-duodénale
- a. colique moyenne (côlon transverse)
- a. colique droite (côlon droit)
- a. ilio-colique (caecum, iléon terminal)
- donne aussi a. jéjuno-iléales (grêle)
branche a. mésentérique inf
- a. colique gauche
- a. sigmoidiennes
- a. rectale supérieure
Quelles structures sont le plus protégées par la circulation anastomoses entre les axes vasculaire coeliaque, mésentérique sup et inf?
- foie
- pancréas
- duodénum
- estomac
Quelles sont les zones watershed
jonction splénique
jonction sigmoidienne
(les deux coins gauches du cadre colique)
Causes ischémies mésentériques
- obstructives
- artérielles (85%) : embolie, thrombose artériosclérose
- veineuses (15%) : thrombose veineuse, mx coagulation - non obstructive : hypoperfusion (choc hypovol ou septique, MCAS
Ischémie mésentérique aigue = cause souvent…
obstructive
ischémie mésentérique chronique = cause souvent…
- vasculites
- athérosclérose
l’apparition de douleur abdominale en ischémie mésentérique =
nécrose!!!
MC ischémie mésentérique aigue
- dlr abdo 10/10
- no/vo
- sudation
- rectorragie
- péristaltisme diminué
- distension abdo (iléus)
- signes irritation péritonéale / perforation (ventre de vois)
- sepsis, fièvre
ischémie mésentérique chronique MC
- dlr péri-omb ou épigastrique
- 30 min à 2h post prandiale
- proportionnelle à taille repas
- perte pondérale (peur de manger)
- comparable à angine (effort digestion)
- souffle abdo parfois
% mortalité si dx après nécrose
70 à 90%
investigation ischémie mésentérique
- surtout clinique est exams complémentaires
- angio-TDM ou angiographie si dx incertain
Si clinique d’ischémie mésentérique, on fait quoi?
on fait pas d’imagerie, chirurgie directement!!!
tx ischémie mésentérique
- laparotomie exploratrice (embolectomie, revascu, résection)
- angiographie (perfusion papavérine, vasodilat, cathéter améliore survie)
- si occlusion artérielle (thrombolyse ou embolectomie chx)
tx thrombose veineuse mésentérique sans péritonite
paravérine, anticoag héparine, puis warfarine
quand warfarine long terme nécessaire en ischémie mésentérique?
si embolie artérielle et thrombose veineuse
CU vs Crohn
histopatho
CU : atteinte muqueuse, ulcères superficiels
Crohn : atteinte transmural, ulcères profonds
CU vs Crohn
distribution
CU : rectum à proximal, continue
Crohn : discontinue, n’importe où, surtout iléon et colon D
CU vs Crohn
atteinte iléale
CU : rare
Crohn : ++
CU vs Crohn
atteinte rectale
CU : presque tjs
Crohn 50%
CU vs Crohn
atteinte péri-anale (fistules, fissure, abcès)
crohn : souvent
CU vs Crohn
récidive après résection
crohn : souvent
CU : rare
CU vs Crohn
endoscopis
CU : muco-pus, érythème, pseudo-polype, rectale 95%
Crohn : segmentaire, ulcère profonds, aphteux, linéaires, sténose inflam ou cicatricielle
CU vs Crohn
rectorragie
CU : prédominantes
Crohn : moins fréquentes
CU vs Crohn
dlr abdo
CU : légère, ténesme
Crohn : modérées à sévères, FID
CU vs Crohn
masse palpable
Crohn : parfois