Hola hola Flashcards
Différence OAP et épanchement pleural
l’épanchement pleural est une accumulation de plasma entre les deux plèvres (À L’EXTÉRIEUR DES POUMONS) du à une entrée trop grande (capillaires plèvre pariétale) ou une sortie insuffisante (lymphe et stomie pariétale).
l’OAP est causé par une insuffisance cardiaque –> HTP –> plasma des capillaires va dans les espaces interstitiels et les alvéoles (DANS les poumons)
Cause d’épanchement pleuraux exsudatifs et transsudatifs
exsudat : augmentation de la perméabilité des capillaire
- pneumonie
- infection virale
- EP
- cancer
- tuberculose
transsudat : augmentation Phydro et dim P onc
- insuffisance cardiaque
- cirrhose et ascite
- synd néphro (hypoalbuminémie)
Causes de dyspnée aigue
- OAP
- bronchite/pneumonie
- EAMPOC
- PX
- EP
- bronchospasme
- SDRA
Causes dyspnée chronique
- insuffisance cardiaque
- valvulopathie
- arythmie
- angine
- MPOC
- syndrome restrictif
- épanchement pleural
- anémie / déconditionnement / hyperventilation
Investigation dyspnée aigue
- RX
- ECG
- gaz artériel (pH, PaCO2, PaO2, HCO3)
Investigation dyspnée chronique
- FSC
- RX
- ECG
- Gaz artériel
- Test fonction respi
- Tapis roulant
Ddx ictère
- hépatite
- obstruction (cholangite, cholécystite, cancer pancréas)
- hépathopathie alcoolique
- hémolyse
- syndrome Gilbert (dim conjugaison bilirubine)
- dysfct hépatocell (toxine, rx, hépatite virale)
- dim absorption hépatique bilirubine (insuf cardiaque)
- cirrhose
sx accompagnateurs ictère
- selles grises et urines foncées (hyperbilirubinémie conjuguée, car pas liée à albumine, passe au rein)
- myalgies
- fièvre
- prurit
- stéatorrhée
- douleurs abdo
red flags
- no/vo
- perte poids
- trouble hémostase (ecchymoses, saignement, méléna)
Facteurs de risque hépatite
- comportements sexuels
- drogues IV
- vaccination
- exposition / voyage
stigmates cirrhose
- xanthomes (tâches jaunes peau)
- ictère
- pétéchies
- astérixis
- main Duputren
- atrophie testiculaire, pilosité axillaire et pubienne rare et gynécomastie
- ascite
- splénomégalie
- matité fluctuante
- signe de l’onde liquide
- érythème palmaire
- angiones stellaires
Investigation ictère
- bilan hépatique/FSC (bilirubine, PAL, GGT, AST, ALT)
- échographie abdominale
- TDM abdo
- parfois biopsie ou laparoscopie
Une élévation des AST ALT marquée > 500 U/L dans ictère =
dysfonctionnement hépatocellulaire (cytolyse)
Une élévation des GGT et PAL marquée x 3 la normale dans ictère =
cholestase (obstruction)
Quel bilirubine est excrétée dans les urines et cause des urines foncées?
la bilirubine conjuguée, car la non conjuguée est liée à l’albumine qui ne passe pas dans le rein
Si PAL et AST et ALT normaux dans ictère =?
non conjuguée
- hémolyse
- syndrome Gilbert *dysfonctionnement hépatocellulaire héréditaire
conjugée
- syndrome Dubin-Johnson
Investigation si doute d’hépatite
- tests sérologiques à la recherche d’hépatite virale ou auto-immune
Si fièvre et douleur et sensibilité abdo accompagnant ictère = investigation?
- NFS
- hémocultures
Signes d’insuffisance hépatique
- trouble coagulation (ecchymoses, saignement)
- hypoalbuminémie (oedème et ascite)
- ictère
- conscience altérée (encéphalopathie hépatique)
- dyspepsie (enzymes digestives et bile)
- hypertension portale (vascu collatérale, ascite, splénomégalie)
Investigation si signes insuffisance hépatique
profil coagulation
imagerie si douleur et exams suggérant obstruction extrahépatique, angiocholite ou cholestase
L’échographie est sensibles pour détecter… mais les moins pour…
sensible pour anomalies voies biliaires et lésions focales hépatiques, mais moins pour troubles hépatocellulaires diffus (cirrhose, hépatite)
Si l’écho montre obstruction, quelles sont les autres modalités dx pour déterminer la cause?
cholangiopancréatographie par résonance magnétique (CPIRM)
échographie endoscopique ou cholangiopancraétographie rétrograde endoscopique (CPRE) : plus invasive mais permet tx de lésions obstructives
Complication de l’ictère
- cholangite
- pancréatite aiguë due à obstruction biliaire
Physiopatho de la bilirubine
dégradation hb = bilirubine non conjuguée = se lie à albumine dans sang = transportée au foie = conjugaison
Ictère aigu chez jeune en bonne santé évoque..
hépatite virale aigue
- prodrome viral
- FDR
surdosage acétaminophène
ictère w ATCD fam ictère sans dysfonction hépatobiliaire évoque
trouble héréditaire (syndrome Gilbert)
apparition progressive ictère, prurit, perte poids, selles grises évoque
cholestase, car hyperbilirubinémie conjuguée
ictère indolore chez personne âgée, perte poids, masse évoque
cancer
Ictère, cachexie, foie dur et bosselé évoque
métastases
cirrhose
lymphadénopathie diffuse + ictère aigu évoque
mononucléose infectieuse
mx Dupuytren, érythème palmaire, pilosité axillaire et pubienne rare, angiomes stellaires évoquent
hépathopathie alcoolique
4 classes d’incontinence urinaire
- urgence (miction involontaire, non inhibée)
- regorgement (rétention)
- effort (valsalva, aug pression abdominal)
- fonctionnelle (limitations physiques ou cognitives(
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- hypermobilité urétrale
- insuffisance sphinctérienne
effort
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- détrusor hypocontracile
- obstruction infravésical
regorgement (rétention)
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- fuite involontaire non associée à l’effort
urgence
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- incapable de se rendre à la toilette à temps
fonctionnelle
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- fuite lors aug pression abdo
effort
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- globe vésical
- goutte à goutte
regorgement
Nommer cause d’incontinence reliée à :
- hyperactivité détrusor
urgence
présentation cystite
- douleur sus-pubienne
- pollakiurie (souvent, petites qtés)
- nycturie
- brulement mictionnel
- hématurie
Qu’est-ce qui distingue cystite de polynéphrite (symptôme)
polynéphrite : fièvre, no/vo
cystite : absence de fièvre
Y a-t-il des sx urinaires bas dans pylélonéphrite?
dans 50% des cas
Définition infection urinaire non compliquée
- cystite ou une pyélonéphrite chez les femmes adultes préménopausées
- pas d’anomalie structurelle ou fonctionnelle de l’appareil urinaire
- pas enceintes
- pas de comorbidité importante qui pourrait induire des conséquences plus graves.
Causes de 95% des pyélonéphrites
ascension des bactéries d’une cystite = infection parenchyme rénal
vrai ou faux : il y a souvent une obstruction dans la pyélonéphrite
faux, c’est rare, bien que l’obstruction prédispose
Germes fréquents de l’infection urinaire
entérobactérie
- e.coli (75%) gram -
- klebsielle
- proteus
cocci gram +
- s. saprophyticus
- entérocoque faecalis
Investigation infection urinaire
- SMU/DCA
- imagerie
- cytstologie
- cytologie
SMU d’une infection urinaire
- nitrites
- urines troubles
- bactéries en grand nombre
- leucocyturie (#1 cause)
- protéinurie et hématurie légères
tx infection urinaire non compliquée chez femme
- 3 jours
- ATB bactéricide empirique selon résistances locales
- antispasmodique vésicale
tx infection urinaire chez hommes, enfants ou femme compliquée
- 7 jours
- ATB bactéricide
3 exemples de ATB bactéricide pour l’infection urinaire
- TMP-SMX
- fluoroquinolone
- nitroflurantoine
suivi ou tx bactériurie asx
on soigne pas si c’est pas sx et pas compliqué
si hommes, enfants, mx chronique :
- refaire culture d’urine
- ATB
- écho (causes? rétention, reflux, obstruction urétéro-pyélique, lithiase corraliforme du rein)
Si on a une bactériurie asx et qu’on a une manipulation urologique planifiée on..
traite la bactériurie pour évite de disséminer les bactéries
quel mx ne peut-on pas donner à femme enceinte pour infection urinaire?
quinolones
la grossesse donne souvent __ qui cause __
hydronéphrose = PNA
quel tx pour femme enceinte infection urinaire
PAS quinolones
2 premiers trimestres : nitroflurantoine
après 3e trimestre : TMP-SMX
en tout temps : pénicilline et céphalosporine
culture d’urine à la fin du tx
Quels rx sont utilisables en tout temps chez femme enceinte pour infection urinaire
- pénicilline
- céphalosporine
Que faut-il tjs faire après tx infection urinaire?
refaire culture d’urine de contrôle.
Complications infection urinaire
- pyélonéphrite
- récidive fréquente
- contractions utérines menace d’accouchement
Complication pyélonéphrite
- septicémie
- néphrite interstitielle chronique
oligurie
< 500 ml/jour
anurie
< 100 ml/j
Qu’est-ce qui permet de déterminer si IR aigue ou chronique dans FSC?
créatinine
Qu’est-ce qui permet d’exclure l’obstruction urinaire comme cause de l’IR?
absence d’hydronéphrose à l’échographie
y a-t-il acide ou alcalose en IR?
acidose rénale, car reins excrète plus l’acide ou réabsorbent mal HCO3
Urée définition
résultat du catabolisme musculaire et d’apport alimentaire en viande. Exlimination urinaire exclusive
Qu’est-ce qui augmente la rapport urée/créat
- hypovolémie
- aug protéines (alimentation ou saignement GI)
Qu’est-ce qui diminue rapport urée/creat
pathologie hépatique (diminue formation urée) ou malnutrition
Quel est le DFG normal?
> 90 ml/min/1,73 m2
diminution légère DFG
60 à 89
diminution modéré DFG
30 à 59
diminution sévère DFG
15 à 30
insuffisance rénale terminale
< 15 (ou dialyse)
IRA pré-rénale vs rénale
omolarité urinaire
pré rénale > 500
rénale < 400
IRA pré-rénale vs rénale
Na urinaire
pré rénale < 20
rénale > 40
IRA pré-rénale vs rénale
u/c plasma
pré rénale > 0,1 (ADH réabsorbe urée)
rénal < 0,05
IRA pré-rénale vs rénale
sédiments
pré-rénale : cylindriques hyalins, normal
rénale : cylindre granuleux
complications IR
- hyperkaliémie (sécrète pu)
- surcharge volémique (réponse inadéq à l’apport en sodium)
- acidose métabolique
- hyperphosphatémie et hyperparathyro secondaire (changement osseux)
- hypocalcémie
- hypertension (le rein n’élimine plus le sel et les toxics qui sont des osmoles qui attire l’eau dans les vx)
- anémie *diminution sécrétion EPO)
Quels sont des signes qui oriente vers IRC
- anémie
- atrophie rénale
- hyperphosphatémie
- hyperparathyro secondaire
anatomie aorte abdo de haut en bas
- 2 a. phréniques inférieures
- tronc coeliaque
- 2 a. surrénales moyennes
- a. mésentérique sup (sous pancréas, par-dessus duodénum)
- 2 a. rénales
- a. testiculaires et ovariques
- a. mésentérique inférieures
- a. vertébrales
- a. sacrale médiane (branche terminale)
- a. iliaques communes
branches du tronc coeliaque
- a. hépatique commune (droite)
- a. splénique (gauche)
- a gastrique (postérieure)
branche artère mésentérique sup (sous pancréas, par-dessus duodénum)
- a. pancréatico-duodénale
- a. colique moyenne (côlon transverse)
- a. colique droite (côlon droit)
- a. ilio-colique (caecum, iléon terminal)
- donne aussi a. jéjuno-iléales (grêle)
branche a. mésentérique inf
- a. colique gauche
- a. sigmoidiennes
- a. rectale supérieure
Quelles structures sont le plus protégées par la circulation anastomoses entre les axes vasculaire coeliaque, mésentérique sup et inf?
- foie
- pancréas
- duodénum
- estomac
Quelles sont les zones watershed
jonction splénique
jonction sigmoidienne
(les deux coins gauches du cadre colique)
Causes ischémies mésentériques
- obstructives
- artérielles (85%) : embolie, thrombose artériosclérose
- veineuses (15%) : thrombose veineuse, mx coagulation - non obstructive : hypoperfusion (choc hypovol ou septique, MCAS
Ischémie mésentérique aigue = cause souvent…
obstructive
ischémie mésentérique chronique = cause souvent…
- vasculites
- athérosclérose
l’apparition de douleur abdominale en ischémie mésentérique =
nécrose!!!
MC ischémie mésentérique aigue
- dlr abdo 10/10
- no/vo
- sudation
- rectorragie
- péristaltisme diminué
- distension abdo (iléus)
- signes irritation péritonéale / perforation (ventre de vois)
- sepsis, fièvre
ischémie mésentérique chronique MC
- dlr péri-omb ou épigastrique
- 30 min à 2h post prandiale
- proportionnelle à taille repas
- perte pondérale (peur de manger)
- comparable à angine (effort digestion)
- souffle abdo parfois
% mortalité si dx après nécrose
70 à 90%
investigation ischémie mésentérique
- surtout clinique est exams complémentaires
- angio-TDM ou angiographie si dx incertain
Si clinique d’ischémie mésentérique, on fait quoi?
on fait pas d’imagerie, chirurgie directement!!!
tx ischémie mésentérique
- laparotomie exploratrice (embolectomie, revascu, résection)
- angiographie (perfusion papavérine, vasodilat, cathéter améliore survie)
- si occlusion artérielle (thrombolyse ou embolectomie chx)
tx thrombose veineuse mésentérique sans péritonite
paravérine, anticoag héparine, puis warfarine
quand warfarine long terme nécessaire en ischémie mésentérique?
si embolie artérielle et thrombose veineuse
CU vs Crohn
histopatho
CU : atteinte muqueuse, ulcères superficiels
Crohn : atteinte transmural, ulcères profonds
CU vs Crohn
distribution
CU : rectum à proximal, continue
Crohn : discontinue, n’importe où, surtout iléon et colon D
CU vs Crohn
atteinte iléale
CU : rare
Crohn : ++
CU vs Crohn
atteinte rectale
CU : presque tjs
Crohn 50%
CU vs Crohn
atteinte péri-anale (fistules, fissure, abcès)
crohn : souvent
CU vs Crohn
récidive après résection
crohn : souvent
CU : rare
CU vs Crohn
endoscopis
CU : muco-pus, érythème, pseudo-polype, rectale 95%
Crohn : segmentaire, ulcère profonds, aphteux, linéaires, sténose inflam ou cicatricielle
CU vs Crohn
rectorragie
CU : prédominantes
Crohn : moins fréquentes
CU vs Crohn
dlr abdo
CU : légère, ténesme
Crohn : modérées à sévères, FID
CU vs Crohn
masse palpable
Crohn : parfois
CU vs Crohn
fièvre
CU : rare
Crohn : fréquente
Quel est le marqueur de rép inflam le plus utilisé pour MII
protéine C réactive
Exam de choix MII
coloscopie
- distinguer CU ou Crohn
- prélever biopsies
- intubation iléo
Symptômes accompagnateurs Crohn
- érythème noueux
- arthrite
- gangrène
- fièvre
- uvéite
tx commun aux deux MII
- réduction stress
- loparamide pour crampes et diarrhée
aigu
- corticostéroïdes en aigu
- agents bioloqiues
rémission
- immunosup
tx CU
- probiotiques
- 5-ASA si léger ou modéré
tx Crohn
- arrêt tabac
- 5 ASA controversé
Sites fortement colonisés
- bouche
- système génito-urinaire
- tube digestif
- système respiratoire
- peau
Y a -t-il des bactéries dans trachée, bronches, poumons
essentiellement stériles sauf si contamination par aspiration (bactéries éliminées par cellules ciliées des bronches)
Quelle bactérie = majeure flore vaginale
lactobacille = fermente le glycogène et produit acide lactique = maintien pH acide (inhibition bactéries digestives)
Avant la puberté, le pH vaginal est
alcalin, car lactobacilles absents = ne produit pas de glycogène
Après la ménopause, pH vaginal
redevient comme avant puberté, alcalin car absence de lactobacille
Sites stériles
- trachée, bronche, poumon
- reins
- vessie
- sang
- LCR
- liquide synovial
- tissus profonds
Rpole de la flore normale dans la résistance à la colonisation de pathogènes
- sécrétion bactériocines (e. coli)
- production métabolites toxiques (acide gras)
- production H2O2 (lactobacilles, streptocoques)
- compétition nutriments essentiels
rôle physiologique de la flore normale et incidence sur les défenses de l’hôte
- stimulation système immunitaire
- contribution nutritionnelle et métabolique (digestion et synthèse vitamines)
Infections dues aux microorganismes de la flore normale
infections opportunistes, abcès, péritonite, plaie, pneumonie, infection urinaire (e. coli)
Étape colonisation rencontrés par germe
- barrière mécanique et chimique
- peau, muqueuses, desquamation
- toux, atchoum
- HCl, enzymes digestives, bile - adhésion aux cells épithéliales
- nutrition et multiplication à la surface des cells épithéliales
Investigation microbiologique
- hémoculture
- culture selles
- culture expectos
- culture d’urine
- culture vaginale
Comment faire hémoculture
2 échantillons, 1/2 doit être positif
Si les vomissements soulagent la douleur abdo, évoque
obstruction intestinale
si les vomissements NE soulagent PAS douleur abdo, évoque
pancréatite
cholécystite
6 catégories no/vo
- Nerveux
- endocrinien
- GI
- néo
- ORL/vestibulaire
- systémique
Exemple causes nerveuses no/vo
(méningite, psy, TC, migraine, n. vestibulaire, HTIC)
Exemples causes GI no/vo
- estomac (RGO, ulcère, gastroparésie)
- vésicule biliaire
- intestin (occlusion, infection, MII)
- pancréas (pancréatite)
- foie (hépatite aigue)
- colon
- appendicite (n. vague)
Exemple causes endocrino no/vo
- insuf hépatique
- grossesse
- db
- tempete thyro
- urémie
- trouble K, Ca, Na
- insuffisance surrénalienne
Exemple cause ORL no/vo
- labyrinthite
- vestige paroxystique périphérique bénin
- mal transports
Exemples causes néo no/vo
- syndrome paranéo
- néo estomac, ovaire
Exemple causes systémiques no/vo
- chimiotx
- narcotiques
- ATB
- oestrogènes
- intox rx ou alim
- post-op
- fièvre
- choc
- infarctus inférieur
investigation no/vo aigues
- ionogramme
- urée créat
- gly
- SMU DCA
- bilan hépatique
- beta-HCG
investigation pour no/vo chroniques
- endoscopie haute
- explo radio intestin grêle
- exam vidange gastrique et motricité antroduodénale
tx no/vo
- antagoniste récepteurs sérotonine (rx, chimio, post-op, métabolique, patho GI
- antipsychotique (rx, chimio, métabolique, GI)
- antihistaminiques (vestibulaire, n. cranien, vertige, mal transport
- corticostéroïdes (SNC, métastases, HTIC, GI néo)
Les ATB et AINS et narcotiques sont-ils un tx de no/vo?
NON, ils sont surtout une cause de no/vo
ddx nodule prostatique
- nodule bénin / tumeur
- prostatite chronique
- HBP
- infarctus prostatique
- fibrose prostatique post-op
- calcul prostatique
Présentation cancer prostate
- silencieuse++
- prévalence élevée, détectée TARD (dissémination métastatique)
V ou F, cancer prostate souvent découvert quand métastases
VRAI
MC métastases cancer pancréas
- dlrs osseuses
- IR par obstruction uretère
- fatigue
- anémie (atteinte moelle osseuse)
- perte poids
- syndrome paranéo
V ou F cancer prostate donne souvent hématurie, hémospermie, sx mictionnels obstructifs de type prostatisme
FAUX
APS sérique définition
protéase (enzyme) produite par épithélium glandes prostatiques et sécrétée dans liquide spermatique pour liquéfier coagulum séminal.
qté APS sérique chez homme normal
très faible qté
V ou F APS sérique est un marqueur spécifique de la prostate
vrai
APS = marqueur tumoral spécifique?
NON, il augmente avec HBP, rétention urinaire, manipulation prostatique, prostatite
certaines conditions qui normaliseront après 1 mois, augmente jusqu’à 4-10 ng/l L
- rapport sexuel
- TR, écho endorectale
- biopsie prostate
- vélo
APS toujours élevée dans cancer?
FAUX, normal dans 25% des cas
APS est-elle utile dans le suivi post-op ou rx dans le cancer de la prostate?
oui!
V ou F l’hyperplasie prostatique est irréversible
faux, c’est pas des cellules prolifératives autonomes, mais dysfonction hormonale!
sx prostatite
- fièvre
- dysurie
- prostate douloureuse à la palpation +++
cause prostatite
- iatrogénique (cathéter, cystoscopie, chx prostate)
- reflux urine complication infection urinaire basse
- dissémination hématogène
Quelle est la forme de prostatite la plus courante entre aigue et chronique
chronique
Causes obstruction grêle vs colon
grêle
- adhérences
- hernie incarcérée
- néo
- MII
- cholélithiases
colon
- cancer colon
- diverticulite
- volvulus
- fécalome
Examen de dépistage obstruction
RX abdo
- dilatation
- nvs hydriques
- gaz, air libre
Examen de choix obstruction (meilleur)
TDM
- partielle vs complète?
- cause
- complication (étranglement, ischémie)
Types d’anémie selon VGM et causes
microcytaire < 80 : thalassémie, carence fer
normocytaire : mx chronique, MII
macrocytaire VGM > 100 : carence folates ou B12
différence entre grêle et colon à RX
grêle : replis traversent lumière
colon : cadre colique
tx obstruction intestinal
si pas compliqué : conservateur médical (efficace 80%)
- hydratation
- électrolytes
- TNG
- décompression anses
- diminuer aspiration et risque perforation
Indications de chx obstruction
- échec conservateur après 72h
- obstruction complète
- complications (nécrose, fièvre, septicémie, pneumopéritoine)
- hernie incarcérée
complications obstruction
- choc (déshydratation, 3e espace, septique)
- perforation / péritonite
- ischémie et nécrose
causes les plus fréquentes de péricardite
- infectieux : viral
- non infectieux : idiopathique (80%), urémique, néo, trauma, dissection
- dressler (post-IDM)
Causes les plus fréquentes de tamponnade
- péricardite
- néoplasie
- dissection aortique
La plupart des péricardite sont __
idiopathiques
Triade de Beck de la tamponnade
- jugulaire distendues
- hypotension
- amortissement bruits cardiaques
- signe de kussmaul
- pouls paradoxal
Pouls paradoxal
diminution perception pouls associé à chute de TAS > 10 mm Hg lors inspiration profonde, car celle-ci entraîne une baisse modérée de la pression artérielle
Signe de Kussmaul
augmentation de la TVC à l’inspiration
Causes de pouls paradoxal
- EP massive
- tamponnade
- asthme, MPOC
Définition péricardite constrictive
épaississement fibro-inflammatoire des feuillets du péricarde
Tamponnade
épanchement péricardique important diminue le remplissage des cavités cardiaques = bas débit cardiaque avec parfois état de choc et décès
Est-ce que la sévérité d’une tamponnade est proportionnelle au volume?
Non, elle est proportionnelle à la vitesse d’accumulation du liquide et non du volume de celui-ci.
Si le liquide (habituellement du sang) s’accumule rapidement, des quantités même modérées (p. ex., 150 mL) peuvent entraîner une tamponnade, car le péricarde n’a pas assez de temps pour se distendre et s’adapter.
L’accumulation lente en revanche peut atteindre jusqu’à 1500 mL sans entraîner de tamponnade.
Les épanchements liquidiens péricardiques importants sont __ en péricardite constrictive
rares
Les troubles du rythme sont __ en péricardite constrictive
fréquents
MC péricardite constrictive
- faiblesse, fatigue
- dyspnée à l’effort
- distenstion veines jugulaires (signe Kussmaul à l’inspi)
- bruits cardiaques peuvent être assourdis
- hépatomégalie congestive ++
- ascite fréquente + OMI
- gain de poids
Quelle est la différence entre péricardite constrictive et la tamponnade pour le pouls paradoxal?
absence de pouls paradoxal en péricardite constrictive, car le péricarde ne transmettra pas les variations respiratoires de la pression intrathoracique comme la tamponnade.
Points en commun entre cirrhose et péricardite constrictive? Comment les distinguer?
ascite marquée et hépatomégalie dans les deux! Vérifier la distension des jugulaires qui ne seraient pas distendues en cirrhose.
Caractéristiques frottement péricardique
- aigu
- systolo-diastolique
- varie dans le temps on/off
- si absent, n’exclut pas le dx
Comment mettre en évidence frottement péricardique
- systole auriculaire et ventriculaire
- diastole ventriculaire
- parasternal gauche inférieur (pression ferme w diaphragme)
- expiration
- penché vers l’avant
investigation péricardite et épanchement péricardique
- EP cardio-pneumo
- SV
- ECG
- échocardiographie
Quel est le meilleur test d’épanchement péricardique dx
échocardiographie
- non invasif
- au chevet
- compression du VD visible
Différence entre ECG tamponnade et péricardite constrictive
les deux on bas voltage QRS
tamponnade : alternance électrique
péricardite constrictive : aplatissement ou inversion diffus des ondes T
ECG péricardite
dans les 24h
- sous-décalage PR sauf en aVR et V1
- sus-décalage ST diffus concave sans images miroirs
après 24h
- ST et PR revient normal
- onde T aplaties
1 sem après
- onde T inversée
Particularité onde T péricardite
évolution de l’onde T !
- ST élevé
- revient normal après 24h
- T aplaties pour 2 jours
- inversion onde T sur 7 jours
- revient normal après
tx péricardite de base
tde base :
- anti-inflammatoire haute dose (virale et idiopathique)
- colchicine pour éviter récidive durant 3 mois
tx péricardite dressler
- éviter cortico et anti-inflam
- aspirine 80 mg
- tylénol pour dlr
tx péricardite si cause auto-immune
corticostéroides
Effet corticostéroïde
- anti-inflammatoire
- immunosuppression
tx tamponnade
- péricardiocenthèse (ponction à l’aiguille) urgente si instable hémodynamiquement
- chirurgie péricardectomie STAT + monitoring ECG et hémodynamie
si choc : BOLUS pour augmenter postcharge DC
tx causal
tx péricardite constrictive
résection péricardique
tx épanchement péricardique
- bolus (éviter dim DC)
- anti-inflam
- monitoring ++
- vérif TVC
- RX thorax et écho
- si hémodynamie instable péricardiocentèse, drain, fenêtre, péricardectomie
- tx causal
quel est la qté normal de liquide péricardique
15-20 ml entre les feuillets
complication aigue et chronique péricardite
aigue : épanchement péricardique vers tamponnade
chronique : péricardite constrictive
Quelle est la cause la plus fréquente de péricardite constrictive
tuberculose
radiotx, cancer péricarde (rare)
MC péricardite constrictive
ICD
- jugulaire distendue
- hépatomégalie douloureuse
- OMI
3 caractéristique d’angine instable
- de novo classe 3 (1 étage, 2 blocs)
- crescendo (atteint classe 3-4)
- de repos > 20 min
angine instable est > à __ min
> 20 min
MC de STEMI qui distingue de NSTEMI
- douleur intense, intolérable
- pas soulagé par nitro ou repos
- diaphorèse et faiblesse
- 50% no/vo
- éructations et diarrhée
PEut-il y avoir fièvre dans STEMI?
38,5 dans les 3 premiers jours
__ % des infarctus développe péricardite dans les 24h DRESSLER
10 à 30%
Infarctus __ stimule PSYM
paroi inférieur
- bradycarde
- hypoTA
Infarctus __ stimule SYM
antérieur
- tachycardie
- pâleur et froideur extrémité
utilité marqueurs biochimique SCA
-présence CK ou tropo = nécrose = infarctus!
absence = angine instable
utilité score TIMI
risque après angine instable ou NSTEMI
- mortalité de toute cause
- ré-infarctus non fatal
- évolution vers STEMI
- risque de nécessiter revascu d’urgence dans les 14 jours
Critères de score TIMI
< 2 : faible
2 à 3 : intermédiaire
> 3 : élevé
- > 65A
- > 3 FDR
- coronarographie démontre mx coronarienne (50% sténose)
- prise ASA dans les 7 jours précédents
- > 2 épisodes angine dans les 24h
- déviation ST > 0,5
- élévation CK tropo
Comment classifier SCA?
angine instable : clinique
NSTEMI : clinique + marqueur biologique
STEMI : clinique + marqueur biologique + ECG
Absence de marqueurs biologiques exclut-elle infarctus en aigu?
non, possible que ECG et marqueurs soient normal. Faut répéter ECG aux 8h, 3 fois.
caractéristiques CK
- sensibilité
- spécificité
- chronologie
- augmente dans les 3-8h
- max 24 h
- redevient normal après 3 jours
- sensibilité 40-50%
- pas très spécifique au coeur
caractéristiques tropo
- sensibilité
- spécificité
- chronologie
- augmentation comme CK
- demeurent élevées plus longtemps > 7 jours
- marqueurs de CHOIX
- meilleur sensibilité et spécificité
- 100% à 12 h
Tropo vs CK?
tropo!!
tx SCA
- monitoring ECG
- repos complet et stabilisation 12-24h
- minimisation stress
rx
- beta-bloqueurs
- IECA
- statines
- nitro (dlr, HTA ou IC)
- morphine
tx antithrombotique SCA
- ASA
- clopidogrel
- héparine IV pendant thromobolyse
- oxygène
Indication IECA SCA
- IC
- FE < 40%
- infarctus antérieur massif
- diabétique
tx reperfusion SCA
- ICP (intervention coronarienne percutanée)
- thrombolyse (si ICP non dispo)
- pontage aorto-coronarien
indication pontage aorto-coronarien
- MCAS touche ACG ou > 3 vx coronaires
- échec thrombolyse et angiographie primaire
- choc cardiogénique
- arythmies ventriculaires malignes
Indication revascularisation infarctus
angioplastie ou thrombolyse chez STEMI
3 critères
- douleur ischémique > 30 min < 12 h
- dlr non soulagée par nitro
- sus-décalage > 1 mm ST dans 2 dérivations frontales ou précordiales adjacentes ou bloc branche gauche de novo
Artères coronaires sortant de l’aorte
- a. coronaire droite (origine du sinus aortique droit)
- a. coronaire gauche (origine sinus aortique gauche)
se divise en a. circonflexe et a. interventriculaire antérieur
3 branches arc aortique
- tronc brachio-céphalique
- a. sous-clav droite
- carotide commune droite - carotide commune gauche
- a. sous-clavière gauche
Une augmentation des neutrophiles =
bactérien ou démarginalisation stress aiguë
lymphocytes augmentés dans FSC =
virale ou leucémie
Quand toutes les cellules sont augmentées FSC
déshydratation
anémie microcytaire VGM < 80 =
carence en fer
hb normale femme adulte
< 125 g/l
hb normale homme adulte
< 130 g/l
avantage gazométrie artérielle vs capillaire
artérielle
+ meilleure PO2, préconiser si hémodynamie instable
- doit être faite par médecin, invasive, complications
capillaire
+ accessible, non invasive
- moins précis, influençable
Quand faire une gazométrie
- état conscience
- intox
- hémodynamie instable
- troubles respi
Quand faire hémocultures?
suspicion dissémination sanguine d’une infection
- bactériémie ou septicémie
- identifier ATB
- fièvre importante avec frissons
peut-on avoir bactériémie sans fièvre?
OUI! surtout chez personnes agées, donc on fait hémoculture si
- altération conscience
- absence foyer infectieux
Interpréter résultats 3 hémocultures
2/3 positives si germes opportunistes
ou
1/3 positives si gène pathogènes spécifiques connus pour causer des infections
normalement, si 1/3 culture est +…
c’est un contamination
qu’est-ce qui pousse dans hémoculture?
bactéries
mycètes
Infection virale et hémoculture?
ne peut pas être diagnostiquée
une hémoculture négative élimine-t-elle une infection?
Non, il n’y a juste pas de bactériémie
Quelle est la valeur critique de PaO2
60 mmHg = SaO2 90%
en bas de ça, ça chute drastiquement
Équation PaO2 normale selon l’âge
100 - (âge/3)
équivalence 75 mmHg en SaO2
75 mmHg = 95%
Saturométrie normale d’une personne de 90 ans
100 - (90/3) = 70 mmHg = 92%
Quels sont les tests de fonctions respiratoire
- spirométrie (débits respi)
- pléthysmographie (volumes pulmo)
- diffusion (DLCO)
spirométrie normale et valeurs inférieures
VEMS > 80%
60 à 79% = syndrome obstructif léger
40 à 59% = syndrome obstructif modéré
< 40% = syndrome obstructif sévère
Comment déterminer la réversibilité post-bronchodilatateur
> 200 cc et > 12% d’amélioration
CVF normale (capacité vitale forcée)
CVF > 80% normale
CVF < 80% suggère
restriction pulmonaire
définition VEMS
volume expi max par seconde, soit la proportion du volume total expiré dans la première seconde
Indice de Tiffeneau
VEMS/CVF
< 70% : syndrome obstructif
> 70% : syndrome restrictif
Quelle est la particularité de l’indice de tiffeneau dans le tableau
c’est déjà un %, donc on regarde la colonne valeur observée alors que pour les autres on regarde la colonne %
MPOC : si l’indice de tiffeneau est normal, un VEMS abaissé…
ne veut rien dire
on regarde __ en premier pour dire s’il y a un syndrome obstructif
l’indice de tiffeneau en premier et non le VEMS!
Utilité du VEMs en MPOC?
sert seulement à quantifier la sévérité du syndrome obstructif, si l’indice de tiffeneau est , 70%. Le VEMS n’indique pas clairement qu’il y a un syndrome obstructif, c’est l’indice de tiffeneau qui permet de l’affirmer.
Que faut-il pour poser dx de MPOC
indice de tiffeneau < 70%
Qu’est-ce qui permet de mesurer les volumes pulmo
pléthysmographie
CPT normal
85 à 120%
CPT < 85% =
syndrome restrictif
CPT > 120%
hyperinflation
VR normale
80 à 150%
VR < 80%
suggère restriction
VR > 120%
suggère rétention gazeuse
DLCO définition
diffusion CO2
DLCO normal
80 à 120%
DLCO < __ = abaissée
DLCO < 70%
Le DLCO est augmenté dans les maladies…
où on ventile beaucoup et diminué dans les maladies où on ventile moins.
Indication DLCO
- mx parenchymateurse (obst/rest)
- mx vasculaire pulmo (HTAP, EP)
Effet sur DLCO
asthme, exercice, polyglobulie, hémorragie alvéolaire
augmenté
Effet sur DLCO
mx interstitielles, emphysème, alvéolite, toxicité rx, anémie, HTAP, radiotx, résection pulmo
diminué
Causes de syndrome obstructifs
- bronchite chronique
- emphysème pulmonaire
- asthme
- dilatation bronches
Causes syndromes restrictifs
- pneumonectomie
- paralysie muscles respi
- mx détruisant tissu (fibrose)
- blocage ou déformation thorax
Comment se manifeste un syndrome obstructif? restrictif?
obstructif : diminution débits expiratoires
restrictif : diminution volumes pulmonaires
Causes d’augmentation de la vitesse de sédimentation
- mx inflam
- néoplasies généralisées
- hyper-gammaglobulinémie
Valeurs normales vitesse sédimentation
H : 0-15 mm/h
F : 0-20 mm/h