histoire informatique Flashcards
Les Précurseurs
Charles Babbage
George Boole
Charles Babbage (précurseur)
premier à avoir conçu une machine qui regroupe les principes essentiels de l’informatique
moderne : une mémoire et un calculateur
programmable.
George Boole (précurseur)
En Angleterre, accomplie l’algébrisation de la logique et invente la logique binaire. Les travaux
théoriques de Boole auront des
applications primordiales comme dans
les systèmes informatiques
Les pères fondateurs de l’informatique
Alan Turing
John Von Neumann
Claude Shannon
Norbert Wiener
Alan Turing
conçoit une machine électronique (Kolossus) qui permet de décrypter tous les messages allemands. Sa machine devient le modèle de machine informatique. Il est le père des ordinateurs modernes pour leur partie théorique. Il va instaurer les grands concepts du fonctionnement algorithmique des futurs ordinateurs.
John Von Neumann
En 1943, il participe activement à la mise au point de la première bombe atomique. Il est le premier a avoir l’idée que le programme doit être codé et rangé dans la mémoire de la machine. Il sera consultant chez IBM pour l’armée.
Claude Shannon
Père fondateur de la théorie de l'information, il introduit à l'informatique le concept de binaire, il utilise notamment l'algèbre booléenne et explique comment construire des machines à relais en utilisant l'algèbre bivalente pour décrire l'état des relais (1 : fermé, 0 : ouvert)
Norbert Wiener
Mathématicien américain, fondateur de la cybernétique, une science qui formalise la notion de feedback (rétroaction) et a des implications en informatique notamment.
Il soutient une nouvelle version du monde dans laquelle l’information et la communication deviennent des éléments fondamentaux suite au contexte des guerres mondiales.
Les quatre générations d’ordinateurs
Première génération (1950-1959)
Deuxième génération (1959-1963)
Troisième génération (70’s)
Quatrième génération (70’s à nos jours)
Première génération d’ordinateurs (1950-1959)
Technologie à base de tube à vide
miniaturisés (plus fiables et consommant
moins d’énergie).
Puis les mémoires à tores de ferrite les
remplacèrent.
Puis les mémoires à tores magnétiques
Deuxième génération (1959-1963)
Utilisation des transistors dans les unités
centrales (amélioration des vitesses de
traitement des ordis).
Miniaturisation des unités centrales
Importants progrès dans le domaine des
logiciels.
Troisième génération (70’s)
Circuit intégré en silicium (augmentation de la
capacité des mémoires).
Utilisation des techniques de microprogrammation.
Les systèmes d’exploitation se compliquent et les
applications prolifèrent.
Accroissement de la puissance de traitement.
Les systèmes permettent d’accéder aux machines
à distance par l’intermédiaire de terminaux reliés
par des liaisons téléphoniques.
Quatrième génération (70’s à nos jours)
Les coûts des logiciels occupent désormais une
part prépondérante dans le prix de revient des
systèmes informatiques. Les utilisateurs veulent
protéger leur investissement et redoutent les
changements de machines entraînant une
réécriture des programmes. La compatibilité des
machines vis-à-vis des programmes devient un
impératif majeur des utilisateurs.
Apparition du micro-processeur.
Les réseaux - Internet
L’interconnexion des ordinateurs est lancée au milieu des 60’s par le département de la défense des USA, pour protéger leurs données informatiques des
soviétiques.
ARPANET démarre fin 60’s avec des objectifs universitaires aux USA. Le premier réseau est ainsi imprégné du mode d’organisation de l’université selon les deux principes qui organisent internet jusqu’aujourd’hui :
L’accès au libre savoir, circulation gratuite de l’information.
L’autonomie des sous réseaux, et intercommunication sans machine centralisée intermédiaire.
En 1971, Ray Tomlinson invente le courrier électronique.
En 1972 ARPANET est présenté au grand publique et devient Internet.
La Rétroaction - Feedback
La rétroaction est l’action en retour d’un effet sur sa propre cause : la séquence de causes et d’effets forme donc une boucle dite « boucle de rétroaction ».
Norbert Wiener est un des pionniers de l’utilisation de cette expression.
Ils l’emploient dans un sens restreint pour signifier que le comportement d’un objet est déterminé par la marge d’erreur qui le sépare à un moment donné de l’objectif qu’il cherche à atteindre.