GENETIQUE THEME 1 CHAPITRE 1 Flashcards
La réplication d’une cellule produit un ensemble de cellules génétiquement identiques, comment appelle-t-on ça ?
Un clone cellulaire
(I - Conservations des génomes/A - Un clone, ensemble de cellules génétiquement identiques)
Quelles sont les différentes fonctions d’un clone cellulaire chez un végétal et bactéries (5 fonctions citées) ?
- se multiplier sans sexualité (ne crée pas de génomes différents)
- individus nouveaux, copies conformes de l’individu source
- garder qualités agronomiques recherchés en agronomie
- simple et rapide
- à partir d’un bulbe, d’un rhizome et d’un tubercule
(I - Conservations des génomes / A - Un clone, ensemble de cellules génétiquement identiques)
Quelles sont les différentes fonctions d’un clone cellulaire chez des organismes pluricellulaires, comme l’Homme (3 fonctions citées) ?
- de renouveler les tissus (cellules intestinales se renouvellent en cinq jours)
- intervient dans les mécanismes de défense contre les antigènes (clone de lymphocyte B ne produit qu’un seul type d’anticorps)
- clone cellules sanguines, formés de cellules séparées au préalablement des clones eux-mêmes
(I - Conservations des génomes / A - Un clone, ensemble de cellules génétiquement identiques)
Quel est le fonctionnement du cancer ?
Tous les cancers se développent à partir d’une cellule anormale : cette même cellule va se multiplier par une mitose anarchique, et ses cellules filles vont en faire de même. Il y aura naissance d’une tumeur, et donc de cellules cancéreuses qui approfondiront la maladie.
(I - Conservations des génomes / A - Un clone, ensemble de cellules génétiquement identiques)
Qu’est-ce que l’analyse d’une tumeur montre ?
Une variabilité génétique au sein de la population clonale. On distingue des sous clones et des réarrangements de chromosomes.
(I - Conservations des génomes / B - La diversité génétique au sein d’une population clonale / 1) Origine de la diversité génétique)
Comment l’explique-t-on (par l’analyse d’une tumeur) ?
La diversité génétique, sans échanges extérieurs, s’explique par des mutations ou d’autres accidents génétiques, qui s’accumulent au cours des cycles cellulaires successifs.
Chaque individu est donc constitué d’une mosaïque de clones présentant de faibles variations génétiques liées aux mutations accumulées.
(I - Conservations des génomes / B - La diversité génétique au sein d’une population clonale / 1) Origine de la diversité génétique)
Quelles sont les conséquences des mutations ?
Ces modifications sont irréversibles et peuvent devenir héréditaires si elles surviennent dans une cellule germinale (ovule, spermatozoïde). Mutations = nouveaux caractères susceptibles d’être sélectionnées au cours de l’évolution.
Ex : l’aptitude à digérer le lactose à l’âge adulte s’explique par la sélection d’un nouvel allèle par mutation du gène régulant l’expression de la lactase.
D’autres peuvent avoir un effet négatif sur l’individu, et provoquer des maladies. C’est le cas de la mutation du gène régulateur p 53 qui est associé à près de 50% des cancers humains.
(I - Conservations des génomes / B - La diversité génétique au sein d’une population clonale / 2) Conséquences de la diversité génétique)
Et si les mutations sont sans conséquences ?
Car c’est une mutation silencieuse, localisées sur deux gènes ou sur un gène qui ne modifient pas les protéines fabriquées.
(I - Conservations des génomes / B - La diversité génétique au sein d’une population clonale / 2) Conséquences de la diversité génétique)
Quelles sont les conséquences de la reproduction sexuée ?
Contrairement à la reproduction asexuée, qui ne modifie pas le génome au cours des générations, la transmission verticale des gènes au cours de la reproduction sexuée aboutit à de nouveaux génomes.
(II - Les conséquences de la reproduction sexuée)
Comment assurer la stabilité du caryotype au cours des générations/cycle cellulaire ?
Il y a deux types de cellules :
- Haploïde, noté n, et signifie qu’il y a un seul exemplaire de chaque chromosome dans la cellule. Spermatozoïdes et ovules sont des cellules haploïdes.
- Diploïde, noté 2n, et implique la présence de deux exemplaires pour chaque type de chromosomes. Chromosomes d’une même paire sont homologues. Il porte la même série de gène, mais pour chaque gène, il ne s’agit pas nécessairement des mêmes allèles.
La méiose est un processus qui permet de produire cellules haploïdes à partir d’une cellule diploïde.
Et la fécondation réunit deux cellules haploïdes (n+n) pour former une cellule œuf diploïde (2n).
Ces mécanismes se succèdent au cours du cycle, sauf accident, pour assurer la stabilité du caryotype. L’homme est un organisme diploïde dont la majeur partie du cycle de développement se faire avec des cellules diploïdes.
(II - Les conséquences de la reproduction sexuée / A - La stabilité du caryotype au cours des générations)
Est-ce que le phénotype renseigne directement sur le génotype ?
Non, notamment chez les organismes diploïdes, puisqu’il peut irriter de deux allèles différentes d’un même gène. Certains allèles sont dominants, donc s’exprime, d’autres récessifs, ou encore, certains sont même codominant.
Est-ce que le phénotype renseigne directement sur le génotype ?
Non, notamment chez les organismes diploïdes, puisqu’il peut irriter de deux allèles différentes d’un même gène. Certains allèles sont dominants, donc s’exprime, d’autres récessifs, ou encore, certains sont même codominant.
(II - Les conséquences de la reproduction sexuée / B - L’émergence de nouveaux génomes à chaque génération grâce au brassage des allèles / 2) Notion d’homozygotie, hétérozygotie, dominance et récessivité)
Quel est le brassage qui a lieu en anaphase ?
Le brassage interchromosomique : résultat équivalent, 50%, qui se joue sur des gènes non liés, ou indépendants. Disjonctions se produisent aléatoirement et indépendamment ; pour toutes paires, on obtient quatre combinaisons d’allèles équiprobables en fin de méiose. Deux gamètes parentaux, deux gamètes recombiner.
(II - Les conséquences de la reproduction sexuée / B - L’émergence de nouveaux génomes à chaque génération grâce au brassage des allèles / 4) La transmission des allèles lors de la méiose / b - transmission de deux paires d’allèles portés par deux paires de chromosomes différents (gènes non liés))
Quel est le brassage qui a lieu en prophase ?
Le brassage intrachromosomique : deux gènes liés, majorités gamètes parentaux, minorités gamètes recombiner, donc quatre types de gamètes équiprobables.
En début première division de méiose, les chromosomes homologues de chaque paire s’accolent. Leurs chromatides établissement des zones de contact, les chiasma. Au niveau de ces derniers, des segments de chromatides peuvent se casser et se “recoller” pour former des chromatides recombinées = crossing-over, ou enjambement.
(II - Les conséquences de la reproduction sexuée / B - L’émergence de nouveaux génomes à chaque génération grâce au brassage des allèles / 4) La transmission des allèles lors de la méiose / b - transmission de deux paires d’allèles portés par une même paire de chromosomes : brassage intrachromosomique (crossing-over))
Lorsque nous croisons deux lignées pures, que cherchons-nous à déterminer ?
Croiser deux lignées pures permet de déterminer le caractère récessif ou dominant de l’individu test. Nous appelons la première génération F1.
(III - Principes de base de l’analyse génétique / A - Étude statistique de croisement / 1) Croisement de deux lignées pures)