General Flashcards
risques à long termes de la pyélonéphrite mal traité dans l’enfance
insuffisance rénale
hypertension artérielle
symptomes de l’infection urinaire chez le nourrisson
fièvre sans foyer, vomissements, léthargie, irritabilité
troubles alimentaires, pleurs inhabilituels, ictère prolongé
symptômes de l’infection urinaire chez l’enfant de plus de deux ans
fièvre, pollakiurie, dysurie, lombalgie
définition clinique d’une pyélonéphrite aigue
bactériurie avec état fébrile > 38 degrés
ou
bactériurie avec douleurs lombaires/ sensibilité à la percussion
définition clinique d’une cystite
bactériurie symptomatique sans état fébrile ni sensibilité de la loge rénale
quelles tests de la bandelette urinaire sont utilisés pour le diagnostic des infections urinaires ?
le test au leucocyte estérase qui détecte l’estérase, une enzyme produite par les globules blancs
le test au Nitrite permettant de détecter la présence de gram-, qui transforment le nitrate en nitrite.
quels germes causent fréquemment des infections urinaires ?
escherichia Coli (90%) enterococcus, Klebsiella, Pseudomonas, staphylococcus aureus proteus mirabilis souvent associé à des malformations des voies urinaires
dans quels cas peut on proposer une antibiothérapie per os dans le cas de l’infection urinaire ?
dès l’âge de 6 mois (parfois 3 mois)
si l’enfant n’est pas septique, n’est pas connu pour une uropathie à risque et ne vomit pas.
dans quels cas propose t on une antibioprophylaxie dans le cadre des IU
si IU à répétions et/ou d’un RVU stade 3 ou plus
différence entre énurésie primaire et secondaire ?
dans l’énurésie primaire l’enfnat n’a jamais été continent.
dans l’énurésie secondaire, l’enfant a été continent pendant plus de 6 mois puis n’est plus continent (par ex commence à faire pipi la nuit)
troubles du stockage vésical (2)
vessie hyperactive ou immature :capacité vésicale petite avec hyperactivité du détrusor et contraction du sphincter pour minimiser les fuites.
urgences, accroupissement et petites fuites
vessie rétentionniste : vessie s’agrandissant chez des enfants qui préfèrent jouer et retardent la miction.
mictions incomplètes et peu fréquentes, fuites de grandes quantités, perte de la sensation de réplétion et de l’envie de faire pipi
troubles de la vidange (2)
vessie paresseuse : très large vessie avec distention du detrusor qui devient inefficace.
mictions rares , dysurie avec faiblesse de jet urinaire et contraction abdominales pour les déclencher
dyssynergie vésico-sphinctérienne : vessie de lutte avec perte de coordination vessie sphincter
dysurie, jet urinaire saccadé infections uriniaire à répétition
souvent stade terminal
analyse d’urines : définition cylindre granuleux
cylindre renfermant des débris d’épithélium tubulaire er témoignant de la présence d’une infection d’une parenchyme rénal
pendant combien de temps maintient on une antibiothérapie lors de pyélonéphrite aigue chez l’enfant ?
10-14 jours
quel examen radiologique permet de rechercher des cicatrices rénales ?
scintigraphie rénale au DMSA
rôle du centre pontin dans la miction
coordination detrusor-sphincter pour assurer la miction
quel système autonome assure la phase de remplissage de la vessie ?
système sympathique
relaxe la vessie et contracte le sphincter interne
quel système autonome assure la phase de vidange de la vessie ?
système parasympathique
contracte le détrusor et supprime l’influx sympathique
formule pour norme du volume vésical
30 x (âge+1) ml (jusqu’à 12 ans puis 390 ml)
incontinence diurnes examens de 1ère 2ème 3ème intention
1 : calendrier mictionnel
2 : US rénal et vésical
3 : CUM, IRM etc..
oxybutinine
traitement anticholinergique (agit sur la phase de stockage en diminuant l’hyperactivité du detrusor)
quel médicament peut être utiliser pour traiter l’énurésie?
desmopressine acetate (Minirin)
analogue synthétique de l’ADH
à utiliseren dernier recours ou pour obtenir rapidement une courte période de propreté
différence entre protéinuries glomérulaires sélective et non sélective
sélective : principalement protéines de masse moléculaire inférieure ou égale à celle de l’albumine (syndrome néphrotique idiopathique
non sélective : comporte essentiellement des
protéines de masse masse moléculaire supérieure à
celle de l’albumine (p. ex: IgG) (Glomérulonéphrites)
triade syndrome néphrotique idiopathique pur
protéinurie
hypoalbuminémie
oedèmes et prise de poids
germes causant des méningites selon âge (+ ou - 1 mois)
<1 mois, streptocoque B, E.coli (proviennent de la flore génitale maternelle)
>1 mois streptocoque pneumoniae + Neisseria meningitis
symptômes classiques de la méningite
céphalées aigues, vomissements fièvre photophobie, hyperesthésie convulsions (surtout petits enfants) troubles de la conscience
Kernig’s sign
patient couché sur le dos, on plie la jambe à 90 degrés et on essaie de la redresser , si douleur ou résistance, —-> irritation méningée
Brudzinski’s sign
patient couché sur le dos, on fléchit la nuque, si le patient plie les jambes pour éviter une doulour –> irritation méningée
signes de méningites chez les enfants
pas de signe spécifique chez le nouveau né !
si signes d’infection tachycardie, peau marbrée, temps de recoloration prolongé méningite jusqu’à preuve du contraire
chez les petits enfants : fièvre, refus de manger, vomissements irritabilité
puis somnolence, convulsions, fontanelle bombée et opisthotonos
quelles pathologies peuvent causer un pseudo-méningisme ?
une angine sévère avec lymphadénite cervicale, ou un abcès rétro-pharyngé
quels examens realiser lors d’une ponction lombaire pour suspicion de méningite ?
gylcorachie, protéinorachie
frottis (numération cellulaire et coloration de gram
PCR bactérien / culture
quelles sont les séquelles possibles des méningites bactériennes ?
surdité uni/bilatérale (10%) epilepsie hydrocéphalie chronique troubles moteurs (hémi/ tétraparésie) retard mental
définition encéphalite
inflammation du tissu cérébral avec souvent, une atteinte méningée associée