cancer anomalies gen Flashcards
Quand a lieu le pic d’incidence de tumeurs malignes pédiatriques ?
1-5 ans
le traitement d’une tumeur maligne pédiatrique repose sur — axes.
trois axes : chimiothérapie, chirurgie, radiothérapie
dans quel type de tumeur réalise t on systématiquement une biopsie ?
neuroblastome
pourcentage nature des masses abdominales chez le nouveau-né
70% malformations
30% cancers
origine du neuroblastome
développement pathologique des neuroblastes de la crête neurale
quels marqueurs tumoraux peuvent être recherchés en analyse de laboratoire ?
AFP (alpha feto protein ) BHCG (beta human chorionic gonadotrophin) , cathécolamines urinaires
démarche diagnostique pour suspicion de neuroblastome
bilan biologique sanguin + récolte d’urine de 24h pour doser les catécholamines urinaires
imagerie ct scan/IRM + scintigraphie au MIBG
gène WT1 rôle et tumeur liée
gène suprésseur de tumeur qui code pour un facteur de transcription clé dans le développement du rein et des gonades.
associé aux tumeurs de Wilms (néphroblastome)
présentation clinique du néphroblastome
masse abdominale + douleur, hématurie macroscopique, état fébrile, hypertension artérielle, varicocèle gauche chez le garçon (pas tous les signes sont systématiquement présents)
présentation clinique du neuroblastome
masse + mauvais EG, racoon eyes, hypertension artérielle, douleurs ossseuses
altérations génomique et transcriptomiques dans le neuroblastome
amplifications par Nmyc
altérations d’expression de CD44, CASP8
âge médian de présentation de la tumeur de Wilms
3.1 an
métastases néphroblastomes les plus fréquentes
poumon, foie
quels sont les deux cancers pédiatriques les plus fréquents ?
leucémies aigues
tumeurs cérébrales
les tumeurs hématologiques représentes —- % des cancers pédiatriques
40%
leucémie vs lymphome lignée cellulaire
leucémie : cellules lymphoïdes immatures (lymphoblastes)
lymphomes : cellules lymphoïdes matures
leucémie vs lymphome âge de survenue
leucémie < 10 ans
lymphomes > 10 ans
leucémie vs lymphome clinique
leucémie : cellules tumorales sanguines circulantes, rapidement progressives
lymphome : masses tissulaires (ganglions ou autres organes), évolutivité variable
deux catégories de lymphomes pédiatriques
de Hodgkin (15%) et non Hodgkinien (85%)
classification du lymphome de Burkitt
lymphome non Hodgkinien à cellules B dérivé des cellules des centres germinatifs
aspect histologique lymphome de Burkitt
ciel étoilé
cellules lymphoïdes -> tumeur très bleue
macrophages avec vacuoles lipidiques -> étoiles
formes du lymphomes de Burkitt
forme endémique en Afrique subsaharienne lié au virus EBV lymphomes touchant souvent les régions maxillaires et périorbitaires
forme sporadique dans les pays occidentaux, se présentant plus souvent au niveau intestinal
pathogenèse du lymphome de Burkitt
translocation du gène c-myc du chromosome 8 au chromosome 14 à proximité d’un promoteur puissant
quel est le rôle du virus EBV dans le lymphome de Burkitt ?
mal compris, stimulus mitogène polyclonal pour les cellules B (augmente l’incidence de translocations abberantes)
marqueurs des lymphocytes B et T
CD10 présent au niveau des centres germinatifs (Bcell)
CD20 marqueur des cellules B général
CD30 caractéristique du lymphome anaplasique à grandes cellules
quel lymphome touchant surtout les femmes jeunes a un meilleur pronostic que d’autres formes et pourquoi?
lymphome à grandes cellules B du médiastin (dérivé de cellules thymiques)
car stade localisé et syndrome de masse
lymphome anaplasique à grandes cellules origine et caractéristiques
lymphome agressif aux cellules particulières morphologiquement infiltrant les sinus des ganglions
dérivé de cellules T matures
pathogenèse du lymphome anaplasique à grandes cellules
translocation de ALK produit un gène de fusion causant une protéine chimérique
caractéristiques histologiques du lymphome de hodgkin
cellules néoplasiques de très grande taille et de morphologie particulière : cellules de reed-sternberg (ullu style)
deux aspects macroscopiques du lymphome de hodgkin
scléro-nodulaire
cellularité mixte
marqueurs phénotypiques du lymphome de Hodgkin classique
CD15 + CD30
quelle est la tumeur solide extracrânienne la plus fréquente chez l’enfant ?
neuroblastome
de quoi est composé un ganglioneurome ?
principalement de stroma schwannien avec de rares cellules ganglionnaires différenciées éparpillées
tumeur osseuse maligne primaire la plus fréquente ?
ostéosacrome
quelles sont les élements faisant suspecter la malignité d’une adénopathie ?
masse ferme, indorlore et fixée au plan profond
symptomes associés tels que perte de poids sudations nocturnes et fièvre
masse qui persiste ou grandit malgré un traitement antibiotique empirique
quelle est la tumeur cérébrale la plus fréquente ?
le médulloblastome
quel est le type de leucémie le plus fréquent en pédiatrie ?
la leucémie lymphoblastique aigue
5 facteurs de risque pour la leucémie
anémie de Fanconi, trisomie 21, ataxie téléangiectasique,
agents alkylants , radiations ionisantes
anormalités de laboratoire dans la leucémie lymphoblastique aigue
anémie
thrombocytopénie
(hyper)leucocytose
blastose
triade diagnostique mucoviscidose
symptômes cliniques évocateurs/ anamnèse familiale positive
+
test de la sueur positif / présence de deux variantes CFTR causant la maladie
à partir de quelle concentration de chlore dans la sueur, le test pour la mucoviscidose est il considéré comme positif ?
60 mEq/L
quelle est la manifestation la plus fréquente et la plus précoce dans la mucoviscidose ?
insuffisance pancréatique exocrine
mode de transmission de la mucoviscidose ?
transmission autosomale recessive
quelle est l’anomalie génétique causant la mucoviscidose ?
anomalie du gène CFTR sur le chromosome 7 codant pour un canal ionique cAMP dépendant (sécrétion de chlore et absorption de sodium)
dans quel ordre de gravité, les organes sont ils atteint dans la mucoviscidose ?
male genitals -> sweat ducts ->exocrine pancreas ->endocrine pancreas -> intestine -> hepato-billiary -> airways
quels sont les deux germes les plus souvent responsables d’infections pulmonaires chroniques chez les patients atteints de mucoviscidose ?
staph doré (surtout avant 18 ans)
MDR pseudomonas aeruginosa (surtout après 18 ans)
prise en charge médicamenteuse des exacerbations de mucoviscidose
obtention d’un spécimen microbiologique
traitement antibiotique initial basé sur la bactériologie habituelle
adaptation de l’antibiothérapie aux résultats microbiologiques
(pas d’indication aux corticoïdes systématiques)
apports nutritionnels suggéré pour un enfant atteint de mucoviscidose ?
120 à 200% des apports nutritionnels standards
hypoglycémie avec corps cétoniques normaux (bas ) diagnostic différenciel
doser acides gras libres:
bas : hyperinsulinisme
très élevés : déficits de l’oxydation des acides gras ou de la cétogenèse
hypoglycémie avec corps cétoniques élevés diagnostic différentiel
hypoglycémie cétonique de la petite enfance, aciduries organiques, glycogénoses de type III / 0
hypoglycémie avec lactate élevé diagnostic différentiel
rechercher une hépatomégalie
sans hépatomégalie : acidurie organiques, déficit de la cétolyse, de la chaîne respiratoire ou de l’oxydation des acides gras à chaine très longue
hépatomégalie isolée : glycogénose, défauts de la néoglucogenèse
hypoglycémie avec atteinte hépatique
intolérance au fructose, déficits de la chaîne respiratoire, déficits de l’oxydation des acides gras à chaine longues, tyrosinémie de type I
Un besoin de glucose >10 mg/kg/min chez le nouveau-né oriente vers …..
un hyperinsulinisme