Formation Sublocade Flashcards
SUBLOCADE doit seulement être administré par voie sous-cutanée dans ___par un professionnel de la santé.
la région abdominale
Est-ce qu’il est possible d’utiliser Sublocade chez enfant ou personnages âgées > 65?
- Enfants (˂18 ans) Comme on ne dispose d’aucune donnée concernant son emploi chez les enfants, SUBLOCADE n’est pas indiqué dans la population pédiatrique.
- Personnes âgées (≥65 ans) : Aucun patient de 65 ans ou plus n’a participé à l’essai clinique comparatif sur SUBLOCADE. La prudence est habituellement de mise
SUBLOCADEMD est contre-indiqué chez qui? (11)
- Hypersensibilité à ce rx ou à l’un des ingrédients de sa préparation
- Iinsuffisance respiratoire grave
- p. ex., asthme grave ou aigu, bronchopneumopathie chronique obstructive, état de mal asthmatique, dépression respiratoire aiguë et/ou cœur pulmonaire).
- Insuffisance hépatique grave.
- ROH aigu ou de délire alcoolique.
- Occlusion gastro-intestinale mécanique connue ou présumée ou toute affection ou tout état touchant le transit intestinal (p. ex., iléus de tout type).
- Abdomen aigu (p. ex., appendicite aiguë ou pancréatite).
- Dépression grave SNC, de pression céphalorachidienne ou intracrânienne élevée ou d’une blessure à la tête.
- IMAO (ou ayant reçu ce type de traitement depuis moins de 14 jours).
- ATCDs de troubles convulsifs ou d’épilepsie.
- Syndrome du QT long congénital ou un allongement de l’intervalle QT à l’évaluation initiale.
- HypoK, hypoMg, hypoCa non corrigées
Décrire les effets de l’administration IV de l’sublocade? (3)
- Risques d’effets graves ou de décès associés à l’administration IV
- En raison de la masse solide que forme SUBLOCADE au contact des liquides organiques. L’administration IV pourrait provoquer une occlusion, des lésions tissulaires localisées et des accidents thromboemboliques, tels qu’une embolie pulmonaire.
- Ne pas administrer par voie intraveineuse OU par voie intramusculaire.
Décrire usage pendant la grossesse (2)
- Ne doit pas être administré à des femmes en âge de procréer qui n’utilisent pas une méthode de contraception efficace et fiable.
- Ne doit pas être administré à une femme enceinte, sauf si selon le bon jugement du médecin traitant, les bienfaits escomptés pour la mère l’emportent sur les risques pour le fœtus.
Décrire rise sublocade pour bébé (2)
- Les bébés qui y sont exposés in utero ou par le lait maternel risquent une dépression respiratoire potentiellement mortelle pendant l’accouchement ou l’allaitement.
- L’utilisation prolongée de SUBLOCADE par la mère pendant sa grossesse peut provoquer un syndrome de sevrage des opioïdes néonatal qui peut mettre la vie de l’enfant en danger.
Décrire: Interactions avec d’autres dépresseurs du système nerveux central (4)
- L’utilisation concomitante d’opioïdes et de benzodiazépines ou d’autres dépresseurs du système nerveux central (SNC), comme l’alcool, peut provoquer
- une profonde sédation
- une dépression respiratoire
- le coma
- la mort.
Nommez: Autres mises en garde et précautions pertinentes pour SUBLOCADE (17)
- Risques d’effets graves ou de décès associés à l’administration intraveineuse. Ne pas administrer par voie intraveineuse OU par voie intramusculaire.
- Risques de mésusage, d’abus ou de détournement
- Insuffisance surrénale.
- Système cardiovasculaire : Hypotension orthostatique chez les patients ambulatoires.
- Allongement de l’intervalle QTc
- Dépendance et risques associés au sevrage des opioïdes avec l’arrêt de traitement de SUBLOCADE.
- Risques liés à la conduite d’automobiles ou à l’utilisation de machines dangereuses.
- Élévation de la pression du liquide céphalorachidien
- Effets sur les maladies aiguës de la région abdominale.
- Élévation de la pression intracholédochale
- Hépatite et autres problèmes hépatiques.
- Utilisation chez les patients souffrant de dysfonction hépatique :
- Traitement de la douleur : Dans la mesure du possible, un analgésique non opioïde doit être administré aux patients sous SUBLOCADE. Si nécessaire, traiter les patients avec un analgésique opioïde pur à grande affinité sous la supervision d’un médecin.
- Syndrome sérotoninergique : Utiliser avec prudence en concomitance avec d’autres substances sérotoninergiques.
- Reproduction/fonction sexuelle/fertilité.
- Ne doit pas être administré à des patients n’ayant pas acquis une tolérance aux opioïdes
- Allaitement, travail et accouchement L’utilisation de SUBLOCADE n’est pas recommandée chez la mère pendant le travail, l’accouchement et l’allaitement, à moins que, de l’avis du médecin, les bienfaits potentiels l’emportent sur les risques.
Décrire risque QTc avec SUBLOCADE? (3)
- Ne doit pas être administré à des patients ayant des ATCDs de syndrome du QT long ou dont un membre de la famille immédiate souffre de ce syndrome ainsi qu’à des patients sous antiarythmiques de classe IA, de classe IC ou de classe III.
- La prudence est recommandée aux patients chez qui un risque accru de torsade de pointe est suspecté pendant un traitement de médicament allongeant l’intervalle QTc.
- À éviter chez les patients en état de choc circulatoire
Décrire l’utilisation SUBLOCADE chez les patients souffrant de dysfonction hépatique? (4)
- Faire preuve de prudence chez les patients atteints de troubles hépatiques modérés préexistants.
- Ne doit pas être administré aux patients souffrant de troubles hépatiques graves préexistants.
- Pendant le traitement de SUBLOCADE, les patients qui contractent un trouble hépatique grave doivent en arrêter l’usage et les doses supplémentaires ne doivent pas être administrées.
- Faire un suivi et des essais en laboratoire pour évaluer la fonction hépatique.
Décrire l’utilisation SUBLOCADE pendant la grossesse (5)
- Des études toxicologiques sur la reproduction et le développement sur l’animal de laboratoire ont démontré un éventail d’effets indésirables liés au développement embryofœtal, fœtal, prénatal et postnatal qui étaient associés à l’administration de SUBLOCADE, de buprénorphine, et surtout, à l’excipient N-méthyl-2-pyrrolidone (NMP).
- SUBLOCADE ne doit pas être administré à des femmes en âge de procréer qui n’utilisent pas une méthode de contraception efficace et fiable ou qui semblent incapables d’utiliser une méthode de contraception en suivant à la lettre les directives d’emploi.
- Les femmes enceintes sous traitement par SUBLOCADE ne devraient pas cesser brusquement de prendre ce médicament, car cela pourrait mener à des complications de la grossesse comme une fausse couche ou une mortinatalité.
- La cessation du traitement doit se faire sous supervision médicale afin d’éviter des évènements indésirables graves chez le fœtus, des symptômes de sevrage chez la femme enceinte, et une éventuelle rechute menant à la prise de drogues illicites.
- La décision d’interrompre le traitement pendant la grossesse doit être prise collectivement par le prescripteur, la patiente et l’équipe de conseillers ou de soutien, dans le cadre d’un plan de traitement global. Il faut tenir compte du risque de rechute après le sevrage du traitement.
SUBLOCADE doit être administré à quelle fréquence?
mensuellement
En cas d’arrêt du traitement par SUBLOCADE, il faut assurer un suivi du patient pendant plusieurs mois pour surveiller les signes et les symptômes de sevrage et instaurer un traitement approprié, au besoin. Après l’atteinte de l’état d’équilibre (ce qui prendra de 4 à 6 mois), les patients qui cessent le traitement par SUBLOCADE peuvent présenter des concentrations plasmiques de buprénorphine qui demeureront décelables?
Oui
pendant 12 mois ou plus. On ignore s’il existe une corrélation entre les concentrations plasmiques de buprénorphine et ceux décelables dans les urines.
Décrire: Posologie recommandée et ajustement posologique de SUBLOCADE (5)
- Doivent d’abord passer par une période d’induction et de stabilisation du traitement à l’aide d’un médicament à base de buprénorphine administrée par voie transmuqueuse qui assure la libération de 8 à 24 mg/jour de buprénorphine pendant un minimum de 7 jours.
- Une fois les périodes d’induction et de stabilisation terminées, les patients peuvent passer au traitement par SUBLOCADE à raison de 300 mg/mois pendant deux mois, suivi de doses d’entretien de 100 mg/mois.
- La dose d’entretien peut être augmentée à 300 mg/mois, uniquement si le patient ne présente pas une réponse clinique adéquate et s’il tolère la dose de 100 mg.
- Au cours d’études cliniques, la dose d’entretien de 300 mg/mois ne s’est pas révélée plus efficace que la dose de 100 mg/mois. De plus, elle était associée à une incidence plus élevée d’effets indésirables et d’abandons des études.
- Longue demi-vie, et ne doit être administré qu’une fois par mois. Au moins 26 jours doivent s’être écoulés entre chaque dose.