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Qu’est-ce qu’une plaie veineuse ?
Une plaie cutanée liée à une anomalie du fonctionnement du système veineux (superficiel ou profond), souvent autour de la malléole interne.
Quelle est la cause des plaies veineuses ?
Insuffisance veineuse chronique (IVC) : dysfonctionnement des valvules veineuses, reflux sanguin, stagnation et inflammation chronique.
Quels sont les facteurs de risque des plaies veineuses ?
Hérédité, âge avancé, sédentarité, obésité, grossesses multiples ou rapprochées, position prolongée assise ou debout.
Comment évaluer une personne à risque de plaie veineuse ?
Analyser antécédents médicaux, état nutritionnel, médication, habitudes de vie, et observer les jambes (forme, couleur, température, pilosité, ongles).
Quels sont les moyens de prévention des plaies veineuses ?
Exercice, bas de compression, élévation des jambes, hydratation cutanée, éviter les traumatismes et positions prolongées.
Qu’est-ce qu’une plaie artérielle ?
Une plaie cutanée liée à une insuffisance artérielle causée par des artériopathies périphériques (athérosclérose ou artériosclérose).
Quels sont les signes d’une insuffisance artérielle ?
Peau pâle, froide, absence de pilosité, claudication intermittente, douleurs nocturnes.
Quels sont les facteurs de risque des plaies artérielles ?
Tabagisme, sédentarité, HTA, hypercholestérolémie, diabète, vieillissement.
Comment prévenir les plaies artérielles ?
Cesser le tabac, pratiquer des activités physiques, alimentation équilibrée, soin des jambes et ongles, inspection régulière.
Qu’est-ce que l’intertrigo ?
Une inflammation liée à l’humidité dans les plis cutanés, souvent due à la friction et favorisant une infection microbienne.
Quels sont les facteurs de risque de l’intertrigo ?
Plis cutanés, hyperhidrose, obésité, immobilité, manque d’hygiène, vêtements ou chaussures serrés.
Comment prévenir l’intertrigo ?
Nettoyer et sécher les plis cutanés, porter des vêtements adaptés, éviter les irritants cutanés.
Qu’est-ce que le diabète ?
Trouble du métabolisme des glucides causé par un défaut de sécrétion ou d’utilisation de l’insuline, ou les deux.
Quelles sont les hormones de contre-régulation de l’insuline ?
Glucagon, épinéphrine, hormone de croissance, cortisol.
Qu’est-ce que le diabète de type 1 ?
Maladie auto-immune détruisant les cellules bêta du pancréas, entraînant une absence ou insuffisance de sécrétion d’insuline.
Quels sont les symptômes du diabète de type 1 ?
Polyurie, polydipsie, polyphagie, perte de poids, fatigue, vision floue.
Qu’est-ce que le diabète de type 2 ?
Maladie caractérisée par une hyperglycémie persistante due à une résistance à l’insuline et/ou une sécrétion insuffisante d’insuline.
Quels sont les facteurs de risque du diabète de type 2 ?
Obésité, sédentarité, alimentation déséquilibrée, stress chronique, vieillissement, antécédents familiaux.
Quels sont les examens paracliniques pour diagnostiquer le diabète ?
Analyse de glycémie, Hémoglobine glyquée (HbA1c), microalbumine, bilan lipidique.
Qu’est-ce que la classification de Wagner ?
Une échelle de 6 niveaux pour évaluer la gravité des plaies du pied diabétique (stade 0 à 5).
Quels sont les traitements des plaies du pied diabétique ?
Débridement, antibiotiques si infection, pansements adaptés, chaussures orthopédiques.
Comment différencier une plaie veineuse d’une plaie artérielle ?
Plaie veineuse : exsudat abondant, œdème ; plaie artérielle : bord net, peu d’exsudat, peau froide.
Quels sont les signes d’une neuropathie diabétique ?
Engourdissements, douleurs, picotements, perte de sensibilité aux extrémités.
Comment prévenir les neuropathies diabétiques ?
Contrôle glycémique strict, arrêt du tabac, suivi médical régulier.
Quels sont les signes d’une insuffisance veineuse chronique (IVC) ?
Varices, œdème, peau hyperpigmentée, dermatite de stase.
Quels sont les signes d’une insuffisance artérielle périphérique ?
Claudication intermittente, douleurs nocturnes, peau froide, absence de pouls périphériques.
Quels sont les traitements locaux des plaies veineuses ?
Nettoyage, débridement si nécessaire, pansements adaptés, compression veineuse.
Qu’est-ce qu’une claudication intermittente ?
Douleur musculaire à l’effort due à une ischémie artérielle, disparaissant au repos.
Quels sont les traitements non pharmacologiques de l’HTA ?
Réduction de sel, perte de poids, exercice physique, gestion du stress.
Qu’est-ce qu’une acidocétose diabétique ?
Complication aiguë du diabète due à un manque d’insuline, caractérisée par une hyperglycémie, cétonémie et acidose métabolique.
Quels sont les traitements pharmacologiques du diabète de type 2 ?
“Médicaments hypoglycémiants, insuline (si nécessaire), inhibiteurs SGLT-2, metformine.”]
Question
Answer
Quelle est la classification du Glyburide (DiaBeta®) ?
Antidiabétiques (sulfonylurées).
Quelles sont les indications du Glyburide ?
Traitement d’appoint à l’exercice physique et à la diétothérapie chez les patients atteints de diabète de type 2.
Quel est le mode d’action du Glyburide ?
Diminue la glycémie en stimulant la sécrétion d’insuline par les cellules bêta fonctionnelles du pancréas.
Quels sont les effets thérapeutiques du Glyburide ?
Diminution de la glycémie chez les patients diabétiques.
Quels sont les délais d’action du Glyburide ?
Début : 45–60 minutes, Pic : 1,5–3 heures, Durée : 24 heures.
Quelles sont les contre-indications du Glyburide ?
Hypersensibilité, risque de sensibilité croisée avec les sulfamides, diabète de type 1.
Quels sont les principaux effets secondaires du Glyburide ?
Photosensibilité et hypoglycémie.
Quelle est la dose habituelle de Glyburide pour un adulte ?
5 mg une fois par jour, ajustée jusqu’à 20 mg/jour en doses fractionnées si nécessaire.
Quels signes d’hypoglycémie doivent être surveillés avec le Glyburide ?
Transpiration, faim, faiblesse, étourdissements, tremblements, tachycardie, anxiété.
Pourquoi la prise concomitante de bêtabloquants est-elle importante à surveiller ?
Elle peut masquer les signes subtils d’hypoglycémie.
Comment administrer le Glyburide pour réduire les risques ?
Avec des aliments, fractionner les doses si nécessaires, et éviter d’écraser les comprimés à libération prolongée.
Quelle est la classification de la Metformine (Glucophage®) ?
Antidiabétiques (biguanides).
Quelles sont les indications de la Metformine ?
Maîtrise de l’hyperglycémie dans le diabète de type 2 stable, léger et non susceptible d’entraîner une cétose.
Quel est le mode d’action de la Metformine ?
Diminue la production de glucose par le foie, l’absorption du glucose par les intestins, et augmente la sensibilité à l’insuline.
Quels sont les effets thérapeutiques de la Metformine ?
Équilibrage de la glycémie.
Quels sont les délais d’action de la Metformine ?
Début : Plusieurs jours, Pic : 2–4 semaines, Durée : 12 heures (24 heures pour les comprimés à libération prolongée).
Quelles sont les contre-indications de la Metformine ?
Hypersensibilité, diabète de type 1, diabète instable, acidose métabolique aiguë ou chronique.
Quels sont les principaux effets secondaires de la Metformine ?
Ballonnement, diarrhée, nausées, vomissements.
Quelle est la dose habituelle de Metformine ?
500 mg 3–4 fois par jour (libération immédiate) ou 1 000 mg 1 fois par jour (libération prolongée).
Quels sont les effets gastro-intestinaux possibles de la Metformine ?
Ballonnement, diarrhée, nausées, vomissements.
Que faut-il faire avant une intervention chirurgicale pour un patient prenant de la Metformine ?
Interrompre temporairement l’administration pour limiter les risques d’acidose.
Quels signes d’acidose doivent être surveillés chez un patient prenant de la Metformine ?
Nausées, vomissements, douleurs abdominales, faiblesse, respiration rapide.
Comment administrer la Metformine pour réduire ses effets secondaires gastro-intestinaux ?
Avec des aliments.
Pourquoi ne faut-il pas écraser ou couper les comprimés à libération prolongée de Metformine ?
Cela altère leur libération contrôlée et peut entraîner des effets secondaires.
Quels effets doivent être surveillés en cas d’hypoglycémie sous Metformine ?
Tremblements, faim, étourdissements, faiblesse.