Flash Card EFDS CULTURE
l’origine étymologique latine de la culture à la fin du 13e siècle, milieux du 16e siècle, au siècles des lumières et au 20e siècles
Fin 13e siècle : désigne la chose cultivée : une parcelle de terre cultivée
Milieu 16e siècle : désigne l’action de cultiver l’esprit, une faculté
Au siècle des lumières (18e siècle) : la culture est associée aux idées de progrès, d’évolution, d’éducation et de raison
La culture est le propre de l’Homme (remis en question au 20e siècle par les biologistes)
Est-ce que la définition de la culture est la même partout dans le monde?
Non, en effet les gens on une vision asser différente de la culture.
États-Unis: La culture est l’ensemble complexe incluant les savoirs, les croyances, l’art, les mœurs, le droit, les coutumes, ainsi que toute disposition ou usage acquis par l’homme vivant en société.
Allemagne : Kultur (bourgeois : sincérité, spiritualité et instruction) s’oppose à civilisation (aristocrate : inculture, sans valeurs morales et superficialité).
France :La culture est l’action de s’instruire et est réservée aux accomplissements individuels
La notion de civilisation (état idéal) est privilégiée pour les accomplissements de l’Humanité
Il est alors possible de voir que le mot décrit plusieurs éléments différent.
Qu’esse que l’ethnocentrisme?
En effet, cela est le fait que notre propre groupe est le centre de tous et tout les autres groupes sont moindres que nous.
Matière:
Le terme technique pour cette vue des choses selon laquelle notre propre groupe est le centre de toutes choses, tous les autres groupes étant mesurés et évalués par rapport à lui (Summer, 1906)
Répudier purement et simplement les formes culturelles(morales, religieuses, sociales, esthétiques) qui sont les plus éloignées de celles auxquelles nous nous identifions : «habitudes de sauvages»; «cela n’est pas de chez nous», etc. (Levy-Strauss, 1961)
Qu’esse que le relativisme culturel?
Se mettre à la place des autres????
Matière:
Impossibilité de hiérarchiser les cultures
Étudier la culture en pensant à qui nous sommes, d’où nous venons et à notre position, pour comprendre qui et ce que nous étudions
Qu’esse que l’universalisme?
Se concentré sur certaine personne aux dépriments de la grande majorité ???
Matière:
Mettre en avant l’unité au détriment de la diversité (Tylor)
Ignorance des particularismes au profit de l’unité de l’Humanité
L’addition de toutes les connaissances accumulées et transmises par toutes les générations du passé
Tous les humains étaient des êtres de culture à part entière
Qu’esse que le particularisme?
On prend le temps de voir la diversité entre les groupes. Chaque groupes est complétement différent d’un autre
Matière:
Privilégier la diversité, sans contredire l’idée d’une unité de l’humanité(Durkheim; Boas)
Chaque culture est unique et représente une totalité singulière
Reconnaissance de la diversité des cultures et des particularismes nationaux. Chaque culture a son propre destin
Qu’esse que la culture selon Tylor?
Selon Tyler, la culture est un ensemble complexe de savoirs, croyances, art, les droits, coutume, toutes les chose acquis par l’homme vivant dans une société.
Matière:
«La culture (ou civilisation), prise dans son sens ethnologique le plus étendu, est l’ensemble complexe incluant les savoirs, les croyances, l’art, les mœurs, le droit, les coutumes, ainsi que toute disposition ou usage acquis par l’homme vivant en société.»
Qu’esse que la culture selon Vinsonneau?
Selon lui, la culture est un système asser cohérent, historiquement constitué et rassemblé le plus souvent par une territorialité physique.
Matière:
«la culture est «un système relativement cohérent, à la fois d’un point de vue synchronique que diachronique, des productions symboliques et pratiques d’un groupe humain, historiquement constitué, rassemblé le plus souvent par une territorialité physique».
Qu’esse que la culture pour Camilleri?
Matière: « la cultureest l’ensemble plus ou moins lié des significations acquises les plus persistantes et les plus partagées que les membres d’un groupe, de par leur affiliation à ce groupe, sont amenés à distribuer de façon prévalente sur les stimuli provenant de leur environnement et d’eux-mêmes, induisant vis-à-vis de ces stimuli des attitudes, des représentations et des comportements communs valorisés, dont ils tendent à assurer la reproduction par des voies non génétiques»
Quelles sont les deux conceptions les plus souvent mise de l’avant?
Anthropologie: mode de vie
«La culture est ce tout complexe qui comprend la connaissance, les croyances, l’art, la morale, le droit, les coutumes et les autres capacités ou habitudes acquises par l’homme en tant que membre de la société» (Tylor, (1876), cité par Cuche, 1996, p.16). Donc: «faits de civilisation, de mentalités et de modes de vie» (Lemieux, 2002, p.5)
Sociologie: la production de biens culturels
Cette conception renvoie «aux œuvres et aux représentations qui en émergent, mythes, religions, philosophies, idéologies, arts et sciences» (Lemieux, 2002, p. 5-6). Dans ce cas, la culture réfère notamment aux arts et aux pratiques relevant de la production et de la consommation de biens culturels, comme les livres et les sorties au spectacle.
La culture représente quoi?
La culture représente les modes de pensée, les modes d’action et les objets matériels qui ensemble forment le mode de vie et le vision d’un peuple.
La culture peut être divisée de deux manières, quelles sont-elles ?
Culture immatérielle : les idées (normes, symboles, langage, valeurs, croyances, etc.)
Culture matérielle: les objets (technologie, patrimoine matériel, etc.)(musé, un livre)
Les gens sont considérés comme des sociétés à cause de ?
La culture est partagée…et les personnes qui interagissent sur un territoire défini, et partagent une culture, sont considérées comme une société.
Qu’esse que l’acquisition culturelle?
L’acquisition culturelle résulte des divers modes et mécanismes de l’apprentissage (héritage et non hérédité). La culture, contrairement à l’instinct (congénital et non appris), est non-héréditaire et apprise.
Qu’esse qui uni les différents éléments qui composent la culture?
Les différents éléments qui composent une culture donnée ne sont pas simplement juxtaposés l’un à l’autre. Des liens les unissent, des rapports de cohérence les rattachent les uns aux autres.
Lorsqu’il y a des changements dans la culture, qu’est ce que cela entrainent?
Lorsque des changements s’effectuent dans un secteur d’une culture, ils entraînent des changements dans d’autres secteurs de cette culture.
Quelle est la fonction de la culture?
La fonction est de fournir plusieurs éléments de sphères très différentes pour que les individus appartenant à la même culture créer des liens entre eux.
Matière:
La fonction de la culture est de proposer ou fournir des modes de pensée, des connaissances, des idées, des canaux privilégiés d’expression des sentiments, des moyens de satisfaire ou d’aiguiser des besoins physiologiques, etc. en vue de créer des liens entre les individus appartenant à un collectif.
Qu’esse que la culture politique selon Rocher?
Pour lui, la culture au sens anthropologique, cela désigne l’ensemble des connaissance qui touche le gouvernement, le but étant que les groupes puissent atteindre certains but, sois sa reproduction, survie et évolution.
Matière:
Pour Rocher (1997), la culture politique constitue l’un des éléments de la culture au sens anthropologique.
Elle désigne «l’ensemble des idées, des attitudes, des mythes, des images touchant la gouverne d’une collectivité. D’une manière plus concrète, la culture politique définit les fins poursuivies et choisit les moyens de les atteindre.
Elle porte en particulier sur la création et l’utilisation des ressources nécessaires pour que le groupe poursuive et atteigne certains buts, notamment sa reproduction, sa survie, son évolution» (Rocher, 1997, p.5).
Ainsi la culture politique se rapporte-t-elle à la fois à l’État et à tout groupe social (famille, université, etc.).
Rocher mentionne également que, bien qu’elle doive rassembler ses citoyens, «la culture politique d’un pays est rarement unitaire: elle comporte généralement des sous-cultures plus ou moins divergentes, par exemple régionales, de classes sociales, de minorités, de langues, de religions» (1997, p.5-6).
Bref, sous l’angle politique, la culture est définie selon les buts à atteindre, minimalement partagés par les citoyens. Elle est donc appelée à changer, à s’adapter, à évoluer
De quoi avait l’aire la culture avant la création du ministère des Affaires culturelles (MAC)?
La culture constituait surtout pour l’État québécois une activité privée relevant d’institutions et d’organisations.
Le clergé de même que certains groupes sociaux ont joué un rôle important dans la mise sur pied et le déroulement d’activités culturelles (Bellefleur, 2000).
P.ex. familles montréalaises bien nanties à l’origine du Musée des beaux-arts de Montréal.
Qu’avez l’air la culture avant la Révolution tranquille?
Toutefois, ceci ne signifie pas que l’État n’intervenait pas en culture, même si son rôle était restreint, comparativement à aujourd’hui. Comme le signale Bellefleur,
[l]e service public, ou au public, dans le domaine culturel, devait émaner, tout comme en éducation, de l’initiative privée des groupes sociaux qui se donnaient mandat ou vocation de le réaliser. Et le rôle de l’État, dans ce contexte libéral, devait se cantonner dans la législation, la réglementation et la «subsidiarité» au besoin, en tant qu’appui aux initiatives privées (1997, p.55).
L’État contribuait financièrement à la réalisation d’activités culturelles, mais la distribution des crédits se faisait «à la pièce, sans ligne politique conductrice autre que la reconnaissance du bien-fondé des organismes assistés, et fréquemment octroyée par la voie du patronage politique lorsqu’il s’agissait d’évaluer les sommes d’argent accordées» (Bellefleur, 2000, p.71).
La création du MAC en 1961 et le lancement de la Politique culturelle du Québec en 1992, notamment, ont permis de poser des jalons du financement public de la culture au Québec.
En quelle année la création du ministère Affaire Culturelles et le lancement de la politique culturelle du Québec?
MAC: 1961
Politique culturelle: 1992
Pourquoi il y a la création du MAC en 1961?
On veut développer et encourager la culture du Québec et pour quelle fleuriste, mais le choix de sous, on les mets ou???
Matière:
Marque la volonté de développer la culture, de la rendre accessible à tous et de la faire rayonner à l’extérieur du Québec (Gouvernement du Québec, 1992, p.4-5).
La participation d’un État au développement et au financement de la culture soulève cependant deux questions: comment se fera cette intervention étatique? Pour quel objet exactement? (culture classique? populaire? les deux?…)
La création du MAC est inspiré de quel culture et quel est leur préoccupation?
La création du MAC fortement inspirée par celle du ministère de la Culture français (1959).
Rencontre de Lapalme (le 1er ministère de la culture et Malraux en 1959.
À cette époque, la préoccupation face à la démocratisation de la culture est bien présente en France: la finalité de démocratisation est attribuée à Malraux lui-même. Il énonce: «[L]e problème culturel majeur [de notre temps, c’est] de rendre accessibles les plus grandes œuvres au plus grand nombre d’hommes
Quel est la vision de Lapalme?
Il voulait inclure plus de chose dans la culture que les autres écrits. Il trouve qu’il n’y a pas assez de chose inclut dans la culture. Il veut que la culture favorise l’affirmation québécoise.
Matière:
Vision plus large de ce qu’est la culture et de la mission du MAQ
Pour lui, «la culture ne se limitait pas aux arts, mais constituait un art de vivre» (Harvey, 2011, p.2). (ANTHROPOLOGIE)
Par conséquent, un ministère québécois dédié à la culture devait avoir juridiction «non seulement dans le domaine des arts et des lettres, mais aussi dans celui de la langue, du patrimoine, des institutions culturelles et des relations culturelles extérieures» (Harvey, 2011, p.2).
Écart entre le souhait de Lapalme et le mandat attribué au MAC
Calque des préoccupations françaises à l’égard de la démocratisation de la culture.
Première partie de la mission du MCC (jusqu’à récemment):
«Le Ministère, appuyé par un réseau de treize sociétés d’État et d’organismes publics relevant de la ministre, a pour mission de favoriser au Québec l’affirmation, l’expression et la démocratisation de la culture ainsi que le développement des communications et de contribuer à leur rayonnement à l’étranger». 1961 à 2011
En quelle année il y a une montée de la culture populaire au Québec?
La langue et la culture sont devenues très importantes, la langue devient la plus évidente identité culturelle. Ensuite, le gouvernement Québécois se présente comme le maitre du dév. culture et le défenseur de notre culture. Ils sont surtout centré sur la culture populaire. Par contre, en s’officialisant cette culture est devenue distante à la culture populaire. L’État a mis l’emphase sur la planif. une centralisation et un professionnaliste de la culture qui se sont éloignés de la réalités collective. La mission sera de de rendre accessible la culture, surtout celle de la high class, donc la culture savante. Ceux-ci prenait sur l’aile les trucs non rentable et payer. Cette manière de voir à aider à développer beaucoup d’infrastructure, mais aussi plusieurs organismes, grâce à cela, l’offre de culture classique à grandement évoluer et ces beaucoup développer.
Matière:
Années 1970: montée d’un mouvement fondé sur l’identité nationale des Québécois
Importance de la langue comme marque la plus évidente de l’identité culturelle
«oblige à établir des rapprochements entre langue et culture, et à s’assurer d’une cohésion entre les politiques relatives à la langue, à l’immigration et à la culture» (Saint-Pierre et Gattinger, 2003, p.79).
«Le gouvernement du Québec se présente alors comme le maître d’œuvre du développement culturel et comme le défenseur de la «culture québécoise». Cette approche se fonde sur les symboles, les idées et les valeurs de la société québécoise. Elle est centrée sur la culture populaire qui se définit comme la production culturelle du peuple québécois (artisanat, folklore, patrimoine bâti)» (Saint-Pierre et Gattinger, 2011, p.7).
Toutefois, en s’affirmant et en s’officialisant, cette culture s’est peu à peu distanciée des cultures populaires: «Dans la foulée de la Révolution tranquille, elle s’appuie sur le pouvoir politique et les appareils d’État, amorçant ainsi une planification, une centralisation et une professionnalisation de la culture, fort éloignée des réalités concrètes d’existence des collectivités» (Levasseur, 1982, p.110).
L’État prendra en charge une culture largement partagée et basée sur la raison, une culture dont l’importance a été débattue sur la place publique.
Ce faisant, la mission que se donnera l’État sera orientée vers l’accessibilité de cette culture largement partagée, surtout défendue par l’élite culturelle, celle que l’on nomme la culture classique.
En tant que gardiens et promoteurs de cette culture, les pouvoirs publics sont devenus les bailleurs de fonds «des formes traditionnelles de la grande culture pour ses aspects non rentables» (Bellefleur, 2000, p.71).
Cette façon d’aborder la culture a contribué au développement de nombreuses infrastructures.
P.ex.: Musée national des beaux-arts du Québec et bibliothèques publiques.
Elle a aussi permis de soutenir plusieurs organismes artistiques comme des compagnies de théâtre, de musique et de danse. Dans ce contexte de soutien aux artistes et aux créateurs, l’offre culturelle classiques’est considérablement développée au Québec.
Les investissements financiers de l’État en culture et la préoccupation à l’égard de la démocratisation ont amené l’État à aborder la culture sous l’angle des inégalités d’accès
En quelle année la première enquête sur les pratiques culturelles au Québec à t’elle eu lieu? et quels sont les objectif?
1979: première enquête sur les pratiques culturelles au Québec
Objectif avoué: mesure de l’évolution des pratiques culturelles
Objectif latent: a priori pour la culture classique, donc mesure de l’atteinte (ou pas) de la finalité de la démocratisation de la culture
Quels sont les changements dans le soutien financier dans le domaine culturel?
Le grands changement est que maintenant on vise le critère du marché et non les critères culturel en effet, les compagnies doivent avoir un projet qui amène le plus de monde possible et donc avoir plus d’argent. Donc, les gens font des BLOCK BUSTER, qui sont extra populaire, il font full de marketing pour aller toucher le plus de public possible. Les gens qui viennent ne sont pas des clients habituels.
Matière:
Importance du nombre de visiteurs (accès et critères de marché –VS critères culturels)
Importance de démocratiser
Mais qu’est-ce que la démocratisation?
Faire venir des publics qui ne viennent pas habituellement?
Faire venir davantage des publics qui viennent déjà?
Conséquemment, comment mesurer l’atteinte de cette finalité?
Quels sont les défis aux organismes culturels à cause de la modification des bourses?
Mission
P.ex. les musées: lieu d’apprentissage ou de contemplation?
Publics cibles
Joindre un nouveau public peut signifier la «perte» d’un autre
Démocratiser
S’agit-il d’un synonyme de «dénaturer»?
L’exemple des expositions blockbusters dans les musées
Quelles sont les trois approches nationales en matière de culture?
Française
Britannique
Étatsunienne
Qu’esse que le modèle étatique français?
Il est très centralisé au ministère, l’argent est un tabou et maintenant il a possibilité de faire de l’argent avec la culture.
Matière:
Fortement centralisé et s’appuie sur une hiérarchisation des compétences (Saint-Pierre et Gattinger, 2011).
Bien que certains changements s’opèrent et confirment la relation de plus en plus étroite entre l’économie et la culture, les auteures affirment que les fondements et justifications de la politique française demeurent inchangés:
«[L]a culture contribue à une identité nationale forte et à consolider la souveraineté nationale, la politique culturelle doit préserver la spécificité culturelle, la liberté de création et d’expression, la démocratisation de la culture, la diversité des expressions culturelles» (2011, p.3).
Qu’esse que le modèle étatique britannique?
La culture et les arts devraient être accessibles pour tous les citoyens puisque cela a une valeurs intrinsèque.
Matière:
La culture et les expressions culturelles relèvent de la sphère privée et individuelle et sont soutenues, dans une certaine mesure, par le gouvernement. Les auteures remarquent que
[l]’intervention publique se fonde sur deux principes justificateurs, à savoir que chaque citoyen a droit à la culture et que les arts et l’expression artistique ont une valeur intrinsèque. Cette façon de concevoir la culture et les arts débouche sur une pratique d’intervention qui valorise l’indépendance par rapport aux autorités publiques, c’est-à-dire qu’elle est fondée sur le fameux principe d’autonomie (arm’s length principle) (p.3).
Bien que la tradition philanthropique britannique soit fortement ancrée, l’État n’en a pas moins créé, à partir du milieu du 20e siècle, «des organismes spécialisés et autonomes, “non engagés politiquement” (Autissier, 2010), dont le Arts Council of Great Britain (ACGB) en 1947, modèle adopté par le Canada, entre autres» (p.3).
Qu’esse que le modèle étatique étatsunien?
En effet, les États-Unis n’offrent pas de soutien monétaire, mais il offrent des moyens indirects, à la culture et aux arts, mais les entreprises ont des grands donateurs, des fondations, etc.
Matière:
L’État fédéral n’intervient pratiquement pas dans le secteur culturel et utilise des moyens indirects pour le soutenir (p.ex. exonérations fiscales ou crédits d’impôt pour des dons aux organismes à but non lucratif; Saint-Pierre et Gattinger, 2011).
Ce sont les fondations et le secteur privé qui soutiennent le secteur des arts et de la culture, ce dernier étant ainsi soumis aux lois du marché:
«Toutes les formes d’art sont encouragées et l’État fédéral ne fait aucune discrimination fondée sur des considérations de qualité» (Saint-Pierre et Gattinger, 2011, p.4).