Fiche 9 Flashcards

La réplication, la transcription et la traduction

1
Q

V/F

La réplication est un processus semi-conservatif.

A

Vrai.

Chacune des 2 cellules filles d’une cellule répliquée hérite une nouvelle double hélice contenant un brin parental et un nouveau brin fils.

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2
Q

V/F

La réplication est la cible pharmacologique de nombreuses molécules thérapeutiques visant l’expression génique.

A

Faux.

C’est la transcription.

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3
Q

V/F

Les dommages à l’ADN retardent la division.

A

Vrai.

À différents points de contrôle du cycle cellulaire (checkpoints), le cycle s’arrête si l’ADN endommagé est détecté.

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4
Q

V/F

Toutes les ADN polymérases ne peuvent synthétiser que dans le sens 3’ -> 5’

A

Faux.

Les ADN polymérases synthétisent UNIQUEMENT dans le sens 5’ -> 3’

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5
Q

V/F

La synthèse discontinue du brin retardé signifie qu’un seul type d’ADN polymérase est nécessaire pour la réplication de l’ADN

A

Vrai.

La synthèse discontinue sous-entend que le seul type d’ADN polymérase n’est capable de synthétiser que dans la direction 5’ à 3’.

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6
Q

V/F

Les fragments d’Okazaki sont synthétisés séquentiellement sur le brin retardé, ceux qui sont les plus près de la fourche de réplication étant synthétisés les premiers.

A

Vrai

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7
Q

V/F

L’enzyme exonucléase se promène dans le sens 3’ -> 5’

A

Vrai

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8
Q

V/F

L’ADN polymérase dépend d’une autre enzyme pour enlever ses erreurs de polymérisation.

A

Faux.

L’ADN polymérase fonctionne comme une enzyme «auto-correctrice» qui enlève ses propres erreurs de polymérisation.

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9
Q

V/F

Contrairement à l’ADN polymérase, l’ARN polymérase ne nécessite pas une grande efficacité de correction exonucléolytique.

A

Vrai.
À cause du fait que les erreurs de réplication dans le cas de l’ARN n’ont pas de conséquences directes sur le code génétique et ne seront pas transmises aux prochaines générations.

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10
Q

Compléter la phrase suivante:

Il y a une seule erreur lors de la réplication de l’ADN pour _____ nucléotides copiés.

A

10^10

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11
Q

V/F

Lors de la polymérisation par l’ADN polymérase, le nucléotide correct a une meilleure affinité pour la polymérase en mouvement que le nucléotide incorrect, car l’appariement correct est plus énergétiquement favorable.

A

Vrai

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12
Q

V/F

L’exonucléase enlève le nucléotide mal incorporé qui bloque la poursuite de l’allongement de brin amorce en allant de 3’ vers 5’.

A

Vrai

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13
Q

Parmi les suivants, choisir les étapes qui conduisent à la haute fidélité de la synthèse d’ADN:

I. Promoteurs spécifiques
II. Polymérisation 5’->3’
III. Révision par l’enzyme ADN hydrolase 3’ -> 5’
IV. Correction exonucléolytique 3’ -> 5’
V. Correction des mésappariements contrôlée par un brin

A

II, IV et V

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14
Q

V/F

L’ADN primase est, en principe, une ARN polymérase.

A

Vrai.

L’ADN primase synthétise un (court) brin d’ARN sur une matrice d’ADN.

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15
Q

V/F

L’hélicase dédouble la double hélice lorsqu’elle se déplace le long de l’ADN double brin.

A

Faux.

L’hélicase se déplace le long d’un ADN simple brin.

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16
Q

V/F

Le mouvement rapide de l’hélicase nécessite de l’énergie, donc l’hydrolyse de l’ATP.

A

Vrai

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17
Q

V/F

L’ADN topoisomérase a comme rôle de prévenir le stress mécanique imposé par la structure en hélice de l’ADN et d’éviter les cassures lors de la réplication.

A

Vrai

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18
Q

V/F

La synthèse n’est continue que sur un des deux brins, soit le brin matrice.

A

Faux,

Le brin précoce.

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19
Q

La réplication implique de nombreuses protéines. Parmis les protéines suivantes, choisissez celle qui n’est pas impliquée au processus de réplication de l’ADN.

a. ADN polymérase
b. ADN transcriptase
c. ADN ligase
d. ADN topoisomérase

A

b.

L’ADN transcriptase n’existe pas.

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20
Q

V/F

La réplication se déroule lors de la phase G2 de la division cellulaire.

A

Faux.

C’est lors de la phase S.

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21
Q

V/F

La réplication e l’ADN de chaque unité de réplication n’occupe qu’une petite partie de la durée totale de la Phase S.

A

Vrai

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22
Q

V/F

Pendant la Phase S de la division cellulaire, on a en tout 46 chromosomes et 23 chromatides soeurs.

A
Faux.
Pendant la Phase S, on a:
46 chromosomes
23 chromosomes homologues
92 chromatides soeurs
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23
Q

V/F

Lorsque la phase S se termine, chaque chromosome a été répliqué et a donné deux copies complètes, qui restent reliées au niveau du centromères jusqu’à la phase M.

A

Vrai

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24
Q

V/F

Les dommages à l’ADN retardent la division.

A

Vrai

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25
Q

V/F

Les histones sont surtout synthétisées pendant la Phase G2.

A

Faux.

Les histones sont surtout sumtjétisées pendant la Phase S.

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26
Q

V/F

Pendant que la fourche de réplication passe au travers de la chromatine, la plupart des anciennes histones viennent se détacher de l’ADN et sont métabolisées par des enzymes dans le cytosol.

A

Faux.
La plupart des anciennes histones restent liées à l’ADN et sont distribuées aux hélices d’ADN filles derrière la fourche de réplication.

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27
Q

V/F

Comme la quantité d’ADN a doublé après la réplication, une quantité égale de nouvelles histones est aussi nécessaire pour empaqueter ce nouvel ADN et former la nouvelle chromatine.

A

Vrai

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28
Q

V/F

Chaque chromosome fils est ensemencé avec la mémoire de l’arrangement parental des modifications de H3 et de H4.

A

Vrai.

Chaque chromosome fils contient les mêmes modifications des histones parentales H3 et H4.

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29
Q

V/F

Un polluant peut créer une modification, ce qui va réprimer un gène chez la mère, va entraîner la conservation de l’empreinte génétique chez le bébé.

A

Vrai

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30
Q

V/F

Lorsque la fourche de réplication atteint la fin d’un chromosome linéaire, il n’y a pas de place pour produire l’amorce d’ARN nécessaire pour commencer le dernier fragment d’Okazaki. Les eucaryotes résolvent ce problème en possédant des télomères à l’extrémité de leurs chromosomes.

A

Vrai

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31
Q

V/F

L’enzyme télomérase reconstitue les télomères (dans le sens 5’ vers 3’) chaque fois que la cellule se divise et ce, en utilisant une matrice d’ARN.

A

Vrai

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32
Q

V/F

Dans plusieurs types cellulaires, le niveau d’activité de la télomérase reste constant au cours de la vie.

A

Faux.

Le niveau d’activité de la télomérase est diminué au cours de la vie.

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33
Q

V/F

Les cellules perdent de 100 à 200 nucléotides de chaque télomère chaque fois qu’elles se divisent.

A

Vrai

34
Q

V/F

La télomérase permet la sénescence prématurée des cellules.

A

Vrai

35
Q

V/F

Les gens atteints de la dyskératose congénitale ont des télomères qui se raccourcissent prématurément.

A

Vrai

36
Q

V/F

L’activation de la transcription est un mécanisme d’action d’une multitude de médicaments, notamment les corticostéroïdes ou les hormones thyroïdiennes synthétiques.

A

Vrai

37
Q

V/F

Après la liaison d’une hormone stéroïdienne, le récepteur s’inactive et reste dans le cytosol.

A

Faux.

En l’absence d’hormon, le récepteur reste dans le cytosol et ne se fixe pas sur l’ADN, donc les gènes sont peu exprimés.

38
Q

V/F

Les médicaments qui miment les hormones stéroïdiennes viennent se lier aux récepteurs et leur permettent de venir jouer leur rôle en l”absence de l’hormone elle-même.

A

Vrai

39
Q

V/F

Une seule protéine régulatrice de gènes peut contrôler l’expression d’un grand nombre de gènes différents.

A

Vrai.

Voir l’expression des gènes par le contrôle des glucocorticoïdes.

40
Q

V/F

Chaque gène est transcrit et traduit avec sa propre efficacité. Plus le gène est transcrit, plus la protéine est abondante.

A

Vrai

41
Q

V/F

La cellule peut modifier (réguler ou contrôler) l’expression de chacun de ses gènes selon les besoins du moment.

A

Vrai.

Cela se fait en contrôlant la transcription (production d’ARN)

42
Q

V/F

Malgré qu’on ne les voit pas très souvent, il existe, dans certaines cellules, des chaînes d’ARN double brin.

A

Faux.

L’ARN est toujours un simple brin.

43
Q

V/F

Une chaîne d’ARN peut se comporter comme une protéine en se repliant dans une forme particulière.

A

Vrai

44
Q

V/F

On trouve dans l’ARN les bases azotés C (Cytosine), A (Adénine), G (Guanine) et T (Thymine)

A

Faux.

On y trouve C, A, G et U (Uracile) et non pas T (Thymine).

45
Q

Parmi les choix suivants, lequel correspond le mieux à la fonction de l’ARNm?

a. Code les protéines.
b. Catalyse la synthèse des protéines.
c. Se retrouve à la base de la synthèse des protéines en tant qu’intermédiaire entre l’ARNm et les acides aminés.
d. Contrôle l’expression des gènes en bloquant la traduction de certains ARNm particulier.
e. Forme la structure de base du ribosome.

A

a. L’ARNm code les protéines.

46
Q

Parmi les choix suivants, lesquels correspondent le mieux aux fonctions de l’ARNr?

a. Code les protéines.
b. Catalyse la synthèse des protéines.
c. Se retrouve à la base de la synthèse des protéines en tant qu’intermédiaire entre l’ARNm et les acides aminés.
d. Contrôle l’expression des gènes en bloquant la traduction de certains ARNm particulier.
e. Forme la structure de base du ribosome.

A

b. et e.

47
Q

Parmi les choix suivants, lequel correspond le mieux à la fonction de l’ARNt?

a. Code les protéines.
b. Catalyse la synthèse des protéines.
c. Se retrouve à la base de la synthèse des protéines en tant qu’intermédiaire entre l’ARNm et les acides aminés.
d. Contrôle l’expression des gènes en bloquant la traduction de certains ARNm particulier.
e. Forme la structure de base du ribosome.

A

c.

48
Q

Parmi les choix suivants, lequel correspond le mieux à la fonction de l’ARNmi?

a. Code les protéines.
b. Catalyse la synthèse des protéines.
c. Se retrouve à la base de la synthèse des protéines en tant qu’intermédiaire entre l’ARNm et les acides aminés.
d. Contrôle l’expression des gènes en bloquant la traduction de certains ARNm particulier.
e. Forme la structure de base du ribosome.

A

d.

49
Q

V/F

Les chaînes d’ARN sont beaucoup plus courtes que les chaînes d’ADN.

A

Vrai

50
Q

V/F

La transcription débute à un site d’ADN qu’on nomme le promoteur.

A

Vrai

51
Q

Complétez la phrase suivante:

Le _____________ est une séquence nucléotidique de l’ADN sur laquelle se fixe l’ARN polymérase pour commencer la transcription.

A

Promoteur

52
Q

Parmi les suivants, quelles énoncés décrivent les fonctions des facteurs de transcriptions généraux?

I. Aider au positionnement correct de l’ARN polymérase sur le promoteur.
II. Catalyser la fonction correctrice de l’exonucléase.
III. Permettre la libération de l’ARN polymérase du promoteur une fois que la transcription a commencé.
IV. Aider à séparer les 2 brins de la double hélice.
V. Cliver l’ADN double hélice afin de favoriser la liaison d’une nouvelle séquence d’ADN, modifiant ainsi le bagage génomique de l’organisme.

A

I, III et IV

53
Q

Concernant les facteurs généraux de transcription, le TFIID:

a. Positionne l’ARN polymérase II précisément au site de démarrage de la transcription.
b. Reconnaît la boîte TATA (par la sous-unité TBP).
c. Stabilise les interactions de l’ARN polymérase II avec TBP et TFIIB.
d. Attire et contrôle le TFIIH.

A

b. Le TFIID reconnaît la boîte TATA grâce à la sous-unité TBP.

54
Q

Concernant les facteurs généraux de transcription, le TFIIB:

a. Positionne l’ARN polymérase II précisément au site de démarrage de la transcription.
b. Reconnaît la boîte TATA (par la sous-unité TBP).
c. Stabilise les interactions de l’ARN polymérase II avec TBP et TFIIB.
d. Attire et contrôle le TFIIH.

A

a. Le TFIIB positionne l’ARN polymérase II au site de démarrage de la transcription.

55
Q

Concernant les facteurs généraux de transcription, le TFIIH:
(plusieurs réponses possibles)

a. Positionne l’ARN polymérase II précisément au site de démarrage de la transcription.
b. Libère l’ARN polymérase II du promoteur.
c. Stabilise les interactions de l’ARN polymérase II avec TBP et TFIIB.
d. Déroule l’ADN (hydrolyse ATP) au point d’initiation de la transcription.

A

b. et d.

Le TFIIH déroule l’ADN, en faisant l’hydrolyse de l’ATP, au point d’initiation de la transcription et libère l’ARN polymérase II du promoteur.

56
Q

Concernant les facteurs généraux de transcription, le TFIIE:

a. Positionne l’ARN polymérase II précisément au site de démarrage de la transcription.
b. Attire et contrôle le TFIIH.
c. Reconnaît la boîte TATA (par la sous-unité TBP).
d. Stabilise les interactions de l’ARN polymérase II avec TBP et TFIIB.

A

b. Le TFIIE attire et contrôle le TFIIH

57
Q

Concernant les facteurs généraux de transcription, le TFIIF:

a. Positionne l’ARN polymérase II précisément au site de démarrage de la transcription.
b. Libère l’ARN polymérase II du promoteur.
c. Stabilise les interactions de l’ARN polymérase II avec TBP et TFIIB.
d. Déroule l’ADN (hydrolyse ATP) au point d’initiation de la transcription.

A

c. Le TFIIF stabilise les interactions de l’ARN polymérase II avec TBP et TFIIB.

58
Q

V/F

Une fois que l’ARN Polymérase II a commencé son élongation de la transcription, les facteurs de transcription généraux sont libérés de l’ADN par l’action du TFIIH et redeviennent disponibles pour le cycle suivant.

A

Vrai

59
Q

V/F

Les séquences d’intron sont des séquences d’ADN qui ne sont pas transcrites en ARN.

A

Faux.
Les séquences d’intron et d’exons sont toutes deux transcrites en ARN. Les séquences d’intron ne sont retirées qu’ensuite de l’ARN néosynthétisé par le processus d’épissage de l’ARN.

60
Q

V/F

L’épissage se fait sur l’ARN prémessager et ce n’est qu’après toutes les étapes de maturation qu’il peut être appelé ARNm.

A

Vrai

61
Q

V/F

L’hydrolyse de l’ATP est nécessaire pour l’épissage de l’ARNm.

A

Vrai

62
Q

V/F

Étant donné que les introns ne se retrouvent pas dans la protéine finale, ils n’ont pas d’importance en biologie.

A

Faux.
La présence de nombreux introns dans l’ADN permet à la recombinaison génétique d’associer facilement les exons de différents gènes, ce qui permet le développement plus facile de gènes codant de nouvelles protéines par association entre des parties de gènes préexistants.

63
Q

V/F

Selon les facteurs d’épissage, le même gène peut mener à différents ARNm.

A

Vrai

64
Q

V/F

Les facteurs de transcription se lie à des promoteurs de gènes cibles.

A

Vrai

65
Q

Qu’est-ce que la fonction du chapeau ARN (RNA Cap)?

a. Ajouter un phénotype au gène auquel il s’ajoute.
b. Modifier le phénotype du gène auquel il s’ajoute.
c. Empêcher la dégradation rapide des ARNm et contribuer à l’exportation des ARNm hors du noyau.
d. Assurer la protection des terminaisons chromosomiques.

A

c. Empêcher la dégradation rapide des ARNm et contribuer à l’exportation des ARNm hors du noyau.

66
Q

V/F

  • On ajoute une coiffe d’ARN à l’extrémité 3’.
  • On effectue la polyadénylation à l’extrémité 5’.
A

Faux.
-On ajoute une coiffe de guanines à l’extrémité 5’.

-On effectue la polyadénylation à l’extrémité 3’.

67
Q

V/F

Chez les eucaryotes, l’addition d’une coiffe à l’ARN est la première modification des pré-ARNm.

A

Vrai.

68
Q

V/F

Dans le noyau, la coiffe de guanines de l’ARNm s’unit à un complexe protéique appelé CBD (Cannabidiol)

A

Faux.

Dans le noyau, la coiffe de guanines de l’ARNm s’unit à un complexe protéique appelé CBC (Complexe de liaison à la coiffe, ou Cap binding complex en anglais)

69
Q

V/F

Le mécanisme de transport des ARNm matures du noyau vers le cytoplasme requiert de l’énergie.

A

Vrai.

L’ARNm mature et les protéines qui lui sont liées sont beaucoup trop grosses pour passer à travers les pores. La cellule utilise donc de l’énergie pour transporter activement de telles macromolécules.

70
Q

Quelle est la fonction de la queue de poly-A?

a. Favoriser la traduction de l’ARN
b. Inhiber la fixation des ARNt sur l’ARNm
c. Servir de codon d’arrêt reconnu par les ribosomes
d. Protéger l’ARN des attaques des nucléases

A

d. Protéger l’ARN des attaques des nucléases.

71
Q

V/F

Les ARNm qui ont mûri avec succès sont guidés vers les complexes de pores nucléaires, tandis que ceux qui ont mûri improprement et les autres morceaux d’ARN (tels les introns) sont retenus dans le noyau où ils sont dégradés par l’endosome nucléaire.

A

Faux

Les ARNm qui ont mûri avec succès sont guidés vers les complexes de pores nucléaires, tandis que ceux qui ont mûri improprement et les autres morceaux d’ARN (tels les introns) sont retenus dans le noyau où ils sont dégradés par l’EXOSOME nucléaire.

72
Q

V/F

Le codon d’initiation, soit AUG, ne code pour aucun acide aminé.

A

Faux.

AUG code pour méthionine

73
Q

V/F

La protéine CBC attaché aux ARNm matures se détache de son site de liaison une fois rendue dans le cytosol où elle est remplacée par des facteurs d’initiation.

A

Vrai

74
Q

V/F

La traduction peut avoir lieu en l’absence de l’acide aminé méthionine.

A

Faux.

Il est très important que la cellule contienne de la méthionine, sinon la traduction ne peut pas

75
Q

V/F

Il y a trois cadres de lecture possibles de la synthèse d’une protéine. En principe donc, la même séquence d’ARNm pourrait spécifier trois séquences d’acides aminés complètement différentes, selon le cadre de lecture utilisé. Grâce à la dégénérescence du code génétique, toutes ces trois séquences vont produire la même protéine.

A

Faux.

En réalité, un seul de ces cadres de lecture contient le vrai message.

76
Q

Dans quel sens la protéine est-elle synthétisée?

a. Depuis son extrémité C-terminale vers son extrémité N-terminale.
b. Depuis son extrémité N-terminale vers son extrémité C-terminale.
c. Dépendamment de sa fonction.
d. L’étude menée par Olivier Barbier et al. était inconclusive; nous ne savons pas exactement comment la protéine est synthétisée.

A

b. Depuis son extrémité N-terminale vers son extrémité C-terminale.

77
Q

V/F

Le ribosome se déplace de 5’ vers 3’ le long de l’ARNm.

A

Vrai.

La traduction se fait de 5’ vers 3’.

78
Q

V/F

La méthionine fait généralement partie de la protéine finale.

A

Faux.

La méthionine est généralement retirée ultérieurement par une protéase spécifique.

79
Q

V/F

En général, les antibiotiques reconnaissent les unités ribosomales des procaryotes et pas celles des eucaryotes, et empêchent leur fonctionnement, inhibant ultimement la synthèse protéique des pathogènes.

A

Vrai.

D’ailleurs, cette reconnaissance spécifique permet l’utilisation de fortes doses d’antibiotiques sans toxicité.

80
Q

V/F

Les quelques inhibiteurs de la synthèse protéique qui peuvent agir sur les cellules eucaryotes ne peuvent pas servir d’antibiotiques.

A

Vrai.
Quelques inhibiteurs de synthèse protéique reconnaissent les cellules eucaryotes, entraînant donc un effet inhibiteur sur la synthèse protéique des cellules humaines.