Famille Flashcards

1
Q

Le polyamour se distingue de l’infidélité par :
A. Le fait qu’il soit secret
B. L’absence de sentiment amoureux
C. Le consentement de toutes les personnes impliquées
D. Le fait qu’il ne soit pas romantique

A

C. Le consentement de toutes les personnes impliquées
Le polyamour se distingue de l’infidélité par le consentement éclairé et volontaire de toutes les personnes impliquées. Il ne repose pas sur le secret, mais sur la transparence et la communication

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2
Q

La non-monogamie éthique implique :
A. Une relation temporaire sans engagement
B. Une entente consensuelle, responsable et intentionnelle
C. Une infidélité mutuelle
D. Une séparation juridique

A

B. Une entente consensuelle, responsable et intentionnelle
La non-monogamie éthique est une forme de relation où les partenaires conviennent consensuellement, intentionnellement et de manière responsable d’avoir d’autres relations amoureuses ou sexuelles.

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3
Q

Vrai ou faux : La relation conjugale et la relation coparentale doivent être distinguées uniquement en cas de séparation

A

Faux, Il est toujours important de distinguer la relation conjugale de la relation coparentale, même lorsque les parents sont ensemble. Cela aide à mieux comprendre leurs rôles distincts auprès des enfants.

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4
Q

Lequel des éléments suivants ne fait PAS partie des types de coparentalité ?
A. Coopérative
B. Conviviale
C. Parallèle
D. Conflictuelle

A

B. Conviviale
La coparentalité conviviale n’est pas un terme reconnu dans la littérature sur la coparentalité. Les types les plus fréquents sont : coopérative, parallèle et conflictuelle

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5
Q

Dans une coparentalité parallèle, les parents :
A. Ont une communication fluide sur tous les sujets
B. Discutent régulièrement de leurs nouvelles relations
C. Communiquent de façon neutre, par écrit, sur les sujets liés à l’enfant uniquement
D. N’ont aucun contact entre eux ni avec l’enfant

A

C. Communiquent de façon neutre, par écrit, sur les sujets liés à l’enfant uniquement
En coparentalité parallèle, les parents limitent leur communication à ce qui concerne les enfants, souvent par écrit et de manière neutre. Il y a peu ou pas de collaboration.

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6
Q

Quel est le principal objectif de l’intervention en coparentalité ?
A. Réconcilier les parents
B. Favoriser la communication romantique
C. Se centrer sur les besoins de l’enfant
D. Créer un plan d’adoption

A

C. Se centrer sur les besoins de l’enfant
Le but principal de l’intervention en coparentalité est de répondre aux besoins de l’enfant, pas de rétablir la relation de couple. L’enfant est au centre de l’intervention.

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7
Q

L’approche systémique permet :
A. De s’assurer que les parents soient en accord
B. D’évaluer le fonctionnement familial dans sa globalité
C. D’enseigner des techniques de discipline
D. De supprimer les rôles familiaux

A

B. D’évaluer le fonctionnement familial dans sa globalité
L’approche systémique permet de comprendre les dynamiques familiales dans leur globalité, en tenant compte des interactions entre les membres et des influences de leur environnement

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8
Q

Dans l’approche orientée vers les solutions, on met l’accent sur :
A. Les moments problématiques
B. Les conflits passés
C. Les forces et les exceptions
D. L’autorité légale du parent gardien

A

C. Les forces et les exceptions
L’approche orientée vers les solutions se concentre sur les forces, les ressources et les exceptions au problème. Elle valorise ce qui fonctionne déjà, même si c’est minime.

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9
Q

Vrai ou faux : L’approche en médiation vise à imposer des solutions aux parents pour l’enfant.

A

Faux,En médiation, l’objectif est d’aider les parents à trouver leurs propres solutions, pas de leur imposer une entente. Le médiateur a un rôle neutre.

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10
Q

La violence conjugale de type contrôle coercitif est :
A. Non-genrée et réciproque
B. Unidirectionnelle, intentionnelle et genrée
C. Toujours physique
D. Moins grave que la violence situationnelle

A

B. Unidirectionnelle, intentionnelle et genrée
Le contrôle coercitif est une forme grave de violence conjugale, généralement genrée (souvent subie par les femmes), qui est intentionnelle, unidirectionnelle et vise à dominer l’autre personne.

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11
Q

Parmi les formes suivantes, laquelle n’est PAS considérée comme de la violence conjugale :
A. Économique
B. Psychologique
C. Spirituelle
D. Juridique

A

D. Juridique
Bien que des tactiques juridiques puissent être utilisées pour contrôler, la violence juridique n’est pas encore officiellement reconnue comme une catégorie à part entière dans les classifications habituelles (contrairement aux violences économique, psychologique ou spirituelle)

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12
Q

Vrai ou faux : En contexte de violence conjugale, les rencontres entre les deux parents sont à privilégier pour favoriser la collaboration

A

Faux, En contexte de violence conjugale, les rencontres conjointes sont à éviter, car elles peuvent mettre la victime en danger ou la forcer à se taire. La sécurité et l’autonomie sont prioritaires.

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13
Q

En vertu de la LPJ, lorsqu’un enfant doit être placé, il faut :
A. Prioriser les familles institutionnelles
B. Briser les liens avec les parents
C. Maintenir l’enfant dans son milieu familial si possible
D. Garantir l’anonymat des parents

A

C. Maintenir l’enfant dans son milieu familial si possible
Selon la LPJ, il faut maintenir l’enfant dans son milieu familial le plus possible, ou du moins favoriser les liens familiaux pour préserver les repères et l’identité de l’enfant.

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14
Q

Le placement en famille d’accueil banque-mixte vise :
A. La réintégration rapide en milieu familial
B. Un hébergement temporaire pour adolescents
C. Une éventuelle adoption
D. Un suivi en centre jeunesse

A

C. Une éventuelle adoption
Une famille d’accueil banque-mixte accueille l’enfant avec l’option d’une adoption éventuelle si le retour dans la famille d’origine n’est pas possible. C’est une forme de placement stable à long terme.

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15
Q

Vrai ou faux : Tous les types de familles d’accueil ont les mêmes exigences, peu importe le projet de vie de l’enfant

A

Faux,Les exigences varient selon le projet de vie de l’enfant. Par exemple, les familles banque-mixte doivent être prêtes à s’engager à long terme et parfois à adopter, contrairement aux autres familles d’accueil.

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16
Q

Quel est le principal objectif de la tenue de dossier en travail social?
A. Protéger l’intervenant en cas de conflit
B. Justifier les décisions cliniques et assurer la continuité des services
C. Rappeler les rendez-vous aux usagers
D. Produire des statistiques internes

A

B. Justifier les décisions cliniques et assurer la continuité des services
Le principal objectif de la tenue de dossier est d’assurer la continuité des services pour que d’autres intervenants puissent comprendre et poursuivre l’intervention, et de justifier les décisions cliniques prises en cours d’intervention.

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17
Q

La responsabilité professionnelle de l’intervenant implique :
A. De suivre à la lettre les demandes des familles
B. De tout documenter, même les éléments non pertinents
C. De respecter la confidentialité et de prendre des décisions éthiques
D. De donner des conseils juridiques

A

C. De respecter la confidentialité et de prendre des décisions éthiques
La responsabilité professionnelle implique le respect de la confidentialité, des normes déontologiques et des principes éthiques, et la prise de décisions professionnelles éclairées.

18
Q

Vrai ou faux : On peut écrire dans le dossier ce que l’usager nous dit, même si ce n’est pas pertinent pour l’intervention.

A

Faux, On ne peut pas tout écrire dans le dossier. Il faut que l’information soit pertinente à l’intervention. Tout ce qui est écrit peut être lu (par un collègue, un supérieur, voire l’usager lui-même), donc on documente uniquement ce qui est pertinent et nécessaire.

19
Q

Le consentement doit être :
A. Écrit uniquement
B. Donné par un avocat
C. Libre, éclairé et révocable
D. Obligatoirement signé devant témoin

A

C. Libre, éclairé et révocable
Le consentement doit être libre (sans pression), éclairé (la personne comprend les conséquences) et révocable (elle peut le retirer à tout moment). Il peut être oral ou écrit, selon la situation.

20
Q

Dans quel cas peut-on intervenir sans le consentement d’un adulte?
A. Quand il y a un retard de paiement
B. Quand la personne est en crise et représente un danger pour elle-même ou autrui
C. Quand un membre de la famille l’exige
D. Quand l’intervention est bénéfique

A

B. Quand la personne est en crise et représente un danger pour elle-même ou autrui
On peut intervenir sans consentement seulement en situation de crise, par exemple si la personne représente un danger pour elle-même ou pour autrui

21
Q

Vrai ou faux : Une personne peut retirer son consentement à tout moment, même si l’intervention est déjà en cours.

A

Vrai, Une personne a le droit de retirer son consentement en tout temps, même si l’intervention a déjà commencé. C’est une composante essentielle du respect de l’autonomie

22
Q

L’évaluation du fonctionnement social a pour but :
A. De poser un diagnostic médical
B. De porter un jugement moral
C. De comprendre les besoins, capacités et dynamiques de la personne/famille
D. D’évaluer le niveau d’intelligence des usagers

A

C. De comprendre les besoins, capacités et dynamiques de la personne/famille
L’évaluation du fonctionnement social vise à comprendre les besoins, capacités, ressources, limites et dynamiques sociales d’une personne ou d’une famille. Ce n’est pas un diagnostic médical, ni un jugement.

23
Q

Lequel des éléments suivants fait partie de l’évaluation du fonctionnement social selon l’OTSTCFQ?
A. Un jugement sur les valeurs familiales
B. Une interprétation personnelle de la situation
C. Une synthèse objective des forces, difficultés et dynamiques
D. Une liste des comportements problématiques

A

C. Une synthèse objective des forces, difficultés et dynamiques

Selon l’OTSTCFQ, une bonne évaluation comprend une synthèse objective (donc pas de jugement, ni interprétation personnelle) des forces, difficultés, interactions et contextes de vie de l’usager

24
Q

Vrai ou faux : L’évaluation du fonctionnement social est un outil purement administratif.

A

Faux, L’évaluation du fonctionnement social est un outil clinique et professionnel, pas administratif. Elle guide l’intervention et sert de fondement à la planification.

25
L’approche systémique considère la famille comme : A. Une addition d’individus B. Une structure désorganisée C. Un ensemble d’éléments interreliés D. Une entité rigide et immuable
C. Un ensemble d’éléments interreliés L’approche systémique voit la famille comme un tout composé de membres interreliés, avec des interactions constantes. Un changement chez un membre affecte tout le système.
26
Dans la perspective structuraliste, l’intervention vise à : A. Renforcer l’autorité de l’intervenant B. Rééduquer les enfants C. Réorganiser les frontières, rôles et hiérarchies D. Supprimer les conflits
C. Réorganiser les frontières, rôles et hiérarchies L’approche structurale (ou structuraliste) vise à réorganiser les frontières, rôles et hiérarchies pour améliorer la dynamique familiale. Elle cherche à restaurer un fonctionnement plus sain.
27
Vrai ou faux : L’approche structurale s’intéresse aux alliances et aux coalitions au sein de la famille
Vrai, Oui, l’approche structurale s’intéresse aux alliances (liens fonctionnels) et aux coalitions (alliances contre un autre membre), car elles influencent l’équilibre familial.
28
Quel changement marque l’évolution des paradigmes en intervention familiale? A. Le passage d’une vision biomédicale à une approche centrée sur les droits et le vécu des familles B. Le retour à une approche autoritaire C. La suppression de toute implication des familles D. La spécialisation médicale de l’intervenant
A. Le passage d’une vision biomédicale à une approche centrée sur les droits et le vécu des familles L’intervention familiale a évolué d’une approche biomédicale (où la famille était parfois perçue comme un obstacle) vers une approche plus humaniste et centrée sur les droits, le vécu et les besoins des familles. On valorise leur participation et leur expertise.
29
Vrai ou faux : Dans le paradigme actuel, les familles sont perçues comme partenaires dans l’intervention.
Vrai, Aujourd’hui, les familles sont considérées comme partenaires à part entière dans l’intervention. Cela signifie qu’elles participent activement à la prise de décisions, au lieu de subir l’intervention.
30
La parentalité se définit comme : A. La capacité biologique d’avoir un enfant B. Le statut juridique de parent C. L’ensemble des fonctions sociales, affectives et éducatives exercées auprès d’un enfant D. L’obligation de discipline
C. L’ensemble des fonctions sociales, affectives et éducatives exercées auprès d’un enfant La parentalité ne se limite ni à la biologie ni au statut légal : elle inclut les dimensions sociales, affectives et éducatives que l’adulte assume auprès de l’enfant
31
La maternité assistée soulève des enjeux : A. Purement techniques B. De contrôle social, de genre et d’inégalités d’accès C. Liés au droit international D. Qui concernent uniquement les médecins
B. De contrôle social, de genre et d’inégalités d’accès La maternité assistée soulève plusieurs enjeux : inégalités d’accès selon la classe sociale, normes de genre, valeurs culturelles et contrôle social (qui a le droit d’avoir un enfant et comment).
32
Le processus clinique comprend : A. Évaluation, diagnostic, traitement B. Évaluation, planification, intervention, évaluation continue et fin de l’intervention C. Observation, intervention, punition D. Réaction immédiate et sanction
B. Évaluation, planification, intervention, évaluation continue et fin de l’intervention Le processus clinique en intervention sociale comprend : Évaluation (analyse de la situation) Planification (des objectifs et moyens) Intervention Évaluation continue Fin de l’intervention (clôture accompagnée
33
Le processus clinique est linéaire et doit être suivi étape par étape, sans retour en arrière.
Faux,Le processus clinique n’est pas linéaire. L’intervenant peut revenir en arrière selon les besoins, ajuster les actions ou réévaluer la situation.
34
L’approche participative vise à : A. Encourager l’autonomie des familles et reconnaître leur expertise B. Déléguer toute décision aux familles C. Éviter de poser des questions difficiles D. Éliminer toute structure d’intervention
A. Encourager l’autonomie des familles et reconnaître leur expertise L’approche participative vise à favoriser l’autonomie des familles et à reconnaître leur expertise vécue. On travaille avec elles, pas sur elles.
35
. Vrai ou faux : Dans une approche participative, le rôle de l’intervenant est d’imposer les meilleures solutions selon lui.
Faux, L’intervenant n’impose pas ses solutions. Il accompagne la famille dans la recherche de solutions qui font sens pour elle
36
Les approches de proximité en travail social : A. Cherchent à créer une distance professionnelle stricte B. Sont basées sur la réciprocité, la présence et la co-construction de solutions C. Impliquent de vivre avec la famille D. Sont réservées aux milieux ruraux
B. Sont basées sur la réciprocité, la présence et la co-construction de solutions Les approches de proximité reposent sur : La présence constante et bienveillante La réciprocité relationnelle La co-construction de solutions adaptées au contexte de la famille
37
Vrai ou faux : L’approche de proximité exige une posture relationnelle d’ouverture et d’humilité.
Vrai, L’approche de proximité exige une attitude d’ouverture, d’humilité et une posture collaborative : l’intervenant apprend avec et grâce à la famille.
38
La conjugalité est : A. Identique à la parentalité B. Le lien juridique entre parents et enfants C. Le lien affectif, amoureux ou sexuel entre deux personnes D. Une obligation pour élever un enfant
C. Le lien affectif, amoureux ou sexuel entre deux personnes La conjugalité concerne le lien amoureux, affectif ou sexuel entre deux personnes. Elle est distincte de la parentalité.
39
L’articulation entre conjugalité et parentalité peut : A. Renforcer ou fragiliser les rôles parentaux B. Être ignorée dans l’intervention C. Être évaluée uniquement par un psychologue D. Être sans influence sur les enfants
A. Renforcer ou fragiliser les rôles parentaux Une relation conjugale harmonieuse peut renforcer les rôles parentaux, alors que les conflits conjugaux fragilisent la parentalité. Il est donc important d’en tenir compte dans l’intervention.
40
L’intervention auprès des couples nécessite : A. De se concentrer uniquement sur la dynamique conjugale B. D’exclure les enfants du processus C. De comprendre les interactions entre le couple, la parentalité et l’histoire familiale D. Une formation en droit
C. De comprendre les interactions entre le couple, la parentalité et l’histoire familiale L’intervention auprès des couples nécessite de comprendre l’interaction entre les dynamiques conjugales, la parentalité et l’histoire familiale (incluant les transmissions intergénérationnelles, traumatismes, etc.).
41
La coparentalité désigne : A. Le partage des tâches domestiques B. L’organisation conjointe des responsabilités parentales, qu’il y ait ou non un lien conjugal C. La garde légale partagée D. Une pratique religieuse
B. L’organisation conjointe des responsabilités parentales, qu’il y ait ou non un lien conjugal La coparentalité, c’est la capacité de deux adultes à s’occuper ensemble de leurs enfants, peu importe s’ils sont encore en couple ou non.
42
Vrai ou faux : Une bonne relation coparentale peut exister même après une séparation conjugale.
Vrai, Même après une séparation conjugale, une relation coparentale saine (communication, respect, coopération) est possible — et souhaitable — pour le bien-être de l’enfant.