Examen Clinique Flashcards

1
Q

quand on réfère à l’ophtalmo il est important de savoir ?

A

Acuité visuel - ils vont nous le demander

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2
Q

Quand est-il préférable de référer en optométrie?

A

oeuil rouge
yeux sec ou larmoiment
dépistage de rétinopathie Db
Dépistage de dégénérescence maculaire
dépistage de cataracte
éval des troubles de l’acuité visuel

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3
Q

Redflags de l’oeil

A

Rougeur persistante
Changement vision
Photophobie
Douleur oculaire (au repos et/ou mouvement) Diplopie

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4
Q

a/n du sourcils, il est important d’inspectez leur abondance, leur distribution et tout aspect de desquamation de la peau sous-jacente.

quels sont les anomalies possibles

A
  • Une peau d’aspect furfuracé peut être liée à une dermatite séborrhéique.
  • L’aspect clairsemé peut être en rapport avec l’hypothyroïdie.
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5
Q

Quoi inspecter a/n de la paupières?

+ anomalie

A
  • La largeur des fentes palpébrales
  • Un œdème palpébral
  • La coloration
  • Les lésions
  • L’état et la direction des cils
  • La fermeture adéquate

Anomalies :
* Une fente palpébrale ascendante est notée dans la T21.
* Une inflammation des bords de la paupière est observée dans la blépharite.
* Lagophtalmie peut survenir en paralysie neuromusculaire. Ceci expose la cornée à des
lésions graves. Référé à un ophtalmologiste en urgence.

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6
Q

Appareil lacrymale

quoi inspecter et quels sont les anomalies?

A

Inspectez les régions de la glande lacrymale et du sac lacrymal à la recherche d’un gonflement. Recherchez un larmoiement excessif ou une sécheresse des yeux.

Anomalies :
* Un gonflement est observé dans la dacryocystite.
* Un larmoiement excessif peut être lié à une production excessive (lésion de la cornée), à un défaut de
drainage en rapport avec un ectropion, ou à une obstruction du canal lacrymonasale. Une sécheresse liée à une production insuffisante de larmes est observée dans le syndrome de Sjögren.

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7
Q

Conjonctive et sclérotique a/n des yeux.

quoi faire et quels sont les anomalies?

A

Demandez de regarder vers le haut pendant que vous abaissez la paupière inférieure.

Inspectez la couleur et le positionnement des vaisseaux sanguins. Recherchez des nodules ou tuméfaction (chémosis).

Anomalies :
* Une coloration jaunâtre de la sclère est l’indice d’une jaunisse.
* Une injection ciliaire est souvent associée aux kératites, aux uvéites et au glaucome aigu

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8
Q

Cornée et cristallin

comment inspectez et quels sont les anomalies.?

A

Utilisez un éclairage oblique,
inspectez la cornée à la recherche d’une opacité.
Notez toute opacité du cristallin qui soit visible à travers de la pupille

Anomalies :
* L’opacité de la cornée peut être secondaire à des cicatrices résultant de blessures anciennes.
* L’opacité du cristallin est souvent associée à la cataracte

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9
Q

Iris

quoi regarder et quels sont les anomalies?

A

Les limites de l’iris doivent être nettes. Éclairez directement à partir du côté temporal, recherchez une ombre en forme de croissant sur la partie interne. Normalement, cet éclairage oblique ne projette pas d’ombre

Anomalies : La présence d’une ombre en croissant témoigne que l’iris est bombe vers l’avant.
Cet angle étroit augmente le risque de glaucome à angle fermé.
Dans le glaucome à angle ouvert, le test est normal.

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10
Q

Pupilles

A

PERRLA (Pupilles, Égales, Rondes, Réactives à la lumière et à l’Accommodation)

En lumière tamisée, inspectez:
* La taille :
Petit diamètre : < 3 mm
Grand diamètre : > 5mm
* La forme
* La symétrie
* Réaction à la lumière :
Directe : constriction pupillaire de l’œil éclairé
Indirecte : contraction de la pupille de l’œil opposé
* Accommodation : Évaluez en lumière normale et tamisée.
Testez séparément chaque œil.
Demandez-lui de fxer alternativement un crayon situé à 10 cm de son œil, puis de porter son regard au-delà.
Observez la réaction de la pupillaire et la convergence.

Anomalies :

  • Myosis/mydriase
  • Anisocorie (bénigne chez 20% des gens, mais peut être compatible avec le syndrome de Claude Bernard-Horner (myosis),
    la paralysie du nerf oculomoteur et la pupille tonique (mydriase)
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11
Q

Décrivez les réactions pupillaires suivante:

Isocorie
Mydriase
Myosis
Aniscorie
Pupille moyennes fixe

A

Isocorie : pupille de dimensions égales, de taille moyenne et réactives. (État normal).

Mydriase: pupilles dilatées. (causes : Hypoxie profonde, compression des IIIe nerfs crâniens)

Myosis: pupilles contractées. (Causes : Lésions du tronc cérébral, compression des IIIe nerfs crâniens. Intoxication médicamenteuse)

Aniscorie: pupilles de dimensions inégales et réagissant différemment. (causes : Compression du IIIe nerf crânien du côté de la mydriase)

Pupille moyennes fixe. (causes: Lésion du tronc cérébral. Hypertension intracrânienne sévère).

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12
Q

Quoi questionner au niveau de l’oeil qui n’est pas nécessairement des redflags.

A

Arthralgie
Patient connu pour pathologie oculaire Antécédent d’intervention chirurgicale oculaire Traumatisme oculaire

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13
Q

Comment observer le reflet rouge ?

A
  • Placez-vous à environ 40 cm du patient.
  • Dirigez le faisceau lumineux sur la pupille et recherchez une
    lueur orangée dans la pupille, le « reflet rouge ».
  • Normalement, le reflet devrait être symétrique en taille, en
    couleur et en intensité.
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14
Q

Anomalie du reflet rouge ?

A
  • L’absence de reflet rouge suggère une opacité du cristallin (cataracte), ou, possiblement, de l’humeur vitrée ; plus rarement, un décollement de rétine.
  • Leucocorie: reflet blanchâtre. (rétinoblastome)
  • Chez l’enfant, il peut s’agir d’un rétinoblastome.

ou asymétrie

reflet peut être diminuer à cause des cataracte.

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15
Q

Dans l’examen ophtalmoscopique (fond d’oeil) comment observer la rétine et la papille optique?

A

Rétine:
Suivez les vaisseaux vers la périphérie dans chacun des quadrants. Inspectez du disque vers la macula.

Inspectez :
* La fovéa
* La macula (tache jaune)
* Les vaisseaux sanguins :
Artérioles - Petit calibre, rouge clair, brillant
Veines - Gros calibre, rouge sombre, peu brillant

Inspectez les structures antérieures :
Recherchez des corps flottants de l’humeur vitrée ou du cristallin en tournant progressivement le disque des lentilles jusqu’à +10, voir +12 dioptries

Papille:
* Localisez la papille optique. Recherchez le disque jaune-orangé décrit ci-dessus ou suivez un vaisseau sanguin vers le centre jusqu’à l’apercevoir. La taille du vaisseau devrait vous aider. Le calibre augmente en se rapprochant du disque optique.
* Si ni vous ni le patient n’avez de vice de réfraction, la rétine doit être au point à 0 de dioptrie.
* Si les structures sont floues, tournez le disque jusqu’à une mise au point nette.

*Si le patient est myope, tournez le disque dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, vers
une dioptrie négative.

*Si le patient est hypermétrope, tournez-le dans le sens d’une aiguille d’une montre, vers une dioptrie positive. Vous pouvez corriger votre propre vice de réfraction de la même façon.

Inspectez et notez les caractéristiques suivantes :
* La netteté du contour du disque
* Le couleur du disque, normalement jaune-orangé à rose-crémeux
* La dimension de l’excavation physiologique, elle est habituellement blanc-jaunâtre.
* La symétrique des yeux en ce qui concerne ces observations.

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16
Q

Qu’est-ce que la confrontation du champs visuels?

A

Cette méthode à des limites, et même des déficits relativement importants des champs visuels quadratiques ou d’hémi-anopsie peuvent échapper à ces tests. Lorsque vous suspectez une atteinte des champs visuels, référez le patient à un ophtalmologiste pour une évaluation plus précise (test automatisé de Humphrey).

test statique de l’agitation des doigts?
* Se placer devant le patient à une distance de bras.
* Couvrir l’œil gauche ainsi que celui du patient qui fait face à votre occulté.
* Tout en le fixant, placer votre main droite écartée à environ 60 cm latéralement.
* Agiter lentement les doigts en les rapprochant vers la ligne de vision centrale.
* Le patient doit vous indiquez lorsqu’il perçoit les doigts.
* Procéder de cette manière afin de couvrir chacune des heures d’une horloge,
ou minimalement chacun des quadrants.
* Tester l’œil droit ensuite.

Alternative :
* Demandez au patient de compter le nombre de doigts que vous tenez dans différents quadrants
* Demandez au patient de pointer le centre du votre stéthoscope.

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17
Q

Qu’est-ce que la sensibilité aux contrastes ?

A
  • Demandez au patient d’observer un objet brillant rouge (ex., le capuchon d’un stylo).
  • Occultez alternativement l’œil droit et l’œil gauche.
  • Demandez si la saturation des couleurs est la même pour les deux yeux.
  • Si il y a présence d’un déficit sur un des deux yeux, demandez-lui de grader selon un
    pourcentage.
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18
Q

Position et alignement des yeux, qu’est-ce qu’on regarde?

A

Si l’un des yeux vous parait anormalement proéminent, demandez au patient de regarder vers le haut et évaluez la position axiale des yeux vus de dessous.

Anomalies :
* Ésotropie : déviation vers la ligne médiane (strabisme convergent)
* Exotrophie : déviation vers l’extérieur
* Hyperphorie : déviation vers le haut
* Hypophorie : déviation vers le bas
Une exophtalmie peut être liée à des troubles de la thyroïde (maladie de Graves-Basedow), des anomalies congénitales, des tumeurs oculaires, etc.

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19
Q

…Tropie =
…Trophie=
….Phorie =

Eso…=
exo…=

A

…Tropie = Permanent
…Trophie = Permanent
…Phorie = intermitent

Eso…= vers intérieur
exo…=vers extérieur

  • Ésotropie : déviation vers la ligne médiane (strabisme convergent)
  • Exotrophie : déviation vers l’extérieur
  • Hyperphorie : déviation vers le haut
  • Hypophorie : déviation vers le bas

Une exophtalmie peut être liée à des troubles de la thyroïde (maladie de Graves-Basedow), des anomalies congénitales, des tumeurs oculaires, etc.

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20
Q

Qualification des différents strabismes (diapo 24)

A

Absence de strabisme

Strabisme de l’OG sous forme d’ésotropie (oeil droit centré, oeil gauche vers l’intérieur).

Strabisme de l’OG sous forme d’exotropie (oeil droit centré, oeil gauche vers l’extérieur).

Strabisme de l’OG sous forme d’hypertropie (oeil droit centré, oeil gauche vers le haut).

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21
Q

Reflet cornéen, comment l’observer et qu’est-ce que le Test de l’écran ?

A

Reflet cornéen :
Placez-vous à 60 cm, éclairez ses yeux pendant qu’il regarde la source de lumière. Le reflet doit être visible et symétrique.

Anomalie :
Une asymétrie indique une déviation par rapport à l’alignement normal des yeux.

Si anomalie - Faire le test de l’écran: ce test il faut faire une occultation alternative de l’un et l’autre œil.

Anomalie :
Peut révéler un déséquilibre musculaire ou latent, invisible autrement (strabisme).

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22
Q

Qu’est-ce que le test des six groupe de muscles extra-oculaires ainsi que le test de convergence?

A
  • Maintenez la tête en position médiane.
  • Demandez au patient de suivre votre doigt lorsque vous le déplacez dans les six directions cardinales du regard (un mouvement de grand « H »).
  • Marquer une pause dans le regard vers le haut et latéralement afin de détecter un nystagmus.
  • Si vous suspectez une asymétrie oculopalpébrale, demandez à nouveau au patient de suivre votre doigt pendant que vous le déplacez lentement du haut en bas de la ligne médiane.

Test de la convergence :
Demandez au patient de suivre votre doigt pendant que vous le déplacez vers la racine du nez. Des yeux normalement convergents suivent l’objet jusqu’à 5 à 8 cm du nez

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23
Q

Dans la motricité extra-oculaires, quels sont les types de nystagmus?

A

Central : (super inquiétant)
* Faible fréquence et haute amplitude
* Vertical ou rotatoire
* La fixation du regard ne crée pas de suppression
* Pendulaire et rotatoire

ET

Périphérique : (moins inquiétant, présent dans le VPPB)
* Haute fréquence, faible amplitude
* Horizontal
* La fixation du regard crée une suppression
* Unidirectionnel

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24
Q

Quels sont les différences entre l’échelle de Snellen, l’échelle d’optométrie d’Allen et l’échelle de Parinaud dans l’acuité visuelle?

A

Échelle de Snellen:
* Le patient est placé à 6 mètres de l’échelle.
* Le patient doit faire l’évaluation avec ses lentilles cornéennes ou sa lunette.
* L’acuité visuelle de chaque œil est testée en cachant un œil avec un objet solide.
* Lui demander de lire la plus petite ligne imprimée possible.
* Si le patient ne voit pas, passer à la ligne au de-dessus en caractère de taille plus important.
* Déterminez la plus petite ligne imprimée dont le patient énumère plus de la moitié des lettres.
* Notez l’acuité visuelle indiquée à côté de la ligne et le port de verre, le cas échéant.
* Il faut également faire l’examen avec les deux yeux ouverts.
*Un patient qui n’arrive pas à lire les plus grosses lettres doit être rapproché de l’échelle. Il faut alors noter la distance.

La normal est une vision 6/6 ou 20/20.
Une acuité de 20/40 (6/12) selon Snellen indique que la plus petite lettre qui peut être lue à 12 m. par un patient qui a une acuité visuelle normale doit être rapprochée à 6 m. pour être reconnue par le patient.
Plus le premier chiffre est bas, moins la vision est bonne.
L’ajout du terme « corrigé » à la suite du résultat, signifie que l’examen est réalisé avec des verres correcteurs.

Anomalies :
* Un handicap visuel est défini lorsque l’acuité visuelle après correction est seulement de 5/10 ou pire, pour l’œil le meilleur.
* Une acuité visuelle après correction de seulement 1/10 définit le statut d’aveugle aux États-Unis.
____________________________________________
Échelle d’optométrie d’Allen :

  • Échelle avec des symboles.
  • Pour les patients qui ne savent pas lire.
  • Utile pour évaluer les enfants
    ____________________________________________
    Échelle de Parinaud :
  • Permet de tester la vision de près à l’aide d’une planche spéciale de caractères de plus en plus petit.
  • Permet de déterminer le besoin de lunettes pour la lecture.
  • Elle doit être tenue à environ 35 cm du patient.
  • On note P28 si vous lisez uniquement la plus grosse ligne, la plus petite correspondant à P2.
    Si vous ne disposez pas de cet outil, vous pouvez avoir une idée de l’acuité visuelle du patient en lui demandant de lire n’importe quel texte imprimé.
    S’il n’est pas capable de lire, testez ses capacités à compter vos doigts placés devant ses yeux, à détecter la direction de leurs mouvements et à distinguer la lumière de l’obscurité.
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25
Q

IMPORTANT
Tonomètre

A

Permet de mesurer la pression intro-oculaire (PIO) PIO normale : 11 à 21 mmHg

diapo 36

Anomalies :
Une augmentation de la PIO peut être secondaire à l’effet d’un médicament (corticoïdes), un traumatisme de l’œil, un glaucome à angle fermé, etc.

PIO plus grand que 30 mmHg = urgence ophtalmologique

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26
Q

En quoi consiste l’examen de la lampe de Wood / Examen à la fluorescéine

A

Consiste à dépister une atteinte de la cornée.

*Retirer les lunettes et les lentilles cornéennes au besoin.

*Appliquer la fluorescéine dans le cul-de sac conjonctival près du point lacrymal.

*Faireouvriretfermerlespaupièresàplusieursreprisesafindebiendistribuerlecolorantsur la surface du globe oculaire.

*Éclairerl’œilaveclalampedeWoodquicontientunfiltrebleu.

*Enprésenced’atteinteàlacornée,lecolorantadhèreauxirrégularitésetlesfontainsi apparaître en vert brillant.

Anomalies :
* Un schéma de ramification (dendrites) suggère une infection par le virus de l’herpès simplex.

  • Les érosions de la cornée ont tendance à être ronds et centraux.
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27
Q

red flag pour les personnes âgées (quand diriger l’usager vers l’urgence)

A
  • délirium ou altération de l’état d’éveil
  • PA présentant une dangerosité immédiate et significative affectant sa sécurité ou celle de son entourage
    -Chute avec séjour prolongé au sol ou incapacité significative à se déplacer.
    -Altération marquée des AVD et AVQ
  • sv altérés
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28
Q

Quels sont les motif de référence en gériatrie

A

(TNCM) trouble neurocognitif majeur atypique ou typique

Polypharmacie (on peut ausssi référer aux pharmaciens)

SCPD réfractaires aux interventions de la première ligne.

Trouble de la marche et de l’équilibre,

Chute récurrentes (on doit quand même envoyer au TRP)

Maltraitance

Perte de poids inexpliquée

(quand la personne n’est plus capable de se faire à manger, c’est un signe clinique qui parle beaucoup - pas automatiquement référer en spécialité, mais devons bien évaluer la situation)

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29
Q

SV de la personne âgée

A

pouls : idem à l’adulte, mais important de prendre le rythme vu la prévalence de beaucoup de brady arythmie.

TA: Sévérité à regarder en fonction de l’espérance de vie … on peut garder nos cibles si la personne est en santé on peut viser 120/80

150/90 : pt à risque de HTO et chute

plus de 80 ans : TAS > 180 = ok

respiration : comme adulte , (N:20, élevé > 25) MPOC : personnaliser la normal

Sat: N > 95%. Si multimorbidité N > 93%
MPOC: personnaliser, mais viser 92%

Fièvre : on attend pas le 38,5…. la température basale moyenne est plus basse que la population générale, on considère fièvre 1,1 de + que la température de base de l’usager. ** a-t-il du tylénol régulier qui masque cela… donc pas se fier à la fièvre comme sx

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30
Q

signes AINÉES

A

A: autonomie, AVD, AVQ, mobilité
I= intégrité de la peau
N= nutrition
É= élimination
État cognitif
s= sommeil

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31
Q

Veillissement normal vs pathologique a/n NEURO pour la PA

A

Normal: possible que réflexes soient plus lents, que la sensibilité au toucher soit diminuée, changement dans la démarche ex ralentie, ralentissement du temps de réaction, aug. du seuil de perception de la douleur et dim. de la tolérance.

Patho : Grosse céphalée, crampe ou engourdissement unilatéral, Dysarthrie, dysphagie, tremblement unilatéral, rigidité, perte champs visuel, démarche polygone élargie, chute, etc.

VOIR PPT 11

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32
Q

A/N NEURO, quels sont les caractéristiques physiologique et les modifications lié au vieillissement qui sont normales?

A

atrophie cérébrale (passe de 93-80% en SANTÉ)
perte neuronale et modification morphologiques
perte synaptique et modifications morphologiques
accumulation de plaques séniles et enchevêtrements neurofibrillaires
Athérosclérose/Artériosclérose (AVC plus fréquent avec l’âge)
Anomalie dans le métabolisme du glucose
Diminution de la synthèse de certains émetteurs (acétylcholine)

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33
Q

Quoi faire lors de l’examen neuro de la personne âgée?

A

Utiliser le réseau de soutien, le personnel de la résidence, les personne qui sont avec la PA et qui la connaissent bien (si on a le consentement). Pour tous, mais surtout si la personne a un TNC.

  1. Anamnèse complète : PQRSTU/AMPLE

2.Examen physique: neuro central et périphérique, cardio PRN , psy PRN

  1. Observation de : niveau d’éveil/état de conscience, cpt, apparence, émotion, mvmts, parole,
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34
Q

considérations particulières pouvant limiter examen neuro de la personne âgée:

( ça ne serait pas anormal de voir ça à l’examen de la PA)

A

-tremblements essentiels
-paires craniennes : réflexes ralentis, ex: pupille
-fonctions motrices, parfois moins fort
-fonctions sensorielle diminuée
-trouble cognitif pouvant influencer la collaboration (ex: suivre les consignes de l’examen)
-Marche et station debout
-modification des réflexes

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35
Q

Tremblements

voir ppt

A

essentiels : rapides

parkinsonnisme + lents

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36
Q

en CHSLD, qu’est-ce qui change la conduite à tenir ?

A

le niveau de soins, les volontés de la famille et du patient

ex: AVC niveau a - urgence, d- on fait peut être pas qqch

(quand on a un pt qui fait de la FA - risque AVC, de plus, quetiapine augmente le risque de MCAS - c’est pourquoi quand on peut on essaie de le sevrer)

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37
Q

A/n des pathologie neuro, il y a l’AVC
qu’est-ce que le cincinnati stoke scale?

A

C’est un tableau qui aide a prédire le risque que ce soit un AVC chez la PA

  1. asymétrie faciale :
    Normal = symétrique au repos et en mouvement
    Anormal =Asymétrie ou akynésie d’un côté du visage
  2. Dérive d’un bras :
    Normal = Mouvements symétriques des 2 bras, ou les 2 sont immobile
    Anormal = Un bras dérive vers le bas p/r à l’autre
  3. Langage:
    NormalÈ petient utilise des mots corrects sans dysarthrie
    Anormal: Dysarthrie, mots inappropriés, Mutisme

Interprétation : 1 de ces 3 signes positif = 72% de probabilité d’AVC

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38
Q

Suite AVC personne âgée on fait quoi post phase aigu?

A

prévention TVP/EP (discussion si ACO)
évaluation dysphagie
prévention des infections pulmonaires
prévention des infections urinaires
plaies

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39
Q

Épilepsie chez la personne âgée

A

Convulsions:
* Atteinte de l’état de conscience.
* Confusion épisodique.
* Fluctuation de la vigilance.
* Troubles de l’équilibre.
* Troubles langagiers intermittents.

(pas toujours de convulsions, chute avec perte de conscience, peut être épilepsie)

post ictal :
* Confusion
* Déficits moteurs
* Déficits langagiers
(peut durer plus longtemps)

40
Q
  • H87ans
  • Lors de la tournée, l’infirmière vous demande d’aller voir M.
    Il a une démarche plus raide et a tendance à basculer vers l’arrière.
  • Info: NDS D
    Habituellement ok avec la marchette mais les chutes sont de plus fréquente.
  • ATCD: TNC majeur, AVC, MCAS, DA, DB type 2 et HTA.
  • Rx: changement récent: on a changé les antipsychotiques et ajouté le
    clonazepam
    Quétiapine 25 mg TID / Clonazépam 1 mg BID / ASA 80 mg DIE / Calcium+ vitamine D

quoi faire?

A

On doit proséder à l’évaluation de la mobilité qui comprend grossièrement:

  • E/P : - Cardio/pulmonaire - Neuro - MSK.
  • Valider usage d’un aide aux déplacements. * Vitesse de marche normale ≥1 m / sec.
  • Get-up and go (3 mètres=12 secondes)
  • Évaluation de la symétrie des pas
  • Valider la présence de comorbidités

Dans le get up and go:
symétrie des pas, équilibre
démarche … est-ce qu’il fait 20 petits pas pour se retourner
comment passe de la chaise à debout
(s’il a une marchette, on le fait avec et comment il utilise son aide à la marche (équipe TRP au besoin))

De plus, on peut évaluer l’équilibre avec le test de la portée fonctionnelle :
normale = pourrait aller porter ses mains sur une distance de 10 pouce de plus vers l’avant sans perdre l’équilibre

Si trouble d’équilibre et de la démarche :
Prise en charge :
* Approche multidisciplinaire et personnalisée
* Favoriser autonomie
* Évaluation physio/ergo pour fournir un outil de marche * Favoriser mobilisation
* Scéances au fauteuil
* Apports nutritionnels et hydriques
* Horaire d’élimination
* Utilisation d’une aide aux transferts
* Etc.

41
Q

Plus de 80 ans, 50% des PA vont chuter, tant à la maison qu’en CHSLD.
Nommez des facteurs de risque de chute

A

Environnemental: mauvaise chaussure, lunettes inappropriées
pharmaco : AINS, antihypertenseur, rx psychoactive/polypharmacie (+4)
Médical : désordre vestibulaire, AVC, atteinte frontales, HTO
etc

42
Q

Évaluation de la chute, on doit tout demander peu importe le contexte de la chute.

A

Anamnèse
nbd de chute dernière années
où, quand, comment
conséquence
signes accompagnateurs ou prodrome
Contexte (ex: tjrs en se levant chaise)
Comportement à risque
peur de tomber *(syndrome post-chute)
environnement + avd/avd
ATCD med + modification Rx, drogue-ROH

examen physique:
examen marche et équilibre
TA couché- debout
msk (douleur modifie le patron de marche vu arthrose au genou, pas capable de se soutenir) Forces musculaires
acuité visuelle et auditive
examen mental (mmse/moca)
cardio
respiratoire
Vérifier les problème d’attention

43
Q

Pathologie neuro : Parkinson et parkinsonnisme

A

Examen bradykinésie :
* Tester les mouvements rapides alternés
* Examen de l’écriture (Micrographie, Spirale)
* Absence de mouvements spontanés (Expression lors de la parole / Gestuel des mains lors de la parole /Changement de position)
* Absence de clignement des yeux
Va marcher sans balancer les bras.

Examen de la rigidité:
* Roue dentée (faire toutes les articulation -poignet, coude, épaule)
* Manœuvre de Froment : Patient élève le bras opposé lors de la manœuvre roue-dentée
* Signe de l’oreiller fantôme: Patient en décubitus dorsal, retirer l’oreiller. Si cou demeure en flexion = rigidité axiale.
____________________________________________
Autre test d’évaluation physique parkinsonisme:

Idem aux troubles neurocognitifs majeurs:
Démarche et positionnement.

Tremblement de repos

Bradykinésie

Épreuves cérébelleuses

Test de l’applaudissement (personne avec parkinsonnisme après trois tap ne sera pas capable d’arrêter)

Réflexe glabellaire (signe de Myerson) (on tape dans son front et il ne doit pas cligner des yeux , il peut cligner les 3 premiers coups, mais après test normal= cligne pas)

Capacité d’identification olfactive. (on pourrait utiliser tampon d’alcool)

Réflexes posturaux: pour tester la rétropulsion, tu tire la personne vers l’arrière (un pas = normal, plusieurs pas vers l’arrière = pas normal)

Test d’applaudissement : taper des mains 3 fois (pas capable d’arrêter)

réflexe posturaux

44
Q

sx moteurs et non moteurs du parkinson-nisme

A

Symptômes moteurs caractéristiques :
* Bradykinésie
* Tremblement de repos
* Rigidité
* Démarche
* Perte des réflexes posturaux
* Posture fléchie
* Atteinte asymétrique
roue dentée : poignet, coude, épaule

Signes non moteurs
* Diminution olfactive
* Troubles du sommeil
* Dépression/anxiété,
apathie
* Constipation chronique
* Douleur aux membres
inférieurs
* Dysfonction érectile
* Troubles cognitifs
* Hypersalivation/dysphagie
* Difficulté de
communication

45
Q

Insomnie PA la nuit
avec somnolence diurne

quelle est l’intervention appropriée?

A

option 1 : pt dort de jour, le réveiller/l’occuper de jour pour diminuer la somnolence diurne

option 2 : mélatonine

46
Q

Quels sont les caractéristiques physiologiques du sommeil (spécificité) chez la personne âgée qui sont considéré comme normal?

A
  • Augmentation de la latence avant l’endormissement
    -Augmentation du temps passé en stade 1, donc augmentation du sommeil léger et instable
    -Sommeil plus instable et fragmenté d’éveil nocturne
    -Diminution du sommeil profond, donc sommeil plus instable et fragmenté, donnant l’impression de sommeil moins réparateur au lever.

REM (sommeil paradoxal) = inchangé sauf âge très avancé ou démence)

47
Q

ddx insomnie

A

primaire
syndrome apnée, hypopnée du sommeil
syndrome des jambes sans repos
trouble du sommeil REM et autres parasomnie
tr. du rythme circadien
syndrome crépusculaire

Approche non-pharmacologique :
* Ouvrir les rideaux durant la journée
* Maintenir les bruits d’alarmes au minimum
* Augmenter le degré d’activité diurne
* Réduire le nombre de siestes
* Offrir des boissons décaféinées le soir
* Limiter la nourriture, la caféine et le tabac le soir
* Aller aux toilettes avant de se coucher
* Coucher et le lever à des heures régulières.
* Favoriser des soins diurnes

48
Q

H87ans
* Demande de l’infirmière:
Il présente de la résistance aux soins et de l’agitation physique et verbale tels que l’errance invasive, déplacement des meubles et d’objets. Il présente un risque d’égarement.
Il présente aussi de l’agitation physique et verbale avec agressivité. Il serait d’ailleurs plus irritable le soir et n’écouterait plus les consignes.

A

scpd probable avec errance invasive

possible d’avoir des scpd la nuit ou bien syndrome crépusculaire

Garder en tête que ça pourrait être un délirium (si installation aigue), circonscrite dans le temps. il peut être hypoactif on va le voir plus à un changement de son état d’éveil.

49
Q

Différence entre délirium et TNM

A

Délirium :
apparition aigue, cours fluctuant sur 24h, état d’alerte variable (hypervigilant ou réduit), attention globalement réduite, cognition globalement désordonnée, hallucination et idées délirantes fréquentes, act psychomotrice aug. ou réduite, discourt souvent incohérent, mouvements involontaires astérixis ou tremblement.

TNM:
apparition insidieuse, cours stable, état d’alerte normale, attention souvent adéquate, cognition globalement réduite, hallucination et idées délirantes moins fréquentes, act psychomotrice fréquemment normale, discourt et vocabulaire réduit, mouvements involontaires souvent absent.

Étiologie délirum :
D – Drugs
E – Electrolyte disturbances
L – Low oxygen states (myocardial infarction, stroke), lack of drugs
I – Infection
R – Reduced sensory input
I – Intracranial disorders
U – Urinary and fecal disorders (recherche un globe vésicale/fécalome)
M – Metabolic

Examen physique du délirium :
signes vitaux
état cutané
hydratation
étiologie potentielle
foyers infectieux potentiels (souvent pas de fièvre)
*fécalomes, globe vésical
trouvailles neuro

50
Q

Ce qui ne se traite pas avec la médication en TNC

A

Comportements relatifs à l’élimination (selles et urine) ou a l’habillage inappropriés.
Cris répétitifs pas reliés à la douleur ni à la dépression
Errance
fugues
Rituels d’accumulation
Désinhibition verbale
Mouvemente répétitifs
Oralité
résistance aux soins

DDX :
* Démence Alzheimer
* Démence vasculaire
* Démence à corps de Lewy
* Démence fronto-temporale
* SCPD

Approche aidante (important):
* Favoriser un environnement calme
* Favoriser les expressions des émotions de la personne
* Écoute active (éviter les confrontations inutiles)
* La diversion (ex. album photo)
* Favoriser les décisions selon ses capacités
* Utiliser le toucher au besoin
L’approche non pharmaco est très aidante, il y a une équipe SCPD qu’on peut demander au besoin)

51
Q

Caractéristiques de l’oeil chez la personne âgée

A

Caractéristiques physiologiques :
* Perte d’élasticité de la peau + atrophie musculaire et des tissus adipeux Ectropion Vs Entropion
* ↓ Quantité et qualité des larmes + clignement des yeux moins efficace et fréquent Sécheresse + impression de brûlement
* Perte d’élasticité, durcissement et vitrification du cristallin Presbytie + ↓ vision nocturne.
* Opacification du cristallin Cataracte
* Diminution du renouvellement des humeurs aqueuses et vitrée Corps flottants
* Modifications rétiniennes multiples

Risques associés:
* Limitations a/n de l’autonomie/sociales
* Chutes
* Anxiété
* Délirium
Moyens compensatoires: * Lunettes
* Aménagement de l’environnement
* Ajustement de la luminosité

Signe d’un état pathologique probable :
-vision brouillée ou dédoublée
Halos lumineux
Perte d’un champ visuel
perte d’acuité visuelle ayant un impact sur l’autonomie fonctionnelle

Presbytie = normal

Examen physique :
Idem adulte :
* Anamnèse complète (PQRST / AMPLE / hygiène)
* E/P ; sourcils / cils / paupières / œil / PERLA /mouvements oculaires / photophobie / acuité / champs visuels* /réflexes

considération particulières:
* Adaptation en fonction des besoins / niveau de communication / degré de fatigue / collaboration.
* Un élément à la fois
* Expliquer vos interventions, même si pt dément

52
Q

Caractéristiques physiologiques en ORL chez la personne âgée

A

Presbyacousie :
Perte d’audition des hautes fréquences

Atrophie des amygdales:
ADNP cervicales ↓ 50% chez l’aîné

Résorption osseuse + Affaissement des gencives (parodontolyse):
Sensibilité dentaire + perte dentaire
Usure dentaire / carie

Malocclusion
1) Accentue la résorption osseuse et la perte dentaire
2) Déséquilibre la musculature
3) Conflit temporo-mandibulaire

Atrophie des tissus mous + amincissement de l’épithélium a/n des joues et de la langue:
1) ↓ papilles gustatives et ↓ du gout
2) ↑ risque d’ulcération + infection + néoplasie

+/- Diminution sécrétion salivaire :
Xérostomie

53
Q

PA en santé a-t-elle des troubles de déglutition?

voir la diapo 59

A

personne âgée en santé: déglutition légèrement diminuée

54
Q

Grandes lignes des changements cardio chez pA

lire diapo 63…

A

retenir les grande ligne :

Artères plus rigide donc peu augmenter la TAS (on tx pareil)

plus de risque IC et bradyarythmie/arythmie

Changement de la réactivité des barorecepteurs qui font en sorte quil y a plus de HTO

Bradyarythmies et FA = patho les plus fréquente chez la PA

55
Q

coeur et PA : examen clinique

A

anamnèse, toux, dyspnée, OTP, fatigue, nycturie…coeur, coeur, poumons, abdo, omi, pouls périphériques, cyanose, souffles, b3-b4

56
Q

arythmie fréquentes des PA

A

FA, —–risque avc
bradyarythmie,
dysfonction du noeud sinusal
bloc AV

57
Q

si on instaure un aco , qu’est ce qu’on met à une personne âgée?

A

IPP

****vomissement après les repas = penser à cardio (infarctus)

58
Q

à quoi sert le hasbleed ?

A

calculer le risque de saignement à une personne qu’on désire mettre un anticoagulant oral et savoir si son risque de saignement est trop grand

59
Q

à quoi sert le chads?

A

évaluation du risque embolique chez une personne à qui on veut prescrire un aco

60
Q

***Vomi après repas chez la personne âgée

A

infarctus, cardio

61
Q

symptômes atypiques de sca/ angine chez a personne âgée tnc

A

pourrait être juste de a confusion ou de l’agitation, il a de la drs, mais pas capable de le dire

Présentation atypique
* Dyspnée
* Douleur abdominale
* Fatigue
* Confusion
* Malaise

62
Q

IC chez la personne âgée

A

FDR :
* Ischémie / infarctus myocardique
* Na alimentaire excessif
* Apport liquidien excessif
* Non adhérence à la médication
* Arythmies*
* Conditions médicales particulières
* Drogues et médicament
* Néphropathie chronique
* Etc.

Examen physique:
* Crépitants / râles pulmonaires
* Élévation pression jugulaire
* Reflux hépatho-jugulaire
* B3
* Œdèmes des MI
* Cheyne-Stoke

Sx typique: oedème a/n du coccyx et MI. fatigue, orthopnée, essoufflement et intolérance à l’effort

sx atypique: malaise, lassitude, perte de poids, irritable, confusion, sommeil perturbé, anorexie, satiété précoce, inconfort abdo, nausée, diarrhée, constipation

Approche non phx:
* Mesure du poids(tjrs même balance et même moment journée)
* Consultation en nutrition

* Révision de la médication*
* Suivi médical/IPS régulier
Activité physique *
* Ventilateur au visage*
* Élever tête de lit 30

63
Q

Quels sont les causes les plus fréquente de syncope chexz la PA?

A

Causes plus fréquentes :
* Syndrome du sinus carotidien
* Sténose aortique
* Arythmies
* Hypotension orthostatique
* Hypotension post-prandiale
* Événement neurologique
* Débalancements métaboliques

1/3 cas en CHSLD 2nd HTO postprandiale

Dx HTO: ↓ TAS ≥ 20mmHg ou ↓TAD ≥ 10mmHg post changement de position

Favoriser bas support et le lever progressif

64
Q

Caractéristiques physiologiques en Pneumo chez la PA et examen physique

A
  • Alvéoles = perte d’élasticité + grossissent Emphysème sénile
  • Thorax = calcifications articulaires + ossification du cartilage Thorax + rigide
  • Vertèbres = perte espace intervertébral + compression des corps vertébraux → ↓ hauteur vertébrale Cyphose + thorax en tonneaux.
  • Musculature = ↓ environs 25% force du diaphragme ↓ Capacité vitale.
  • Déséquilibre entre ventilation et perfusion
    ↓ échanges gazeux + ↑ risque déséquilibre acido-basique.

Examen clinique:
Idem à l’adulte :
* Anamnèse complète* (PQRST / AMPLE) Toux/ expecto / Dyspnée/OTP/Fatigue
* E/P Sv* / Cou / Cœur* / Pms* / Abdo / M. inf, OMI / cyanose

Considérations particulières :
* Faible inspiration
* Troubles cognitifs
* Sédentarité / perte autonomie

65
Q

Pneumonie sx atypique PA

A

Sx atypiques :
* Absence de T°, hypoxie et sx respiratoires
* Changement état mental
* Changement comportement
* Changement fonctionnel
* Chutes
* Vertiges / faiblesse
* Anorexie
* Déshydratation
* Incontinence

Critères d’hospitalisation (CURB-65) :
C = Confusion
U = Urée sérique > 19.6mg/dL
R = Rythme respiratoire ≥ 30 / min
B = TAs < 90mmHg ou Tad ≤ 60mmHg 65 = âge ≥ 65 ans
>2 considérer une admission à l’hôpital

66
Q

antibio PA que regarder pour ajuster les doses?

A

Indices d’infections à bactéries multi-résistantes
* Pneumonie sévère
* Hospitalisation > 48h dans les 90 jrs
* CHSLD
* Dépendance sévère pour les AVQ
* Immunosuppression
* Prise d’antibiotiques dans les 6 derniers mois
*Si ≥ 2 facteurs de risques = Couverture ATB large spectre

IMPORTANT : Ajuster dose en fonction de ClCr ainsi que QTc !!!

Prévention :
Vaccination
* Influenza
* Pneumocoque
Prévention des aspirations
* Hygiène buccale
* Posture lors des repas
* Révision de la médication Traitement adéquat des comorbidités Maximiser l’état nutritionnel

67
Q

PA gastrointestinal

A

particularités:
Foie altéré = aug. le risque interaction Rx
Plus de risque cholélithiase
diminution des site absorption (petite selles, altère le métabolisme des Rx
diminution des muscle du sphinctère anal donc incontinence ou rétention fécale
sensation que ça bloque au niveau oropharyns - aug dysphagie et aspiration
Prédispositiom RGO
diminution de la vidance gastrique des re^pas, donc ne pas boire 1h avant et 2h après les repas car augmente la diminution de l’appétit
débalencement endocrinien
prédisposition aux diverticulose

Examen physique :
Idem à l’adulte :
* Anamnèse complète (PQRST / AMPLE)
* E/P SV / auscultation* / percussion* / palpation* /HSM /Murphy / AA / TR* / ictère / déshydratation

Considérations particulières :
* Penser également systèmes : * Pneumo
* Génito-urinaire
* Dermato
* Dlr référée* vient souvent du dos/colonne
* Démence
*Rx

68
Q

si une pA a dlr abdo, quoi évaluer?

A

dos (douleur référée), pneumo, génito-runiare, dermato,
rx

69
Q

dysphagie, caractéristique et causes ?

A

Complications :
* Déshydratation * Malnutrition
* Aspiration
Toujours penser à une cause neurologique également

Modification liée au vieillissement:
* Ralentissement de la cascade de déglutition.
* Fatigabilité et diminution endurance.
* Diminution de la capacité à exercer une pression adéquate avec la langue.
* Atrophie cérébrale
* Changements a/n musculaire

70
Q

signes clinique de dysphagie et 2 test

A

Signes cliniques :
* Difficulté à avaler les liquides / solides / Rx
* Accumulation orale
* Augmentation du temps d’alimentation
* Perte de poids
* Etc.

Examen physique spécifique :
1- Test de déglutition 3 oz d’eau
Méthode ; Auscultation trachéale avant et après le test.
Rechercher toux, étouffement, changement dans les bruits respiratoires (trachéaux).

2-Évaluation du repas
Évalue phase anticipatoire et orale.
Évalue impact des comportement et de la fonction cognitive.

ces deux test seront fait par la nutritionniste

71
Q

rgo sx non spécifiques à la PA (sous aco, prend pas ipp)

A

no/vo, anorexie, perte de poids, anémie, hb diminué

72
Q

diverticulose PA, causes

A

Diverticulose :
Causes :
* Altération de la motilité colique
* Diète pauvre en fibres
* Modification de l’intégrité de la paroi intestinale avec l’âge

Souvent asx, mais si symptômes :
* Dlr QIG
* Diarrhée / constipation
* Rectorragie

Si diverticulite :
* Fièvre
* Leucocytose
* Ressaut + / défense abdominale

73
Q

DDX diarrhées chez PA

A

quand c’est aigue:
fécalome (selle liquide en petite qté q jour)
rx +++/produits naturels
alimentation
infection
tumeur villeuse rectale

quand cest chronique :
obstruction de selles
Rx/diète
MII
Maladie caeliaque
cancer colique
malabsorption
thyrotoxicose
lymphome
ischémie

74
Q

diarrhées aigues vs chronique

A

Diarrhée aigue
Évaluer le retentissement
* Examens cliniques et paracliniques
* Hospitalisation?
* Réhydratation?
* Poursuite des Tx indispensables ?
Déterminer la cause
* Contexte «épidémique»
* Fièvre / syndrome grippal associé
ATB préalable
* PCI?

Diarrhée chronique
Anamnèse:
* Caractériser les selles
* Symptômes associés
* Facteurs de risque infectieux
* Diète/médication et antécédents
Examen physique
* État volumique et nutritionnel * Thyroïde
* Abdo
* Ano-Rectal

immodium PRN mais sassurer que le patient n’a pas un c-diff ou autre avant

75
Q

constipation PA
FDR
Complications
Traitement
examen clinique

A

FDR :
* Médication
* Mobilité réduite
* Résident des CHSLD
* Conditions neurologiques
* Dépression
* Déshydratation
* Faible apport en fibres alimentaires
* Débalancement métabolique
* Obstruction mécanique
* Manque d’intimité / confort
* Accès aux toilettes difficile

Complication :
* Incontinences fécales
* Obstruction fécale
* Rétention urinaire
* Volvulus du sigmoïde
* Mégacolon acquis
* Maladie diverticulaire
* Perforation stercorale
* Prolapsus rectal
* Qualité de vie diminuée
* Agitation

Traitement non-pharmacologique :
* Augmenter apport en fibres
* Augmenter hydratation
* Mobilisation
* Appuie pieds lors de la défécation
* Accès facile et régulier aux toilettes

Examen clinique spécifique constipation :
* Auscultation et palpation abdo
* Examen fonctionnel, neurologique et cognitif PRN
* Toucher rectal
péri-anale / réflex cutané anal
prolapsus rectal / hémorroïdes descente plancher pelvien /
91
* Sensibilité
* Recherche
* Recherche rectocèle

76
Q

Quels sont les caractéristiques physiologiques Génito-Urinaire des PA

A

Signes du vieillissement normal:

dim. capacité de concentration des urines;
aug. fréquences des mictions nocture (nycturie = en haut de 1)
aug. légère du résidu post-mictionnel (150ml de résidus(
dim. capacité vésicale.
Misctions impérieuses.
aug. sensibilité aux pressions abdo.
dim excrétions des Rx
—-Homme: dim pilosité génitale, distension du scrotum, HBP, dim libido

—–Femme: dim pilosité génitale, apparition de pilosité facial, atrophie des petites lèvres * FDR de lichen, dim tonus plancher pelvien, dim lubrification vaginale, dim libido.

Signes d’un état pathologique probable:
Pollakiurie
Dysurie, hématurie, pyurie
incontinence urinaire
douleur/malaise lombaire
démangeaison
No/Vo
HBP normale chez homme
femme: atrophie, sécheresse,

——Homme: Douleur/rougeur, masse testiculaire, hématurie, démangeaison

—–Femme: Démangeaisons, douleur/rougeur, hématurie, saignement vaginaux, tuméfaction/masse vulvovaginale, dyspareunie, inversion mamelons/écoulement.

77
Q

Examen gynéco des PA

A

Idem à l’adulte :
* Anamnèse complète (PQRST / AMPLE)
* Importance de E/P.

Condition: particulières:
examen des pieds et de la bouche (champignons aiment les PA, car sécheresse diminue la barrière cutanée)
Éliminer Fécalome
lubrifier avant l’examen gynéco

78
Q

Pathologies génito-urinaire chez la PA?

Quel est le dépistage et le traitement de la bactériurie asymptomatique?

A

bactériurie : présence de bactéries dans les urines

pyurie: Présence de ≥ 10 GB / champs

Bactériurie asymptomatique: Présence de bactéries dans les urines avec ou sans pyurie et ce, en l’absence de signes ou symptômes urinaires.

  • impossible que analyse et culture sur la sonde chronique soit négative

DONC : Aucun dépistage et Aucun traitement tant que ça ne crée pas de symptômes
sx: changement dans l’état mental, changement ds les urines, fièvre, déclin fonctionnel, chutes, hématurie

FDR:
Diminution fonctionnelle des lymphocytes T et B. Expositions nosocomiales
Anomalies structurelles ou fonctionnelles
ATCD d’infection urinaire.
Déficit en œstrogène Incontinence urinaire Relations sexuelles Maladies chroniques

Prévention :
* Éviter de mettre une sonde urinaire (100% seront colonisé après un mois)
* Urinoir au chevet
* Couche d’incontinence
* Cathétérismes intermittents PRN
* Suivi du résidu par Bladder scan
* Mictions à temps fixe
* F : Tx vaginite atrophique (œstrogène vaginal)

79
Q

Caractéristiques physiologiques du système tégumentaire de la PA?

A
  • Aplanissement et amincissement du derme
    Perte du collagène, de l’élastine et des gras sous-cutanés Augmente les risques de cisaillement et de plaies par déchirure
  • Diminution du nombre et du fonctionnement des glandes sébacées et sudoripares Xérodermie + ↑ risque de coups de chaleurs
  • Diminution vascularité, fragilisation des vaisseaux et diminution division cellulaire a/n de l’épiderme Purpura sénile + ↑ temps de cicatrisation + Plaies de pressions
  • Diminution de la taille et de la densité des corpuscules de Pacinian et de Meissner. ↓ perception tactile et température + ↓ acuité sensorielle
  • Diminution production vitamine D
80
Q

Examen dermato des PA

A

Idem à l’adulte :
* Anamnèse complète (PQRST / AMPLE / hygiène)
* Description des lésions : - Type de lésions - Arrangement / distribution – ABCDE

Considérations particulières :
* Niveau de soins
* Signes vitaux, selon situation
* Songer à l’évaluation vasculaire*
* Signes trophiques - Pouls périphériques / ITB* / doppler
* Aires ganglionnaires
* Muqueuses et Conjonctives*
* Immobilité / sédentarité / alitement
* Dénutrition
* Maladies chroniques

81
Q

Anomalies des paupières (diapo 39)-voir image

A

Ptosis: Il s’agit de la chute de la paupière supérieur. Les causes comprennent la myasthénie, l’atteinte du nerf, une faiblesse musculaire etc. Il peut également être congénital

Entropion: Fréquente chez le sujet âgé, le bord de la paupière est retourné vers l’intérieur.

Ectropion: Le bord de la paupière est retourné vers l’extérieur, exposant la conjonctive palpébrale.

Rétraction des paupières est exophtalmie:
L’exophtalmie est une protrusion du globe oculaire, un signe fréquent de la maladie de Graves-basedow. Lorsqu’il est unilatéral, il peut s’agir d’une tumeur orbitaire.

Orgelet: Infection douloureuse, sensible à la pression, rouge, dans la partie interne ou externe de la paupière.

Chalazion: Nodule subaigu, insensible et généralement indolore. Contrairement à l’orgelet, est souvent présent à l’intérieur de la paupière plutôt que sur le bord palpébral. (si non résolu après 3 semaines = référer en ophtalmo)

Blépharite: Inflammation de la paupière à la base des follicules pileux.

Xanthélasma: Plaques bien délimitées, légèrement surélevées, jaunâtres, apparaissant du côté nasal d’une ou des deux paupières. Elles correspondent à des plaques de cholestérol.

82
Q

Anomalies de la conjonctive (diapo 41)

A

Pinguécula: Nodule triangulaire jaunâtre dans la conjonctive bulbaire de chaque côté de l’iris. Ils apparaissent avec l’âge, d’abord du côté nasal, ensuite du côté temporal.

Épisclérite: Rougeur oculaire bénigne, habituellement douloureuse et localisée, provenant d’une inflammation des vaisseaux épiscléraux. Peut avoir un aspect nodulaire ou se manifester seulement par une rougeur et des vaisseaux dilatés.

83
Q

Anomalies de la cornée et du cristallin (p.42)

A

Arc cornéen: Arc ou cercle mince, blanc, grisâtre, situé en bordure de la cornée. Peut suggérer une dyslipidémie.

Cicatrice cornéenne: Opacité blanc grisâtre superficielle de la cornée, secondaire à une blessure ou à une inflammation ancienne.

Anneau de Kayser-Fleisher: Anneau dorée à rouge-brun, dû à un dépôt de cuivre secondaire à la maladie de Wilson.

Ptérygion: Epaississement triangulaire de la conjonctive bulbaire qui croit lentement à travers la cornée.

Cataracte nucléaire: Apparence grise lorsqu’on l’éclaire. Si la pupille est très dilatée, l’opacité grise est entourée par un anneau noir.

Cataracte périphérique: Donne des ombres en rayons de roue dirigées vers l’intérieur, grises sur fond noir si elle est éclairée, ou noires sur fond rouge à l’ophtalmoscope.

84
Q

Anomalies pupillaires (diapo 43)

A

Pupille tonique (pupille d’Adie): Une pupille tonique est large, régulière, habituellement unilatérale. Son réflexe photomoteur est diminué, voir absent. Le réflexe d’accommodation est lent. Ces signes traduisent une atteinte du système parasympathique.

Paralysie du nerf oculomoteur III: La pupille dilatée ne réagit ni à la lumière ni à l’accommodation. Un ptosis de la paupière supérieur et une déviation externe de l’œil sont presque toujours présents.

Syndrome de Claude Bernard-Horner: La pupille touchée, en myosis, réagit vivement à la lumière et à l’accommodation. La triade classique de ce syndrome : myosis, ptosis et anydrose. Dans le syndrome congénital l’iris à une coloration plus claire que l’autre (hétérochromie).

Signe d’Argyll-Robertson: Petite pupille irrégulière ne réagissant pas à la lumière et à l’accommodation. Se voit principalement dans la neurosyphilis.

Pupilles égales et un œil aveugle: Il n’y a pas d’anisocorie tant que les innervations sympathiques et parasympathique ne
sont pas touchées. L’éclairage direct de l’œil qui voit donne une réponse directe de cet œil et
consensuelle de l’œil aveugle. L’éclairage direct de l’œil aveugle, en revanche, ne provoque
pas de réponse des deux yeux.

85
Q

Anomalies du disque optique

A

Disque normal: Coloration jaune orange à rose crémeux. Petits vaisseaux de la papille. Bord du disque net. Excavation habituellement inférieure à la moitié de celui du disque

Œdème papillaire: Coloration rose, hyperémie. Vaisseaux du disque optique plus visibles, plus nombreux, courbes sur les bords du disque. Disque gonflée avec bords flous. Excavation physiologique non visible. Se voit en cas de tumeur, hémorragie intracrânienne ou méningite.

Excavation glaucomateuse: Le fond de l’excavation agrandie est pâle.
Une dégénérescence du nerf optique se traduit par la disparition des petits vaisseaux du disque optique.

Atrophie optique:
Excavation physiologique agrandi, occupant plus de la moitié du diamètre du disque
optique. Coloration blanche, petits vaisseaux du disque absents. Se voit dans la névrite optique, la sclérose en plaques, l’artérite temporale.

86
Q

Anomalie du fond d’oeil (diapo 45)

A

Hémorragies rétiniennes profonde: Petites taches rouges arrondies un peu irrégulières, que l’on appelle parfois hémorragies punctiformes ou en flasques. Le diabète sucré en est une cause fréquente

Microanévrismes: Très petites taches rouges arrondies, vues habituellement mais non exclusivement autour de la macula. Ce sont de minuscules dilatations de très petits vaisseaux rétiniens. Une caractéristique de la rétinopathie diabétique.

Néovascularisation: Désigne la formation de nouveaux vaisseaux. Ils sont plus nombreux, plus tortueux et plus étroits
que les autres vaisseaux sanguins de la région et forment des arcades d’aspect désordonné. Une caractéristique fréquente de la rétinopathie diabétique à un stade prolifératif.

**Décollement rétine : La zone du décollement de la rétine sur cette photo est visible au centre. Les symptômes comprennent une vision floue, des éclairs lumineux (photopsies) et des corps flottants. (le plus important à référer en ophtalmo)

87
Q

Qu’est-ce qu’une conjonctivite?

A

Type de rougeur : Injection conjonctivale (dilatation diffuse des vaisseaux de la conjonctive avec rougeur tendant à être maximale en périphérie).
Douleur : Inconfort léger.
Vision : Conservée, sauf un léger trouble transitoire lié à l’écoulement. Écoulement : Aqueux, mucoïde ou mucopurulent.
Pupille : Intacte.
Cornée : Claire.
Signification : Infection bactérienne, virale ou allergique.

88
Q

Qu’est-ce qu’une Blépharites ? (pathologie de l’oeil)

A

c’est une inflammation des paupières:

Aiguë : elle peut être localisée (orgelet ou chalazion) ou généralisée (touchant toute la paupière)

OU

Chronique: elle se caractérise par une fluctuation des signes et des symptômes qui perdurent dans le temps.
______________
L’orgelet est une lésion inflammatoire aiguë des glandes sébacées de la paupière (glandes de Zeiss) d’origine infectieuse..

89
Q

Caractéristique d’une hémorragie sous-conjonctivale:

A

Type de rougeur : Extravasation de sang produisant une zone rouge homogène, à limites nettes, virant au jaune en quelques jours avant de disparaître.
Douleur : Absente.
Vision : Conservée.
Écoulement : Absent.
Pupille : Intacte.
Cornée : Claire.
Signification : Souvent aucune. Peut résulter d’un traumatisme, de troubles hémorragiques ou d’une élévation brusque de la pression veineuse (Ex. Toux).

90
Q

Caractéristique d’une lésion ou infection de la cornée:

A

Type de rougeur : Injection ciliaire (dilatation des vaisseaux plus profonds, visible sous forme de radiations vasculaires ou d’une rougeur violacée autour du limbe) . Elle n’est pas toujours apparente et peut être remplacée par une rougeur diffuse de l’œil.
Douleur : Modérée à sévère, superficielle.
Vision : En général diminuée.
Écoulement : Aqueux ou purulent.
Pupille : Non atteint, sauf en cas d’iritis.
Cornée : Modifications suivant la cause.
Signification : Abrasions ou autres lésions; infections virales ou bactériennes.

91
Q

Caractéristique d’un glaucome aigue à angle fermé:

A

Type de rougeur : Injection ciliaire (dilatation des vaisseaux plus profonds, visible sous forme de radiations vasculaires ou d’une rougeur violacée autour du limbe) . Elle n’est pas toujours apparente et peut être remplacée par une rougeur diffuse de l’œil.
Douleur : Sévère, pénible, profonde. Vision : Diminué.
Écoulement : Absent.
Pupille : Dilatée, fixe.
Cornée : Embuée, trouble.
Signification : Augmentation aiguë de la pression intra-oculaire. *C’est une urgence.

92
Q

Quels sont les types de lichens et les caractéristiques principales de chacun?

A

Lichens Plan: formes variées, plaques réticulées, érosives, atrophiques, cause inflam./auto-immune, tx cortico puissant et tx symptomatiques. Muqueuse vaginale, anale et buccale*. Risques: dlr, cicatrices, perte anatomie normale, carcinome épidermoïde.

Lichen Scléreux** : papules/plaques, blanc nacré, figure en “8”, change les organes génitaux externe, Régions génitale et anale, Méat urinaire, (bouche et vagin épargnés), cause inflammatoire, tx cortico puissant, PAS d’HORMONE*, Risques : fusion des petite lèvres, rétrécissement de l’orifice vaginale et du méat urinaire, transformation en néo plus petit que 5%

Lichens simplex (chronique): plusss de prurit, plaques lichénifiée, parfois érythémato-squameuse, prurit+++, architecture normale, site de grattage aux grandes lèvres, causes: grattage/histoire d’atopie, tx la cause, arrêt de grattage, cortico faibles/modérés, antihistaminiques*, crèmes hydratante/barrière. Risque de cicatrices et R/O dermatose vulvaire sous-jacent ou néo.

93
Q

Anomalie du système tégumentaire (voir diapo 106 et les suivantes pour les images)

A

Lésion rouge :
Purpura sénile
Angiome de rubis
Angiome stellaire
Purpura (on appel le Md partenaire)
Angiokératome
Rosacée

Kératoses:
Kératose séborrhéique
lentigo sénile
Kératose actinique
Hyperplasie sébacée

Les dermatites (champignons)
Eczéma craquelée
Dermatite séborrhéique
Intertrigo (dermatite à candida)
Dermatite de stase

Lésions bulleuses:
Herpès
Zona
Phemphigus bulleux

Lésions chroniques:
Psoriasis
Lichen scléreux
Cicatrices pseudostellaires
Lichen plan

Lésions néoplasiques:
Kérato acantome
mélanome
basoselle
spénocellulaire
Angiosarcome
sarcome de Kaposi

Ongles:
Onychomycose
Onychodystrophie

94
Q

Quels sont les éléments évalué dans l’examen de l’état mentale?

A
  • Apparence
  • Comportement moteur
  • Parole et langage
  • Humeur et affect
  • Opérations de la pensée
  • Perceptions
  • Fonctions cognitives
  • Jugement et autocritique
95
Q

Quels sont les redflags à l’examen de l’état mentale?

A
  • Idées suicidaires et homicidaires
  • Automutilations
  • Présence de symptômes psychotiques (ex:hallucinations/délire)
  • Dépression ou état maniaque antérieure
  • Hospitalisation en psychiatrie
  • Alcoolisme